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![]() OIDIUMSynonyme(s)MALADIE DU BLANC |


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L'abricotier en agriculture biologique
Le réseau des référents techniques régionaux agriculture biologique des Chambres d'Agriculture de Rhône-Alpes a réalisé un ensemble de fiches technico-économiques. Ces fiches sont des outils d'accompagnement des projets d'installation et de conversion. Cette fiche porte sur "L'abricotier en agriculture biologique". Elle aborde des aspects techniques, par rapport à la protection des végétaux : problèmes de monilia sur fleurs, rouille, oïdium, coryneum, tavelure, petite mineuse (Anarsia), forficules, capnode, sharka, enroulement chlorothique (ECA), bactériose. Elle propose un guide des interventions en verger, et estime le coût moyen d'un programme de traitement. Cette fiche apporte également des références technico-économiques / ha et se penche sur le coût de plantation.
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Actualité technique : Conférences Tech&Bio de la Drôme - 7 et 8 septembre 2011
Brigitte LAMBERT, Auteur ; Florence LETAILLEUR, AuteurCet article résume trois conférences présentées lors du salon professionnel Tech & Bio, qui a eu lieu les 7 et 8 septembre 2011, dans la Drôme. La première conférence porte sur la comparaison de systèmes labour/non labour/techniques culturales simplifiées en grandes cultures biologiques. Une vaste étude a été mise en place sur quatre sites, couplée à des observations chez des agriculteurs bio. L'article fait un point sur les premières conclusions concernant les effets sur la structure du sol, la matière organique et la vie du sol, ainsi que sur les adventices. La deuxième conférence portait sur la diversité des circuits de valorisation pour les légumes bio. Pour traiter cette thématique, Alexandre Caze présente le développement des « Bio Cabas » par la coopérative Norabio. Les Bio Cabas sont des paniers de fruits et légumes bio livrés chaque semaine dans des points relais. La deuxième intervention porte sur la filière longue légumes bio d'Agrial. Rémi Richard présente l'activité de la coopérative Agrial et sa filière légumes de la 1ère à la 5ème gamme. La troisième conférence portait sur les moyens de lutte en maraîchage bio. Plusieurs intervenants sont venus présenter successivement : l'utilisation de planches permanentes, les alternatives au soufre pour traiter l'oïdium et la protection de la culture de chou-fleur.
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Actualités techniques bio en Languedoc-Roussillon
Isabelle MONTIGAUD, AuteurLa commission technique de l'Association Interprofessionnelle des vins biologiques (AIVB) du Languedoc-Roussillon travaille sur trois thèmes qui devraient faire l'objet de documents prochainement (d'ici fin 2011 pour certains thèmes). Premier de ces thèmes : le coût de production, étudié à partir du suivi de 38 domaines en bio. Le facteur « territoire » semble essentiel dans les coûts de production. Autre thème : la fertilisation. L'AIVB va diffuser d'ici fin 2011 un catalogue présentant quelque 284 produits fertilisants (sans mention de prix ou d'efficacité). Enfin, des essais sont en cours pour trouver une alternative au soufre pour le traitement de l'oïdium. Des premiers essais ont montré une certaine efficacité, sous condition, du lactosérum (produit sans autorisation) ou du Prev-Am (en cours d'homologation).
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Une alternative au soufre et au cuivre
RÉUSSIR FRUITS ET LÉGUMES, AuteurLes sucres sont expérimentés comme alternative au soufre et au cuivre dans différentes situations : pyrale du maïs et du melon, carpocapse de la pomme, mildiou de la vigne, etc. En pommier, les essais menés pendant cinq ans dans différents pays montrent une efficacité du D-fructose ou du saccharose allant de 20 à 60% par rapport au témoin traité. Le sucre peut aussi être utilisé pour améliorer l'efficacité d'insecticides biologiques ou chimiques, avec un gain d'efficacité moyen de 30%. En laboratoire, de bons résultats ont été obtenus avec du glucose et du tréhalose contre les nématodes et l'oïdium. L'efficacité des sucres serait due à leur rôle d'éliciteur, induisant des mécanismes de protection des plantes avant, pendant et après l'attaque. Le transfert de cette technique aux agriculteurs est étudié par une équipe de sociologues dans le cadre du projet Usage.
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Ampelomyces : un agent de biocontrôle pour réduire les dégâts liés aux épidémies d'oïdium ?
LUniversité de Piacenza, en Italie, étudie depuis plusieurs années, dans le cadre du projet européen Innovine, lintérêt dagents de biocontrôle dont Ampelomyces, un groupe de champignons hyperparasites, pour lutter contre loïdium de la vigne. Les premiers résultats sont encourageants. En France, lIFV Val de Loire étudie, depuis 2015, linoculation in vitro de ce parasite sur trèfle violet implanté dans linterrang.
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Un anti-oïdium naturel en préparation
Marion IVALDI, AuteurEn cours d'homologation, le Prévam est un anti-oïdium d'origine naturelle, à base d'huile essentielle d'orange douce. Il présente peu de risques d'induire des phénomènes de résistance. Son action, par contact, entraîne la dessication des cuticules et parois fongiques, dans les heures suivant son application. Vivagro, qui le commercialise, conseille de l'utiliser tôt dans la saison, surtout en conduite bio. Présenté comme une alternative au soufre, il peut être utilisé seul, mais il est plutôt recommandé de l'utiliser en association avec du soufre à dose réduite. Ainsi, selon les essais, les résultats d'un traitement en association avec un soufre à 4-5 kg/ha sont identiques à un traitement en soufre à pleine dose.
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Approche du rôle de la nutrition calcique et de la cuticule dans la résistance du rosier à l'oïdium
Des observations issues de la bibliographie permettent de dégager 2 voies d'approche dans l'étude de la résistance du rosier à l'oïdium : l'une relative à l'influence éventuelle de la nutrition calcique ; l'autre concernant le rôle de la cuticule, en tant que barrière physique ou chimique à la contamination. Les travaux de l'Inra et de l'Université de Montpellier II confirment l'intérêt de ces axes de recherche.
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Arbo bio : quel développement ?
Parmi toutes les productions, l'arboriculture est certainement la plus difficile à réaliser en agriculture biologique. En matière de plantations fruitières, comment, en effet, respecter les rotations culturales et les associations de cultures, principes de base de la bio ? D'où les problèmes phytosanitaires parfois insurmontables ! Etat des lieux, des contraintes... et acquis. Si une bonne fumure de fond est facile à apporter avec des engrais organiques, la fertilisation azotée, à apporter à des stades clés - comme la nouaison - reste difficilement envisageable. (Une expérimentation, sur le site de l'INRA de Gotheron, est menée sur pommier et pêcher). L'enherbement est une pratique préconisée en agrobiologie, par son apport de matière organique et l'augmentation de l'activité biologique. L'enherbement peut être spontané, permanent par semis de graminées ou sous forme d'engrais vert. La protection sanitaire reste le "Talon d'Achille" de l'arboriculture en AB : - les ravageurs peuvent être considérés selon deux catégories : ceux qui peuvent être relativement contrôlés par une bonne gestion de "l'écosystème verger" et des mesures préventives, et ceux pour lesquels ces précautions ne suffisent pas et qui nécessitent des solutions spécifiques - pas toujours disponibles dans le cadre des Cahiers des Charges de l'agrobiologie. - la lutte contre les maladies est avant tout réalisée par des mesures préventives : choix d'emplacement, de densité, de variétés... Des mentions de transition autorisent, en dérogation, l'usage d'un nombre restreint et précis de produits de synthèse contre les ravageurs et les maladies problématiques.
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L'argile, son utilisation en arboriculture
Cet article nous expose les différents types d'argile que l'on peut utiliser en arboriculture, comme l'illite, la bentonite...et dans quels cas les utiliser. On pourra constater tous les avantages de l'utilisation de l'argile dans l'arboriculture. Une liste est disponible pour connaître les entreprises distribuant des argiles.
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L'avoine
La plante. Préparation du sol, semis, fumure. Désherbage. Protection fongicide et insecticide. Valeur nutritive et débouchés.
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Bande de cucurbitacées !
Josiane GOEPFERT, AuteurLa culture des cucurbitacées est facile, l'entretien est minimal et les récoltes sont abondantes. L'article donne des conseils concernant la période de semis en pleine terre ou en godets selon les régions (d'avril à mi-mai), la profondeur d'un semis, la qualité du sol et l'installation des plants directement sur un tas de compost. Il donne des indications sur la formation et le développement des fruits, ainsi que sur les moyens préventifs à mettre en place pour le retardement des premiers symptômes d'oïdium. Des encarts sont consacrés à la façon de faire ses propres semences, aux différentes cucurbitacées méritant d'être cultivées au jardin (la chayotte, la Cyclanthera, la courge cireuse...), aux cucurbitacées préférées de la rédaction. Un tableau indique la façon de différencier les espèces de courges.
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Bio-agresseurs : Identifier les variétés peu sensibles
Fleur MASSON, AuteurLes producteurs de pêche attendent beaucoup de la sélection variétale pour améliorer la lutte contre les bioagresseurs, grâce à des variétés résistantes ou peu sensibles. Le CTIFL, en partenariat avec des stations régionales, a lancé un programme d'évaluation de vingt-huit variétés vis-à-vis de différents bioagresseurs : oïdium, cloque, thrips et tordeuse orientale. Les arbres ont été plantés au cours de l'hiver 2011-2012, à 2000 arbres par hectare, avec un arbre de variété témoin (sensible au bioagresseur) tous les 8 ou 10 arbres. Parallèlement à ces comparaisons variétales, le CTIFL cherche à évaluer quel dispositif d'expérimentation (blocs, blocs randomisés ou randomisation totale) permet le meilleur compromis entre fiabilité de l'expérimentation, rapidité et coût. Les premiers résultats sont attendus cette année, et l'objectif à terme est d'identifier les variétés définitivement peu sensibles.
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Biologie et méthodes de lutte
Les moyens de lutte contre l'oïdium sur melon ne manquent pas. Ce dossier fait le point sur ces moyens : lutte chimique, génétique ou biologique. La lutte biologique contre l'oïdium s'est développée essentiellement sur concombre. Aujourd'hui, le développement récent d'un produit à base d'extraits de plante de renouée de Sakhaline pour lutter contre S. fuliginea sur concombre sous serre est encourageant. Restent les problèmes de la diversité de la sensibilité des oïdiums et de la variabilité de ce champignon.
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Cépages résistants : L'avenir pour lutter contre mildiou et oïdium ?
Frédérique ROSE, AuteurLe mildiou et l'oïdium sont deux maladies majeures en viticulture. 80 % de la protection phytosanitaire vise d'ailleurs à les traiter. Dans ce contexte, la sélection variétale semble pouvoir apporter des solutions, via l'identification de variétés résistantes. Toutefois, si de nouvelles variétés permettent des résultats encourageants dans la lutte contre ces deux maladies (réduction de 96 % de l'indice de fréquence de traitement dans le cadre du projet Resvinbio de l'Inra de Bordeaux), d'autres questions se posent : quelle qualité de vin ces vignes permettront-elles d'obtenir ? Ces cépages seront-ils adaptés à tous les terroirs ? Comment éviter le contournement des gènes de résistance ? Des variétés résistantes ont été développées, mais leurs inscriptions au catalogue officiel ne seront effectives qu'à partir de 2018 pour les premières d'entre elles.
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Cépages résistants aux maladies
Pour lutter plus efficacement contre le mildiou et l'oïdium, des hybrides interspécifiques ont été créés. Plusieurs expériences ont été réalisées pour ne pas perdre la qualité des vins par exemple. Un récapitulatif, sous forme de tableau, est présenté pour donner les caractéristiques de plusieurs cépages. Une liste bibliographique permet d'avoir plus d'informations.