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Documents disponibles dans cette catégorie (222)


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BasIC Bas Intrant Cuivre : Réussir sa lutte contre le mildiou avec peu de cuivre
Eric NARRO, Auteur ; Anaïs BERNEAU, Auteur ; Martin ROCOUR, Auteur ; ET AL., Auteur | PARIS (40 Rue de Malte, 75 011, FRANCE) : FNAB (Fédération Nationale d'Agriculture Biologique) | 2022En agriculture biologique, le cuivre est la seule substance homologuée et efficace pour lutter contre le mildiou. Cependant, le cuivre peut saccumuler dans le sol et avoir des effets indésirables. Ainsi, cette brochure a été conçue pour aider les vignerons à faire face au mildiou de façon efficace, tout en minimisant les quantités de cuivre utilisées. Ce document commence par rappeler les périodes durant lesquelles il est recommandé de traiter (la date et le nombre de traitements sont à ajuster en fonction de la météo pluviométrie -, du stade physiologique de la vigne et de la pression en mildiou). Il indique ensuite les doses préconisées de cuivre métal en fonction du stade physiologique de la vigne et de la pression en mildiou, avant de schématiser une proposition de planning de traitement. Des informations sur les préparations à base de plantes (ortie, prêle, saule, ail, pissenlit, reine des prés) aidant à lutter contre cette maladie sont aussi apportées. Un focus est ensuite réalisé sur la prophylaxie car, au-delà du traitement en lui-même, la gestion du mildiou sopère par des actions préventives tout au long du cycle de la vigne (ébourgeonnage, rognage, palissage, effeuillage, taille, travail du sol, etc). Ce document explique également quoi faire si un producteur bio sest fait dépasser par le mildiou (utilisation de produits phytosanitaires et recours à des actions physiques sur la vigne) et donne des repères pour bien régler son pulvérisateur. Cette brochure a été réalisée dans le cadre du projet BasIC (Bas Intrant Cuivre), piloté par la FNAB et financé par le plan Ecophyto II.
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Pesticide Atlas: Facts and figures about toxic chemicals in agriculture : 2022
Johanna BÄR, Auteur ; Ulricke BICKEL, Auteur ; Silke BOLLMOHR, Auteur ; ET AL., Auteur | BERLIN (Schumannstr. 8, 10 117, GERMANY) : HEINRICH BÖLL STIFTUNG | 2022L'Union Européenne (UE) représente l'un des plus grands marchés de pesticides : près d'un quart des pesticides commercialisés dans le monde sont vendus dans l'Union Européenne. C'est également la première région exportatrice de pesticides. Elle vend dailleurs de plus en plus de pesticides aux pays du Sud (dans lesquels les pesticides interdits dans l'UE peuvent encore être exportés). Cet Atlas des pesticides, réalisé par la coordination européenne des Amis de la Terre, fournit des informations, des chiffres et des graphiques pour encourager un débat sur lutilisation des pesticides de synthèse pour la protection des végétaux au sein de lUnion Européenne. Après avoir décrit lutilisation et le marché des pesticides, ce document revient sur le processus d'approbation des pesticides par lUE (avant leur mise en marché) et explique que les risques sont bien souvent sous-estimés. En sappuyant sur des recherches scientifiques, il met également en lumière l'impact des pesticides sur les sols, les eaux, la biodiversité et la santé. Cet Atlas met aussi en avant des modèles alternatifs, (dont lagriculture biologique), où les méthodes préventives et la lutte intégrée sont privilégiées, et où les substances de synthèse ne sont qu'une option de dernier recours.
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Des plantes à tanins, un petit plus pour la gestion du parasitisme
Anaïs KERNALEGUEN, AuteurLes éleveurs du Cédapa se sont interrogés sur les alternatives aux traitements antiparasitaires chez les bovins lait. Pauline Woehrle, conseillère bio chez Eilyps, a présenté des méthodes préventives. Plusieurs leviers peuvent être actionnés pour diminuer lutilisation de produits antiparasitaires : sortir les génisses au pâturage dès leur première année pour développer leur immunité antiparasitaire, bien gérer le pâturage (ex : ne pas faire pâturer des génisses après des animaux plus âgés), sélectionner ses animaux sur des critères de résistance et de résilience face aux parasites, apporter des compléments alimentaires (minéraux, vitamines, tanins ). Chez les ruminants, certains tanins agissent sur les ufs des vers gastro-intestinaux (moindre développement des larves) et sur la fertilité des vers femelles. Dans les végétaux, les tanins sont présents en concentration plus importante à des stades physiologiques avancés, notamment dans les boutons floraux et dans les feuilles sénescentes. Ils sont présents dans des plantes ligneuses (noisetier, chêne, châtaignier ) et dans certaines plantes fourragères (sainfoin, luzerne lupuline, plantain ). Il faut éduquer les animaux pour quils les mangent : un apprentissage alimentaire est nécessaire dès le plus jeune âge. Il est possible dimplanter des bandes de plantes fourragères riches en tanins dans les paddocks et dimplanter des vivaces (framboisier, thym ) le long des chemins daccès.
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Arboriculture : Pratiques remarquables du Réseau DEPHY
Cette fiche décrit une combinaison de pratiques mises en place par Claude Vaudaine, un arboriculteur bio basé en Isère et membre du Réseau DEPHY, pour réguler lhoplocampe du pommier en AB. Depuis 2017, cet arboriculteur a recours au piégeage massif pour diminuer le nombre dinsectes adultes au moment de la floraison. Il applique également une macération dail répulsive pour tenir les hoplocampes adultes à lécart du verger. Il lutte également contre les larves dhoplocampe en introduisant des poules dans son verger. Ces dernières grattent le sol et se nourrissent de larves. Il applique aussi des nématodes entomopathogènes sur le sol, qui participent à diminuer les larves dans le sol. Claude Vaudaine espère ainsi : 1 - réduire la pression dhoplocampes ; 2 - ne pas dépasser 10 % de fruits touchés au moment de léclaircissage des pommes ; 3 - limiter le niveau de pression pour lannée suivante. Les schémas de protection, les avantages et les limites de ces différentes pratiques sont présentés. Ces dernières aident également à lutter contre le carpocapse (effet secondaire).
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Lutter contre le parasitisme
A. T., AuteurLe 21 septembre 2021, une conférence sur la gestion du parasitisme en élevage caprin a été organisée à loccasion du salon Tech&Bio. Cette conférence a notamment porté sur lintérêt du sainfoin en cure pour les chèvres laitières. Cette légumineuse, qui contient des tanins condensés qui ont un effet antiparasitaire, a fait lobjet dessais dans le cadre du projet Casdar Fastoche (projet piloté par lIdele et qui avait pour but de tester et de développer le pâturage de plantes riches en métabolites secondaires bioactifs). Les premiers résultats sont jugés « intéressants » sur la partie zootechnique et « optimistes » pour la partie parasitisme. Le sainfoin présente lavantage dêtre adapté aux conditions séchantes et de rester appétent à un stade avancé. Il est également possible dopter pour dautres plantes riches en tanins, comme la chicorée ou le plantain.
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Des plantes pour prévenir les mammites
Alizée JUANCHICH, AuteurLinstitut de recherche Inrae, la coopérative Sodiaal et le laboratoire spécialiste des biosolutions Biodevas ont débuté le projet Néolac, en 2021. Ce projet est doté dun budget de 2,5 millions deuros sur quatre ans, et a pour ambition de diminuer de 30 à 50 % lutilisation dintrants chimiques pour le traitement des mammites. Le but étant de lutter contre lantibiorésistance. Des essais vont être menés dans une centaine de fermes laitières volontaires, afin de valider scientifiquement lefficacité de solutions naturelles à base dextraits de plantes pour la prévention des mammites. Les solutions proposées par Biodevas présentent lavantage dêtre simples dutilisation : elles sont à incorporer dans lalimentation des vaches laitières, ce qui prend peu de temps aux agriculteurs.
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Produire de lendive : Des solutions pour une culture à risque
Christine RIVRY-FOURNIER, AuteurLendive fait partie des légumes les plus consommés en France. Cette culture très spécialisée peine à se développer en bio car le défi est double : il faut réussir à produire des racines saines, puis à maîtriser la phase de forçage. Elle nécessite également des installations dédiées et beaucoup de main duvre. Au champ, les racines poussent davril-mai à lautomne. Les racines sont ensuite récoltées, puis stockées au froid pour être mises en forçage au fur et à mesure des besoins. En agriculture biologique, la phase de forçage est possible, à condition quelle soit réalisée à leau claire, sans solution nutritive. Durant cette phase, le producteur peut juste jouer sur la température, lhygrométrie et la ventilation. Il est donc primordial davoir des racines saines, indemnes de sclérotinia, car les quelques produits autorisés en bio pour lutter contre cette maladie lors du forçage, ne sont efficaces quà 70 %, voire moins. Pour obtenir des racines saines, il est nécessaire de mettre en place des rotations longues et d'implanter la culture sur des parcelles pauvres en azote. En parallèle de cet article, un encart est consacré au témoignage de Pierre Jamet, producteur dendives bio en Isère.
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Retour sur létat des lieux sur les strongles digestifs en élevage caprin pâturant en Auvergne-Rhône-Alpes
Dans le cadre du programme de recherche ParCap AuRA (programme dédié au parasitisme chez les caprins, porté par Cap'Pradel et piloté par lInstitut de lÉlevage), une enquête a été menée auprès de 198 éleveurs caprins, majoritairement situés en Auvergne-Rhône-Alpes, afin détablir des références sur leurs pratiques de pâturage et sur leur gestion des strongles gastro-intestinaux. Des systèmes pâturants divers, avec différentes visions du parasitisme ont été enquêtés. Globalement, les éleveurs utilisent en moyenne 1,4 traitement/an. Pour la majorité dentre eux, le pâturage est perçu comme un levier important dans la gestion du parasitisme. Toutefois, la conduite du pâturage et le suivi des préconisations en matière de traitements antiparasitaires varient selon les élevages. Ces enquêtes ont également fait ressortir le fait quil est essentiel dadapter les conseils au contexte des exploitations (parcellaire dispersé, humide, pentu, type de prairie ) et de mieux prendre en compte la question du temps de travail. Elles ont également mis en avant des points sur lesquels certains éleveurs manquent dinformations : lecture des résultats de coprologies, temps de rupture de pâturage
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Savoir-faire : Comment protéger ses aubergines ?
Manu BUÉ, AuteurParmi les légumes ratatouille, laubergine est la culture la plus compliquée à protéger. Cest, en effet, "la plante qui attrape tout" : acariens, pucerons, doryphores, thrips, punaises Il est donc important de mettre en uvre des mesures préventives, telles que la gestion des adventices sous abris (certaines adventices, comme le séneçon, sont réputées pour être lhôte de ravageurs), la mise en place de panneaux jaunes englués pour détecter précocement les vols de pucerons et daleurodes, linstallation de filets aux entrées pour maintenir les gros ravageurs (comme les doryphores) à lextérieur, lutilisation de plants sains Il est aussi important de maintenir la culture dans des conditions optimales : il ne faut pas planter les aubergines trop tôt pour éviter les nuits fraîches. Il est également nécessaire de surveiller la température, ainsi que lhygrométrie, notamment en contrôlant lirrigation, pour limiter le développement des principaux ravageurs (acariens, pucerons ). Cet article est accompagné de deux tableaux qui listent les auxiliaires permettant de lutter contre les différents ravageurs de laubergine, ainsi que dun zoom sur la gestion des acariens.
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Tuta Absoluta : Lennemi public n°1 des tomates
Lucie DROGOU, AuteurTuta absoluta, également connue sous le nom de mineuse de la tomate, peut provoquer dimportants dégâts sur les solanacées (tomate, aubergine, pomme de terre, poivron ). Les larves creusent des galeries dans les feuilles, perforent les fruits (ce qui engendre un déclassement immédiat) et peuvent même atteindre les tiges en cas de forte attaque. Pour lutter contre ce ravageur, la prévention par piégeage (piège delta) ou la surveillance par des observations sont de bons leviers à mobiliser. En culture sous abris, il est possible de recourir à la confusion sexuelle (Isonet T3), afin de saturer latmosphère en phéromones et, ainsi, d'éviter les accouplements et lapparition de larves. La mise en place de mesures prophylactiques sur la culture et sur les abords des parcelles est également essentielle : éliminer les premières feuilles touchées, retirer les fruits « juste piqués », éliminer les plantes hôtes Il est également possible de favoriser les insectes auxiliaires, tels que des punaises prédatrices (Macrolophus pygmaeus qui est favorisée par la présence de soucis). Enfin, en dernier recours, il est possible dutiliser des méthodes curatives (Bacillus thuringiensis, Success4 ).
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Verger protégé monoparcelle : Filets et bâches pour contrôler D. Suzukii et réduire léclatement des fruits et le monilia
Amandine BOUBENNEC, Auteur ; Alyson FAUST, AuteurLes attaques de ravageurs difficiles à maîtriser et les épisodes de pluie plus fréquents rendent la production de cerises incertaine. Depuis 2009, le centre CTIFL de Balandran étudie lefficacité dune protection monoparcelle « insect-proof », associée à des bâches anti-pluie, dans le but de protéger les fruits des mouches de la cerise (Drosophila suzukii), de réduire léclatement des cerises et de protéger les fruits du Monilia. Les filets « insect-proof » englobent totalement la parcelle (parois et toit) et restent en place tout au long de lannée. Les bâches anti-pluie sont déployées avant la floraison et sont repliées juste après la récolte. Cette combinaison de leviers a permis une bonne protection contre Drosophila suzukii et contre léclatement. En revanche, la protection contre le Monilia reste à préciser. Cette méthode de protection a également créé un microclimat (modification de la température et de lhumidité) et a augmenté, chaque année, le pourcentage de fruits doubles. Par ailleurs, ce système pourrait permettre dintroduire de la lutte biologique dans ces vergers pour contrôler dautres ravageurs tels que le puceron noir.
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Agriculture biologique : Fiches thématiques : Le pêcher en AB
Ce guide régional, réalisé par les Chambres dagriculture dAuvergne-Rhône-Alpes, a été conçu afin daider les producteurs à conduire leurs vergers de pêchers dans le respect du cahier des charges AB. Il sarticule en quatre parties : 1 des conseils sur le choix des variétés et du porte-greffe (un calendrier permet de visualiser la période de maturité de différentes variétés, sachant que les variétés tardives sont à éviter en bio en raison des risques exercés par la tordeuse orientale et les monilioses qui s'accroissent à partir de la mi-août) ; 2 des focus sur les principaux bioagresseurs : cloque du pêcher, pucerons, tordeuse orientale (symptômes, cycle de développement, moyens de lutte ) ; 3 des fiches sur certains auxiliaires : coccinelles, syrphes, chrysopes (avec des informations pour pouvoir les reconnaître et pour les favoriser à laide de bandes fleuries) ; 4 un canevas de protection du pêcher en AB (un tableau de synthèse récapitule tous les stades et seuils critiques, ainsi que les mesures prophylactiques, les stratégies de lutte et les seuils dintervention associés).
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Agriculture biologique : Fiches thématiques : Protection phytosanitaire : Fruits à pépins 2020
Ce guide régional, réalisé par les Chambres dagriculture dAuvergne-Rhône-Alpes, a été conçu afin daider les producteurs à conduire leurs vergers de pommiers et de poiriers (et autres fruits à pépins) dans le respect du cahier des charges AB. Il sarticule en huit parties : 1 un calendrier des observations (il récapitule, sous la forme dun schéma, toutes les observations, les piégeages, les comptages, les protections phytosanitaires à réaliser sur les vergers) ; 2 des fiches sur les principaux bioagresseurs : tavelure des fruits à pépins, pucerons du pommier, carpocapse et anthonome du pommier ; 3 des fiches sur certains auxiliaires : coccinelles, syrphes, chrysopes, forficules, typhlodromes, anthocorides et aphelinus mali ; 4 une fiche sur les bandes fleuries (pour favoriser la présence des auxiliaires cités précédemment) ; 5 une fiche sur les différentes méthodes déclaircissage utilisables en bio ; 6 - un canevas de protection du pommier en bio (un tableau de synthèse récapitule tous les stades et seuils critiques, avec les stratégies de lutte associées, les seuils dintervention et les mesures prophylactiques possibles) ; 7 un canevas de protection du poirier en bio (également sous la forme dun tableau de synthèse) ; 8 - une fiche sur le cuivre (réglementation et caractéristiques des différentes formes de cuivre).
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Les Côteaux Nantais engagés en biodynamie
Véronique BARGAIN, AuteurLes Côteaux Nantais ont été créés en 1943, par Jacques Moreau et René Delhommeau. Ils occupaient alors deux hectares. Maintenant, ils regroupent 103 ha de vergers, une station fruitière et une unité de transformation. Ils produisent, en moyenne, 1 500 à 2 000 tonnes de pommes par an, 400 t/an de poires, ainsi que des prunes, des pêches, des kiwis, des coings, des fraises, de la rhubarbe le tout en biodynamie. Lexploitation a connu une première évolution en 1970 en sengageant dans la bio, puis elle est passée en biodynamie en 1995. Cette méthode de production (méthode Rudolf Steiner) repose principalement sur lobservation : chaque arbre est observé au moins deux fois par semaine. Deux pleins-temps sont dailleurs dédiés aux observations. Un autre point essentiel est la pulvérisation de préparations pour stimuler la vie du sol et les plantes. Toutes ces préparations sont dynamisées et appliquées en fonction du calendrier lunaire.
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Dégâts sur fraises : Des pistes contre Drosophila suzukii
Marion COISNE, AuteurEn Pays de la Loire, face au manque de solutions pour lutter contre Drosophila suzukii en culture de fraisiers, le CDDL (comité départementale de développement légumier) a étudié plus amplement les caractéristiques de ce ravageur afin de mieux le gérer (projet Reproleg 2017-2019). Les moyens de lutte apparus comme les plus intéressants sont la prophylaxie et les filets, mais ces derniers favorisent dautres ravageurs (pucerons, thrips et acariens) et maladies (botrytis) car ils limitent la ventilation. La prophylaxie repose principalement sur laugmentation de la distance entre les plants de fraisiers, le retrait des vrilles et des feuilles en sénescence, lévacuation des déchets en dehors de la parcelle et une récolte au moins tous les deux jours. Des plantes de services ont également été testées (menthe poivrée, ail et coriandre), mais elles nont pas montré de résultats concluants. Des lâchers dauxiliaires (Trichopria drosophilae) ont aussi été effectués, mais il est difficile de conclure sur leur efficacité (ils ont probablement été affectés par un traitement destiné à lutter contre les thrips). Cet article est complété par deux encarts. Lun deux rapporte le témoignage de Sandra et de Matthieu Gilbert, deux maraîchers bio vendéens qui ont été touchés par ce ravageur. Par ailleurs, un autre encart est dédié à la recherche de parasitoïdes pour lutter contre les pucerons des fraisiers. Sur le terrain, il semble que les parasitoïdes naturellement présents soient plus efficaces contre les pucerons que les parasitoïdes d'élevage.