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Dossier : Le grand retour des légumineuses
Bernard GRIFFOUL, AuteurDe plus en plus d'éleveurs, notamment ovins, cherchent à accroître leur autonomie alimentaire, en particulier en protéines. Les légumineuses peuvent répondre à ce besoin et leur culture progresse dans les élevages. Ce dossier fait le point sur les avantages, mais aussi sur certains points d'alerte relatifs à deux légumineuses, la luzerne et le trèfle violet. Ces deux espèces peuvent répondre aux besoins de tous les animaux, même ceux aux besoins importants, amenant à une réduction sensible de la consommation de compléments. Pâturés ou consommés sous forme de foin ou d'enrubanné, luzerne et trèfle violet permettent une bonne production laitière ou encore d'aider à finir les agneaux tout en allégeant les coûts. Néanmoins, la luzerne demande certaines précautions pour s'assurer une bonne récolte et donc une bonne qualité de fourrage. Comme le montre un des deux témoignages d'éleveurs repris ici, l'utilisation du séchage en grange peut présenter des atouts intéressants. Ainsi, la luzerne, récoltée alors qu'elle n'est pas totalement sèche, garde mieux ses feuilles. De plus, cet éleveur peut faire jusqu'à cinq coupes sur ses luzernières, tous les 28 jours, pour obtenir un foin avec des tiges fines, d'où une meilleure consommation par la suite. Le second témoignage présente le cas d'un élevage ovin où le trèfle violet est privilégié, mais où le recours au foin de luzerne permet de pallier les périodes déficitaires de fin d'été.
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Luzerne enrubannée en complément du blé pour l'engraissement des jeunes bovins
Alain GUILLAUME, Auteur ; Daniel LE PICHON, Auteur ; Didier BASTIEN, Auteur | PARIS CEDEX 12 (Secrétariat 3R - MNE, 149 Rue de Bercy, 75 595, FRANCE) : RENCONTRES RECHERCHES RUMINANTS | 2014Ce texte est issu des Journées 3R (Rencontres Recherches Ruminants) de 2014 (Thème : Autonomie alimentaire). L'autonomie protéique est un enjeu de la pérennité des élevages bovins viande en production de jeunes bovins. Trois essais ont été réalisés en Bretagne, qui ont permis d'évaluer l'intérêt de l'apport de luzerne enrubannée comme seul complément azoté dans une ration à base de blé. Pour les races Limousine et Charolaise, les rations avec luzerne ou soja sont comparées grâce aux critères techniques classiques tels que le Gain moyen quotidien, le poids vif en fin d'engraissement, les critères de qualité de carcasse, la consommation journalière d'aliments, ainsi que leurs caractéristiques nutritionnelles. Les résultats montrent que les performances d'engraissement issues des rations à base de luzerne et de tourteau de soja sont comparables, avec des caractéristiques de carcasses identiques.
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Valorisation de l'herbe par des truies plein-air
Stefan JURJANZ, Auteur ; Antoine ROINSARD, AuteurEn élevage biologique, les truies sont généralement logées en plein-air. Ainsi, elles ont accès à l'herbe semée comme ressource fourragère. Même si cette ressource est consommée dans des proportions non-négligeables, une partie reste non-valorisée. Ainsi, la ferme expérimentale des Trinottières a mené des essais sur la valorisation de ce fourrage par les élevages porcins, et ce, afin de répondre à deux questions : - Quelle est la capacité d'ingestion d'herbe des truies en lactation ? ; - Quelle est la valorisation de l'enrubannage d'herbe par des truies en gestation ? Les résultats de ces essais sont présentés dans cet article. L'ingestion d'herbe est relativement variable en fonction de la qualité du couvert, ce qui implique de maintenir un couvert de qualité suffisante pour limiter l'ingestion de sol, qui peut contenir certains polluants. Concernant la valorisation de l'herbe en enrubannage par des truies, cela est possible à hauteur de 10 % en remplacement de l'aliment complet et sans pénaliser les performances et le bien-être animal.
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Viser l'autonomie alimentaire en engraissement de jeunes bovins par l'introduction d'enrubannage d'herbe de qualité
Alexis FERARD, Auteur ; Matthieu COUFFIGNAL, Auteur ; Yannick CAREL, Auteur ; ET AL., Auteur | PARIS CEDEX 12 (Secrétariat 3R - MNE, 149 Rue de Bercy, 75 595, FRANCE) : RENCONTRES RECHERCHES RUMINANTS | 2014Ce texte est issu des Journées 3R (Rencontres Recherches Ruminants) de 2014 (Thème : Autonomie Alimentaire). La plupart des rations de jeunes bovins sont basées sur l'ensilage de maïs ou des rations sèches à base de céréales. Dans une perspective d'autonomie alimentaire, l'introduction d'herbe enrubannée dans des rations sèches ou à base de maïs ensilage a été testée dans les stations expérimentales de la Jaillère (Loire-Atlantique) et des Bordes (Indre). Les impacts zootechniques et économiques de l'introduction de 24 à 42 % d'enrubannage dans les rations ont été évalués pour les conjonctures 2010/2011 et 2012/2013. Les auteurs concluent que l'introduction d'enrubannage dans les rations maïs permet une économie de 90 à 180 kg de tourteau par jeune bovin, mais également une économie de blé dans le cas des rations sèches, tout en maintenant le niveau de rémunération des éleveurs.
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Le point technique élevage : Pratiques alimentaires en allaitantes : Gérer ses objectifs et ses contraintes
Madeg JOIN-LAMBERT, AuteurLa production de viande bovine par les éleveurs allaitants, en élevage biologique, nécessite de nourrir les animaux au plus près de leurs besoins, mais aussi très souvent en travaillant sur le coût des rations. Au sein des éleveurs allaitants bio, différentes pratiques coexistent. Elles sont directement liées à leurs objectifs et aux contraintes des fermes. Quatre éleveurs allaitants du Morbihan ont été interrogés : Denis Lucas (Muzillac (56), zone séchante) et Fabien Tigeot (Bohal (56), zone séchante) ont fait le choix de faire de la vente directe de veaux sous la mère en élevant des vaches limousines ; Bernard Mounier (Pluméliau (56), zone intermédiaire) et Daniel Bronsard (Loyat (56), zone séchante) vendent les mâles en broutards qui ne peuvent généralement pas être valorisés en filière biologique. Présentation de leurs pratiques d'élevage : Conduite au pâturage et choix de vêlage ; La finition des animaux à l'herbe ; Du foin et de l'enrubannage au bâtiment ; Ensilage ou enrubannage de méteil ; La finition au bâtiment. Un tableau présente les avantages et les inconvénients de la vente de veaux sous la mère, de broutards, de bufs.
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Récolter l'herbe au meilleur stade
François LERAY, AuteurKees Zuurbier est éleveur de vaches laitières, dans les Côtes-d'Armor. La gestion de ses prairies est axée sur la recherche de qualité et non pas de quantité. Pour cela, il se concentre sur deux points de vigilance : ne jamais récolter plus de 2,5 à 3,5 t MS/ha par coupe et viser 40 à 45 % de matière sèche pour l'ensilage et l'enrubannage, taux favorable à une bonne fermentation lactique. L'objectif est d'atteindre ce taux de matière sèche le plus vite possible au champ pour éviter que l'herbe perde de sa valeur. Les rendements annuels sont estimés à 7 tMS/ha en pâturage et à 11 tMS/ha en fauche. Pendant l'hiver, il ouvre deux silos de qualités différentes en même temps afin d'équilibrer la ration de ses vaches laitières. En encart, Jean-Pierre Guernion, lui aussi éleveur, apporte son regard sur la gestion des fourrages de Kees Zuurbier.
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L'évolution technologique du matériel de récolte au service de la qualité du fourrage prairial conservé
S. LANG, Auteur ; JM. CHRIST, Auteur ; A. BORNERT, AuteurDans FOURRAGES (N° 206 - Récolte et valorisation des fourrages conservés (II) Juin 2011) / p. 143-151 (9)Depuis les années 80, les constructeurs de machines de récolte du fourrage ont mis les nouvelles technologies au service de la qualité du fourrage. Les moyens mis en oeuvre pour préserver cette qualité aux diverses étapes de la récolte (fauche, fanage, andainage, pressage, enrubannage) sont précisés dans l'article. Au-delà de l'intervention au bon stade de récolte des plantes herbagères, l'enjeu principal est de réduire le temps entre fauche et stockage. Pour ce faire, l'innovation s'est concentrée sur des machines accroissant le débit de chantier et sur des techniques qui accélèrent le séchage du fourrage au champ. La notion de préservation du fourrage se décline déjà au champ : les pertes mécaniques, effeuillage et brisure, sont évitées par du matériel qui intervient en douceur. Les nombreuses possibilités de réglages du matériel, souvent insuffisamment valorisées par les agriculteurs, permettent d'adapter chaque étape aux conditions de la parcelle comme aux conditions météorologiques.
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De la fauche au stockage : évaluer le coût d'une chaîne de récolte de l'herbe
P. LEPEE, AuteurDans FOURRAGES (N° 206 - Récolte et valorisation des fourrages conservés (II) Juin 2011) / p. 137-141 (5)Pour réduire les coûts de production ou avant d'investir dans des équipements de récolte, il est nécessaire de pouvoir évaluer les coûts de récolte des fourrages des différents types de chantier. Les données recueillies dans la Creuse fournissent des éléments de réflexion intéressants. Plusieurs chaînes de récolte de l'herbe sont décrites et comparées : l'ensilage avec automotrice ou autochargeuse et l'enrubannage monoballe ou en boudin (pour les fauches précoces), ainsi que le foin en balles rondes. L'agriculteur choisit en fonction des rations et des besoins en fourrage du troupeau, de la main d'oeuvre et des matériels disponibles sur l'exploitation et du système de distribution. Le coût, de la fauche au stockage, varie suivant la chaîne de récolte, son prix d'achat, le nombre d'interventions pour arriver au stockage, le volume d'activité pour amortir le matériel. Les coûts varient de moins de 200 /ha (foin et ensilage en coupe fine) à 250 /ha (enrubannage). L'évaluation du coût du chantier est intéressante pour comparer les chaînes entre elles et pour évaluer le prix de revient d'une ration.
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Produire du lait bio en Bretagne
Denis ALAMOME, Auteur ; Guilbot TIPHAINE, Auteur ; Guillaume MICHEL, Auteur ; ET AL., Auteur | CESSON-SEVIGNÉ (FRAB, 12 Avenue des Peupliers, 35 510, FRANCE) : RÉSEAU GAB-FRAB BRETAGNE | 2011
Ce guide, qui témoigne de la diversité des élevages laitiers bio en Bretagne notamment à travers les expériences d'éleveurs, est organisé comme suit : - Changer de système : la conversion à la bio ; - Une grande diversité de systèmes bovins lait biologiques dans le grand Ouest... mais des fondamentaux à ne pas occulter ; - L'herbe pâturée, pilier du système fourrager ; - L'enrubannage, l'ensilage et la luzerne ; - Les autres fourrages stockés ; - Les concentrés produits sur les élevages bio ; - Santé animale : observer, prévenir, traiter ; - Les six premiers mois de la génisse, une période primordiale ; - Quelle vache laitière pour quel système ? ; - Agronomie, assolement et rotation ; - Fertilisation et gestion de la matière organique ; - Quelques repères technico-économiques ; - La commercialisation du lait bio.
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Bovins viande : Cultiver davantage d'autonomie
Carole HIET, AuteurLa récente flambée des prix des céréales pose la question de l'autonomie alimentaire en élevage allaitant. Cet article donne des pistes à suivre pour valoriser au maximum l'herbe, qui reste l'aliment le plus économique. Les exploitations prises en exemple ne sont pas bio, mais les grands principes proposés sont transposables aux systèmes bio. Afin de bien gérer le pâturage, Arvalis-Institut du Végétal propose des formations à la méthode Herbo-LIS. Cet outil permet de calculer les surfaces nécessaires au pâturage et à la fauche, puis de les faire évoluer par le calcul des jours d'avance (obtenus, à partir d'une parcelle, par calcul de la moyenne des hauteurs d'herbe qui est à convertir en kg de matière sèche et à multiplier par la densité et la surface totale ; résultat qui est ensuite divisé par les besoins journaliers des animaux). Un éleveur de bovins viande, Emmanuel Bregeras, à Le Vigen (Haute-Vienne), estime que l'utilisation de cette méthode lui a fait gagner 27 tonnes de fourrage. Par ailleurs, les charges d'alimentation peuvent être réduites en distribuant des concentrés fermiers. Si la production de céréales est intéressante, la culture des protéagineux est délicate (rendements très variables). Le choix des compléments doit toujours être raisonné en fonction de l'équilibre de la ration, et des propriétés des aliments (les céréales riches en fibres peuvent entraîner des troubles de digestion chez des jeunes bovins ; au contraire, le pois, acidogène, nécessite un apport de fibres). Enfin, les animaux n'ont pas besoin de la même complémentation à longueur d'année. Les apports peuvent être réduits pendant certaines périodes (notamment autour du vêlage). Jean-Marc Chamignon, éleveur de charolaises, à Neure (Allier), alimente son troupeau avec ce qui pousse sur son exploitation (valorisation de l'herbe au printemps, enrubannage des prairies les plus jeunes en mai...) et, suivant les années, revoit ses rations en augmentant la proportion de céréales ou de pulpes.
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Dossier : La luzerne, reine des fourragères
Sophie BOURGEOIS, Auteur ; François D'ALTEROCHE, Auteur ; Cyrielle DELISLE, AuteurCulture fourragère possédant de nombreux atouts agronomiques, alimentaires et environnementaux, l'implantation de luzerne peut, en 2010, faire l'objet d'une aide PAC. Ce dossier présente les éléments nécessaires à sa conduite. La luzerne fait l'objet d'une sélection génétique assez ancienne. Elle permet de sélectionner la variété sur divers critères : type de dormance par rapport à la zone de production, pérennité, résistance aux maladies et à la verse, richesse en protéines. Concernant le sol, un terrain très drainant et bien fissuré et un pH de 6,2 minimum sont favorables à une implantation réussie. Deux périodes de semis sont possibles : printemps et fin de l'été. La luzerne est une culture technique et le choix du mode de récolte et de stockage dépend des conditions pédo-climatiques et du choix entre autonomie en fibres (foin), en azote ou en protéines (ensilage). Une récolte réussie nécessite une observation fine de l'évolution de la plante et de la météo et peut être facilitée par l'utilisation du matériel approprié. Deux exemples d'exploitations agricoles cultivant de la luzerne viennent illustrer le rôle de cette légumineuse dans la ration et l'autonomie alimentaire de l'exploitation.
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Des fourrages de qualité pour plus d'autonomie
Carole HIET, AuteurDaniel Brisard, éleveur ovin biologique dans l'Orne sur 110 ha, mise sur des fourrages de qualité, enrubannés, comme alimentation principale pour ses 480 brebis. Les fourrages sont enrubannés à 60-70 % de matière sèche, soit environ 300 tonnes de matière sèche de fourrage (1150 à 1250 balles d'enrubannage). Il cultive des légumineuses comme source de protéines et des mélanges d'avoine et de pois. Le fumier des brebis est composté et épandu. Il fauche 35 tonnes de foin. Récolter au bon stade est primordial pour garantir la qualité du fourrage. Il a fait le choix d'investir dans le matériel de fenaison pour être autonome et vient d'acheter une enrubanneuse à moteur lui permettant de gagner du temps. Le stockage des bottes se fait à l'extérieur. Les brebis pâturent du 15 avril au 15 octobre sur 25 ha de prairies permanentes. L'hiver, il fait varier les fourrages selon leur appétence et leur qualité. Seuls les agneaux sont engraissés avec un mélange de céréales, deux à trois mois avant l'abattage. Les agneaux sont vendus entre 16 et 22 kg à Unebio. L'enrubannage qui représente un surcoût à la récolte permet une économie importante par l'absence d'achat de concentré. Son système lui permet d'être autonome, de distribuer un fourrage de qualité à ses brebis malgré un temps de travail important.
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La luzerne : Une légumineuse toujours verte
Mathieu CAREIL, AuteurLa luzerne est la plante fourragère la plus répandue dans le monde. Excellente en tête de rotation, elle nettoie et décompacte le terrain et apporte de l'azote au sol et des protéines aux animaux. Afin de la favoriser, il faut l'implanter sur des sols qui se ressuient bien, et ayant un pH supérieur à 5.5. Pour assurer sa pérennité, il est important de la laisser fleurir au moins une fois par an, d'alterner la fauche et la pâture, de la récolter en fin de montaison et au stade boutons, ainsi que de ne pas la couper trop bas. Différents modes d'exploitations sont envisageables (pâturage, foin, affouragement en vert, ensilage, enrubannage), mais avec pour chacun d'eux, un prix et des contraintes différentes. Un éleveur de vaches laitières bio, situé à Saint Mesmin (85), témoigne sur l'utilisation de la luzerne sur son exploitation.
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Le coût d'une chaîne de fourrage
Guillaume DUMONET, AuteurDans les conditions de la Côte-d'Or, le foin revient moins cher que l'enrubannage, si on considère l'hectare récolté. En revanche, à l'UF (valeur nutritionnelle du foin enrubanné), l'enrubannage s'avère un peu plus économique. Dans tous les cas, une chaîne de récolte cohérente et des matériels valorisés sur un grand volume d'activité constituent le levier principal de réduction des coûts. A l'aide de tableaux synthétiques (reprenant les coûts de la fauche, des presses à la balle...), l'article analyse les différents postes d'une chaîne de fourrage (le pressage, la fauche, l'enrubannage, le fanage et l'andainage) et indique que le facteur essentiel qui fait varier le prix est le nombre d'unités réalisées (rentabilité du matériel agricole, achat d'une machine et cohérence de la chaîne de fourrage, organisation du travail en groupe...). Un encart indique les bases de calcul retenues en Côte-d'Or.
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Prairies, fourrages, herbivores. Regards sur 50 ans d'évolution et nouveaux enjeux
C. HUYGHE, Auteur ; A. PFLIMLIN, Auteur ; P. FAVERDIN, Auteur ; ET AL., AuteurCe 200ème numéro de la revue Fourrages revient sur un demi siècle d'histoire des fourrages et des herbivores en France (évolution des cultures et des modalités culturales, évolution de l'élevage bovin). Un article étend la réflexion et traite de leur évolution en Afrique tropicale. Cette rétrospective s'attarde sur la Révolution fourragère des années 50, les progrès génétiques, le machinisme, ainsi que sur les apports de l'approche des systèmes pastoraux à la réflexion sur la gestion des ressources des zones herbagères. Ce numéro 200 s'interroge enfin sur les perspectives pour les cultures fourragères et leurs enjeux dans les prochaines décennies : quel avenir pour les prairies et les cultures fourragères ? Quels enjeux, et quelles pratiques d'enseignement et de formation ? Quelles démarches et outils de conseil ?