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La biodiversité domestique : Vers de nouveaux liens entre élevage, territoires et société
Anne LAUVIE, Coordinateur ; Annick AUDIOT, Coordinateur ; Etienne VERRIER, Coordinateur | VERSAILLES CEDEX (RD 10, 78 026, FRANCE) : ÉDITIONS QUAE | 2023À l’heure où la diversité des populations animales est présentée comme un élément-clé du développement de l’agroécologie, la notion de « biodiversité domestique » devient capitale. Elle se distingue de celle de « ressources génétiques » en mettant davantage en avant la diversité du vivant, sa dynamique et ses interrelations. Cet ouvrage réinterroge la diversité des populations animales utilisées en élevage, ainsi que la place des races locales. La question de la diversité des animaux d’élevage est abordée en tenant compte de la pluralité des pratiques humaines pour la gérer, l’utiliser et la valoriser. Elle est aussi appréhendée au travers de ses relations avec le reste du vivant, la biodiversité sauvage notamment, que ce soit la diversité de la faune et de la flore dans les territoires d’élevage ou les pathogènes présents dans les milieux d’élevage. Ce livre établit aussi un panorama des nouvelles connaissances produites et des méthodologies de gestion (avancées récentes en génétique, nouveaux questionnements autour des services écosystémiques, résilience des systèmes d’élevage). Il propose, pour finir, une vision prospective qui interroge la place de cette biodiversité au regard des grands enjeux actuels (enjeux environnementaux et érosion de la biodiversité, alimentation (souveraineté et qualité), santé globale, développement des territoires, bien-être animal, relations entre humains et animaux, etc.). Des fiches "espèces" présentent des races, pour différentes espèces (ânes, chevaux, bovins, ovins, caprins, porcins, poules, palmipèdes).
Biodynamis Hors-série n° 25 : À l'écoute des abeilles
Thierry BORDAGE, Auteur ; Olivier DUPREZ, Auteur ; Vincent ALBOUY, Auteur ; ET AL., AuteurL'apiculture biodynamique apporte un autre regard sur les abeilles et sur leur élevage et des solutions pour produire du miel de façon alternative. Ce Hors-série de Biodynamis regroupe trois parties : 1) "Ce que nous savons d'elles" : - Vers un renouveau de l'apiculture ; - Dans les yeux des abeilles ; - Au cœur du nid ; - Sur la pistes des abeilles mellifères sauvages ; - Identifier et héberger les abeilles sauvages. 2) "Comment nous créons un lien" : - La fontaine de miel ; - La voie alchimique des abeilles ; - Eurythmie pour l'abeille ; - La danse lemniscatique de l'abeille ; - Contes de la ruche ; - Le Voleur de miel, conte d'Afghanistan (extrait). 3) "Comment nous coopérons" : - La biodynamie, une approche viable et enthousiasmante pour l'apiculture pro ; - L'essaimage ou l'art de se régénérer ; - Réduire la mortalité hivernale ; - Une tisane et au lit ! ; - Acarien contre acarien ; - Fabriquer une ruche-tronc.
Choix variétal : à base de popopopop ?
Maxime RENOU, Auteur ; Manu BUÉ, AuteurLe choix variétal des légumes est un enjeu majeur en maraîchage bio. Deux grandes catégories de variétés existent : populations et hybrides F1. Une variété population est issue d’une sélection massale, c’est-à-dire par reproduction des individus aux caractéristiques recherchées, sur plusieurs générations. Elle est reproductible, stable et reste évolutive. Une variété F1 est issue de l’hybridation de deux variétés pures (autofécondées sur plusieurs générations). Elle est très homogène, mais sa descendance n’aura pas du tout les mêmes caractéristiques, elle n'est donc pas reproductible. Les variétés populations sont choisies pour garantir une autonomie en semences et un patrimoine génétique fort ; les variétés F1 sont choisies pour leurs caractéristiques normalisées, notamment en termes de calibrage ou de résistance à certains pathogènes précis. Trois fermes témoignent de leur stratégie. Le GAEC de la Terre Ferme (44) utilise principalement des variétés population. Des rendements parfois moindres (taux de germination plus faible, étalement de la récolte, etc.) sont observés, mais avec l'avantage d’une autonomie semencière et de la possibilité de créer des variétés plus adaptées au système pédoclimatique et à l’identité culturelle de la ferme. Le GAEC Le Jardin de mon père (44) a mis en place sa propre pépinière de plants, mais continue d’utiliser des F1. A la Ferme du Soleil (44), la gamme variétale est composée à la fois d'hybrides et de populations. Les agriculteurs travaillent aussi l’usage de greffes pour les tomates, par exemple.
Dossiers de la biodynamie : Élevage 2 : Accompagner l'animal tout au long de sa vie
Marion LEBRUN, Auteur ; Martin QUANTIN, Auteur | COLMAR (5 Place de la Gare, 68 000, FRANCE) : MOUVEMENT DE L'AGRICULTURE BIODYNAMIQUE | 2023Dans ce second dossier consacré à l'élevage en biodynamie, Biodynamie Recherche et le Mouvement de l'agriculture biodynamique explorent les liens imbriqués entre les animaux d’élevage, les éleveurs et la société. La première partie de ce dossier s'intéresse à la conduite du troupeau et à la conciliation des besoins de l’éleveur avec ceux des animaux, en respectant leur intégrité, ainsi que leurs besoins comportementaux. Dans une seconde partie, c’est la question de la santé et du bien-être qui est traitée, à travers les pratiques de soins et d’alimentation. La troisième partie est consacrée à la question de la sélection de races adaptées à l’agriculture biodynamique : Comment concilier les impératifs de production avec les spécificités des systèmes de production et du territoire, tout en préservant la biodiversité des races ?
Lignes directrices pour l'élaboration d'un indicateur de biodiversité des habitats agricoles propre à l'OCDE
Ulrike BAYR, Auteur ; Kelly COBOURN, Auteur ; Petra DIEKER, Auteur ; ET AL., Auteur | PARIS CEDEX 16 (2 Rue André Pascal, 75 775, FRANCE) : OCDE | 2023La moitié des terres habitables de la planète étant utilisée pour l’agriculture, la surveillance de la biodiversité des terres agricoles est essentielle pour atteindre les objectifs de la Convention des Nations Unies sur la diversité biologique (CDB). Ce document vise à faire progresser la surveillance de la biodiversité agricole dans les pays de l’OCDE (situés sur tous les continents), en étudiant les initiatives nationales actuelles et en proposant des lignes directrices pour l’élaboration d’un indicateur fondé sur l’habitat. Cet indicateur est important pour la biodiversité car il décrit l’environnement dans lequel vivent divers animaux et plantes, ainsi que les ressources disponibles pour leur survie. L’approche proposée fournit un cadre flexible et pragmatique, ayant pour but d'harmoniser les rapports des programmes nationaux, tout en tenant compte de la diversité des facteurs contextuels d’un pays à l’autre (les systèmes agricoles, le climat, les conditions biophysiques et les pools d’espèces).
Nouvelle-Aquitaine : Travail avec des jardiniers sur les semences potagères
Manon MERCIER, AuteurAu Pays Basque, le CIVAM Bio BLE a créé une maison des semences paysannes, avec des groupes qui se sont structurés, depuis 2018, autour des blés population ou du maïs. L’ambition de la maison des semences d’Iparralde (Pays Basque nord) est aussi de créer une dynamique autour des graines potagères, avec un réseau de jardiniers amateurs. La finalité est de favoriser la biodiversité cultivée et la résilience du territoire.
Potagères : Le choix en variétés bio s’étoffe
Christine RIVRY-FOURNIER, AuteurL’offre en semences biologiques d’espèces potagères continue à monter en puissance. Elle s’est notamment accrue sous l’effet du passage en hors-dérogation (HD) de certaines espèces. Cela signifie, pour ces espèces, que les producteurs bio n’ont plus le droit d’utiliser des semences conventionnelles non traitées après récolte. Ils doivent obligatoirement utiliser des semences bio (sauf dérogations exceptionnelles). L’échéancier des passages en HD a le mérite de fixer des objectifs, ce qui pousse les acteurs de la filière à être proactifs. Sur plus de 150 espèces potagères, une vingtaine sont déjà en HD (un focus est réalisé sur quelques-unes de ces espèces). Néanmoins, malgré une offre bio de plus en plus étoffée et ces passages en HD, le nombre de dérogations en potagères (semences et plants) ne cesse d’augmenter. Ceci s’explique par la croissance des surfaces bio. Ramenées au nombre de producteurs biologiques, les dérogations décroissent. Cependant, les gammes et les disponibilités des semences biologiques restent parfois insuffisantes : rupture de stock suite à un aléa climatique, demandes spécifiques non disponibles en bio (ex : variété résistante ou tolérante à une maladie). Pour certaines espèces, la multiplication en agriculture biologique reste difficile (ex : chou-fleur, mâche, melon, haricot…). Les filières ont également des attentes spécifiques, certaines fois difficiles à concilier avec la multiplication des semences en agriculture biologique. Cet article est complété par plusieurs encarts. L’un d’eux est consacré aux nouvelles variétés de potagères proposées par des semenciers. Un autre récapitule, via un calendrier (du 1er janvier 2022 au 1er janvier 2030), les passages en hors-dérogation des principales espèces de légumes.
Produire et sélectionner ses semences de maïs : Retours d’expériences et étude de quelques modalités pour le paysan-sélectionneur
Geoffroy ESTINGOY, Auteur ; Alexandre TRICHEUR, Auteur ; Laura DUPUY, AuteurLe maïs population fait partie des semences paysannes conservées par la Maison de la Semence Paysanne d’Agrobio Périgord. Un maïs population est reproductible, contrairement, par exemple, aux maïs hybrides F1. Si l’agriculteur exerce un choix sur les individus de maïs qu’il souhaite ressemer l’année suivante, alors il effectue une forme de sélection paysanne. Les critères de choix sont multiples et, en général, visent à améliorer les caractéristiques agronomiques de la semence (rendement, résistance, qualité du grain, etc.). En Dordogne, des essais en champs, en 2021 et 2022, visaient à améliorer la résistance du maïs population à la sècheresse. Pour cela, on cherche à diminuer la protandrie, c’est-à-dire l’intervalle de temps entre la floraison mâle et la floraison femelle du maïs, qui est un facteur limitant de rendement en cas de stress hydrique. Plusieurs méthodes de sélection sont testées, dont la castration des fleurs mâles précoces et des fleurs femelles tardives. Les grains produits ont été ressemés en 2022 et les maïs obtenus ont été comparés à des cas témoins. Les résultats ne sont, pour l’instant, pas très probants et nécessitent plusieurs saisons pour être solidifiés. A noter que l'objectif n'est pas à créer une variété de maïs unique, mais de développer un protocole de sélection pour que chaque agriculteur puisse ensuite sélectionner lui-même un maïs population adapté à son système.
Le renouveau des blés paysans
Aurélie SÉCHERET, AuteurDepuis quelques décennies, grâce aux initiatives d'agriculteurs et d'agricultrices, des variétés anciennes de blés ont réapparu dans les campagnes du sud-est de la France. Dans le territoire du Lubéron, paysans, meuniers, boulangers, chercheurs et consommateurs se sont associés, depuis 2019, pour relocaliser une filière complète produisant blés, farines et pains. Cet article met en lumière comment la réappropriation des semences anciennes (et rustiques) et des savoir-faire paysans permettrait de sortir des semences industrielles, très dépendantes des intrants, tout en sécurisant un rendement correct, en favorisant la biodiversité et en s'adaptant au changement climatique (résistance au manque d'eau).
Retour du Sival : Douar Den a la patate !
Christine RIVRY-FOURNIER, AuteurLa coopérative Douar Den était présente au Sival 2023 - salon du végétal spécialisé. Née en 2006 dans les Côtes d’Armor, cette Scic (société coopérative d’intérêt collectif) est spécialisée dans les pommes de terre bio. Elle associe des producteurs et deux expéditeurs (Poder et Pronatura), pour produire à la fois des plants et des pommes de terre (primeur, consommation et industrie). Depuis dix ans, elle s’est lancée dans un programme de sélection, en partenariat avec Bretagne Plants, puisqu’à l’époque, il n’existait pas de variétés de pommes de terre adaptées à une conduite en agriculture biologique. Fabris Trehorel, gérant-associé de Douar Den, rappelle qu’il est rare que de petites entreprises accèdent à l’obtention, car la démarche est longue et coûteuse. En bio, il faut des variétés adaptées à ce mode de production, avec par exemple un port étalé (afin de couvrir le sol et de limiter le désherbage mécanique), tolérantes aux maladies (mildiou, nématode, virus…) et qui se conservent malgré un stockage sans antigerminatif. La résistance au stress hydrique et aux coups de chaleur devient également un critère important. Ce travail de sélection « par les paysans et pour tous les paysans » dure, pour chaque nouvelle variété, environ sept à huit ans. Quatre variétés issues de ce processus de sélection sont déjà inscrites : Maïwen en 2015, suivie de Passion, puis de Naturea et de Byzance. Cette dernière a reçu un Sival d’argent au concours Innovations 2023. Deux autres variétés sont en cours d’inscription : Truffette et Wahou.
Voyage en terres de semences
Matthieu CHANEL, Auteur ; Florence LONCQ, Auteur | AIX EN PROVENCE (1025 Route de Gardanne, 13 290, FRANCE) : AGROSEMENS | 2023Agrosemens publie ce livre, conçu par le photographe et graphiste Matthieu Chanel, comme une invitation au voyage dans les profonds sillons fertiles de la France, afin de découvrir son action pour la semence paysanne. Cet ouvrage retrace les parcours de vingt fermes agroécologiques, clientes ou partenaires d'Agrosemens pour la production de semences françaises 100 % biologiques, dans un esprit de conservation de la biodiversité et de partage du vivant.
L'arbre oublié des hommes
Thomas SCARAVETTI, AuteurLe cormier, ou sorbier domestique, est un arbre fruitier forestier de plus en plus rare en France (remembrement, destruction des haies). Il donne des fruits comestibles, les cormes, qui ont un aspect intermédiaire entre la pomme et la poire et qui peuvent être transformés en cidre ("cormé"), en confitures, en compotes ou en jus de fruits. C'est un arbre intéressant, en association avec d'autres arbres fruitiers et en agro-foresterie, que ce soit avec des vignes ou des cultures légumières, dans les prés-vergers, mais aussi en agrosylviculture, dans les haies champêtres... Il est aussi particulièrement indiqué dans un contexte de changement climatique (résistance à la chaleur et au manque d'eau). Cet article retrace l'histoire de cet arbre ancien disparu des paysages.
Blés paysans en Pays de la Loire – Qualiblébio : Témoignages et résultats d'essais
Adrien LISEE, Auteur ; Giulia KESSOUS, Auteur ; Julien BOSSELUT, Auteur ; ET AL., Auteur | ANGERS CEDEX 02 (Pôle Régional Bio, 9 Rue André Brouard - CS 70510, 49 105, FRANCE) : CAB PAYS DE LA LOIRE | 2022En 2004, dans une période marquée par la lutte contre les semences OGM, quelques producteurs bio des Pays de la Loire se sont lancés dans la sélection et le développement de variétés paysannes de céréales. Cette expérimentation s’est développée au fil des années et, depuis 2018, elle a été réalisée dans le cadre d’un projet de recherche multipartenarial, intitulé Qualiblébio. Financé par la région Pays de la Loire, ce projet de trois années a réuni la CAB Pays de la Loire, l’ITAB, la minoterie Suire, la Chambre d’agriculture des Pays de la Loire, l’INRAE, le GABBAnjou, l’association Triptolème et le GAEC du Pont de l’Arche. Toutes ces structures se sont réunies, avec pour ambition d’identifier et d'évaluer, de manière approfondie, des variétés de blé d'hiver issues de sélection paysanne et biologique adaptées aux conditions de l'agriculture biologique des Pays de la Loire : comportement au champ, qualités en panification, évaluation en dégustation, analyses nutritionnelles. Ce document, dédié aux blés paysans, fait la synthèse de ce projet. Il comprend : - Un retour d’expérience de quelques producteurs bio de la région qui cultivent des blés paysans et qui apportent leur témoignage pour partager leur savoir-faire ; - Un bilan des résultats, après trois années d’essais, du projet Qualiblébio ; - Des fiches variétales pour les variétés paysannes de blé tendre les plus intéressantes.
Covalience – Maïs population : Fiches Mémo
Elodie BARITAUX, Auteur ; Nathalie COUIX, Auteur ; Domitille CRIBIER, Auteur ; ET AL., Auteur | PARIS CEDEX 12 (149 Rue de Bercy, 75 595, FRANCE) : ITAB (Institut de l'agriculture et de l'alimentation biologiques) | 2022Le projet Casdar Covalience, financé sur une période de trois ans et demi (de janvier 2018 à juin 2021), a étudié la sélection participative des maïs population. Huit « fiches mémo » récapitulent les résultats obtenus dans le cadre de ce projet. La première est une fiche d’introduction qui présente le projet Covalience. Les sept autres fiches portent sur : - Fiche Mémo A : Comprendre les maïs population (contexte historique, enjeux autour des semences paysannes, mieux connaître les maïs population et différencier les types de maïs population) ; - Fiche Mémo B : Cultiver les maïs population (choix de la parcelle, semis, choix et adaptation de l’itinéraire technique, récolte) ; - Fiche Mémo C : Acquérir et échanger de la semence de maïs population (choix des variétés, où trouver des semences, réglementation et conditions d’échange, s’organiser en collectif) ; - Fiche Mémo D : Produire de la semence de maïs population (égrainer, trier, stocker, conserver, sélectionner) ; - Fiche Mémo E : Valoriser le maïs population (alimentation animale, alimentation humaine et autres utilisations) ; - Fiche Mémo Omega : Accompagner une dynamique collective (favoriser l’émergence et maintenir la dynamique du collectif) ; - Fiche Mémo Ressources (compilation des références citées dans les autres fiches « mémo »).
Designing a Seed Health Strategy for Organic Cropping Systems, Based on a Dynamic Perspective on Seed and Plant Health
Stéphanie KLAEDTKE, Auteur ; Frédéric REY, Auteur ; Steven GROOT, AuteurL'implantation d'une culture, de la germination des semences au développement des plantules, est une étape délicate mais primordiale pour la réussite de la culture en question (santé, concurrence vis-à-vis des adventices, rendement...). Ainsi, la vigueur des graines et le microbiote qui y est associé contribuent fortement à la réussite des semis. Dans ce document, les auteurs présentent des éléments issus de la littérature, de deux cas d'étude en blé et en carotte, et de la consultation de plusieurs experts impliqués dans le projet européen LIVESEED. Leur objectif est de proposer une stratégie permettant d'améliorer la santé des semences biologiques, et ainsi la santé des cultures issues de ces semences. Dans cette stratégie, santé des semences et des plantes sont comprises comme un continuum. Des recommandations sont exprimées concernant, d'une part, la production, le traitement et le stockage des semences issues de l’agriculture biologique, et, d'autre part, la sélection végétale. Les systèmes bio sont vus comme une opportunité pour développer une meilleure prise en compte de la santé des semences et des plantes cultivées en général.