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Documents disponibles dans cette catégorie (103)


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Une agriculture qui répare la planète : Les promesses de l'agriculture biologique régénérative
Vandana SHIVA, Auteur ; Jacques CAPLAT, Auteur ; Andre LEU, Auteur | ARLES CEDEX (Place Nina-Berberova, BP 90038, 13 633, FRANCE) : ÉDITIONS ACTES SUD | 2021
Des millions de paysans et de paysannes, notamment en Inde ou en France, expérimentent des techniques et des démarches globales qui ouvrent un espoir immense pour une autre agriculture. Ces expériences témoignent que lagriculture peut renouer avec le vivant, assurer laccès à une eau et à une alimentation saines, lutter contre la pauvreté et les inégalités et, au-delà, devenir une source de stabilité climatique, de renaissance de la biodiversité, de régénération des sols et de production vivrière performante. Ces approches sont souvent désignées sous le terme générique d"agroécologie paysanne", mais la militante indienne Vandana Shiva préfère les nommer "agriculture biologique régénérative", actant ainsi un retour aux sources historiques de lagriculture bio tout en affirmant une ambition nouvelle : réparer les dommages causés par lagro-industrie. Dans cet ouvrage, écrit à plusieurs mains, trente ans dexpérience de lassociation paysanne indienne Navdanya, fondée par Vandana Shiva, sont complétés par des exemples français et européens, et éclairés par des études scientifiques internationales et des explications agronomiques pédagogiques. En réalisant la synthèse du terrain et de la recherche scientifique, des savoirs paysans et des savoirs académiques, de lInde et de lEurope, ce livre retrouve la démarche initiale de certains fondateurs de lagriculture biologique et propose un nouvel élan pour un projet planétaire fécond.
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L'économie agropastorale revisitée
Claire AUBRON, Auteur ; Nadège GARAMBOIS, Auteur ; Marie-Odile NOZIÈRES-PETIT, Auteur ; ET AL., Auteur | AVIGNON (19 Rue Agricol Perdiguier, 84 000, FRANCE) : CARDÈRE ÉDITEUR | 2019
Cet ouvrage rassemble les interventions du séminaire du 7 décembre 2018, qui s'est tenu à Montpellier SupAgro et qui était organisé par lAssociation Française de Pastoralisme (AFP). Ce séminaire s'appuyait sur les résultats du projet "Systèmes (agro)pastoraux et agroécologie : quels effets sur l'emploi, l'alimentation et les paysages ?". Au sommaire : - Introduction : Repenser léconomie et la place du pâturage au sein de systèmes agropastoraux ; - Dynamiques agraires et développement des systèmes économes en régions agropastorales ; - Valorisation des produits des systèmes agropastoraux ; - Influence de la PAC sur les systèmes agropastoraux ; - Conclusion : Remettre le pâturage au cur de léconomie agropastorale.
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Mesures agro-environnementales et paiements pour services environnementaux : regards croisés sur deux instruments
Elise DELGOULET, Auteur ; Lise DUVAL, Auteur ; Solenn LEPLAY, AuteurDepuis le début des années 1990, la politique agricole commune sest dotée de divers instruments visant ladoption de pratiques agricoles favorables à la préservation de lenvironnement, en particulier les mesures agro-environnementales (MAE). Dans le même temps, les recherches consacrées à lestimation économique des services écosystémiques et à leurs modalités de rémunération se sont multipliées, mettant notamment en exergue le concept de paiement pour service environnemental (PSE). Partant de ce double constat, le ministère en charge de lAgriculture a commandé une étude visant à porter un regard croisé sur les MAE et les PSE en vue de dégager des pistes susceptibles de rendre les MAE plus efficaces et attractives. Cette publication présente les principaux enseignements de cette étude. Elle montre notamment que les PSE constituent un continuum dinstruments dans lequel sinscrivent les MAE, et souligne les convergences entre ces deux dispositifs, tant au niveau des questions soulevées que des innovations mises en uvre sur le terrain.
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Plateforme Miimosa : Le financement participatif pour développer un projet
Cyrielle DELISLE, AuteurLe financement participatif, ou crowdfunding en anglais, est en plein essor depuis 2010 et permet au grand public de soutenir financièrement des projets qui les intéressent. La plateforme de financement participatif Miimosa a été créée en 2014 et regroupe des projets de lagriculture et de lalimentation. Cet article présente le financement participatif, son essor, lorigine de la plateforme, ainsi que son fonctionnement et les modalités dutilisation. Miimosa fonctionne sur le principe du don contre don, cest-à-dire que les internautes qui choisissent de financer un projet reçoivent en contrepartie un don de lexploitation, produit ou service. La réussite du financement du projet de Laëtitia Dumont, qui a rejoint son mari sur lexploitation, en élevage de bovins allaitants et porcs plein air conventionnels dans lEure, est un exemple positif. Le projet était de créer un atelier de découpe et dagrandir le magasin à la ferme existant. Un encart explique les étapes de mise en place du financement participatif : avant, préparer le projet ; pendant, communiquer pour récolter des fonds ; après, remerciement des contributeurs.
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Dossier : La Lorraine, une terre d'élevage
Rémi LALEVEE, Auteur ; Jacques CHIRON, Auteur ; Flavie TIRET, Auteur ; ET AL., AuteurLes treize petites régions agricoles de Lorraine sont brièvement présentées, avec leurs différentes potentialités agroclimatiques, leurs surfaces certifiées biologiques et les orientations technico-économiques régionales. Un administrateur de Biolait décrit l'histoire et le fonctionnement du réseau Biolait dans l'Est de la France. Rémi Lalevée, éleveur bio et administrateur, décrit sa ferme de 25 montbéliardes, ainsi que les motifs de son engagement à Biolait. Deux autres élevages sont aussi décrits, ainsi que des initiatives de développement local : une caisse de mutualisation pour valoriser les primes « bio » même pour les producteurs certifiés qui ne sont pas collectés en bio ; un programme Agriculture-Environnement Vittel de l'Inra contracté entre les éleveurs et la société Vittel afin de réduire les taux de nitrates de l'eau destinée à être embouteillée.
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Dossier : Rencontres AFP dans les Hautes-Pyrénées : Le pastoralisme haut-pyrénéen : Pratiques de gestion, outils du développement & défis pour l'avenir
Annie CIPIÈRE ; Jean-Baptiste JOURDAN, Auteur ; Didier BUFFIERE, Auteur ; ET AL., AuteurRetour sur les rencontres de l'AFP dans les Hautes-Pyrénées. Le dossier regroupe les articles suivants : - Le pastoralisme haut-pyrénéen en chiffres ; - Contexte et politique de développement pastoral dans les Hautes-Pyrénées ; - Une diversité de gestionnaires d'estives ; - Les commissions syndicales ; - La gestion des estives sur la commune d'Arrens-Marsous ; - Les zones intermédiaires : enjeux et défis à relever : exemple du Val d'Azun.
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Les nouveaux enjeux du couple vache-prairie à la lumière de l'agroécologie
A. PFLIMLIN, Auteur ; P. FAVERDIN, AuteurLes crises agricoles mondiales ne sont pas des soubresauts conjoncturels, mais la conséquence de la spécialisation et de l'industrialisation des élevages. Le modèle intensif mettant en concurrence les ruminants et les humains pour la consommation de grains est donc remis en cause. Les systèmes herbagers sont posés comme des alternatives dont les progrès reposent essentiellement sur la génétique : les bovins doivent être adaptés au système de production, et non l'inverse. De plus, l'innovation fourragère consiste à inventer des systèmes économes en intrants, mais associés à une moindre consommation humaine de viande. L'article décrit des exemples français et étasunien où la spécialisation des élevages a conduit à leur industrialisation. Par exemple, un troupeau moyen californien compte 900 vaches laitières produisant 10 000 kg de lait par an. Les troupeaux indiens jouent le rôle de contre-modèle : 80 millions d'éleveurs possèdent une à deux vaches. En dépit de cette extrême atomisation de l'offre, le pays est autosuffisant en lait. L'article esquisse des définitions de l'agroécologie et de son application aux systèmes bovins herbagers européens. La pertinence des indicateurs techniques et économiques classiques est à revoir (remplacer par exemple la production laitière par vache par le nombre d'emplois créés par million de litres produits).
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L'agriculture biologique : un secteur dynamique
Nicolas DASPRES, AuteurLe recensement agricole de 2010 a permis de réactualiser l'image de l'agriculture française. L'agriculture biologique s'avère être un secteur dynamique, avec des exploitants jeunes et une main d'uvre plus nombreuse qu'en conventionnel. Cet article revient sur le développement de l'AB en France : plan Riquois en 1997, contrats territoriaux d'exploitations, évolutions de la production et de la consommation, plan Horizon 2012, réglementation européenne Le bilan est plutôt contrasté, notamment avec un retard dans les objectifs fixés, le million d'hectares en bio ayant été atteint en 2012 et non en 2005 comme le prévoyait le plan Riquois, et les objectifs du plan Horizon 2012 étant encore à atteindre. Toutefois, la croissance du marché bio a été importante et continue malgré le contexte de crise, avec un développement relativement cohérent de l'amont et de l'aval de la filière. L'AB représente un « laboratoire d'idées » intéressant, avec un fort dynamisme économique et de l'innovation technique, créateur d'emplois et avec un impact positif sur l'environnement.
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Strengthening rural communities : lessons from a growing farm economy
Aux États-Unis, alors que le pays traverse une crise économique forte, le secteur agricole se redresse rapidement et la valeur ajoutée totale de l'économie américaine par le secteur agricole a augmenté d'environ 35% entre le deuxième trimestre 2009 et le quatrième trimestre 2011. Ce rapport, rédigé et édité par le Conseil Économique, le Conseil Rural de la Maison Blanche et l'USDA (United States Department of Agriculture), met en évidence les tendances positives qui se produisent dans l'économie agricole et les efforts de l'administration pour soutenir ces tendances. Parmi les nouveaux secteurs dynamiques de l'agriculture américaine, l'agriculture biologique est en nette progression avec un marché de plus de 31 milliards de dollars en 2011 (contre 21 milliards de dollars en 2008). Le développement de l'AB est permis grâce aux investissements en recherche-développement (plus de 117 millions de dollars investis par l'USDA) et aux progrès faits pour minimiser les barrières du marché. Le gouvernement Obama a notamment négocié deux accords d'équivalence, avec le cahier des charges canadien en 2009 et avec le cahier des charges européen en 2012. Les aliments biologiques continuent à gagner des parts de marché dans l'industrie alimentaire, atteignant 4,2% du chiffre d'affaires des États-Unis pour les aliments au détail en 2010. Ceci crée des opportunités pour les agriculteurs et les éleveurs : le nombre de certifications a augmenté de plus de 6% entre 2009 et 2011. Dans ce rapport, d'autres secteurs agricoles en développement sont présentés : agrocarburants, énergies renouvelables, cultures spéciales (horticulture, arboriculture, maraîchage), agrotourisme, autres produits (papeterie, textile, pharmaceutique ).
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L'agriculture garde l'île de Batz à flot
Chantal PAPE, AuteurAvec une surface de 357 ha dont 160 ha de SAU, l'île de Batz, située au large de Roscoff, dans le Finistère, compte une vingtaine de producteurs dont la moitié en agriculture biologique. La production est tournée vers le maraîchage avec notamment des cultures d'échalotes, d'oignons, de choux friséx et de pommes de terre. L'agriculture reste un pilier de l'économie car, si l'urbanisme grignote peu à peu les terres agricoles, les revenus du tourisme ne suffisent pas à eux seuls pour faire vivre l'île. Cette agriculture insulaire souffre de plusieurs contraintes comme un foncier onéreux, des exploitations de petites tailles et bien sûr des coûts engendrés par les transports en bateaux. Toutefois, le climat permet une production plus précoce que le continent, ce qui permet notamment de limiter les problèmes de mildiou sur pomme de terre. Les producteurs se sont organisés en Cuma pour regrouper les légumes et les expédier sur le continent. Leurs pommes de terre, qui affichent leur provenance, ont su se démarquer d'un point de vue gustatif auprès des consommateurs.
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Viability of Organic Production in Rural Counties : County and State-Level Evidence from the United States
Genti KOSTANDINI, Auteur ; Elton MYKEREZI, Auteur ; Eftila TANELLARI, AuteurDans JOURNAL OF AGRICULTURAL AND APPLIED ECONOMICS (Volume 43, Number 03 August 2011) / p. 443-451 (9)Les auteurs de cette étude cherchent à comprendre, à l'échelle des régions et des états, les caractéristiques qui favorisent l'établissement en agriculture biologique dans les espaces ruraux des États-Unis. Les chercheurs ont tenté d'identifier les facteurs qui influencent : le nombre de fermes biologiques, la superficie cultivée en agriculture biologique, le nombre de petites (- de 5 000 $ US de ventes) et de grandes productions biologiques (+ de 5 000 $ US de ventes) et la proportion des ventes en agriculture provenant de l'agriculture biologique dans chaque région. Les facteurs qui ont été considérés dans cette étude sont : la population représentée par un indice de ruralité (population + proximité d'un centre urbain), le revenu de la population, l'âge des producteurs, l'origine ethnique de la population, la présence de conditions naturelles favorables, la superficie totale en culture, la surface en pâturage, les aides gouvernementales et l'accès à l'eau pour l'irrigation. Les états du New Hampshire, du Vermont et du Maine sont ceux qui ont la plus forte proportion du revenu agricole issu de l'agriculture biologique avec respectivement 7,05, 6,51 et 3,42 %. Les conditions favorables naturelles et les aides gouvernementales semblent, dans tous les cas, être bénéfiques pour l'agriculture biologique. L'accès à l'eau pour l'irrigation affecte positivement le nombre de fermes biologiques, mais semble moins essentiel pour les petites fermes et encore moins important en agriculture biologique qu'en agriculture conventionnelle. Un nombre plus important de fermes est situé à proximité d'un grand centre urbain et les régions rurales éloignées ne semblent pas favorables à l'agriculture biologique dans les aspects couverts par cette étude.
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Promotion du lien race-produit-terroir
Cécile KOEHLER, AuteurAlpes, Pyrénées, Massif Central, Corse et Vosges : tous ces massifs possèdent des races locales regroupées au sein du Coram (Collectif des races locales de Massif). A la recherche d'un équilibre entre productivité et adaptation aux contraintes du milieu, le Coram veut défendre et promouvoir le lien entre race, produit et terroir, et faire reconnaître le caractère multifonctionnel de l'élevage en montagne. Le Coram représente 32 races : 20 ovines allaitantes, 6 ovines laitières, 3 bovines allaitantes et 3 bovines laitières.
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Manger est un acte agricole
Véronique LUCAS, AuteurLe restaurant "Farmers Diner" dans la petite ville de Quechee (Etat du Vermont, au Nord-Est des USA), créé en 2000, à l'initiative de Tod Murphy, n'a en apparence rien d'original mais les plats sont concoctés le plus possible à partir de produits agricoles locaux. Cette initiative a fait école dans la région, et aujourd'hui, dans le Vermont (quasi-équivalent au Limousin en taille de population), plus de 180 restaurants adhèrent au réseau Vermont Fresh Network (VFN), qui met en lien agriculteurs et chefs cuisiniers pour un approvisionnement local. Mais, alors que la plupart de ces restaurateurs sont loin d'atteindre la performance de 65 % d'achats locaux (en référence aux calculs de Tod Murphy), le réseau manque de producteurs pour répondre à la demande. L'émergence de ces initiatives s'explique par le contexte agricole de la région : agriculture du Vermont dédiée à 70 % à la production laitière, confrontée au principal bassin de production laitier américain situé en Californie ; région vermontoise en marge de la spécialisation régionale du fait de l'industrialisation et de la rationalisation progressive du système agroalimentaire ; débouchés difficilement accessibles aux agriculteurs du Vermont... Ce développement de l'achat local, qui a atteint les responsables politiques soucieux du maintien de l'agriculture vermontoise et est visible dans d'autres régions de l'Amérique, y compris depuis peu en Californie. L'article est complété par une réflexion sur l'agriculture américaine (125 000 exploitations agricoles sur un total de 2 millions de fermes réalisent les trois quarts de la production alimentaire américaine...) et l'émergence de stratégies alternatives de la part du secteur de l'agriculture familiale.
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Homéopathes sans frontières
Les médecins et les médicaments sont rares au Sud. Face à ce constat, Homéopathes sans frontières - France (HSF - France) veut favoriser "la connaissance de thérapeutiques efficaces, respectant la planète et ses habitants, et peu coûteuses", comme l'explique Michèle Serrand, actuelle présidente de l'association. Elle tient à lever toute ambiguité, précisant que "la thérapeutique homéopathique est complémentaire à toutes celles que les populations utilisent, pas une alternative". Depuis 25 ans, l'association forme sur place les personnels soignants à cette thérapeutique et implique les professionnels de santé du pays dans les soins et secours d'urgence afin de les rendre autonomes. Le faible coût de l'homéopathie s'y prête et les populations locales des pays du Sud trouvent dans la thérapeutique homéopathique une ressemblance avec les médecines traditionnelles pratiquées. HSF - France intervient aussi dans la lutte contre la dénutrition. Au Burkina Faso, un arbre appelé Moringa Oleifera, doté de propriétés nutritionnelles remarquables, intéresse l'association, notamment dans le cadre de sa diffusion auprès des jeunes enfants. Enfin HSF - France s'est lancé, avec le Comité de développement du village de Zowla, au sud-est du Togo, dans la construction d'un marché couvert. Ce marché est une façon de relancer une économie locale qui permette à la population de mieux se nourrir.
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La méthode IDEA : indicateurs de durabilité des exploitations agricoles
La méthode IDEA est une méthode globale d'évaluation de la durabilité des systèmes agricoles. Largement testée et éprouvée sur le terrain, elle constitue un outil de formation et d'autoévaluation qui montre les faiblesses techniques et les voies de progression possibles. Elle se compose de trois séries d'indicateurs simples et facilement compréhensibles qui caractérisent les systèmes agricoles dans leurs dimensions agro-écologique, socioterritoriale et économique. Depuis sa première publication, son utilisation par de nombreux enseignants, agents de développement et agriculteurs a montré sa pertinence technique et son intérêt pédagogique, aussi bien pour les élèves de l'enseignement agricole que pour les agriculteurs désireux de comprendre et d'évoluer vers plus d'autonomie et plus de durabilité. Cette 3ème édition, actualisée et enrichie de nombreux retours de terrain, permet la compréhension et l'analyse de la durabilité des systèmes agricoles dans la diversité de leurs milieux et de leurs combinaisons techniques.