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2002, année blanche, 2003 année grise, 2004 année ?
Cet article fait le point sur les données chiffrées concernant l'agriculture biologique en 2003 (données issues de la Documentation française et des observatoires régionaux, animés par les groupements régionaux du réseau FNAB). On apprend ainsi que le nombre de producteurs bio se stabilise autour de 12 000 avec des régions en croissance et d'autres en net recul.
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2005 : Les conversions repartent
La dynamique de conversion, qui s'était arrêtée en 2004, tend à repartir en 2005 avec 350 nouveaux agrobiologistes (chiffres 2005 de l'Agence Bio) et devrait se poursuivre en 2006. Néanmoins, ces conversions seront certainement insuffisantes en regard des marchés qui s'ouvrent à ce secteur de production.
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En 2008, 136 fermes ont adhéré au GAB : Le GAB 56 en assemblée générale
Arnaud MARLET, AuteurLe GAB 56 (groupement d'agriculteurs bio du Morbihan) a invité ses adhérents, le 3 février 2009, à son assemblée générale qui se déroulait à Locminé (Morbihan). Au total, une cinquantaine de personnes étaient présentes pour faire le bilan de l'année écoulée. Plusieurs axes de travail conduits par le GAB étaient évoqués : développement de la production ; maîtrise de la mise en marché ; accompagnement en restauration collective ; promotion de l'agriculture biologique ; défense et représentation des producteurs bio ; projet de Réseau Interprofessionnel en Morbihan.
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2010, l'année du développement pour l'agriculture bio
Thierry MICHEL, AuteurAprès une introduction rapide sur le contexte de développement de l'agriculture biologique en France, l'article donne des indications sur le marché français des produits alimentaires issus de l'agriculture biologique. Celui-ci se situe en troisième position en Europe, derrière l'Allemagne et le Royaume-Uni. En 2008, le marché hexagonal a représenté 2,6 milliards d'euros (40 euros par français), en progression de 25 % par rapport à 2007 et de 60 % depuis 2005. Pour le cabinet d'études économiques Precepta, le chiffre d'affaires des produits bio pourrait augmenter de 40 % d'ici à 2012... Par ailleurs, l'article revient sur différents sujets : le comportement du consommateur français ; l'intensification des échanges entre les différents acteurs de la chaîne : association de Biocoop avec la Coopérative des agriculteurs biologiques du Sud-Ouest (Cabso) ; restitution, auprès de la presse et de professionnels, de résultats d'études sur le blé, le maïs... par la Fnab, à l'initiative d'Inter Bio Bretagne ; proposition par ABioDoc (service de Vetagro Sup - Campus agronomique de Clermont (63)), en mars et juin 2010, de deux stages, accessibles dans le cadre de la formation continue des personnels de l'enseignement agricole, intitulés "Maîtriser la recherche documentaire dans Biobase, la base de données spécialisée en agriculture biologique d'ABioDoc"... Sont également rapportés un entretien avec Elisabeth Mercier, directrice de l'Agence Bio (axes de travail de l'Agence Bio...), ainsi que des données statistiques (évolution du nombre d'exploitations engagées en bio, répartition des surfaces végétales en mode de production biologique).
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2011 Certified Organic Production Survey
Le département d'agriculture des États-Unis a mené un sondage sur la production certifiée biologique. Le sondage a pour objectif de collecter des données sur les entreprises biologiques aux États-Unis afin d'aider l'Agence de gestion du risque (RMA) du département d'agriculture à mieux connaître le secteur et à améliorer les produits d'assurance destinés aux producteurs biologiques. Le premier sondage en agriculture biologique, réalisé en 2008, a permis de mieux comprendre l'impact économique des entreprises biologiques à l'échelle du pays et à l'échelle des états. Le sondage de 2011 comprend des données sur la superficie, le type et les ventes associées à différentes productions certifiées biologiques. Des informations sur les terres, la participation à des programmes fédéraux ainsi que des pratiques de commercialisation des entreprises biologiques sont également incluses.
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2015, une année de forts changements pour les aides
LETTRE FILIÈRES FNAB - LÉGUMES, AuteurLes nouvelles aides à la conversion et au maintien pour 2015 font partie du deuxième pilier de la PAC, elles peuvent donc faire l'objet de règles spécifiques régionales, mais les montants surfaciques prévisionnels devraient être les suivants, respectivement pour la conversion et le maintien : pour les semences des céréales, protéagineux et cultures fourragères : 300 et 160 /ha ; pour le maraîchage et les semences potagères : 900 et 600 /ha ; pour les cultures légumières de plein champ : 450 et 250 /ha.
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2015, une année de forts changements pour les aides
La réforme de la PAC entraîne une modification des montants d'aides à l'hectare pour certaines cultures qui s'adresse à tous les producteurs, ainsi qu'un soutien spécifique pour les protéines. Un montant de 100 à 150 /ha sera alloué aux éleveurs qui implantent des surfaces fourragères comportant plus de 50 % de légumineuses afin de renforcer leur autonomie. Le soja, les autres protéagineux et la luzerne déshydratée seront soutenus à hauteur de 100 /ha à 200 /ha. Quant à la production de semences fourragères de légumineuses ou de mélanges, elle sera soutenue entre 150 et 200 /ha. Concernant les aides à la conversion bio et au maintien, leur montant respectif sera probablement de : 300 et 160 /ha pour les grandes cultures et les prairies artificielles à base de légumineuses ; 130 et 90 /ha pour les prairies permanentes ; 450 et 250 /ha pour les légumes de plein champ.
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2015, une année de forts changements pour les aides
LETTRE FILIÈRES FNAB - LAIT, AuteurQu'elles soient spécifiques ou non aux producteurs biologiques, les éleveurs laitiers bénéficieront de nouvelles aides de la PAC. Une aide directe par vache laitière de 36 en plaine et de 74 en montagne sera octroyée aux éleveurs pour les 30 à 40 premières vaches, et les nouveaux éleveurs bénéficieront d'une majoration. L'article indique les autres aides que pourront toucher les éleveurs pour leurs surfaces fourragères. Afin de compenser la perte liée à la disparition de la PHAE, l'ICHN sera élargie et elle reste cumulable avec les aides bio et autres MAEC. Quant aux aides à la conversion et au maintien, leur montant respectif sera de : 130 et 90 /ha pour les prairies (permanentes ou temporaires) associées à un système d'élevage ; 44 et 35 /ha pour les landes, estives et parcours. Les règles de cumul entre les Maec et Maec bio sont décrites dans leur ensemble.
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2015, une année de forts changements pour les aides
Les nouveaux montants d'aides à la conversion et au maintien seront (à titre indicatif) respectivement de 350 et 150 /ha. Les règles de non cumul des Mesures agro-environnementales et climatiques (MAEC) sont rappelées : les aides pour l'agriculture biologique ne sont pas cumulables avec les MAEC « système ». A partir de 2015, de nouvelles MAE sont prévues pour les viticulteurs, avec des montants de 193 à 495 /ha. Les modalités de leur mise en uvre seront fixées à l'échelle régionale.
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21 points clés pour l'agenda de l'OMC
Même si Seattle est passé par là, ce catalogue des points clés en discussion dans le cadre de l'OMC est toujours valable : qualité, sanitaire, droit à l'information, OGM, protection de l'environnement... sont quelques-uns des sujets chauds sur lesquels l'OMC devra se pencher dans les années à venir.
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24 agriculteurs sous contrat avec Vittel
Dans le périmètre de captage d'eau, Vittel a investi plusieurs millions de francs pour maîtriser le taux de nitrates. En contractualisant avec 24 agriculteurs, l'entreprise a obtenu que plus des 2/3 de la SAU concernée respectent le cahier des charges : zéro maïs, zéro pesticides, couverture du sol tout l'hiver, rotation luzerne-céréales-herbe, compostage du fumier et limitation de la fumure azotée. En contrepartie, Vittel verse une aide de 1200F/ha pendant 7 ans. Certains agriculteurs en ont profité pour se convertir à l'agriculture biologique, mais le changement de raisonnement global de l'exploitation et de métier n'est pas évident pour tous.
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274 hectares bio high-tech
Ludovic Guerton et Sébastien Chevalier sont associés dans le Gaec l'Offraire à Mouchamps, en Vendée. Les 274 hectares du Gaec, sur lesquels ils cultivent du maïs, du blé, du pois et de la féverole, ont été convertis en bio en 2000 dans le cadre d'un contrat territorial d'exploitation. Alors qu'ils passent près de 600 heures par an sur le tracteur, ils en ont équipé un du système RTK d'autoguidage par GPS (Autofarm) dès 2004. Ils ont investi en commun avec un voisin cultivant 200 hectares en bio. Ils ont choisi "ce système pour sa précision à deux centimètres et ses débits de chantier". Le fonctionnement du système, ses utilisations possibles dans les différentes étapes de culture (semis, binage, passage de herse étrille, épandage de compost), les économies et l'investissement qu'il génère sont exposés. Par ailleurs, une présentation est faite des résultats économiques de leur exploitation et des méthodes de culture liées à la fertilisation, à l'implantation de couverts ou à l'assolement.
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280 ha en Marais Poitevin : Denis Gautronneau, vétéran de la bio
Agriculteur et transformateur bio, prestataire de service en travaux agricoles, membre fondateur de la Corab, coopérative céréalière bio en Charente-Maritime, Denis Gautronneau est installé près du Marais Poitevin. Il mène sa barque depuis près de 40 ans dans une des plus grandes exploitations du département. Parcours et points de vue sur l'actualité.
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2ème baromètre LSA - Equipmag : La révolution verte est en marche
Des enseignes de la grande distribution (Champion, Ikea) investissent dans le développement durable et les économies d'énergie. Leurs efforts portent sur la consommation d'eau, l'éclairage, la production du froid. Certaines enseignes vont plus loin : Décathlon et un groupe de bricolage planchent sur la production d'énergie renouvelable et lancent des études sur les avantages des panneaux photovoltaïques et de la géothermie. Elles prennent appui sur les investissements en ce domaine, réalisés par Super U.
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300 mètres carrés de panneaux photovoltaïques sur le hangar
Claudine GERARD, AuteurTémoignage d'un éleveur naisseur-engraisseur de porcs dans le Finistère. François Palut a construit un hangar (pour loger le matériel de l'exploitation) comportant 225 panneaux photovoltaïques intégrés à la couverture (soit 300 m² de panneaux photovoltaïques). Cela permet de produire environ 34 000 kW/an. L'investissement sera rentable dès la 11ème année.