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Documents disponibles dans cette catégorie (128)


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Feeding partridges with organic or conventional grain triggers cascading effects in life-history traits
Jérôme MOREAU, Auteur ; Karine MONCEAU, Auteur ; Vincent BRETAGNOLLE, Auteur ; ET AL., AuteurLes populations doiseaux sauvages sont en déclin dans les terres agricoles d'Europe et d'Amérique du Nord. Des recherches approfondies ont été réalisées pour trouver les causes de ce déclin. L'intensification agricole est reconnue comme lune des principales causes, et plus particulièrement les pesticides qui induisent, à dose élevée, une mortalité directe chez les oiseaux. En revanche, peu détudes ont analysé les effets à long terme, chez les oiseaux, dune exposition chronique à de faibles doses de pesticides. Dans cette étude expérimentale, des perdrix grises ont été nourries avec des grains issus de l'agriculture biologique, et dautres ont été nourries avec des grains issus de lagriculture conventionnelle (utilisation de pesticides) pendant 26 semaines. Les caractéristiques du cycle de vie de ces perdrix ont été examinées et comparées. Les résultats montrent que l'ingestion de faibles doses de pesticides sur une longue période a des conséquences à long terme sur plusieurs voies physiologiques majeures, sans pour autant induire une différence de mortalité chez les perdrix. Par rapport aux perdrix témoins, les oiseaux exposés à des doses chroniques avaient : 1 - des ornements moins développés ; 2 - un système immunitaire plus actif ; 3 - des signes de stress physiologique induisant une charge parasitaire intestinale plus élevée ; 4 - une activité physique moins importante ; 5 un investissement dans la reproduction plus faible. Compte tenu de la forte utilisation des pesticides dans les agrosystèmes, il est probable que de telles modifications aient des impacts négatifs à long terme sur les populations d'oiseaux sauvages vivant dans ces milieux. Les effets à long terme ne doivent donc plus être ignorés et doivent être pris en compte dans l'évaluation des risques liés aux pesticides.
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Biodiversité rare ou menacée : peu daméliorations depuis 2007
Anthony COULMIN, Auteur ; Antoine LEVÊQUE, Auteur ; Farid BENSETTITI, Auteur ; ET AL., Auteur | LA DEFENSE CEDEX (Service des données et études statistiques - Sous-direction de linformation environnementale, Tour Séquoia, 92 055, FRANCE) : MINISTÈRE DE LA TRANSITION ÉCOLOGIQUE ET SOLIDAIRE - COMMISSARIAT GÉNÉRAL AU DÉVELOPPEMENT DURABLE | 2020Dans le cadre de la directive européenne « Habitats, Faune, Flore » de 1992, chaque État membre a procédé, en 2019, à lévaluation de létat de conservation de la faune, de la flore et des habitats dintérêt communautaire présents sur son territoire. Lévaluation réalisée en 2019 sinscrit dans la continuité de plusieurs programmes dévaluation couvrant des périodes de six ans (2001-2006, 2007-2012, 2013-2018). Depuis la mise en place de ce suivi, la France a réalisé plus de 900 évaluations complètes sur son territoire métropolitain, relatives à 289 taxons et 130 habitats, ce qui en fait le pays où le nombre dévaluations est le plus élevé. Ce constat confirme la riche diversité biologique présente sur le territoire. Le bilan de lévaluation réalisée en 2019 reste proche de celui des deux exercices précédents : seulement 1/5ème des habitats évalués et ¼ des espèces évaluées concluent à un état de conservation favorable. Des tendances positives sont observées pour les espèces qui bénéficient de mesures de protection. Toutefois, les tendances à la dégradation restent préoccupantes. Lurbanisation, la déprise agricole, mais aussi lintensification des pratiques agricoles constituent les principales causes de cette dégradation. Les écosystèmes marins, littoraux, humides et aquatiques figurent parmi les plus touchés.
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Dossier : Faire rimer SIE et biodiversité malgré tout !
Gabriel OMNÈS, Auteur ; Christian GLORIA, AuteurCe dossier est consacré aux surfaces dintérêt écologique (SIE) en grandes cultures. Ces SIE conditionnent le paiement vert (aides PAC) : il faut atteindre au minimum 5 % de SIE. La France a fait le choix dinclure un large choix déléments dans les SIE (ces derniers sont détaillés dans un premier article) : arbres, jachères, cultures dérobées En revanche, le coefficient surfacique qui leur est associé permet de rendre certains éléments plus attractifs que dautres (ex : 1 m2 de jachère mellifère vaut 1,5 m2 de SIE, alors qu1 m2 de cultures dérobées vaut 0,3 m2 de SIE). Dans la pratique, les différentes règles à respecter limitent fortement leffet souhaité de cette mesure sur la biodiversité : les règles sont trop changeantes et pas forcément adaptées, ce qui pousse certains agriculteurs à respecter la réglementation a minima (objet du deuxième article de ce dossier). Une autre problématique concerne limplantation de couverts dérobés comme SIE (troisième article). Cette solution peut sembler la plus simple pour atteindre le seuil de 5 %, mais elle présente un risque, vue lévolution du climat : ces couverts peuvent ne pas lever, ce qui place lagriculteur en défaut lors dun contrôle. Dautres SIE, comme les haies, sont plus résilientes et donc plus sûres. De plus, il est possible et préférable de sappuyer sur les SIE pour mettre en place des pratiques qui présentent des avantages agronomiques et écologiques, notamment en implantant une mosaïque de jachères et dintercultures (objet du quatrième et du cinquième article de ce dossier). Marc Rémi et Rodolphe Lormelet, deux céréaliers situés dans le Calvados, expliquent les avantages quils ont observés après avoir inclus des jachères, et notamment des jachères mellifères, dans leurs rotations (ces témoignages sont lobjet du sixième et dernier article de ce dossier).
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Favoriser la biodiversité au bénéfice de ma ferme
BIO DE PACA, AuteurDans chaque élément du paysage, des espèces trouvent leur compte : tas de pierres, de bûches ou de branchages, bande enherbée fauchée ou enfrichée, haie, arbre isolé, vieil arbre à trous, fissures et branches mortes, arbre mort, muret, talus sec, mare, zone humide Pour favoriser la biodiversité sur les fermes, des conseils simples sont présentés. D'abord, laisser faire (ne rien planter, ne rien acheter, laisser pousser et observer...) et respecter des principes fondamentaux, puis passer à l'action : choisir des espèces, planter et semer, en suivant quelques conseils.
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Guide pratique sur la biodiversité dans les fermes bio : Fiches techniques ; Gestion ; Aménagement ; Indicateur
LPO ALSACE, Auteur ; BIO EN GRAND EST, Auteur | LAXOU (Site de Laxou, Espace Picardie - Les Provinces, 54 520, FRANCE) : BIO EN GRAND EST | 2020Ce guide pratique a été réalisé dans le cadre de lappel à projets Trame Verte et Bleue Grand Est, avec l'appui de la LPO Alsace. Suite à un travail de mise en place dactions sur des fermes bio, des fiches techniques récapitulent les principales préconisations destinées à favoriser la biodiversité en agriculture bio. Les fiches sont classées en 3 chapitres : Gestion (amélioration de lexistant) ; Aménagement (création de continuités écologiques et/ou de milieux favorables) ; Indicateur (suivi de limpact des améliorations de gestion/daménagement). Chaque chapitre sorganise en plusieurs fiches thématiques. Les agriculteurs sont ainsi incités et guidés dans la mise en place de : haies, nichoirs, prairies, zones refuge, etc., et dans le suivi des impacts de ces actions.
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Pourquoi Comment : Gérer et valoriser les haies bocagères
FD CIVAM DE LOIRE-ATLANTIQUE, Auteur ; CIVAM AD 49, Auteur ; CIVAM AD 72, Auteur ; ET AL., Auteur | SAFFRÉ (4 Rue de la Résistance, 44 390, FRANCE) : FR CIVAM PAYS DE LA LOIRE | 2020Après un rappel sur les intérêts écologiques, agronomiques et économiques des haies bocagères, ainsi que sur la réglementation (plantation, PAC, documents durbanisme), ce document présente 8 exploitations qui abordent la gestion et la valorisation des haies sur leur ferme : planification, densification, entretien, accueil de la biodiversité, production de fourrages, de plaquettes, de bois duvre Chaque exploitation fait lobjet dune fiche qui développe une thématique en particulier. 3 des fiches sont enrichies de vidéos tutorielles qui donnent à voir des repères techniques et pratiques de base : Comment recéper un arbre ? ; Comment former un arbre têtard ? ; Comment réaliser une taille de formation ?
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Rapport Planète Vivante 2020 : Infléchir la courbe de la perte de biodiversité - Synthèse
R.E.A ALMOND, Auteur ; M. GROOTEN, Auteur ; T. PETERSEN, Auteur | GLAND (Rue Mauverney 28, 1196, SUISSE) : WWF INTERNATIONAL | 2020Publié tous les 2 ans, le Rapport Planète Vivante mesure l'état de la biodiversité sur la planète. Lindice Planète Vivante 2020 fait état dun déclin moyen de 68 % des populations de mammifères, doiseaux, damphibiens, de reptiles et de poissons, suivies entre 1970 et 2016. Les variations des populations despèces sont un indicateur majeur de la santé globale des écosystèmes. Cependant, mesurer la biodiversité, la variété de tous les êtres vivants, demeure complexe ; il nexiste pas de mesure unique qui puisse saisir tous les changements dans cette immense toile de la vie. Il n'en reste pas moins que la nature décline à un rythme sans précédent. Les conséquences, non seulement sur les populations danimaux sauvages, mais aussi pour la santé humaine et sur de nombreux autres aspects de notre vie, devraient dicter un changement culturel systémique et profond, et un rééquilibrage de notre relation avec la planète. La tendance peut-elle être inversée, et comment ? Après avoir présenté les derniers chiffres de la perte de biodiversité (animale et végétale), les auteurs abordent les activités humaines et leurs conséquences écologiques (commerce mondial, surconsommation de ressources, surpêche et pollution des océans, empreinte écologique des pays ) ainsi que les risques du changement climatique pour la biodiversité. Les auteurs montrent également comment la santé des humains et celle de la planète sont intrinsèquement liées et comment la biodiversité est essentielle à la sécurité alimentaire. Inverser la courbe est possible, selon les travaux de modélisation initiés par Bending the Curve (Californie) qui mettent en avant plusieurs scénarios dactions réalisables.
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La biodiversité du centre CTIFL de Balandran : Linventaire des vertébrés (1re partie)
Michel JAY, Auteur ; Jean-Michel RICARD, AuteurLes espèces de vertébrés (oiseaux, mammifères et reptiles) présentes sur le centre opérationnel du CTIFL de Balandran (Gard) ont été recensées. Linventaire a été réalisé selon plusieurs protocoles adaptés aux taxons étudiés. Pour les oiseaux, 91 espèces sont répertoriées, dont 36 sont nicheuses sur le domaine. Sur les 14 espèces de rapaces observés, plus de la moitié consomme des campagnols. Les mammifères comptent 35 espèces, dont 16 (45 %) sont des chauves-souris. 6 espèces de reptiles résident également sur la liste. Certaines espèces présentes sur le domaine sont menacées. Les aménagements agroécologiques effectués ces dernières années ont été favorables à la faune et doivent se poursuivre. Ces résultats soulignent limportance des milieux agricoles dans le maintien de la biodiversité.
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Dossier : Les agriculteurs bio du Grand Est se mobilisent pour la biodiversité
Joël BOURDERIOUX, Auteur ; Maëlle DROUAILLET, AuteurLe terme de biodiversité désigne la diversité du vivant, celle des écosystèmes, celle des espèces et la diversité génétique. On distingue biodiversité sauvage et biodiversité domestique, cette dernière pouvant être élevée ou cultivée, et on parle aussi de biodiversité fonctionnelle. La biodiversité recouvre ainsi plusieurs réalités. L'agroécologie, dont l'AB, repose sur la valorisation des services écosystémiques. 14 de ces services ont été listés par l'ITAB et l'INRA : structuration du sol, fourniture d'azote minéral aux plantes cultivées, stabilisation des sols et contrôle de l'érosion, etc. 5 facteurs ont été identifiés comme les causes majeures de diminution de la biodiversité, dont la surexploitation. Des travaux de recherche, comparant l'effet des pratiques biologiques sur la biodiversité avec celui des pratiques conventionnelles, révèlent 30 % d'espèces en plus et 50 % d'individus supplémentaires dans les parcelles bio. En Région Grand Est, en particulier sur 2 axes de travail depuis 2018, de nombreuses actions ont été mises en place par les agriculteurs bio pour renforcer les gestes qui favorisent la biodiversité, en partenariat avec la LPO : implantation de haies, d'arbres, installation de nichoirs, etc., d'une part, et, d'autre part, développement de pratiques de gestion des parcelles respectueuses des cycles biologiques de la faune et de la flore (dont un moindre travail du sol). L'exemple de la ferme pilote de Céline Dechaux et de Thierry Remy, en zone Champagne Humide, est présenté : actions entreprises, changements observés... Une opération de sensibilisation des collectivités a été organisée pour impliquer davantage les communes et intercommunalités dans la préservation de la biodiversité.
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Dossier : Quand la haie revit
Carine MAYO, Auteur ; Brigitte LAPOUGE-DEJEAN, Auteur ; Vincent ALBOUY, AuteurAprès avoir fait l'objet d'arrachages et avoir quasiment disparu des paysages agricoles, les haies reprennent peu à peu leur place. Au regard des enjeux du changement climatique, les atouts des haies sont remis en lumière. Dans les jardins, elles offrent de nombreux avantages tout en embellissant les espaces. Ce dossier consacré aux haies développe le rôle des haies dans le retour et dans la protection de la biodiversité, ainsi que dans la limitation de l'érosion des sols. Il fournit également de nombreux conseils pour réaliser, au jardin et dans nos espaces de vie, des haies variées, esthétiques, efficaces pour apporter de la fraîcheur, abriter et nourrir, etc. : - Le renouveau du bocage ? (rôle des haies dans l'écologie et l'économie d'un territoire, actions mises en place par des associations de sauvegarde) ; - Opération transformation (propositions d'amélioration d'une haie existante, du simple embellissement à la transformation...) ; - Chouchous des auxiliaires (présentation de dix espèces sélectionnées pour attirer pollinisateurs et auxiliaires au jardin) ; - Haie libre, taille légère (conseils pour intervenir au bon moment et en douceur).
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Planter des haies de biodiversité - Mellifères, fruitières, pourvoyeuses, climatiques, défensives...
Durant des siècles, la haie protégeait, délimitait, nourrissait. Les dernières décennies ont vu des arrachages massifs ou son remplacement par le « béton vert », la haie monospécifique. Aujourdhui, la haie diversifiée simpose de nouveau et en urgence. Pour des raisons climatiques, esthétiques, écologiques, philosophiques, elle concourt à remettre de la nature et donc de la biodiversité. Taillable (fournissant ainsi broyat, bois, tuteurs ), diverse, elle permet de nombreuses combinaisons dans divers lieux. Labeille a besoin de fleurs, la faune de nourriture et dabris, lhomme de fruits et de plantes. Il est essentiel de se protéger des aléas climatiques, du voisinage, du bruit La haie prodigue tous ces avantages. Cet ouvrage aide à construire un projet de haie, à choisir les espèces végétales (une quarantaine y sont présentées), à ouvrir de nouvelles perspectives au jardinier, au propriétaire dun petit terrain, à lélu. Il sinscrit dans une vision permacole et globale, où larbre retrouve toute sa place, à un moment où canicules, sécheresses et autres dérèglements climatiques sintensifient.
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Nous voulons des coquelicots
« Ceci nest pas un livre. Cest un manifeste. Celui de la vie, des coquelicots dans les champs de blé, des oiseaux au bord du chemin, des abeilles », écrivent les auteurs. Pour eux, les pesticides sont partout, dans l'environnement, dans les plantes, les animaux et les humains. Chez ces derniers, ils provoquent des cancers, des maladies de Parkinson, des troubles moteurs ou cérébraux chez les enfants, des infertilités, des malformations à la naissance. Lexposition aux pesticides est sous-estimée. Quand un pesticide est interdit, d'autres prennent sa place. Le tiers des oiseaux ont disparu en quinze ans ; la moitié des papillons en vingt ans ; les abeilles et les pollinisateurs meurent par milliards ; les grenouilles et les sauterelles semblent comme évanouies ; les fleurs sauvages deviennent rares. Les deux auteurs appellent au réveil des citoyens. Ils lancent un Appel pour l'interdiction des pesticides.
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Dossier : Ces bêtes qui nous embêtent !
Eve GENTIL, Auteur ; Pauline USSON, Auteur ; Samuel DUGAS, AuteurA travers ce dossier, les auteurs présentent un tour d'horizon des animaux sauvages responsables de dégâts sur les parcelles agricoles : sangliers, lièvres, lapins, ou encore corvidés. Les solutions possibles (piégeage, chasse, clôtures électrifiées, mise en place de « garde-manger » pour que les animaux n'aient pas besoin de se nourrir avec les cultures ) et les aides existantes (indemnisations des dégâts, aides à l'investissement pour la mise en place de clôtures adaptées ) sont présentées. Ce dossier est agrémenté de témoignages d'éleveurs et d'acteurs du monde cynégétique. Pour mieux appréhender les dégâts, il semble notamment nécessaire de renforcer les liens entre agriculteurs et chasseurs-piégeurs.
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La fréquentation d'aménagements agroécologiques révélée par piègeage photographique
Michel JAY, Auteur ; Jean-Michel RICARD, AuteurAfin dévaluer le bien-fondé de certains aménagements agroécologiques conseillés en vergers, des pièges photographiques sont déployés depuis 2014 sur le centre Ctifl de Balandran, dans le Gard. Ils surveillent nuit et jour certaines infrastructures par sessions successives de plusieurs mois : perchoirs à rapaces, mare, barrière anti-campagnols, nichoirs Sur les perchoirs, 23 espèces doiseaux ont été photographiées, dont 9 de rapaces. La mare a attiré 26 espèces doiseaux (dont 7 de rapaces) et 6 de mammifères. La surveillance dune barrière anti-campagnols a révélé la présence régulière du Renard roux (V. vulpes). Les résultats obtenus montrent lintérêt daménagements simples et peu coûteux sur une exploitation. Les pièges photographiques utilisés sont efficaces. Ils ont permis de recenser 45 espèces doiseaux sur les 63 présentes sur le centre Ctifl de Balandran.
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Guide technique : Favoriser la biodiversité dans ses vignes
La préservation de la biodiversité, quelle soit patrimoniale ou ordinaire, est devenue un enjeu important dans nos campagnes. Cest pourquoi la LPO et la CAB Pays de la Loire ont coopéré pour rédiger ce guide technique destiné aux vignerons désireux de favoriser la biodiversité au sein de leur domaine. Comme tout gestionnaire de lespace agricole, le vigneron peut jouer un rôle dans la restauration et la préservation des espèces et des paysages. Après avoir décrit la biodiversité présente dans les vignes des Pays de la Loire (oiseaux, mammifères, invertébrés, flore ) et détaillé quelques indicateurs permettant de lévaluer, ce guide technique explique pourquoi et comment favoriser les espaces enherbés, les haies, les zones arborées et dautres habitats bénéfiques pour le développement de la faune (aménagement du bâti, mares et étangs, nichoirs pour les oiseaux, gîtes pour les chauves-souris et hôtels à insectes).