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CLIMAT |
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Synthèse des essais en grandes cultures bio - Campagne 2013-2014
Les expérimentations sur les grandes cultures bio réalisées par le GRAB Haute-Normandie représentent une source de références agronomiques et économiques fort utiles au développement de l'agriculture biologique dans la région. Ce document présente les résultats d'essais réalisés en collaboration avec les agriculteurs biologiques, les techniciens du GRAB Haute-Normandie et les techniciens de BIOCER (coopérative de céréales biologiques dans l'Eure). L'objectif principal est la recherche d'espèces et de variétés céréalières adaptées à la conduite en agriculture biologique et aux conditions pédoclimatiques de la région. Au sommaire : - 1. Introduction ; - 2. Bilan climatique ; - 3. Légendes des tableaux ; - 4. Essai microparcelles blé tendre ; - 5. Résultats pluriannuels des essais microparcelles ; - 6. Essai macroparcelles blé tendre ; - 7. Au final, que choisir ? ; - 8. Essai microparcelles triticale ; - 9. Lentille en cultures associées.
L'agriculture biologique plus efficace face au changement climatique : elle fixe davantage de carbone dans le sol
Adrian MÜLLER, AuteurUne méta-analyse portant sur 74 études publiées dans le monde entier qui avaient mesuré le carbone organique dans l'humus des sols cultivés en bio et en conventionnel a révélé que les réserves en carbone des sols de l'agriculture biologique sont supérieures à celles des sols non biologiques d'en moyenne 3,5 tonnes par hectare Présentation des principaux résultats et analyses rapides : rôle des domaines agricoles en polyculture-élevage, effet du gaz carbonique dans l'atmosphère, potentiel de l'agriculture biologique comme système agricole respectueux du climat.
Caractérisation du changement et de la variabilité climatiques en vue de l'adaptation des systèmes fourragers à base d'herbe
M. SAUTIER, Auteur ; R. MARTIN-CLOUAIRE, Auteur ; Michel DURU, AuteurAfin d'adapter les systèmes d'élevage herbagers au changement climatique, des indicateurs ont été mis au point pour caractériser l'exposition de l'exploitation. Ces indicateurs sont basés sur la temporalité et la durée des saisons fourragères et sur le bilan fourrager. La caractérisation d'années fourragères permet de compléter cette approche. A l'avenir, on s'attend à un été et une fin d'hiver plus précoces, ainsi qu'un plus grand déficit d'herbe en été. Certains types d'années climatiques fréquents dans le passé ne se produiront pas ou peu dans le futur et inversement : les trois types d'années les plus fréquentes, qui représentaient 71 à 77% des cas dans le passé, ne représenteront plus que 20 à 53% des cas dans le futur. Il sera donc nécessaire de réajuster profondément les systèmes d'élevage. La représentation graphique des années fourragères est un outil pour faciliter l'adaptation des systèmes d'élevage, car elle permet de visualiser l'ampleur des adaptations nécessaires.
Culture biologique des choux
Le réseau des référents techniques régionaux agriculture biologique des Chambres d'Agriculture de Rhône-Alpes a réalisé un ensemble de fiches technico-économiques. Ces fiches sont des outils d'accompagnement des projets d'installation et de conversion. Cette fiche porte sur la "Culture biologique des choux" et traite notamment des points suivants : - Paramètres de la production (Climat et sol ; Rotation ; Semences) ; - Calendrier de production et choix variétal ; - Pépinière (Plants en mottes ; Plants en racines nues ; Plants en racines nues issus de minimottes) ; - Culture (Travail du sol ; Plantation ; Fertilisation ; Entretien et désherbage ; Irrigation ; Principaux ravageurs et maladies ; Protection des cultures ; Récolte ; Conservation) ; - Éléments technico-économiques (Temps de travaux ; Charges directes).
L'écho des herbages
François LERAY, Auteur ; Nathalie GOUEREC, AuteurDes éleveurs de Côtes d'Armor témoignent sur la saison d'herbe atypique qu'ils viennent de passer. La mise au pâturage a été tardive à cause du manque de portance et de la faible pousse de l'herbe. Les rendements en foin sont moins bons que l'an passé, mais celui-ci est de meilleure qualité. Les stocks réalisés sont suffisants pour passer l'année. Pour Franck Le Breton, la pousse de l'herbe n'a pas été habituelle, ce qui a compliqué la gestion du pâturage. La repousse était meilleure derrière les fauches pas trop rases. Fabrice Charles a choisi de conserver le stock sur pied dans toutes les parcelles accessibles, et estime que ce stock pourra durer presque jusqu'à fin août alors qu'un autre éleveur pense ouvrir le silo de maïs dès fin juillet. Son troupeau en monotraite est un avantage dans une année à faible production de fourrage. Jean-Marc Geffroy considère que la pousse d'herbe a permis de constituer un stock suffisant pour une année normale, mais pas de reconstituer un stock de sécurité. Trois autres éleveurs témoignent de leur expérience.
Les estives collectives du Massif Central, sources de flexibilité pour les éleveurs confrontés au climat
C. RIGOLOT, Auteur ; S. ROTURIER, Auteur ; B. DEDIEU, Auteur ; ET AL., AuteurFace aux aléas climatiques, les estives peuvent être un levier d'adaptation, concourant à la flexibilité des élevages, en particulier bovins et ovins. L'étude présentée ici porte sur les estives collectives, sur lesquelles des contraintes particulières pèsent (ex : présence d'un gardien et de règles collectives), faisant que la contribution de ces estives à la flexibilité des élevages diffère de celle des estives individuelles. L'étude, basée notamment sur des enquêtes faites en Auvergne, montre quatre grands profils d'utilisation de ces estives par les éleveurs. Certains les utilisent de façon structurelle (envoi, chaque année, du même nombre d'animaux). D'autres, de façon plus stratégique, adapteront le nombre d'animaux estivant chaque année. Des éleveurs ont une approche plus tactique qui les amène à faire évoluer, en cours d'année, le nombre d'animaux à l'estive. Enfin, une dernière catégorie combine approches stratégique et tactique, en faisant évoluer, selon les aléas climatiques, le nombre d'animaux estivant à la fois chaque année et au cours d'une même année. En plus du nombre et du type d'animaux à l'estive, les dates de montée ou de descente sont aussi des leviers d'adaptation. Mais, certaines contraintes limitent la flexibilité individuelle des éleveurs, comme la nécessité d'avoir un nombre minimal d'animaux présents pour permettre le financement du gardien ou l'impossibilité d'avoir trop d'animaux présents ou trop de changements dans les troupeaux. L'expérience du gardien ou encore la capacité comportementale des animaux à s'adapter sur les estives sont aussi des facteurs de flexibilité à prendre en compte. Enfin, le type de gestion collective de l'estive (par exemple, avec une gestion du risque collective ou individuelle) est aussi source potentielle de flexibilité.
Observations et projections climatiques à l'échelle de la France : l'exemple de la ressource en eau
Grégoire PIGEON, Auteur ; J.-M. SOUBEYROUX, Auteur ; Michel DEQUE, AuteurEn France, la température a augmenté en moyenne de 1°C au cours du XXème siècle, les précipitations hivernales ont diminué dans la moitié sud de la France, et les sols se sont généralement asséchés. Des projections climatiques pour le XXIème siècle sont réalisées par simulations des écoulements atmosphériques suivant différents scénarios d'émissions de gaz à effet de serre. Il est ainsi possible d'avoir, en France, une analyse régionale. Ces projections indiquent un réchauffement significatif des températures, surtout en été, et une diminution des précipitations en toutes saisons sauf en hiver. Pour la végétation, la réduction de la ressource en eau et une intensification de sécheresses du sol superficiel sont à attendre, notamment dans les régions les plus humides aujourd'hui.
Prairies et changement climatique
Jean-François SOUSSANA, AuteurLe changement climatique est une réalité, confirmée par le 4ème rapport du GIEC. Les variables climatiques (température, pluviométrie et teneur atmosphérique en CO2) ont augmenté, avec un accroissement de la variabilité climatique et des extrêmes. Dans ce contexte, l'agriculture doit faire face à un double défi : lutter contre le changement climatique et s'y s'adapter. En France, l'agriculture est responsable de près de 20 % des émissions de GES et doit donc participer à l'effort de réduction des émissions, mais aussi stocker du carbone, économiser du fuel et produire de l'énergie à partir de biomasse. L'adaptation de l'agriculture au changement climatique nécessite des recherches coordonnées aux échelles nationale, européenne et internationale. La recherche sur les interactions entre changement climatique et prairie a progressé ces dernières années, mais il reste encore beaucoup à faire pour bien anticiper les changements. Malgré la hausse du taux de CO2, la production des prairies n'augmentera probablement pas à cause du déficit hydrique estival plus important. L'évolution de la composition floristique des prairies permanentes modifiera la qualité des fourrages. Il sera probablement nécessaire d'adapter le choix des espèces et la gestion des prairies face aux extrêmes climatiques.
Les principes de la fertilité des sols : Construire sa relation avec le sol
Alfred BERNER, Auteur ; Herwart BÖHM, Auteur ; Robert BRANDHUBER, Auteur ; ET AL., Auteur | FRICK (Ackerstrasse 113, Case Postale 219, CH-5070, SUISSE) : FIBL (Institut de recherche de l'agriculture biologique) | 2013L'amélioration de la fertilité des sols est un des principes de l'agriculture biologique, et ce parfois au détriment de la conservation des sols déjà fertiles (concentration sur les sols difficiles et parfois oubli d'entretenir correctement les sols riches). Pourtant, celle-ci est essentielle car un sol affaibli ou endommagé retrouvera difficilement cette qualité attendue en agriculture bio. Il est donc essentiel de réfléchir à la relation de l'homme avec le sol afin de pratiquer une culture du sol durable. Ainsi, cette brochure, après avoir exposé les principes de la fertilité des sols, présente des méthodes d'observation et des outils permettant d'évaluer cette fertilité : observation directe des plantes, du sol, de la vie du sol, test à la bêche, utilisation d'un pénétromètre ou encore d'un pH-mètre. Les auteurs exposent ensuite plusieurs principes et techniques permettant de maintenir ou d'améliorer la fertilité d'un sol : - la gestion de l'humus ; - les rotations culturales ; - les engrais organiques ; - les engrais verts et les prairies temporaires ; - favoriser les adventices au lieu de lutter contre les mauvaises herbes ; - le tassement du sol et les moyens de l'éviter et d'y remédier ; - l'érosion du sol et les moyens de l'éviter. Une partie est consacrée à l'avenir de la culture du sol, qui doit tenir compte du climat dont elle est fortement interdépendante, et de la stabilité de l'écosystème agricole dans son ensemble. Enfin, quelques idées et perspectives pour l'agriculture biologique du futur sont proposées. Les auteurs s'appuient, dans cette brochure, sur différents points de vue scientifiques et ruraux.
Rapport annuel 2012
Présentation du rapport annuel 2012 de Bio Suisse : - Avant-propos : Des pas importants vers encore plus de durabilité ; - Garantie d'une pizza Bourgeon (bien-être des animaux, globalité, goût, diversité, confiance, équité, protection des ressources) ; - Agriculture : Les fermes Bourgeon protègent le climat et favorisent la biodiversité, la mise en place complexe de "La Suisse, Pays Bio" ; - Transformation : Bio Suisse soutient les transformateurs dans leur développement ; - Commerce : La confiance dans le Bourgeon est un capital essentiel ; - Finances et Fédération : Bilan du 31 décembre 2012 et comparaison avec 2011, Compte d'exploitation du 1er janvier au 31 décembre 2012 et 2011, Finances, Organisation et contacts ; - Fédération.
La recherche : Maïs population : Bilan d'une première année d'expé bretonne
Goulven MARÉCHAL, Auteur ; Emma FORST, AuteurLe projet Maïs POP développe un réseau régional de sélection participative pour expérimenter et promouvoir la diversité du maïs "population" en Bretagne. En 2012, 32 paysans bretons ont mené des observations sur 10 variétés de maïs populations. Ces variétés sont testées, depuis plusieurs années déjà, dans le Périgord et, depuis 2010, chez des adhérents du CIVAM Adage 35. L'enjeu est de savoir si elles seront capables de s'adapter au climat breton. Les variétés observées sont : Aquartzan, Blanc de Monein, Borie Lautrec, Grand Roux Basque, Green, Lavergne Joly, Lavergne, Poromb, Rouge d'Astarac, Sireix. Présentation de l'expérimentation : Les hypothèses ; Le protocole ; Résultats 2012 ; Composition des grains.
Repères : Chiffres clés de l'environnement : Edition 2013
La sélection des données synthétiques présentées dans ce document couvre la plupart des enjeux environnementaux dans un panorama concis et donne un rapide aperçu des principales tendances caractérisant les relations entre la société, l'économie française et l'environnement Sommaire : - Partie 1 : Milieux naturels et biodiversité : état, pressions ; Climat : Effet de serre ; Air ; Eaux ; Sols ; Biodiversité ; - Partie 2 : Gestion et utilisation des ressources naturelles : Consommation d'espace ; de matières ; d'eau ; d'énergie ; de ressources biologiques ; Déchets ; - Partie 3 : Economie de l'environnement et évolution des comportements : Opinion ; Risques ; Economie ; Transports ; Agriculture ; - Comparaisons européennes.
Changement climatique : De la perception à l'adaptation
P. TOUCHAIS, AuteurLe changement climatique, lié à l'augmentation de la teneur en gaz à effet de serre dans l'atmosphère, est aujourd'hui un fait, avec un accroissement de la température moyenne d'1°C au XXème siècle selon le GIEC (Groupe d'experts Intergouvernemental sur l'Évolution du Climat). Ce phénomène, qui devrait s'amplifier, aura des impacts sur l'agriculture. Dans ce contexte, les Chambres d'agriculture ont réalisé une enquête auprès de leurs agents pour analyser la perception des effets du changement climatique et l'adaptation des stratégies de développement des exploitations. Pour 70 % d'entre eux, le changement climatique a déjà impacté l'agriculture française. Toutefois, l'enjeu de l'adaptation n'est pas encore prioritaire face à la nécessité d'être compétitif économiquement, d'être performant techniquement et d'améliorer les conditions de travail. Cette enquête a aussi permis, par l'intermédiaire des agents des Chambres, de prendre connaissance de la perception des agriculteurs : seule une partie d'entre eux considèrent le changement climatique comme une réalité, et ce n'est pas encore un enjeu majeur dans la stratégie de développement des exploitations.
Le changement climatique et le vin
Le changement climatique est aujourd'hui un fait reconnu par la communauté scientifique. Le réchauffement planétaire qui devrait aller en s'accélérant engendre déjà des modifications notables dans la viticulture et l'élaboration des vins. Cependant, il faut souligner que les effets induits sur la viticulture procèdent d'une approche complexe, tant les spécialistes ont des avis divergents sur la question. Quels en sont les impacts ? Les conséquences à long terme ? Comment gérer cette évolution ? Cet ouvrage expose les données actuelles de l'évolution du climat, son effet sur la qualité des vins et présente les premières solutions envisageables pour atténuer, si ce n'est résoudre, les problèmes naissants.
Conseils : Le photovoltaïque, un bon investissement ?
Max MEYER, AuteurEn Suisse, de nombreux domaines agricoles disposent de conditions idéales pour l'installation de capteurs solaires photovoltaïques, mais cette installation pour produire de l'électricité à injecter dans le réseau public est un projet qui engage sur le long terme Pour investir, il s'agit d'évaluer le rendement technique, les coûts d'investissement, ainsi que les revenus possibles fournis par l'injection du courant dans le réseau (qui doivent permettre d'amortir l'installation). L'article apporte des détails sur la rétribution de la plus-value écologique, condition de la rentabilité : Rétribution à prix coûtant du courant injecté (RPC) payée par la Confédération via Swissgrid, conséquences du plafonnement auquel est soumis ce système d'encouragement. Par ailleurs, l'article précise que l'investissement dans une installation photovoltaïque combinée peut s'avérer rentable même sans RPC (construction d'une stabulation ou assainissement d'un toit). L'article présente une fiche technique sur le climat, l'installation photovoltaïque de Bioland Müller, Steinmaur ZH, l'exemple d'une installation photovoltaïque de 29 kW et le calcul de son rendement financier.