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CLIMAT |
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Agriculture Biologique : Compte-rendu des essais réalisés en Picardie : Récolte 2011
Samantha BERTRAND, Auteur ; Pierre MENU, Auteur ; Gilles SALITOT, Auteur | AMIENS CEDEX 3 (19 bis Rue Alexandre Dumas, 80 096, FRANCE) : CHAMBRE REGIONALE D'AGRICULTURE DE PICARDIE | 2011Ce document présente les résultats des essais réalisés sur différentes variétés de céréales en AB, par les Chambres d'agriculture de Picardie, lors de la campagne 2010/2011. Le climat de cette campagne, présenté au début du document, a été très particulier, puisqu'un déficit hydrique printanier record a été enregistré. Cinq essais ont été conduits en agriculture biologique : trois essais variétaux sur le blé tendre d'hiver, le grand épeautre et le triticale, un essai sur la fertilisation azotée des céréales d'hiver avec des produits à base de luzerne, et un essai sur les populations de blé tendre d'hiver. Pour chacun des essais, les objectifs, le protocole et les modalités, les observations en végétation et les résultats sont présentés. Enfin, une synthèse des essais variétaux en blé et triticale dans le Bassin parisien vient compléter ces données (rendements et taux de protéines).
Agriculture, une nouvelle approche sur le champ
ADEME, AuteurLe secteur agricole concentre de multiples problèmes et enjeux (sécurité agricole, préservation de la qualité de l'eau, du sol, de l'air, de la biodiversité, énergie, émission de gaz à effet de serre ) qui nécessitent une nouvelle approche environnementale des modes de production. Antonio Bispo et Isabelle Feix, de l'Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie, détaillent les axes de travail de l'Ademe pour la préservation de la qualité des sols (stockage de carbone, sécurité sanitaire des productions agricoles, changement d'affectation des sols, qualité biologique des sols ). Les modèles CLIMAGRI et DIA'TERRE, créés par l'Ademe, sont également présentés. CLIMAGRI permet de mesurer l'impact énergétique et les émissions de gaz à effet de serre liées aux activités agricoles et à la forêt à l'échelle du territoir. DIA'TERRE mesure les consommations énergétiques directes et indirectes des exploitations agricoles. Les trois plus gros postes au niveau desquels des économies d'énergies peuvent être réalisées dans le secteur agricole sont les serres chauffées (sources d'énergie alternatives), les bâtiments d'élevage (systèmes de récupération de chaleur ) et les agro-équipements (réglage des machines, conduite souple ).
Aléas climatiques : 2011, une année très sèche et atypique !
Au cours des dix dernières années, la France a connu des sécheresses successives et celle de 2011 a été l'une des plus importantes. En effet, celle-ci a été très précoce avec un déficit pluviométrique dès le début de l'hiver. De plus, les températures ont été généralement supérieures aux normales et l'ensoleillement globalement plus important. Ainsi, les réservoirs naturels et les niveaux des cours d'eau ont été très inférieurs à ce qui est observé habituellement. Dans cet article, le service Eau et Biodiversité de la Direction Départementale des Territoires (DDT) de l'Aveyron fait le point sur le climat de cette année 2011, très sèche et atypique.
Comportement d'une prairie de mélange soumise aux pratiques locales en zone semi-aride d'Algérie
Dans les hautes plaines d'Algérie, notamment dans les parties semi-montagneuses, l'élevage de ruminants repose en partie sur l'utilisation de prairies naturelles. Mieux valoriser ces surfaces fourragères et accroître leur contribution dans l'alimentation des animaux est un enjeu d'importance pour la durabilité des exploitations... et du milieu. Dans le cadre du Projet PERMED, 1 ha de prairie de bas-fond d'une exploitation de zone semi-aride d'altitude a été rénové par semis d'une prairie multispécifique. Les performances (production et composition floristique) de ce mélange fourrager et de la prairie naturelle préexistante ont été suivies pendant 4 ans. La variabilité interannuelle des précipitations et de la production est importante. Au bout de 2 ans, la production pour pâture et fauche de la prairie rénovée est significativement supérieure à celle de l'ancienne prairie, ainsi que la quantité prélevée par les animaux. La proportion de graminées augmente progressivement aux dépens de celle des légumineuses ; l'irrigation par submersion et la rigueur des températures hivernales et printanières peuvent être à l'origine de cette dégradation floristique et des fortes fluctuations interannuelles.
"Concevoir une agriculture climatiquement neutre"
Markus BÄR, AuteurL'agriculture émet entre 14 et 33 % des émissions globales de gaz à effet de serre. Le FiBL a étudié des méthodes agricoles capables à la fois de ménager le sol, de protéger le climat et de stocker le CO2 dans le sol en favorisant son humification. Ainsi, après 7 ans d'essais portant notamment sur la réduction du travail du sol et diverses variantes de fumure, il apparaît que les grandes cultures peuvent être climatiquement neutres et fournir de meilleurs rendements. Par contre, les mauvaises herbes peuvent devenir un problème en cas de réduction du travail du sol et il faut alors veiller à la rotation. Le FiBL a ainsi calculé que, dans les grandes cultures, le système étudié permet de fixer durablement dans le sol 2 tonnes de CO2 par hectare et par an.
Cultiver des haricots verts biologiques destinés à la transformation : Repères technico-économiques
Cette fiche a été élaborée dans le cadre du projet CAS DAR n°9016 « Accompagnement du développement et de la structuration de la filière légumes de plein champ en zones céréalières biologiques » (programme LPC Bio, porté par Bio Centre). Elle aborde plusieurs aspects de la production du haricot vert : Carte d'identité (caractéristiques physiologiques, besoins de la plante) ; Place dans la rotation, choix de la parcelle ; Itinéraire technique (Calendrier de production ; Exemple d'un itinéraire technique après oignon en sol limoneux de Beauce (campagne 2010) ; Semis ; Variétés ; Fertilisation ; Climat et eau ; Désherbage ; Maladies et ravageurs ; Récolte et transport) ; Contexte de la production.
Dossier : Le climat, l'énergie et vous
Thierry JACCAUD, Auteur ; Mark JANSEN, Auteur ; Tom LEVITT, Auteur ; ET AL., AuteurLe dossier tente d'apporter des réponses sur la façon de sortir rapidement du nucléaire et du pétrole, sachant que la crise climatique n'est plus sérieusement contestée aujourd'hui. Il est composé comme suit : - Dix raisons pour sortir du nucléaire (du risque d'accident aux citoyens) ; - Le pétrole ou l'Arctique, il faut choisir ; - Total à l'assaut de Madagascar (au nord-ouest de Madagascar, Total s'est lancé dans le projet d'extraction de sables bitumineux) ; - Que fait la Banque européenne de la reconstruction (BERD) ? (la BERD fête cette année ses vingt ans. Pour lutter contre la crise climatique, a-t-elle changé ?) ; - Le pétrole vert n'existe pas (cinq millions de jatropha seraient cultivés dans le monde. Retour à la réalité par les Amis de la terre) ; - Fukushima est partout (témoignage de Günther Anders, qui s'est positionné, dans ses écrits, contre le nucléaire, depuis les années 1980) ; - La résilience : commencez maintenant ! (un dirigeant d'une grande entreprise américaine, Chris Martenson, a envisagé la question de la résilience et a changé de vie, dans l'éventualité d'un effondrement du système économique) ; - La sobriété, base de la transition énergétique (pour Richard Heinberg, l'un des principaux spécialistes internationaux de l'énergie, développer les énergies renouvelables est indispensable, tout comme la sobriété).
Dossier : Prairies : Valoriser la diversité de la ressource fourragère, sujet d'étude du nord au sud
Jean-Marc GALTIER, Auteur ; Arnaud POUSTHOMIS, Auteur ; Myriam BERTHOMIEU, Auteur ; ET AL., AuteurCe dossier, à travers des projets de recherche ou des témoignages issus de l'Aveyron, présente l'importance d'une bonne gestion de la ressource fourragère, d'autant plus face aux aléas climatiques et dans un contexte de crise financière. Ce dossier compte trois grands thèmes : i) la présentation des premiers résultats du suivi d'un réseau de 32 parcelles tests, implantées chez des agriculteurs sud-aveyronnais en luzerne, luzerne/fétuque ou encore en mélanges prairiaux ; ii) l'intérêt des systèmes « économes et de terroir » en particulier en zone Roquefort, avec la présentation d'une ferme caractéristique de cette approche ; iii) une synthèse des résultats d'un projet mené entre 2007 et 2010 portant sur le suivi de fermes en AOC (bovins lait) et qui avait notamment montré l'impact négatif d'une gestion non optimisée de la ressource fourragère. Ce dossier inclut aussi un résumé de l'analyse de données sur trente ans issues de 11 stations météorologiques du Grand Sud Est sur l'évolution climatique.
Elevage : Comment résister aux aléas ?
Géraud CHABRIAT, AuteurL'unité de recherche sur les herbivores de l'INRA de Clermont-Theix travaille sur la modélisation du fonctionnement de différents systèmes d'élevage, afin d'estimer l'impact de chocs éventuels et d'évaluer l'intérêt de certains systèmes innovants. Des chercheurs ont ainsi évalué, dans le cas d'une exploitation bovins allaitants, la sensibilité des résultats économiques aux aléas climatiques. Ils ont également défini quels ajustements tactiques mettre en place en cas de variations importantes des rendements (vente précoce de génisses, ou achat d'aliments). Il apparaît que les pertes dues à un aléa climatique se répercutent sur plusieurs années, et qu'elles ne sont pas complètement compensées par les bonnes années. Un autre projet de modélisation concerne les élevages ovins allaitants biologiques, et vise à vérifier l'hypothèse selon laquelle une segmentation des périodes de reproduction pourrait sécuriser les exploitations face aux aléas des prix de la viande. Les résultats montrent que les systèmes à 4 sessions de lutte sont moins sensibles aux aléas que les systèmes à 2 sessions, et que cette organisation permet de réduire les impacts des variations du prix de la viande. De plus, les brebis vides de la session précédente sont recyclées plus rapidement. Néanmoins, cette conduite nécessite une plus grande consommation de concentrés (le cycle du troupeau ne correspond plus au cycle de l'herbe). Le système est donc plus dépendant du prix des céréales.
Entretiens de Millançay : L'arbre Pilier de l'Ecosystème
François GARCZYNSKI, Auteur ; Alain CANET, Auteur ; Daniel RODARY, Auteur ; ET AL., Auteur | MILLANÇAY (Ferme de Sainte-Marthe, 41200, FRANCE) : ENTRETIENS DE MILLANÇAY | 2011Les entretiens de Millançay se sont déroulés du 30 septembre au 2 octobre 2011, dans le Loir-et-Cher. Ce compte-rendu porte sur le rôle fondamental de l'arbre dans la préservation des ressources et de la vie sur Terre. L'article contient les comptes-rendus des présentations de trois intervenants. François Garczynski est ingénieur du génie rural, des eaux et forêts, spécialiste de l'Agro-Arbrerie et de l'influence bénéfique des arbres sur la végétation environnante. Il explique que l'arbre est accusé à tort de voler terre et eau aux récoltes agricoles, alors qu'il présente de nombreux atouts dans la gestion de ces ressources et sur l'augmentation des rendements. Alain Canet est président de l'association Française d'Agro-Foresterie et directeur d'Arbres et Paysages. Il revient sur le rôle des arbres au sein des parcelles. Daniel Rodary de l'association Biomimicry Europa, coordinateur du programme « Arbres sauveurs » basé sur les arbres Oxalogènes en milieu tropical, notamment en Haïti, présente trois exemples d'applications de système durable qui s'inspire du vivant : le vermicompost, le foyer à biochar et la plantation d'arbres oxalogènes ayant la capacité de fixer le carbone de l'air dans le sol sous forme de concrétions calcaires. Dominique Mansion, spécialiste des haies et trognes, donne la définition des trognes et présente l'utilisation qui peut en être faite.
Ferme expérimentale de Grignon : Produire propre et plus
S. FAVRE, AuteurLa ferme expérimentale de l'école AgroParisTech, dans les Yvelines, a réduit sa consommation d'énergie de 24 % en cinq ans, dans le cadre du dispositif Grignon Energie positive, l'objectif étant de devenir un site à énergie positive. Les mesures pour y parvenir sont choisies de manière à conserver la marge globale de l'exploitation, ainsi que sa capacité de production. Une des mesures entreprise en 2008 est la récupération de la menue paille (composée de pailles broyées, glumes, glumelles, graines d'adventices et poussière) afin de réduire les problèmes de désherbage et de favoriser la mise en uvre de techniques culturales simplifiées. Si cette pratique permet de réduire le poste de charges phytosanitaires, elle implique une exportation supplémentaire de matière organique, qui doit être compensée par l'apport d'effluents d'élevage. La menue paille est, à Grignon, intégrée dans la ration des moutons et des génisses, et pour celle du blé, vendue pour la litière de pondeuses. Une autre pratique est l'augmentation de la surface de luzerne et de féverole, qui enrichissent le sol en azote pour les cultures suivantes et réduisent le poste fertilisation. Alors que les pratiques en élevage ont un impact significatif sur la consommation d'énergie de la ferme, les résultats sur les cultures sont moins convaincants. L'impact des pratiques mises en uvre dépend en effet beaucoup plus des conditions climatiques.
Les fiches techniques du réseau GAB / FRAB : Elevage
Le réseau GAB/FRAB, en Bretagne, a édité, de nouvelles fiches techniques. Dans la série "Élevage" : - Fiche n°2 : Volailles de Chair (Conversion ; La filière ; L'autonomie alimentaire, la clé de la réussite ! ; Organisation des bâtiments et accès à l'extérieur ; Quel bâtiment choisir ? ; Aménager ses parcours ; Pratiques d'élevage et équilibre sanitaire des animaux ; Abattoir) ; - Fiche n°3 : Produire des Porcs en Agriculture Biologique (Les élevages de porcs en Bretagne ; Alimentation et autonomie ; Bâtiments : une réglementation précise ; Références technico-économiques ; Commercialisation ; La période de conversion ; Les pratiques d'élevage et la santé) ; - Fiche n°4 : Vaches allaitantes : Points techniques et commercialisation (Conversion ; Autonomie alimentaire ; Surface des bâtiments ; Fourrages ; Privilégier les prairies multi-espèces ; Concentrés ; Finition des animaux ; Autre mode de conservation : l'inertage (qui concerne aussi les céréales) ; Débouchés) ; - Fiche n°5 : La gestion du pâturage tournant (Des prairies d'association ; Définir les surfaces accessibles au pâturage ; Optimiser le temps de repousse : calculer la taille de la parcelle ; Découper des parcelles homogènes ; Gérer le pâturage tournant ; Créer des chemins d'accès) ; - Fiche n°6 : Aléas climatiques et Gestion des fourrages (Règlement CE 889-2008 Guide de lecture ; Adapter le système ; Évaluer les stocks tôt dans la saison, afin de réagir au plus vite ; Vérifier les réductions possibles de cheptel ; Ensiler les mélanges céréaliers ? ; A quel stade ensiler ? ; Les dérobées... ; La paille : Attention...).
Le guide du potager bio en Provence
Les spécificités du climat provençal, et plus largement méditerranéen, rendent parfois difficile la conduite d'un potager : climat chaud et sec en été, froid en hiver, avec des précipitations irrégulières. De plus, les terres y sont souvent pauvres. Cependant, en suivant les conseils de l'auteur, il devient aisé de cultiver des légumes presque toute l'année dans son jardin. Grâce à son expérience et aux témoignages qu'il a recueillis, Blaise Leclerc indique dans cet ouvrage les particularités du jardinage bio en Provence : comment préparer un potager en terrain aride, fertiliser sa terre, travailler son sol et le protéger contre les rayons du soleil, choisir des légumes adaptés au climat... Il présente de façon détaillée 56 plantes potagères (melon, piment, basilic, mais aussi patate douce, chayotte...) avec, pour chacune, des conseils de plantation, d'entretien, de lutte contre les ravageurs et les maladies, de récolte et de conservation, ainsi qu'un calendrier des travaux et les variétés à choisir. Blaise Leclerc est ingénieur agronome et jardinier en Provence depuis 25 ans. Il dirige le bureau d'études Orgaterre, spécialisé dans les relations entre l'agriculture et l'environnement, et est expert à l'ITAB (Institut Technique de l'Agriculture Biologique).
Le maïs fourrage : élaboration du rendement et de la qualité, récolte et conservation
B. CARPENTIER, Auteur ; G. CABON, AuteurDans FOURRAGES (N° 205 - Récolte et valorisation des fourrages conservés (I) Mars 2011) / p. 11-23 (13)Le maïs fourrage occupe, en France, une place importante dans nombre de systèmes fourragers, particulièrement en production laitière. La régularité de sa qualité, sa valeur énergétique élevée, sa simplicité de culture et de conservation expliquent cette situation. L'article analyse les facteurs de réussite d'un bon ensilage. Le développement du maïs ensilage en France est rapidement décrit : les surfaces se sont stabilisées autour de 1,4 million d'hectares. Le cycle de végétation de la plante est ensuite décrit, de même que l'influence des choix culturaux (choix de précocité variétale, date de semis et de récolte) et des conditions de végétation sur le rendement, la composition chimique et la valeur énergétique du fourrage. Le choix de la date de récolte est déterminant pour maintenir la quantité et la qualité du fourrage produit au champ ; l'objectif est de récolter une plante entre 30 et 35% MS plante entière. Le maïs fourrage est d'abord source d'énergie pour la vache laitière ; il nécessite d'être justement complémenté en MAT et en minéraux pour apporter à l'animal une ration saine et équilibrée.
Manque de fourrages : Perspectives climatiques et pistes de réflexion...
Mathieu CAREIL, AuteurDes études ont été réalisées pour mesurer les évolutions climatiques (GIEC) et les conséquences sur la production fourragère (INRA). Les résultats obtenus doivent permettre d'apporter des éléments sur les stratégies à adopter, à long et à court terme, sur les fermes, pour faire face au dérèglement climatique. Cette adaptation doit se faire à plusieurs niveaux : sur les systèmes d'élevage avec la date de vêlage ou d'agnelage, la production laitière, le type de production animale, et sur les systèmes fourragers avec les niveaux de chargement, la part des aliments dans la ration.... A ces adaptations stratégiques sur le long terme, s'ajoutent des adaptations tactiques concernant la gestion annuelle et saisonnière adaptée au climat de l'année. Ainsi, des stocks de céréales ensilées peuvent être constitués pour pallier un manque éventuel de fourrage ou le sorgho peut se substituer au maïs en condition sèche. Trois agriculteurs témoignent de leur expérience face à la sécheresse et des encarts présentent les prospectives sur les précipitations d'après le Giec, les conséquences du changement climatique sur la production fourragère, ainsi que les prospectives des rendements des prairies comparés aux niveaux actuels.