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2050 : Sauve qui peut la Terre !
Dans la lignée du film d'Al Gore, "Une vérité qui dérange", Michel Tarrier revient sur les raisons qui expliquent le saccage et l'épuisement des ressources perpétrés par l'activité humaine. Il décrit avec précision les conséquences du mode de vie de l'homme sur le climat à l'horizon 2050 et met l'accent sur la désertification programmée de la planète. Michel Tarrier explique que si la tendance actuelle n'est pas inversée, un monde littéralement invivable sera légué aux générations futures. Cet ouvrage fait donc le point sur les risques qu'encourt le globe et impose la réflexion, à une époque où l'écologie apparaît comme l'une des préoccupations majeures des Français.
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Accaparement des terres en Afrique : Quel avenir pour les paysans ?
Théo GNING, AuteurL'accaparement des terres, phénomène mondial, désigne la location ou l'achat de terres agricoles, destinées initialement aux communautés locales, par des gouvernements ou des investisseurs étrangers. L'Afrique, qui possède un quart des terres fertiles du monde, en est la première victime (41 % des 1600 opérations foncières recensées). Les secteurs d'investissement concernés sont les agrocarburants, l'agroalimentaire et la forêt. En 2014, ActionAid, une ONG qui lutte contre la pauvreté et l'injustice dans le monde, a rédigé un rapport sur ce phénomène, dans lequel elle propose des modèles alternatifs d'investissement respectueux des droits des utilisateurs traditionnels de la terre.
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Accaparement vert : A la croisée des chemins
T. Paul COX, AuteurSi le phénomène d'accaparement des terres pour la réalisation de grands projets, comme la mise en place de monocultures alimentaires intensives, est maintenant bien connu, celui dit d'accaparement vert est plus récent. Ce terme a été utilisé pour la première fois en 2008, par le journaliste John Vidal. Il désigne l'accaparement de terres pour des projets verts : conservation de la biodiversité, protection de la faune sauvage, projet de séquestration du carbone... D'une part, certains de ces projets ne se montrent pas aussi efficaces que prévu, et d'autre part, ils peuvent s'avérer très préjudiciables pour les populations locales, en les privant, par exemple, de l'accès à ces terres sur lesquelles elles vivent de manière ancestrale.
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Afrique : terre(s) de toutes les convoitises : Ampleur et conséquences de l'accaparement des terres pour produire des agrocarburants : Rapport Les Amis de la Terre Afrique et Les Amis de la Terre Europe
Le continent africain est de plus en plus souvent perçu comme une réserve de terres agricoles et de ressources naturelles pour le reste du monde. Dans toute l'Afrique, des Etats et des firmes privées s'approprient des terrains pour y faire pousser des récoltes destinées à répondre à une demande croissante en aliments et carburants émanant principalement de pays d'autres continents. Les agrocarburants - la culture à grande échelle de plantes utilisées pour produire des carburants liquides - sont présentés par certains comme l'atout miracle qui va sauver l'Afrique. Les partisans des agrocarburants soutiennent qu'en produire aidera à résoudre la crise économique qui frappe nombre de pays en développement..., laissant des interrogations sans réponse (quel intérêt à produire des agrocarburants pour les pays en développement ou pour les pays industrialisés ? Les agrocarburants augmenteront-ils vraiment le nombre d'emplois ? Résoudront-ils le problème de l'insécurité alimentaire ? ...). L'étude examine l'expansion de la production d'agrocarburants en Afrique et met en évidence les problèmes sociaux, économiques, sanitaires et environnementaux rencontrés. Le document est organisé comme suit : - Résumé et recommandations ; - Carte montrant l'accaparement des terres ; - 1. Introduction ; - 2. Que se passe-t-il vraiment ? ; - 3. Qui est impliqué et pourquoi ? ; - 4. Les cultures ; - 5. Les répercussions ; - 6. Conclusions.
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L'agriculture énergétique : Une approche énergétique pour les soins du sol et des plantes : ... une vraie révolution agronomique !
À la croisée des approches orientales et occidentales, cet ouvrage plonge dans l'univers des énergies : sons, odeurs, couleurs, yin et yang, doshas (forces dynamiques dans la philosophie ayurvédique) Ces énergies agissent sur leur environnement, et, grâce à elles, il est possible de prendre soin différemment des plantes et des sols, en pratiquant une agriculture basée sur un rééquilibrage des énergies. Éric Petiot donne les clés pour mieux comprendre ce qui nous entoure. Il établit de nombreux diagnostics et donne des solutions (remèdes, astuces et conseils) pour améliorer la qualité de vie d'une plante ou pour lutter de façon naturelle contre les maladies.
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Agronomie - De la terre de forêt pour soigner la vigne
David LEFEBVRE, AuteurL'auteur rappelle en premier lieu les différentes approches existantes face aux problèmes sanitaires des cultures en général et de la vigne en particulier, à savoir qui, du milieu ou du pathogène, est responsable de la maladie. Alors qu'on s'attaque souvent aux pathogènes, il estime que les maladies sont l'expression, entre autres, de la mauvaise santé du sol. Il évoque ensuite la pratique d'un agriculteur qui épand et enfouit, selon des conditions particulières et en petite quantité, de la terre de forêt dans ses vignobles. Ceci permet d'ensemencer la terre en microorganismes qui relancent le fonctionnement du sol et évitent ainsi de nombreux problèmes tels que les carences et les chloroses.
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Les biens communs
Le dossier propose une réflexion et un changement de regard sur les biens communs (tous les élements, la terre, l'humus, l'eau, l'air, l'énergie, les semences, les savoirs faire traditionnels) : - Editorial ; - Les secrets des trésors collectifs ; - Penser les biens communs ; - Remettre les valeurs humaines au coeur des processus sociaux ; - Le revenu de base inconditionnel : une solution pour rendre sa liberté à l'agriculteur ? ; - Pédagogie sensible et pédagogie de l'imaginaire ; - Climat de la Terre, climat de l'homme ; - L'eau, de cueillette à culture ; - Le sol : l' épiderme vivant de la Terre ; - La terre n'est pas une marchandise ; - Favoriser la biodiversité au jardin ; - Réflexions sur le passage à l'acte.
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Biomasse microbienne : à la recherche de la bonne mesure
L'activité microbienne du sol est considérable. L'Inra de Dijon estime à un milliard le nombre maximum de bactéries dans un gramme de terre. Même si les chercheurs ont déjà recensé 3000 espèces de microbes et plusieurs dizaines de milliers de champignons, on estime que ce monde est inconnu à 90%. Ainsi, la recherche d'indicateurs de la vie microbienne du sol est un travail de titans. Ceux-ci renseignent sur l'état de santé de la terre. Mais, l'interprétation d'un tel critère doit toujours se faire en fonction des autres paramètres du système de culture (fertilisation, pH, structure et organisation du travail, importance des éléments toxiques,...).
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Construire, rénover : Retour à la terre
Utilisés pour la construction des habitations depuis des temps anciens, les matériaux à base de terre crue ont des qualités écologique, esthétique et de confort indéniables. Les murs construits à base d'argile, de sable, de fibres végétales ou encore de graviers régulent naturellement l'hygrométrie, sont de bons isolants phoniques et semblent bien résister à l'usure et au temps. Une présentation de divers enduits de finition, permettant le meilleur choix au consommateur, conclut cet article.
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Construire sans détruire : évaluer l'impact de la construction sur l'effet de serre
Construire un bâtiment, c'est consommer des matériaux, de l'énergie, engendrer des déchets, contribuer à l'effet de serre. L'auteur propose quelques repères pour évaluer l'impact de la construction, afin de le réduire... Pour ce faire, plusieurs indicateurs sont utilisables comme la réalisation d'un écobilan et l'évaluation de l'énergie grise (l'énergie consommée pour fabriquer, transporter et mettre en oeuvre un matériau), l'établissement d'un bilan carbone (la contribution à l'effet de serre). La maison d'habitation prise en exemple, bâtie en terre-paille banché sur une ossature bois, permet d'appréhender la manière d'utiliser ces indicateurs sans oublier l'enjeu que représentent les économies d'énergie de chauffage en particulier.
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Construire en terre Facilement : La technique du cob
Adam WEISMANN, Auteur ; Katy BRYCE, Auteur ; Loïc COHEN, Traducteur | SÈTE (8 Rue du Parc, 34 200, FRANCE) : EDITIONS LA PLAGE | 2010
Yvan Saint-Jours (journaliste spécialisé, fondateur du magazine La Maison écologique, et qui a préfacé cet ouvrage) : "Les auteurs nous proposent de revisiter une technique de construction vernaculaire, à base de cob (mélange d'argile, de sable et de paille). En France, les proches cousins de celui-ci sont la bauge ou le torchis. Mais avec ce cob-là, nous sommes en présence d'un matériau de construction d'une malléabilité incroyable. La sculpture de formes organiques devient un véritable jeu d'enfant. Un matériau de base au coût proche de zéro, pour une maison écologique, énergétiquement efficace et belle." Forts de leur longue expérience de constructeurs en terre, les auteurs abordent : - la préparation et la construction en cob des murs et des sols ; - la construction de cheminées, de fours à pains, de bancs,... ; - la restauration des bâtiments en terre ; - les enduits et finitions naturels, l'isolation des maisons en terre, la réglementation,...
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Construire en terre-paille
Héritière du torchis-colombage, la technique de construction en terre-paille se répand aujourd'hui en France, notamment auprès des autoconstructeurs, sensibles aux questions écologiques, car elle présente un faible impact sur l'environnement. En effet, elle utilise essentiellement du bois - pour la structure - de la terre crue et de la paille - pour le remplissage. Ces matériaux, naturels et sains, sont généralement disponibles sur place ou à proximité. On ne consomme pas ou peu d'énergie pour les fabriquer, on émet peu de polluants pour se les procurer. De plus, cette technique présente une grande efficacité thermique. Certains de nos voisins, Belgique, Pays-Bas, Allemagne... ne s'y sont pas trompés : ils ont officiellement reconnu ce mode de mise en uvre et améliorent régulièrement leur savoir-faire en la matière, faisant ainsi se rejoindre tradition et modernité. En France, des professionnels, soucieux d'orienter leur pratique vers un plus grand respect de l'environnement, arrivent peu à peu à faire reconnaître cette technique universelle et porteuse d'avenir.
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"Debemos proteger el sustento de los que nos dan alimentos buenos" : Entrevista a Vandana Shiva
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Au domaine de Solan, un certain respect de la terre
Face à la responsabilité nouvelle d'une "terre", et confrontées à l'écroulement économique du système conventionnel agricole fondé sur la concentration, les moniales de Solan (Gard) ont entrepris de repenser la gestion de leur domaine, sur la base des ressources disponibles et valorisables sur place, par une pratique respectueuse du milieu naturel : l'agrobiologie.
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Le Domaine de la Terre, vingt ans après
Le Domaine de la Terre caractérise la construction en terre crue d'un HLM, supervisée par l'OPAC (Office public d'Aménagement et de Construction) et par une promotion de jeunes architectes s'interrogeant sur l'habitat social et l'environnement. Cette construction entre dans le cadre de la création de l'Isle d'Abeau, ville nouvelle implantée dans les champs au milieu des années 70, pour maîtriser l'expansion de Lyon. Vingt ans après, des locataires, un responsable de l'OPAC, ainsi qu'un des pionniers du CRATerre (Centre de recherche et d'application pour la construction en terre) témoignent de cette expérience et de l'avenir de cet usage et de ce savoir-faire.