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Documents disponibles dans cette catégorie (291)


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Climato-antisceptique
Antoine BESNARD, AuteurClaudine et Jacques Serrand sont polyculteurs-éleveurs de bovins lait bio (Froment du Léon), à Laignelet (35). Ils disposent de 85 ha de SAU, dont environ 40 ha sont dédiés à des grandes cultures destinées à l'alimentation humaine (blé ancien, blé noir, colza, avoine). Les céréales sont transformées à la ferme, d'abord en farine, puis en galettes et en pains, ainsi qu'en huile, qui sont ensuite commercialisés au marché, en paniers et en magasins spécialisés. Lors du passage en bio, en 2001, Jacques a fait évoluer son système d'élevage vers l'herbe et l'autonomie fourragère. Les trois quarts des vaches sont taries l'hiver. Le foin destiné au troupeau est stocké en vrac, ce qui permet aux éleveurs d'éviter le passage d'un roundballer avec le plastique utilisé pour botteler l'enrubannage. Dans ce portrait, Claudine et Jacques racontent comment, face aux enjeux environnementaux (accès aux matériaux et à l'énergie...), ils ont adapté leurs pratiques.
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Faire pâturer les couverts plutôt que les broyer
Laurence SAGOT, AuteurLe pâturage de couverts végétaux par des brebis en lieu et place du broyage a été expérimenté sur quatre exploitations céréalières. Les résultats obtenus sont globalement concluants, avec des économies en matière de mécanisation et pas de conséquences négatives observées sur la culture suivante.
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Laine lorraine : la renaissance ?
Camille JOURDAN, AuteurDans un contexte où les prix des matières premières flambent et avec un intérêt grandissant des consommateurs pour les produits biosourcés, des sociétés se sont emparées de la question des débouchés de la laine de mouton. Aujourd'hui, la majeure partie de la laine produite en France est exportée en Asie et le reste est détruit ou stocké. Pourtant, la laine de mouton présente des propriétés thermiques intéressantes et constitue, dans le cadre de la transition énergétique, une solution pour isoler les bâtiments. En Grand Est, la société MOS-Laine et le Cetelor (Centre d'essais textile lorrain) ont commencé la transformation de la laine de mouton en produits isolants.
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Mutyne : Des produits ménagers écologiques, éco-conçus, aussi efficaces que ceux du conventionnel
BIO-LINEAIRES, AuteurCe publi-reportage présente la marque familiale Mutyne, co-fondée en 2019 par Ghizlane et Romain Jougleux, dans le Nord (59), et qui propose des produits détergents écologiques. Les produits sont fabriqués dans le respect d'un cahier des charges précis. Ils intègrent, dans leur formulation, les dernières innovations issues de la chimie du végétal et sont parfumés avec des ingrédients 100 % naturels et sans allergènes. La marque Mutyne, exclusivement distribuée en magasins bio et en épiceries vrac, promet des produits aussi efficaces que ceux du conventionnel, tout en allant plus loin dans des solutions écologiques ; les produits sont efficaces à froid, ce qui permet de baisser la température de lavage (économies énergétiques, réduction de l'impact environnemental, durabilité des textiles...).
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Petite encyclopédie de l'auto-suffisance : potager, verger, basse-cour, ruche, conserves, énergie
Ce guide est destiné aux personnes qui souhaitent atteindre l'autonomie alimentaire et énergétique, à partir, notamment, d'un coin de jardin ou d'une petite ferme, mais aussi en faisant bon usage des produits qui peuvent être trouvés au-delà de son lopin de terre : dans les champs, les forêts, les rivières ou sur le littoral. Ce guide fournit des conseils pour cultiver des fruits et des légumes, pour optimiser l'aménagement du terrain et pour se lancer dans un petit élevage (volailles, chèvres, porcs, abeilles). De nombreuses informations sont proposées pour produire du miel, fabriquer du fromage, mettre en conserve les produits des récoltes ou encore pour réaliser des confitures maison. Pour terminer, ce guide explique comment préserver l'eau et l'énergie en utilisant des solutions alternatives, afin de rendre sa maison autonome en réduisant sa dépendance aux réseaux d'eau et d'énergie.
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Dossier mécanisation
Philippe MOUQUOT, Auteur ; Olivier GUERIN, Auteur ; Mélanie GOUJON, Auteur ; ET AL., AuteurCe dossier, portant sur la mécanisation des travaux en agriculture biologique, est composé de quatre articles. Le premier est dédié à loptimisation du désherbage mécanique en grandes cultures (optimisation de sa qualité et du débit de chantier). Plusieurs pistes damélioration sont évoquées : le gain en précision grâce au guidage RTK, le gain en régularité si les parcelles sont adaptées au binage ou si les sols sont plats, la possibilité de multiplier les passages à faible profondeur (avant semis) à laide dun scalpeur Plusieurs innovations sur des matériels de désherbage mécanique sont également présentées. Le deuxième article est consacré à la viticulture et propose différentes pistes pour réduire sa consommation de carburant liée à lentretien du sol. Il explique comment optimiser : son tracteur, sa stratégie de contrôle des adventices, ses outils, ses combinaisons doutils, sa vitesse, ses manuvres et ses conditions de travail. Larticle suivant aborde la question des investissements réalisés pour réduire les prélèvements directs (impôt, MSA) : la stratégie est-elle toujours gagnante ? Les investissements peuvent également impacter le revenu disponible de lexploitant. Le dernier article retranscrit le témoignage du GAEC Le Palaineau, situé en Vendée et qui est en bio depuis 2010. Il utilise une bineuse avec guidage par caméra pour gérer les adventices de ses cultures de printemps, implantées en terres superficielles.
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La traction asine : Pratique ancienne, outils innovants
Marion COISNE, AuteurLa traction asine connaît un regain dintérêt en maraîchage. LÉcole nationale des ânes maraîchers, basée à Villeneuve-sur-Lot (Lot-et-Garonne), enregistre un succès grandissant : elle a formé 50 stagiaires par an en 2018 et 2019, alors quelle en avait formé seulement trois en 2012 (année de création de cette structure). Cette école poursuit trois objectifs : former des maraîchers à la traction asine, éduquer de jeunes ânes et innover en matière doutils agricoles. La traction asine est en effet particulièrement bien adaptée au maraîchage : la précision de travail avec un âne est de 20 cm (contre 70 à 80 cm pour les chevaux), elle ne tasse pas le sol et permet de travailler de petites surfaces non accessibles en tracteur. A cela, il faut ajouter le plaisir du contact avec lanimal. Côté coût, Pascal Sachot, directeur de lÉcole nationale des ânes maraîchers, chiffre lachat dun âne dressé à 2 500 HT, avec 800 à 1 000 pour le harnachement et un entretien annuel de 200 . Les outils pouvant être utilisés en traction asine se sont largement améliorés ces dernières années, ce qui a permis daugmenter en précision et en confort de travail (les porte-outils Kassine et Eco-Bio sont plus amplement détaillés). Il faut compter entre 1 300 et 6 000 pour l'achat des outils.
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Annuaire Biofil des fournisseurs de lagriculture bio 2019-2020
BIOFIL, AuteurDans cette édition 2019-2020 de lannuaire des fournisseurs de lagriculture bio, Biofil répertorie les coordonnées de fournisseurs de : - Matériel (équipements délevage, matériels de culture, transformation et stockage, constructions, économies dénergies, protection des plantes) ; - Services (organismes certificateurs et de contrôle, laboratoires d'analyses, organismes institutionnels et de développement de la bio, instituts techniques, stations dexpérimentation/recherche, interprofession nationale, conseils indépendants, diffusion, agriculture connectée, évènements, banques/assurances) ; - Agrofournitures (élevage, semences et plants, protection des plantes, fertilisation) ; - Aval/débouchés (collecte et stockage, transformation, groupements de producteurs) ; - Formations (initiale par voie scolaire, par apprentissage, pour adultes, dans lenseignement supérieur, autres).
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Viticulture biologique : L'entretien du sol : Réduire les coûts de production et la consommation en énergies fossiles
Nicolas CONSTANT, Auteur ; Christophe AUVERGNE, Auteur ; Nathalie FORTIN, Auteur ; ET AL., Auteur | MONTPELLIER (Bât. A8, ZAC Tournezy, 2 Rue Simone Signoret, 34 070, France) : SUDVINBIO | 2019Dans un contexte où les agriculteurs sont de plus en plus incités à réduire leur consommation, en produits phytosanitaires mais aussi en énergie, SudVinBio, la Chambre d'agriculture de l'Hérault, la FR CUMA et l'IFV se sont intéressés aux consommations en énergies fossiles des viticulteurs de l'ex-région Languedoc-Roussillon. Les résultats de leurs travaux au sein du projet "Optimisation des itinéraires techniques dentretien du sol en viticulture biologique en vue de réduire les coûts de production et la consommation en énergies fossiles" sont présentés dans ce guide. Ce dernier aborde tout d'abord les stratégies d'entretien du sol mises en place par des viticulteurs, dont une partie sont en agriculture biologique (129 des 334 viticulteurs et vignerons enquêtés). Les questions propres à la consommation de carburant sont ensuite abordées : comment évaluer la consommation en gazole non routier, quels sont les facteurs qui l'influencent dans le cadre des opérations d'entretien du sol. Enfin, des pistes pour réduire les consommations en gazole non routier utilisées au cours des interventions sur le travail du sol et les itinéraires techniques sont proposées.
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Annuaire Biofil des fournisseurs de l'agriculture bio 2018-2019
BIOFIL, AuteurComme chaque année, Biofil présente, dans l'édition 2018-2019 de son annuaire des fournisseurs de l'agriculture biologique, les coordonnées de fournisseurs de : - matériels (équipements d'élevage, matériels de culture, transformation et stockage, économie d'énergies, protection des plantes) ; - services (organismes certificateurs, organismes de formation, laboratoires d'analyses, conseil bio/organismes de développement, banques/assurances, salons/évènements) ; - agrofournitures (élevage, semences et plants, protection des plantes, fertilisation) ; - aval/débouchés (collecte et stockage, transformation).
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Dossier : Economies d'énergies en élevage laitier
Dominique MACÉ, Auteur ; Cindy SCHRADER, Auteur ; Franck LE BRETON, AuteurSelon l'Ademe, la consommation d'énergies directes (électricité, carburants...) et indirectes (aliments, engrais...) représenterait 10 à 12 % des coûts de production d'un élevage laitier, soit 34,50 /1000 L en 2008. Pour limiter ce poste de charges, développer un système pâturant économe en intrants est un levier considérable (baisse de 22 % des consommations énergétiques d'après l'Ademe). Des aménagements dans la salle de traite sont aussi possibles pour réduire la facture d'électricité : pré-refroidisseur de lait, récupérateur de chaleur du tank à lait, bon dimensionnement de la pompe à vide, etc. Du côté de la consommation de fioul, les améliorations peuvent concerner une meilleure adéquation entre tracteur, outils et chantiers, une meilleure organisation du travail, un meilleur entretien du tracteur, ou encore la mise en place d'un système de raclage automatisé. Franck et Maud Le Breton, éleveurs laitiers en conversion bio dans les Côtes-d'Armor, témoignent. Ils ont fait le choix d'un fournisseur d'énergie renouvelable. Les surcoûts liés sont compensés par certaines adaptations sur leur exploitation avec, au final, une réduction de leur facture annuelle de 2000 . Le passage à un système tout herbe en vêlages groupés de printemps a aussi permis de faire des économies de carburant.
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Sécuriser un système laitier avec des fourrages économes en eau et en énergie fossile
Interview de Sandra Novak sur son intervention aux Journées de Printemps 2018 de l'AFPF sur le thème "Sécuriser un système laitier avec des fourrages économes en eau et en énergie fossile". Elle présente l'expérimentation OASIS qui consiste à avoir une vision prospective en prenant en compte les changements climatiques et surtout la raréfaction des ressources en eau et en énergie fossile. Dans un premier temps, Sandra Novak expose les leviers testés pour pâturer toute l'année (mise en place de cultures pâturables l'été, comme le sorgho fourrager ou encore la chicorée, d'une culture pâturable en hiver, comme la betterave conduite au fil, d'arbres fourragers). Cette expérimentation est en cours et de nombreuses questions persistent.
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Annuaire Biofil des fournisseurs de l'agriculture biologique 2017-2018
BIOFIL, AuteurLAnnuaire Biofil des fournisseurs de l'agriculture biologique donne les coordonnées de fournisseurs de : matériels (équipements d'élevage, matériels de culture, transformations et stockage, économie d'énergies, protection des plantes) ; services (organismes certificateurs, formations, laboratoires d'analyses, conseil bio/organismes de développement, banques/assurances, salons/évènements) ; agrofournitures (élevage, semences et plants, protection des plantes, fertilisation) ; aval/débouchés (collecte et stockage, transformation).
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Ménages & Environnement : Les chiffres clés - Édition 2017
Dans leurs activités quotidiennes, et par leurs habitudes de consommation, les ménages exercent des pressions sur lenvironnement (émissions de gaz à effet de serre, de polluants atmosphériques, production de déchets, etc.). Ces pressions, qui paraissent négligeables à l'échelle individuelle, génèrent collectivement de profondes répercussions sur l'environnement et les ressources naturelles. Cette publication présente une sélection dindicateurs sur les pressions et les impacts sur lenvironnement associés aux pratiques et modes de vie des ménages : usages des ressources dans lhabitat, rénovation des logements, formes de mobilité (dont un encart sur les Français et la pratique du vélo), pratiques alimentaires (dont consommation de produits bio), réparation, entretien et réemploi des objets du quotidien, recyclage des déchets, etc. Les chiffres-clés de ces pratiques sont présentés.
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Poulailler : Petit, mais fonctionnel
PAYSAN D'AUVERGNE (LE), AuteurLéa Fargeas élève 540 poules pondeuses bio, à Vitrac (63). Elle a fait construire un bâtiment de 120 m2, dont 90 m2 de poulailler et 30 m2 de sas technique. Elle a opté pour un bâtiment constitué de panneaux sandwich. Grâce à cette structure isolante et à un fonctionnement en litière accumulée, elle limite les dépenses énergétiques, puisqu'elle ne chauffe pas son bâtiment.