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La cuisson solaire
Dominique ROQUES, AuteurLe principe de la cuisson solaire consiste à concentrer les rayons lumineux en un point, afin d'augmenter la température pour la cuisson de plats à mijoter, la stérilisation de conserves Cet article, rédigé par l'association Trésors Nature domiciliée en Gironde, explique comment fabriquer deux types d'installations : le four et le cuiseur. Le four solaire peut être fabriqué dans une caisse de bois isolée par du carton, tapissée d'aluminium et surmontée d'une vitre. Le cuiseur solaire, pliable et moins lourd, est plus facilement transportable. Il est fait à partir de carton et de papier miroir autocollant (ou du miroir). Ces installations, qui peuvent être réalisées à partir de matériaux de récupération, coûtent au final très peu cher (20 à 30 euros) et sont efficaces, les mois d'été.
Dossier : Le climat, l'énergie et vous
Thierry JACCAUD, Auteur ; Mark JANSEN, Auteur ; Tom LEVITT, Auteur ; ET AL., AuteurLe dossier tente d'apporter des réponses sur la façon de sortir rapidement du nucléaire et du pétrole, sachant que la crise climatique n'est plus sérieusement contestée aujourd'hui. Il est composé comme suit : - Dix raisons pour sortir du nucléaire (du risque d'accident aux citoyens) ; - Le pétrole ou l'Arctique, il faut choisir ; - Total à l'assaut de Madagascar (au nord-ouest de Madagascar, Total s'est lancé dans le projet d'extraction de sables bitumineux) ; - Que fait la Banque européenne de la reconstruction (BERD) ? (la BERD fête cette année ses vingt ans. Pour lutter contre la crise climatique, a-t-elle changé ?) ; - Le pétrole vert n'existe pas (cinq millions de jatropha seraient cultivés dans le monde. Retour à la réalité par les Amis de la terre) ; - Fukushima est partout (témoignage de Günther Anders, qui s'est positionné, dans ses écrits, contre le nucléaire, depuis les années 1980) ; - La résilience : commencez maintenant ! (un dirigeant d'une grande entreprise américaine, Chris Martenson, a envisagé la question de la résilience et a changé de vie, dans l'éventualité d'un effondrement du système économique) ; - La sobriété, base de la transition énergétique (pour Richard Heinberg, l'un des principaux spécialistes internationaux de l'énergie, développer les énergies renouvelables est indispensable, tout comme la sobriété).
Dossier : Construire en ballots de paille
Dominique PARIZEL, Auteur ; Hamadou KANDE, AuteurEn 2006, Nature & Progrès Belgique eut le projet de construire une maison de paille. Luc Delvaux en fut l'architecte. Le dossier (accompagné d'illustrations de Nicolas Auquier et de photographies de Dominique Parizel et de Nicolas Auquier) a pour ambition de présenter l'intérêt d'un bâti mêlant bois, paille et argile, et veut montrer comment une pratique qui paraissait hors norme, il y a peu de temps encore, a très rapidement évolué. De nombreux auto-constructeurs utilisent la paille, ce matériau séduit de nombreux professionnels et des filières industrielles font leur apparition sur le marché. Le dossier traite plusieurs des aspects de la paille employée comme matériau de construction : - Luc Delvaux : "J'aime l'idée d'empiler les ballots" (bilan du chantier et ressenti par rapport à la paille) ; - La technique du GREB (Groupe de recherche écologique de la Baie (Québec)) : intéressante en auto-construction (emploi de cette technique par Christophe Reyners pour bâtir sa maison située dans le village de Buzet (Belgique)) ; - Paille-Tech : l'industrie de la construction en paille reste à imaginer ! (Paille-Tech, entreprise wallonne, a imaginé des murs en ballots de paille préfabriqués) ; - Des artisans confiants dans l'avenir de la paille (deux menuisiers, le wallon Charles Houdremont et le bruxellois François Defise, travaillent à rendre la technique des ballots plus simple et efficace); - Joies et déboires d'un auto-constructeur (Edmond Chaîneux, dans le petit village de Saint-Médard (Luxembourg belge), a connu quelques retards sur le chantier d'une maison de paille en auto-construction).
Dossier : Strip-till : Travailler moins pour gagner plus
Ludovic VIMOND, Auteur ; Gaëtan COISEL, AuteurLe strip-till est une méthode de travail du sol qui consiste à ne travailler qu'une faible bande de terre sur la ligne de semis et qui est adaptée pour des cultures à fort espacement entre rangs, principalement semées en monograine. Cette technique, importée du Middle West américain, connaît un essor en France car elle permet des gains de temps, de carburant, de rendements et donne des bénéfices agronomiques à moyen terme. Cet article n'est pas spécifique à l'agriculture biologique, mais c'est une technique culturale qui peut être utilisée dans des systèmes en agriculture biologique. Une étude américaine a comparé, de 2004 à 2007, l'utilisation de cette technique à celle du sans labour classique. Les résultats montrent des gains de rendements avec le strip-till. Ce dernier laisse une grande partie de la surface du sol non travaillée ce qui favorise le développement des micro-organismes, évite le tassement par les roues du tracteur et permet un meilleur développement racinaire. Un deuxième article présente les trois types d'appareils existant pour cette technique. Le reste du dossier est composé de témoignages d'agriculteurs utilisant cette technique : Philippe Pastoureau, agriculteur dans la Sarthe, utilise le strip-till sur sols limoneux ; Yoahn Delage, agriculteur en Charente, utilise cette technique sur sols argileux ou caillouteux ; Régis Négrier, agriculteur en Charente-Maritime, l'utilise sur terres argilo-calcaires.
Empreinte carbone de la production de luzerne déshydratée : progrès récents liés au changement des techniques de récolte et à l'incorporation de plaquettes de bois comme source d'énergie de chauffage. Impact sur la qualité du fourrage produit
P. THIEBEAU, Auteur ; Thierry HAMEREL, Auteur ; Michael CORSON, Auteur ; ET AL., Auteur | PARIS CEDEX 12 (Secrétariat 3R - MNE, 149 Rue de Bercy, 75 595, FRANCE) : RENCONTRES RECHERCHES RUMINANTS | 2011En Champagne-Ardenne, une industrie de déshydratation a permis un développement important de la culture de luzerne pure. Cette industrie prend en charge la récolte, la déshydratation et la commercialisation de la luzerne déshydratée. L'étape de déshydratation étant très consommatrice d'énergie fossile et émettrice de gaz à effet de serre, les acteurs de la filière sont à la recherche d'alternatives. Deux d'entre elles ont été testées dans cette étude présentée lors des 18èmes Rencontres Recherches Ruminants (2011) : la récolte avec préfanage à plat, et l'utilisation de plaquettes de bois comme source d'énergie pour le séchage. Les impacts de ces nouvelles pratiques sur le bilan carbone et la quantité d'énergie utilisée ont été mesurés. Le préfanage à plat permet de gagner 7 points de matière sèche et engendre ainsi une réduction de 25 % des émissions de C lors du séchage. L'utilisation de plaquettes de bois à hauteur de 10 à 15 % de l'énergie fossile initialement consommée permet, quant à elle, une réduction de 10 % des émissions de carbone.
Les énergies à la ferme : Economiser des et de l'énergie (Mémo & Références N°2) : Economiser l'électricité en élevage bovin lait
L'électricité peut représenter jusqu'à 20% des consommations d'énergie d'une exploitation bovin lait. La consommation du bloc traite représente environ 85% de la consommation d'électricité, dont 43% pour le tank à lait. Il existe plusieurs leviers afin d'économiser de l'énergie sur le bloc traite : (1) économiser sur la consommation du tank en isolant le local ou en installant un pré-refroidisseur de lait par exemple, (2) économiser sur la consommation du chauffe-eau en isolant les conduites d'eau chaude. Il est aussi possible d'installer un récupérateur de chaleur sur le tank permettant jusqu'à 20% d'économie sur la facture d'électricité. La brochure fournit de nombreuses références techniques et économiques pour l'installation et la rentabilité du matériel.
Les énergies à la ferme : Retour sur une expérience (Mémo & Références N°1) : Un prérefroidisseur de lait pour économiser de l'électricité et produire de l'eau tiède au GAEC Lionnet Frères, à Cussangy
Cette fiche présente le dispositif de prérefroidissement de lait installé dans le Gaec Lionnet Frères, à Cussangy, dans l'Aube (89). C'est lors de la mise aux normes de leur bâtiment d'élevage que les membres du GAEC ont décidé d'installer ce prérefroidisseur afin de diminuer leur consommation d'électricité. Le lait est acheminé en haut de l'échangeur tubulaire et permet de faire monter la température de l'eau froide issue du réseau d'eau potable. L'eau tiédie permet d'abreuver les vaches au fur et à mesure de leur sortie de la traite, ce qui permet un gain de lait en hiver. Le lait initialement à 38°C part dans le tank à une température variant de 18°C à 22°C selon la saison, avant d'être refroidi à 3°C dans le tank. Le choc thermique sur le lait est moindre et il y a donc moins de risque de lipolyse. L'article aborde les autres atouts et contraintes de ce dispositif et donne également des données économiques sur l'investissement et les économies réalisées.
Les énergies à la ferme : Retour sur une expérience (Mémo & Références N°2) : Un récupérateur de chaleur sur tank à lait pour économiser de l'électricité au GAEC des Corbières, à Prusy
Cette fiche présente le dispositif de récupérateur de chaleur sur tank à lait installé dans le Gaec des Corbières, à Prusy, dans l'Aube (89). C'est lors de l'agrandissement de l'atelier laitier et de l'achat des nouveaux équipements pour la salle de traite que le GAEC a décidé d'installer un tank SERAP avec récupérateur de chaleur intégré afin de diminuer leur consommation d'électricité. Ce dispositif permet de produire de l'eau tiède et d'économiser environ 80% de l'électricité utilisée pour chauffer les 500 litres d'eau chaude par jour. L'article aborde les autres atouts et contraintes de ce dispositif et donne également des données économiques sur l'investissement et les économies réalisées.
Evaluation des performances énergétiques de prérefroidisseurs de lait et récupérateurs de chaleur sur tank à lait
Mélanie LOOBUYCK, Auteur ; Frédéric BAZANTAY, Auteur ; Coline WILLAME, Auteur ; ET AL., Auteur | PARIS CEDEX 12 (Secrétariat 3R - MNE, 149 Rue de Bercy, 75 595, FRANCE) : RENCONTRES RECHERCHES RUMINANTS | 2011Dans un contexte de raréfaction des ressources énergétiques, les économies d'énergie sur le bloc de traite en exploitation laitière sont un véritable enjeu économique. En effet, les refroidisseurs de lait et les ballons d'eau chaude y sont les principaux postes consommateurs d'électricité. Les équipements de prérefroidissement du lait et de récupération de chaleur sur refroidisseur représentent deux alternatives intéressantes pour une économie d'énergie. Ainsi, dans le cadre de son programme « éco énergie lait », le GIE Lait-Viande Bretagne a commandé une étude sur ces équipements. Celle-ci, présentée lors des 18èmes Rencontres Recherches Ruminants (décembre 2011), a mené à la conception d'une méthodologie et d'un banc d'essais, ainsi qu'à la réalisation de campagnes de tests en laboratoire. Les résultats permettent d'évaluer la performance énergétique de ces équipements et constituent des références importantes pour leur utilisation. En effet, les techniciens et conseillers disposent désormais de ces données pour conseiller les éleveurs laitiers dans leur choix d'installation, de conception, et de réglage des prérefroidisseurs de lait et récupérateurs de chaleur sur tank à lait.
Ferme expérimentale de Grignon : Produire propre et plus
S. FAVRE, AuteurLa ferme expérimentale de l'école AgroParisTech, dans les Yvelines, a réduit sa consommation d'énergie de 24 % en cinq ans, dans le cadre du dispositif Grignon Energie positive, l'objectif étant de devenir un site à énergie positive. Les mesures pour y parvenir sont choisies de manière à conserver la marge globale de l'exploitation, ainsi que sa capacité de production. Une des mesures entreprise en 2008 est la récupération de la menue paille (composée de pailles broyées, glumes, glumelles, graines d'adventices et poussière) afin de réduire les problèmes de désherbage et de favoriser la mise en uvre de techniques culturales simplifiées. Si cette pratique permet de réduire le poste de charges phytosanitaires, elle implique une exportation supplémentaire de matière organique, qui doit être compensée par l'apport d'effluents d'élevage. La menue paille est, à Grignon, intégrée dans la ration des moutons et des génisses, et pour celle du blé, vendue pour la litière de pondeuses. Une autre pratique est l'augmentation de la surface de luzerne et de féverole, qui enrichissent le sol en azote pour les cultures suivantes et réduisent le poste fertilisation. Alors que les pratiques en élevage ont un impact significatif sur la consommation d'énergie de la ferme, les résultats sur les cultures sont moins convaincants. L'impact des pratiques mises en uvre dépend en effet beaucoup plus des conditions climatiques.
GAEC Les Sources de l'Yon : Les systèmes herbagers installent !
Aline WANG, AuteurMathieu Courgeau, jeune éleveur de 27 ans, s'est installé en 2011 comme troisième associé sur le GAEC des Sources de l'Yon, conduit en agriculture biologique depuis 2000. Cette installation a permis au GAEC d'acquérir 25 ha supplémentaires. Avec ce troisième associé, l'exploitation a dû augmenter ses revenus. Cependant, ne voulant pas compromettre l'autonomie alimentaire du troupeau, les éleveurs ont fait le choix d'une meilleure valorisation de leur lait par la vente directe plutôt que d'augmenter la production. Ainsi, ils ont investi dans un distributeur automatique de lait cru, installé sur le parking d'une grande surface voisine. Les points forts de cette exploitation sont sa bonne gestion des investissements, avec beaucoup de matériel en CUMA, son parcellaire groupé favorable à un système pâturant, et sa bonne maîtrise technique en agriculture biologique, grâce à une dizaine d'années d'expérience dans ce mode de production. Les consommations énergétiques du GAEC ont été évaluées avec l'outil PRAIRIE, outil d'aide à la décision qui permet d'identifier d'éventuelles sources d'économies d'énergie sur une exploitation agricole.
Habitat passif et basse consommation : Principes fondamentaux - Etudes de cas - En neuf et en rénovation
Philippe LEQUENNE, Auteur ; Vincent RIGASSI, Auteur | MENS (Domaine de Raud, 38 710, FRANCE) : ÉDITIONS TERRE VIVANTE | 2011Le concept de maison passive désigne un bâtiment très économe en énergie, voire autonome. Le confort thermique y dépend en majorité des apports gratuits (internes et solaires), le reste fonctionnant par circulation d'un flux d'air, plutôt que par des réseaux destinés à la production de chaleur (avec un appoint éventuel). Le label BBC (bâtiment basse consommation), apparu plus récemment en France, impose des normes plus souples, mais néanmoins exigeantes. L'efficacité énergétique dépend de nombreux points : isolation, étanchéité à l'air, ventilation, vitrages, recours aux énergies renouvelables... et il est préférable de l'atteindre avec des matériaux sains, à faible énergie grise et porteurs de savoir-faire ou, encore, en se posant la question de l'habitat collectif ou de la réhabilitation. Cet ouvrage décrit les principes généraux de la construction passive et basse consommation, puis compare différents projets, individuels ou collectifs, exemplaires dans les différents choix de conception et de réalisation.
J'isole mon logement : Les solutions écologiques
Pour réduire nos factures de chauffage, limiter l'effet de serre, préserver les ressources énergétiques, nous devons isoler nos logements ! Comment faire ? Vaut-il mieux isoler les combles, les murs ou le sol ? Quel isolant sain et performant choisir ? Faut-il opter pour du double ou du triple vitrage ? Grâce à des pas-à-pas illustrés, ce livre présente les techniques de mise en uvre des solutions d'isolation les plus fréquentes : par l'intérieur, par l'extérieur, avec des matériaux en vrac, en rouleaux, en panneaux..., application d'enduits, changement de vitrages, etc. De plus, prônant une étanchéité maximum afin de limiter les fuites, l'auteur propose des solutions de ventilation pour renouveler l'air intérieur et gérer les problèmes d'humidité, sources d'inconfort et de dégradation de l'habitat, mais aussi de problèmes de santé.
Ma maison bioclimatique
Tous ceux qui rêvent d'une maison écologique, basse consommation, saine et confortable, trouveront de l'inspiration dans cet ouvrage qui décrit point par point, jour après jour, la construction d'une maison bioclimatique remarquable. Située en Isère, à 800 m d'altitude, cette maison répond aux normes de maison basse consommation, et mieux encore. L'architecture bois tire un profit maximum d'une situation très ensoleillée : grandes ouvertures, eau chaude sanitaire et plancher chauffant solaires, installation de capteurs photovoltaïques... Un soin particulier a été apporté à l'isolation : triple vitrage, isolation épaisse en ouate de cellulose et laine de bois. Une toiture végétalisée contribue au confort d'été. Enfin, une ventilation avec VMC double flux associée à un puits à saumure permet une récupération de chaleur et un renouvellement de l'air intérieur efficaces. L'auteur détaille toutes les étapes de cette réalisation depuis le choix de l'architecte, la création des plans, le choix de matériaux sains, le suivi du chantier jusqu'au test, réussi, d'étanchéité à l'air.
Des outils pour réduire les émissions de gaz à effet de serre
Anne-Marie CONSTANTIN, AuteurL'association Solagro travaille, depuis 1981, sur l'interface agriculture/environnement et énergies. Elle a mis en place un outil de diagnostic, baptisé « Planète », pour mesurer l'énergie dépensée dans une ferme ainsi que la production de gaz à effet de serre. 3 500 bilans réalisés entre 1999 et 2009 lui permettent de tirer quelques conclusions (les bilans détaillés sont présentés sur www.solagro.org/site/424.html). Première conclusion : pour des productions similaires, les bilans peuvent varier du simple au double. C'est bien la preuve qu'il existe des marges de manuvres importantes. Les principaux postes de consommation d'énergie sont : les achats d'aliments, les fertilisants et le fioul domestique Quant aux gaz à effet de serre, le méthane (produit par la rumination et les déjections d'élevage) en représente 43 % ; l'azote (fertilisation et fabrication d'intrants) : 35 % ; et le CO2 (consommation des produits pétroliers et fabrication d'intrants) : 22 %. Enfin, la meilleure économie, c'est l'énergie qu'on ne dépense pas. Avant de penser aux énergies alternatives, conseil est donc donné de bien isoler les bâtiments, installer un prérefroidisseur sur le tank à lait, ou encore passer le moteur du tracteur sur un banc d'essai