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Bâtiment à énergie positive : Quel intérêt pour les élevages de volailles ?
En aviculture, l'énergie directement consommée par le bâtiment ne représente que 2 à 3 % du coût de production total de la volaille. Cependant, son coût peut être amené à doubler d'ici 10 ans. Cette brochure décrit les éléments techniques et économiques utiles à la mise en place d'un Bâtiment d'Elevage Basse Consommation (BEBC) et d'un bâtiment à énergie positive (BEBC+). Les gains énergétiques sont comparés avec un bâtiment avicole classique, sur la base d'une simulation qui tient compte de l'augmentation du coût des énergies. Les performances d'élevage et les charges non liées au bâtiment ne sont pas prises en compte. La construction des bâtiments BEBC et BEBC+ semble rentable, à condition d'accepter un investissement supplémentaire respectivement de 11 % et 83%. Les externalités positives des constructions BEBC ne doivent pas être négligées : bien-être animal, conditions de travail, moindre évaporation d'eau dans le bâtiment grâce aux économies de gaz.
Dossier : Quête d'autonomie : Des agriculteurs relatent leur itinéraire
Michel WEBER, Auteur ; Claudine MURAT, Auteur ; Benoit DELMAS, Auteur ; ET AL., AuteurLa question de l'autonomie en élevage peut se raisonner en question de fourrage ou encore, de façon plus générale, au niveau alimentaire. Mais, cela peut aussi inclure l'ensemble des intrants (aliments, paille, carburant, engrais, produits phytosanitaires ) ou même l'autonomie financière ou de décision. Travailler à optimiser son autonomie est un fil conducteur pour optimiser les résultats économiques de son exploitation. Pour cela, il faut notamment chercher l'équilibre entre les divers facteurs de production, tenir compte du potentiel de son système et favoriser une approche globale. Ce dossier, qui regroupe plusieurs témoignages d'éleveurs aveyronnais en bovins lait et viande, ovins lait et caprins, apporte différents éclairages : le rappel de principes fondamentaux comme la notion d'optimum fourrager ou la gestion de la ressource « herbe » dans toute sa diversité (parcours, voire sous bois compris), des exemples de critères pour décrypter l'autonomie d'une exploitation, des exemples de leviers possibles, illustrés par des cas concrets (introduction de la luzerne, séchage en grange, optimisation du pâturage, du chargement, l'utilisation de méteils riches en légumineuses, évolution des rotations ). Par ailleurs, un focus est fait sur la question de la dépendance énergétique et sur les moyens de la réduire. Ce dossier montre aussi que la recherche de l'autonomie peut être gage de durabilité du système et de meilleure qualité de vie.
INTERNET, la pollution cachée
Coline TISON, Auteur ; Laurent LICHTENSTEIN, Auteur | PARIS (12 Villa Cur de Vey, 75 014, FRANCE) : EDITIONS MONTPARNASSE | 2014Aujourd'hui, 2,5 milliards de personnes sont connectées dans le monde et une large partie de nos activités est enregistrée grâce au réseau mondial. Propre en apparence, le monde virtuel est beaucoup plus polluant qu'on ne l'imagine. En effet, les « datacenters », ces usines qui stockent les informations et fonctionnent jour et nuit ont des besoins immenses en électricité et utilisent parfois des énergies polluantes comme le charbon ou le nucléaire. De la musique aux vidéos, en passant par les mails et les réseaux sociaux, notre consommation énergétique virtuelle a un impact direct sur l'environnement. Parmi les questions essentielles que pose ce document, celle de la possibilité ou non d'une convergence entre les nouveaux moyens de communication et les énergies renouvelables.
Pastonergie : Contribution des systèmes pastoraux alpins pour la mobilisation et la valorisation des énergies renouvelables
Hermann DODIER, Auteur ; Vivien FAUVEL, Auteur ; Antoine ROUILLON, AuteurLe programme Pastonergie vise à une meilleure mobilisation des ressources énergétiques dans les systèmes pastoraux d'altitude des Alpes et à émettre des préconisations pour les futures politiques énergétiques des espaces d'altitude. L'article décrit le diagnostic établi en 2013 et la typologie selon les types de gardiennages, la clôture ou non du parc, l'hébergement des éleveurs et bergers, le type de valorisation des produits laitiers dans les zones d'altitude des régions PACA et Rhône-Alpes. Pour chaque type, est calculée une consommation énergétique moyenne qui est ventilée selon les activités : transport et conduite du troupeau, traite, hébergement, vente, etc. Pour les activités les plus énergivores (traite avec transformation et accueil du public), la dépendance aux énergies fossiles doit être réduite. Pour cela, il faut impulser une dynamique d'innovation qui devra profiter aux élevages, par exemple le stockage d'énergie dans des piles à combustible, les douches solaires dans les alpages, le pompage solaire de l'eau d'abreuvement.
CEDABIO : Contributions environnementales et durabilité socio-économique des élevages en agriculture biologique
Loïc MADELINE, Auteur ; Jérôme PAVIE, Auteur ; Erika MOUSSEL, Auteur ; ET AL., Auteur | PARIS CEDEX 12 (Maison Nationale des Éleveurs, 149 Rue de Bercy, 75 595, FRANCE) : INSTITUT DE L'ÉLEVAGE | 2013Réalisé sur la période 2009-2012, le projet CasDar CEDABIO a suivi 144 élevages bovins, dont la moitié en AB, (96 exploitations laitières et 48 allaitantes), pour étudier leurs contributions environnementales et leur durabilité socio-économique. Les fermes étaient étudiées par paire, une exploitation conventionnelle / une exploitation en AB, présentant toutes deux des caractéristiques comparables (même zone, surface ou type de production comparables ). L'étude s'est faite selon trois axes, piliers de la notion de durabilité : les axes économique, social et environnemental. Parmi les résultats les plus significatifs, figurent l'efficacité des élevages biologiques en termes de bilan des minéraux, de consommations d'énergie, de performance économique (surtout en élevage laitier) ou encore dans l'utilisation des produits sanitaires d'élevage ou phytosanitaires. Par contre, il n'a pas été mis en évidence de différence significative entre AB et conventionnel en termes de ressenti de travail, de bien-être animal et de biodiversité au sens de la présence d'éléments agro-écologiques (le territoire semble être un facteur plus déterminant que le type d'agriculture pour ce critère). L'étude montre que, pour les déchets, la volonté de l'éleveur et la présence de filières de recyclages sont des éléments très déterminants, même si certains types de déchets (ex : les sacs de produits phytosanitaires) sont très peu présents sur les élevages biologiques.
DinABio 2013 : Session Diversité de l'agriculture biologique et évaluation de ses performances
Hervé DAKPO, Auteur ; Gabriel LAIGNEL, Auteur ; Marielle ROULENC, Auteur ; ET AL., Auteur | PARIS CEDEX 07 (147 Rue de l'Université, 75 338, FRANCE) : INRA (Institut National de la Recherche Agronomique) | 2013L'agriculture biologique regroupe une grande diversité de systèmes et de pratiques. La présentation de cette session du colloque DinABio 2013 rassemble les résumés de différents travaux qui témoignent de cette diversité et/ou cherchent à évaluer les performances de l'agriculture biologique, notamment en termes de durabilité, d'émissions de gaz à effet de serre et de consommation d'énergie. La diversité des systèmes est illustrée à la fois en élevage et en grandes cultures. L'évaluation des performances de l'agriculture biologique porte, soit sur la comparaison de systèmes biologiques entre eux, soit sur la comparaison entre agriculture biologique et agriculture conventionnelle. Des démarches d'évaluation des systèmes biologiques sont présentées : l'outil PERSYST, qui vient d'être paramétré pour être utilisé sur des systèmes biologiques, et l'étude de cas types, utilisée dans les projets RotAB et ProtéAB. Les comparaisons entre agricultures biologique et conventionnelle sont nombreuses, notamment en élevage, et apportent des résultats parfois contradictoires. Ceci souligne l'importance du choix de l'unité fonctionnelle utilisée pour évaluer les performances.
Elevages bovins bio : Leur durabilité est démontrée
Christine RIVRY-FOURNIER, AuteurAprès une étude de 30 mois sur 144 exploitations d'élevage en bovins lait et viande, biologiques et conventionnelles, les résultats du projet Cedabio ont été dévoilés. L'objectif de ce projet Casdar, coordonné par l'Institut de l'Élevage, était de mesurer les bénéfices environnementaux et socio-économiques de ces systèmes bovins. Les élevages bio ont montré leur intérêt en termes de durabilité, notamment en ce qui concerne le bilan des minéraux, les consommations d'énergie, la performance économique (surtout en élevage laitier) et l'utilisation des produits sanitaires (élevage et cultures).
Etude comparée entre bio et conventionnel : La bio plus efficiente et moins énergivore
Jenna COTON, Auteur ; Guillaume MICHEL, AuteurLe projet CEDABIO, mené de 2009 à 2011, a porté sur la durabilité (sociale, économique et écologique) des exploitations bovines biologiques. Associant études en fermes expérimentales et suivi de 96 exploitations en bovins lait et 48 en bovins viande, dont la moitié de l'ensemble en AB, ce projet a amené de nombreux résultats en cours de diffusion. Parmi les résultats les plus marquants, on peut retenir des différences significatives en faveur des élevages biologiques au niveau du bilan des minéraux, de la consommation d'énergie (moindre en AB aussi bien ramenée à l'unité de surface qu'à l'unité de produit), de l'utilisation des produits phytosanitaires et pharmaceutiques (moins de traitements allopathiques et de frais vétérinaires en AB pour des états sanitaires comparables avec les conventionnels), ou encore de l'efficience économique. Le projet ne montre pas de différence notable sur des points comme la biodiversité (l'effet région est plus important à ce niveau), le ressenti au travail, le bien-être animal ou la gestion des déchets.
Grandes cultures biologiques en Pays de la Loire : Références technico-économiques 2012
Marjorie TROUSSARD, AuteurDix-huit fermes sont suivies, depuis 2004, en Pays de Loire, pour produire des références technico-économiques en grandes cultures biologiques. Six d'entre elles sont spécialisées en grandes cultures et les autres sont en polyculture-élevage. Les assolements sont variés, allant de trois (avec beaucoup de surfaces fourragères) à douze cultures différentes (jachère et prairies comprises). Depuis 2004, on peut voir une baisse de la culture des féveroles et pois, cultivés en pur (de conduite délicate) et une augmentation de l'avoine, de l'orge, du haricot et du lupin. Le blé et le maïs sont plus présents dans les exploitations spécialisées grandes cultures, systèmes qui comptent en général des rotations plus courtes. L'article présente aussi le rythme des chantiers (en baisse en 2012 du fait de conditions météo peu favorables aux adventices et de plages d'intervention de désherbage mécanique courtes), l'importance du labour, la consommation de carburant, ainsi que les rendements moyens. Ces derniers, relativement stables précédemment, sont globalement moins bons sur la campagne 2011-2012 du fait de la météorologie. Par contre, les prix de vente restent élevés (ex : près de 400 euros la tonne en blé et plus de 450 euros pour le tournesol). Un tableau présente aussi les coûts de production par type de culture.
Maisons basse consommation : Quel bilan ?
Sylvain MORETEAU, AuteurEntrée en vigueur le 1er janvier 2013, la nouvelle règlementation thermique, dite RT 2012, impose une réduction drastique des consommations d'énergie : 50 kWh/m²/an, tel est le nouveau seuil à ne pas dépasser alors que la consommation moyenne du parc immobilier français avoisine les 250 kWh/m²/an ! Toutes les futures constructions neuves devront être BBC, c'est-à-dire des bâtiments basse consommation. Conséquences, selon Sylvain Moréteau, concepteurs et artisans vont devoir soigner l'isolation, l'étanchéité à l'air, la ventilation, les apports solaires passifs. Présentation : La basse consommation, comment ça marche ? ; Maisons BBC : les leçons à tirer ; Basse consommation au quotidien : Maison Perrin, à Aix-les-Bains (73) ; Maison Guionnet, à Taurinya (66) ; Maison Guernevel, à Crest (26).
Meilleure performance environnementale des élevages bovins bio
Loïc MADELINE, Auteur ; Jérôme PAVIE, Auteur ; Catherine EXPERTON, Auteur ; ET AL., Auteur | PARIS CEDEX 12 (149 Rue de Bercy, 75 595, FRANCE) : ITAB (Institut de l'agriculture et de l'alimentation biologiques) | 2013Le projet CedABio s'est penché sur les trois axes de la durabilité des exploitations d'élevages bovins : social, économique et environnemental. Sur ce dernier, les exploitations biologiques dégagent globalement de meilleures performances que les exploitations conventionnelles. Cette conclusion concerne plus particulièrement le bilan des minéraux, la consommation d'énergie, l'utilisation des traitements sanitaires et l'impact environnemental sur le milieu. Une plus grande recherche d'autonomie en bio, entraînant un moindre recours aux intrants, explique en partie cette différence entre élevages biologiques et conventionnels. Peu de différences ont été observées entre les deux modes de production en termes de biodiversité et de gestion des déchets.
Performance énergétique des agroéquipements : Réduire la consommation d'énergie, c'est possible
Nicolas CHEMINEAU, AuteurLes machines agricoles représentent le poste de consommation énergétique le plus important des exploitations (26 % de l'énergie consommée ; Références Planète 2010 Solagro). La réduction des consommations, notamment de carburants, est donc un levier majeur dans la recherche d'une meilleure indépendance énergétique en agriculture. Plusieurs projets sont d'ailleurs en cours aux échelles nationale et européenne : mise en place d'une classification énergétique des tracteurs en France, projet européen Efficient20 visant une réduction de 20 % de la consommation d'énergie dans les secteurs agricoles et forestiers d'ici 2020 L'article présente également six leviers d'action à disposition des agriculteurs pour diminuer leurs consommations : - mieux conduire ; - connaître son engin ; - baisser la pression des pneumatiques pour les travaux lourds ; - réduire la profondeur de travail du sol ; - adapter la taille de son tracteur aux matériels utilisés ; - ne pas lester inutilement.
Concilier environnement et production
Muriel TICHIT, Auteur ; Danièle MAGDA, Auteur ; D. DURANT, Auteur ; ET AL., Auteur | PARIS CEDEX 12 (Secrétariat 3R - MNE, 149 Rue de Bercy, 75 595, FRANCE) : RENCONTRES RECHERCHES RUMINANTS | 2012Lors des 19èmes « Rencontres Recherches Ruminants », tenues en décembre 2012, dix-huit études étaient consacrées à la thématique « Concilier environnement et production ». Les sujets abordés dans ces articles ou affiches concernent : - les performances économiques et environnementales des exploitations (en élevages bovins et ovins) ; - la diversité et la biodiversité dans les systèmes d'élevage (pâturage tournant et préservation des insectes prairiaux, durabilité des élevages bovins laitiers ) ; - les gaz à effet de serre et la gestion des flux d'azote ainsi que d'autres types de pollution d'origine agricole, notamment celle provoquant des « marées vertes ». Alors que trois de ces études se sont intéressées en partie aux systèmes d'élevage biologiques (« Analyse environnementale multicritères et voies d'atténuation des émissions de gaz à effet de serre (GES) des systèmes d'exploitation bovins lait », « Economies d'échelle et économies de gamme en production laitière. Analyse technico-économique et environnementale des exploitations de polyculture-élevage françaises », « Les flux d'azote en élevage de ruminants »), une étude réalisée dans le cadre du projet CedABio était consacrée spécifiquement aux évaluations et aux comparaisons des performances environnementales, économiques et sociales des systèmes bovins biologiques et conventionnels.
Concilier performances environnementales et rendements élevés : premières évaluations de systèmes de culture innovants sous contraintes
Caroline COLNENNE-DAVID, Auteur ; Gilles GRANDEAU, Auteur ; Thierry DORÉ, AuteurUn projet « Systèmes de culture innovants sous contraintes », conduit notamment par l'INRA et AgroParisTech, a été mis en place en 2008 pour concevoir des systèmes de cultures innovants qui doivent répondre à trois objectifs : - satisfaire une contrainte majeure (réduire la consommation d'énergie fossile, s'interdire l'utilisation de pesticides, limiter les gaz à effet de serre) ; - respecter des objectifs environnementaux multiples (diminuer les impacts des produits phytosanitaires sur le milieu, limiter les risques de pertes de nitrates ) ; - atteindre des niveaux de production élevés. Ces systèmes ont ensuite été évalués ex ante à l'aide de différents outils/modèles d'évaluation multicritères afin de définir le meilleur prototype. Ils ont ensuite été mis à l'épreuve dans le cadre d'une expérimentation longue durée (10 ans) sur grandes cultures. Cet article décrit les systèmes de culture innovants conçus et présente les principaux résultats obtenus au cours des trois premières campagnes d'expérimentation. Il apparaît que les objectifs environnementaux affichés sont en général atteints et que les objectifs de production correspondent régulièrement aux prévisions. Enfin, les contraintes majeures « réduction des pesticides » et « réduction de l'énergie fossile » sont atteintes. Pour évaluer la satisfaction de la contrainte « diminution des GES », des analyses du stock de carbone dans les sols sont encore nécessaires. Ces résultats sont très encourageants et permettent de mettre en évidence que satisfaire des critères environnementaux ambitieux et atteindre des niveaux de production élevés ne sont pas forcément des objectifs antagonistes.
Contribution de l'ADEME à l'élaboration de visions énergétiques 2030-2050 : Synthèse, 8 novembre 2012
Depuis l'année 2012, l'Ademe a mobilisé ses services techniques et économiques sur l'exercice de prospective énergétique « Vision 2030-2050 » qui est synthétisé dans ce document. Ce travail, réalisé en interne, permet à l'Agence de proposer des scénarios énergétiques et climatiques volontaristes axés sur la maîtrise de la consommation énergétique et le développement de l'offre d'énergies renouvelables. Cet exercice de prospective identifie ainsi une voie possible pour la transition énergétique en France, répondant aux enjeux environnementaux et identifiant les adaptations nécessaires de l'outil de production d'énergie français et les filières de croissance verte. Deux horizons et deux méthodologies distincts « Vision 2030 » et « Vision 2050 » sont d'abord présentés dans un tableau synthétique (méthodologie, objectif, secteurs considérés, indicateurs principaux ). Pour l'une et l'autre de ces visions énergétiques, soit deux scénarios, sont ensuite présentés : - Cadrage macroéconomique et démographique ; - Bâtiment et organisation urbaine ; - Transport et mobilité ; - Alimentation, agriculture et utilisation des sols ; - Industrie et procédés industriels ; - Bilan total de la demande énergétique ; - Production d'énergie renouvelable ; - Eléments environnementaux.