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Construire une maison à énergie positive
Alain RICAUD, Auteur ; Ismaël LOKHAT, Auteur | MALAKOFF CEDEX (11 Rue Paul Bert, CS 30024, 92 247, FRANCE) : DUNOD ÉDITEUR | 2010Le principe d'une maison à énergie positive repose sur la réalisation d'une habitation produisant davantage d'énergie qu'elle en consomme. La maison à énergie positive est l'habitat écologique par excellence : peu consommateur, respectueux de l'environnement et agréable à vivre. Sa construction nécessite d'associer des techniques aussi diverses que : - la construction en bois et le respect des règles d'une architecture bioclimatique (isolation, matériaux écologiques) ; - la gestion des apports énergétiques et des énergies renouvelables (pompe à chaleur, photovoltaïque) ; - l'élaboration du bilan carbone et du bilan économique de l'habitat. Véritable outil d'aide à la décision, cet ouvrage traite chacun de ces thèmes de manière simple et pédagogique et propose un large panel de solutions qui aideront à mener à bien un projet de construction écologique.
Les contributions de l'agriculture biologique à la préservation et à la valorisation de l'environnement et des écosystèmes
Philippe FLEURY, Auteur ; Audrey VINCENT, Auteur ; Audrey MÜLLER, Auteur ; ET AL., Auteur | [S.l.] : RMT DEVAB - Réseau Mixte Technologique "Développement de l'Agriculture Biologique" | 2010Ce document sur les relations entre l'agriculture biologique et l'environnement met en évidence à la fois les impacts de ce type d'agriculture sur les différentes composantes de l'environnement (la biodiversité et les paysages, le sol, l'eau, le changement climatique et l'énergie consommée) et le rôle de l'environnement dans le processus de production. Les auteurs s'appuient sur des études scientifiques nationales et internationales apportant des chiffres sur les impacts environnementaux des activités de production, de transformation et de distribution. Il en ressort que les performances environnementales de ce mode de production sont globalement meilleures que celles de l'agriculture conventionnelle en ce qui concerne la teneur en matière organique des sols, la qualité des eaux de surface et de nappe, les écosystèmes et la biodiversité, la qualité de l'air, la consommation d'énergie, de nutriments et d'eau. De plus, la compilation bibliographique montre comment les agriculteurs biologiques s'appuient sur l'environnement, la biodiversité ou la fertilité des sols pour produire plus efficacement et limiter les intrants dans la mesure où les écosystèmes contribuent à la fourniture d'un grand nombre de services bénéfiques à l'activité agricole. Le développement de l'agriculture biologique est finalement présenté comme une solution intéressante dans une perspective de développement local et de préservation de l'environnement et l'environnement constitue un levier de développement de l'agriculture biologique. Mais ce développement suppose des politiques en faveur des conversions, de l'organisation de la transformation et de la distribution. Il suppose aussi un dialogue permettant d'associer les organisations en charge du développement local et de l'environnement, ainsi que les agriculteurs biologiques et conventionnels.
Dia'terre : Un nouvel outil pour analyser ses dépenses énergétiques
Stéphanie SEYSEN-FOUAN, AuteurLa réalisation de bilans énergétiques au niveau des exploitations agricoles est en plein essor, notamment en réponse à l'augmentation des cours de l'énergie, et grâce au lancement l'an dernier du plan de performance énergétique par le ministère de l'Agriculture. Depuis la fin des années 1990, le diagnostic Planète, créé par Solagro avec l'Enesad, le CEIPPA, le Cedapas et le Ceta de Thiérarche, permettait de réaliser ce diagnostic. Devant l'enjeu actuel de la problématique, l'Ademe a lancé en 2009 la conception d'un nouvel outil, Dia'Terre, avec les partenaires du développement agricole. Cet outil apportera une méthode commune à tous les partenaires, et permettra de renseigner une base de données commune. Il est conçu sur une approche globale, et tient compte de l'énergie directe, indirecte, des émissions de gaz à effet de serre, et au stockage de carbone dans les sols. Certains modules permettront de creuser l'analyse des postes les plus déficients. Les résultats obtenus par Solagro sur 270 exploitations en grandes cultures montrent que les trois principaux postes énergétiques sont la fertilisation, le carburant et l'amortissement du matériel. La consommation d'énergie par unité produite varie de 1 à 3 selon les exploitations. D'après une étude menée par Solagro en 2007, les exploitations les plus dépensières produisaient davantage de maïs (ce qui s'explique par le recours à l'irrigation), et les plus économes présentaient un niveau de productivité plus élevé.
Dossier : Economiser l'énergie améliore le revenu
Laurence GEFFROY, Auteur ; Pierre EMMANUEL, Auteur ; Carol DELOUME, Auteur ; ET AL., AuteurCe dossier est composé de plusieurs articles : - Logiciel Dia'terre : Un outil pour estimer sa consommation d'énergie ; - Énergies renouvelables : Le soleil, énergie inépuisable ; - En Haute-Normandie : Des panneaux voltaïques mobiles pour produire plus d'électricité ; - Dans les Bouches-du-Rhône : Profiter de l'ensoleillement pour produire de l'agneau durable ; - Dans l'Aveyron : Un projet collectif de méthanisation de fumier de brebis.
Dossier : Energie : Les territoires sur la voie de la transition
LaRevueDurable, Auteur ; Tom TIRABOSCO, Auteur ; Jérôme FAESSLER, Auteur ; ET AL., AuteurPour préparer l'avenir et sortir au plus vite de l'ère éphémère du pétrole et, d'une manière générale, des énergies fossiles, un mouvement, dit de la transition, balbutie à peine en Europe francophone, mais affiche une belle vigueur outre-Manche et dans la plupart des pays anglo-saxons. Le mouvement de la transition part de l'idée que consommer moins d'énergie et, du coup, émettre moins de gaz à effet de serre est le meilleur moyen d'apprendre à vivre mieux... D'où la nécessité de tisser des liens de solidarité et de coopérer avec les pouvoirs publics. Réciproquement, de nombreuses collectivités publiques s'activent pour favoriser sur le territoire dont elles ont la charge des pratiques énergétiques plus sobres. Partant notamment d'actions développées en Europe (Suisse, Allemagne...) ou en France, le dossier aborde plusieurs aspects du mouvement dit de la transition et de la consommation de l'énergie sur les territoires : - Situation de l'énergie dans les territoires ; - Illustration ; - Sortir du déni ou du dépit, rejoindre l'élan collectif ; - Les initiatives de transition renforcent la résilience des territoires ; - La transition débarque en Europe francophone ; - Transition : principes de base pour un décollage en France ; - Négocier ensemble le virage de l'énergie ; - Vers des villes à basse consommation d'énergie et haute qualité de vie pour tous ; - Les bons plans climat-énergie des collectivités françaises ; - Plans climat : à chaque échelle sa mesure ; - A Genève, on planifie l'avenir énergétique du canton ; - Pistes pour valoriser de façon intensive les énergies renouvelables sur un territoire ;- Mannheim teste les réseaux électriques intelligents ; - Vers un urbanisme en harmonie avec le soleil, le vent, les arbres, l'eau... et les citadins ; - Les villes se cherchent une place au soleil ; - Guide.
Dossier : Projet restauration hors domicile (RHD) bio sur le Massif Central
Clément FLEURENCEAU, Auteur ; Barbara MODDE, AuteurDans le cadre de la convention Massif Central, le Pôle Scientifique Agriculture Biologique Massif Central coordonne, depuis fin 2008, un projet sur le développement de la filière biologique pour répondre aux besoins de la restauration collective (RC) en lien avec différents partenaires (ABioDoc, Auvergne Biologique, Gablim, APABA, ARDAB, Auvergne bio distribution, Manger Bio Limousin, CFPPA des Vasseix et Agri Bio Ardèche). Ce projet, financé par l'Etat et les régions Auvergne, Bourgogne, Languedoc-Roussillon, Limousin et Rhône Alpes pour la campagne 2008-2009, se décline en cinq axes : développer et accompagner la production ; contribuer à l'organisation de la filière ; répondre aux besoins et exigences qualitatives ; développer les outils pédagogiques et la communication ; mettre en place un observatoire sur l'évolution de la filière RHD bio sur le Massif Central. Cet article propose de découvrir certaines des actions prévues : - Mise en place d'une planification de la filière maraîchage pour répondre à la demande de la RC en Limousin (Gablim) ; - La création d'une plate-forme pour approvisionner la RC dans le Rhône et la Loire (ARDAB) ; La synthèse bibliographique des outils permettant l'évaluation environnementale des repas en RC (ABioDoc).
Dossier : Surgelé
ORGANIC PRO, AuteurAujourd'hui, l'offre de produits surgelés bio est variée, de qualité supérieure, et nombreuses sont les raisons, pour un magasin bio, de proposer un assortiment de produits surgelés. Le dossier aborde plusieurs points : - Une nouvelle ère glaciaire pour le secteur bio (les entreprises de restauration sont enthousiastes, bien gérer le rayon, pizza) ; - "Frais ou surgelé", vitamines, nourriture gaspillée... (la teneur en vitamines, surgélation énergivore ?, moins de gaspillage avec le surgelé) ; - Des produits innovants au rayon surgelé bio (un produit saisonnier ?, la glace au lait de chèvre, la glace au soja, les baies surgelées : pratiques, délicieuses et saines).
Economies d'énergie sur l'exploitation agricole
De multiples raisons, d'ordre économique, climatique ou réglementaire, poussent les agriculteurs à s'engager vers davantage de performance énergétique. Les consommations d'énergies directes (fioul, gaz, électricité...) et indirectes (intrants, aliments, matériels...) constituent une part importante du coût de production en agriculture. Dans un objectif de maîtrise des charges, l'exploitant a donc intérêt à modifier son équipement ou sa méthode de travail. Cette démarche lui permettra à moyen et long termes d'assurer la pérennité de son exploitation. Mais comment s'y prendre ? L'objectif de ce livre est de rassembler, dans un seul ouvrage, l'ensemble des données disponibles sur le sujet. Pour chaque production, sont décrites les caractéristiques des consommations, ainsi que les actions pratiques de réduction. De nombreux exemples et témoignages illustrent le propos.
Energy consumption in mixed crop-sheep farming systems : what factors of variation and how to decrease ?
Marc BENOIT, Auteur ; Gabriel LAIGNEL, AuteurCet article présente les résultats d'une étude sur la consommation énergétique en élevage ovin allaitant réalisée par modélisation à partir d'enquêtes sur le terrain. 4 types d'exploitations ont fait l'objet d'un chiffrage de leur consommation énergétique. Les principaux facteurs d'efficacité énergétique (EE) sont : l'autonomie alimentaire (peu de recours aux concentrés) et la productivité du troupeau. Le système «herbe » présente le taux d'efficacité énergétique le plus important par tête avec le plus faible niveau de consommation d'énergie en EQF (équivalent litres de fuel) par kilo de carcasse produit, a contrario du système associant brebis et cultures céréalières. Quant au système mixte (polyculture élevage : 130 ha dont 40 ha de cultures et 610 brebis), des adaptations ont été appliquées afin d'améliorer l'EE : amélioration de l'autonomie alimentaire, diminution des apports d'azote minéral, introduction de légumineuses dans la rotation culturale et production d'huile carburant et de tourteaux à base de colza. Le facteur le plus favorable est la baisse de la fertilisation azotée minérale. L'efficacité énergétique peut être améliorée en modifiant le fonctionnement du troupeau et la structure de l'exploitation, en particulier la productivité numérique du troupeau et le poids des agneaux.
Les enjeux environnementaux de la bio : Atouts d'un système exemplaire
Christine RIVRY-FOURNIER, AuteurLe Réseau Mixte Technologique - Développement de l'agriculture biologique (RMT Devab) vise à démontrer les atouts de la bio pour la protection durable de l'environnement. Experts et acteurs locaux se sont rencontrés, le 1er octobre 2010, dans l'enceinte du ministère de l'Environnement, afin de faire le point sur les travaux en cours. Tous les travaux convergent dans le même sens : les pratiques bio offrent de meilleurs résultats que les autres systèmes, sur les plans de la fertilité des sols, de la qualité des eaux, des émissions de GES (Gaz à effet de serre) par hectare. Néanmoins, les émissions de GES par unité de produit ne sont pas optimales et doivent être améliorées. Par ailleurs, les études montrent que les systèmes les moins polluants sont les systèmes les plus économes en énergie (aliment, engrais, carburant, électricité). L'approche de la bio est en train d'évoluer, elle passe d'une approche individuelle à une démarche collective, et elle est de plus en plus préconisée par les acteurs territoriaux (agences de l'eau, parcs naturels régionaux, collectivités territoriales, conservatoires ). Un outil multi-partenarial a, par exemple, été mis en place par le GABNOR (Groupement des agriculteurs biologiques du Nord Pas-de-Calais), pour évaluer l'intérêt de la bio dans les zones de captage. A noter que les pratiques bio et conventionnelles ne doivent pas être opposées, l'approche globale des systèmes bio doit tirer vers le haut l'agriculture entière.
Grandes cultures biologiques en Pays de la Loire : Références technico-économiques 2009
Marjorie BICHET, Auteur ; Stéphanie GUIBERT, Auteur ; Florence LETAILLEUR, Auteur ; ET AL., Auteur | ANGERS CEDEX 02 (CAB - 9 Rue André Brouard, BP 70510, 49 105, FRANCE) : RESEAU BIO DES CHAMBRES D'AGRICULTURE DES PAYS DE LOIRE | 2010Depuis 2004, un réseau de 18 fermes de références grandes cultures a été constitué dans les Pays de la Loire. Les données récoltées permettent l'établissement de critères technico-économiques tels que le temps de travail, le nombre d'interventions, les rendements, les coûts de production Sur les 18 fermes suivies, 5 sont spécialisées en grandes cultures, les autres disposent d'ateliers de productions animales représentatives des systèmes présents dans les Pays de la Loire ; cependant, chacune de ces exploitations produit au minimum 20 ha de céréales et/ou protéagineux. Les types de cultures mises en place dépendent du système. Les rotations sont en général plus longues sur les exploitations ayant des surfaces fourragères, mais les prairies ne sont pas toujours inclues dans les rotations. Les débits de chantiers et nombre de passages sont peu variables. Le labour est très présent mais n'est pas systématique. Les rendements sont stables sur les 6 campagnes et les prix de vente se maintiennent. Le poste mécanisation constitue le poste de charge le plus important.
Pour manger local, semez local !
Guy KASTLER, AuteurCet article est un plaidoyer pour le retour à l'utilisation de semences paysannes et locales. Les semences industrielles, qui sont favorisées par les lois existantes, doivent être rachetées chaque année par les paysans et nécessitent l'utilisation d'engrais et de pesticides.
Prospective Agriculture Energie 2030 : scénarios et pistes d'action
Fabienne PORTET, Auteur ; Julien VERT, AuteurLa prospective Agriculture Énergie 2030 est basée sur les travaux du groupe éponyme piloté par le Centre d'études et de prospective (CEP) du MAAPRAT (ministère de l'Agriculture). Elle vise à animer les réflexions sur l'évolution de l'agriculture en France face au nouveau contexte énergétique et à éclairer la prise de décision en la matière. La note d'analyse n°17 du CEP précisait la méthodologie mise en oeuvre et les grandes caractéristiques du système étudié (http://agriculture.gouv.fr/IMG/pdf/Analyse_17_Agriculture_Energie.pdf). La présente note expose les principaux résultats auxquels le groupe de travail est arrivé. Quatre scénarios fournissent des images contrastées de l'évolution de l'agriculture française dans différents contextes énergétiques, mais aussi sociaux, politiques et économiques à l'horizon 2030 : - Scénario 1 : Territorialisation et sobriété face à la crise ; - Scénario 2 : Agriculture duale et réalisme énergétique ; - Scénario 3 : Agriculture-santé sans contrainte énergétique forte ; - Scénario 4 : Agriculture écologique et maîtrise de l'énergie.
De quel bois se chauffent les réseaux de chaleur ?
Hélène BUSTOS, AuteurA Cransac, petite commune de l'Aveyron de 1 700 habitants, logements, gymnase et autres bâtiments communaux sont chauffés depuis un an à partir d'une chaudière de 500 kW alimentée en biomasse. 3 700 m de tuyaux en boucle acheminent l'eau chaude, et l'utilisation de cette biomasse (ici, des noyaux de fruits achetés à l'usine proche, Andros) permet d'éviter annuellement le rejet de 250 tonnes de CO2. 5 % des logements en France utilisent les réseaux de chaleur, contre 95 % en Finlande...
Ravageurs des stocks : Nouvelles possibilités avec EcO2
Jörg SCHUMACHER, Auteur ; Bettina LANDAU, Auteur ; Daniel FASSBIND, AuteurEn Suisse, les produits Bourgeon sont cultivés et stockés sans traitements chimiques de synthèse. Or, de nombreux produits Bourgeon doivent être stockés après la récolte, ce qui leur fait courir le risque d'être attaqués par des rongeurs et des insectes. Pour Bio Suisse, les entreprises situées en aval de l'agriculture doivent mettre en place, depuis 2005, un système intégré de lutte contre les ravageurs. Il existe, depuis quelques années, la possibilité de traiter les locaux et les silos, notamment de céréales biologiques, avec de l'air pauvre en oxygène sans devoir augmenter sa teneur en CO2. L'article aborde cette technique qui est utilisable en grand dans le stockage des denrées alimentaires sous le nom d'EcO2 et qui est utilisée aussi pour les produits conventionnels. Les désavantages de cette technologie sont sa consommation d'énergie et ses coûts d'investissement.