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LUTTE CONTRE LA POLLUTION |
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Rapport mondial des Nations Unies sur la mise en valeur des ressources en eau 2023 : Partenariats et coopération pour l'eau
Assurer notre sécurité alimentaire, hydrique et énergétique grâce à une gestion durable des ressources en eau, garantir un accès universel aux services de distribution deau et dassainissement, protéger la santé des populations et leurs moyens de subsistance, atténuer les effets du changement climatique et des phénomènes climatiques extrêmes, de même que préserver et restaurer les écosystèmes, comme les précieux services quils fournissent, forment un ensemble d'enjeux auxquels seul l'établissement de partenariats et de coopération pourra répondre. Le Rapport mondial des Nations Unies sur la mise en valeur des ressources en eau 2023, intitulé « Partenariats et coopération pour l'eau », traite de la nature et du rôle des partenariats et de la coopération entre les parties prenantes dans la gestion et dans le développement des ressources en eau (gouvernements, entreprises, scientifiques, société civile, communautés...). Il aborde aussi le rôle de ces coopérations pour accélérer les progrès en vue d'atteindre les objectifs en matière d'eau (réalisation du 6ème Objectif de développement durable, respect des droits humains à l'eau et à l'assainissement...). Ce rapport explore comment les acteurs des secteurs de leau et de lassainissement peuvent collaborer entre eux plus efficacement, en optimisant leurs complémentarités, et comment ils peuvent se tourner vers d'autres secteurs et d'autres domaines de décision dans lesquels leau joue un rôle essentiel, dans le but datteindre leurs propres objectifs et daugmenter les bénéfices mutuels.
Dossier : Préparer les récoltes d'hiver
Joseph CHAUFFREY, AuteurL'automne n'est pas seulement le temps des récoltes et des conserves, c'est aussi la saison pour semer les légumes qui seront récoltés en hiver et au tout début du printemps. Betteraves, blettes, carottes, fèves, radis,... font partie des légumes à croissance rapide ou encore résistants au froid présentés dans ce dossier. D'autres semis peuvent être anticipés dès le printemps (choux de Bruxelles, choux-fleurs, endives) pour donner des récoltes pendant la période de soudure, en fin d'hiver. Cultiver en hiver présente des avantages : les ravageurs sont moins nombreux, on dispose de davantage de place pour les cultures spacieuses comme les choux... Cependant, les productions hivernales requièrent une certaine vigilance pour s'adapter aux températures et aux cycles biologiques des plantes.
Recommandations en santé environnementale : Focus sur les produits chimiques dangereux Octobre 2022
Face à la publication de nouveaux rapports faisant état de la pollution de l'environnement par les pesticides, Générations Futures formule des recommandations, à l'attention des député·es, afin qu'ils et elles agissent pour la santé environnementale et pour la transition agricole. Ce document présente 10 mesures phares pour lesquelles un positionnement et une action concrète sont attendus. Dans une seconde partie, un programme d'actions, plus complet, est proposé. Certaines de ces propositions sont fortement liées au niveau européen.
Solutions pour un jardin résilient : Climat, pollution, biodiversité...
Floraisons précoces, gelées printanières catastrophiques, canicules et sécheresses ou pluies torrentielles Tout comme les autres écosystèmes, le jardin est impacté par le changement climatique (arbres déracinés, légumes brûlés par le soleil ), et cest sans compter la chute de la biodiversité, le développement despèces invasives et la pollution de lair et des sols Afin de surmonter ces phénomènes au jardin, Jean-Paul Thorez, ingénieur agronome, commence par dresser un tableau de lévolution de notre environnement proche sur ces dernières décennies. Il propose, ensuite, des solutions qui intègrent des techniques classiques de jardinage bio, des techniques traditionnelles parfois oubliées, mais aussi des techniques innovantes issues de lagriculture de conservation, de la permaculture et de la protection biologique des cultures. Gestion de leau, choix des plantations et sélection de cultures potagères et fruitières pour sadapter au changement climatique, création de refuges pour la faune, choix de plantes attirant les auxiliaires pour favoriser la biodiversité, maintien d'un taux d'humus suffisant, aération du sol, etc. sont autant de solutions proposées.
Les cultures légumières face au changement climatique (2ème partie)
Jean DE LA VAISSIERE, Auteur"Nous allons cultiver dans le nord de la France comme nous cultivions dans le midi il y a quelques années", écrit l'auteur, passionné de jardinage depuis longtemps. Pour lui, l'adaptation des jardiniers face au changement climatique va consister à accélérer les travaux à cause des hivers plus doux, de la chaleur et des épisodes de sécheresse. Il faudra même, sans doute, s'inspirer des techniques de culture nord-africaines, si le changement s'amplifie. Pour s'y préparer et commencer à faire ses propres expériences, il faut d'abord revoir le calendrier... L'objectif étant de démarrer les cultures plus tôt qu'avant, tout en les préservant des retours des gelées ou des coups de froid. Des conseils sont proposés pour adapter ses interventions au jardin dès l'hiver (utilisation de serres, de voiles thermiques, attention à porter à l'humidité, couverture du sol...).
Estimer le coût de linsuffisance de laction sur leau et les milieux : synthèse de létude de cas sur le bassin du Couesnon
AGENCE DE L'EAU LOIRE-BRETAGNE, Auteur ; ECODECISION, Auteur ; ACTEON, Auteur ; ET AL., Auteur | ORLÉANS CEDEX 2 (9 Avenue Buffon - CS 36339, 45 063, FRANCE) : AGENCE DE L'EAU LOIRE-BRETAGNE | 2021Le bassin versant du Couesnon qui s'écoule dans la Manche et en Ille-et-Vilaine compte un patrimoine naturel et aquatique riche. Or, malgré les mesures de protection et de gestion mises en uvre, il persiste dimportants enjeux en matière de préservation et de restauration des milieux aquatiques de ce bassin (pollutions diffuses, dégradation du paysage bocager, érosion, ruissellement, contaminations bactériologiques et virales des eaux, artificialisation des cours deau ). Dans lobjectif dinciter aux « changements de pratiques », une étude sur le coût de linsuffisance de laction sur le bassin du Couesnon a été menée. En termes de méthode, létude a porté, dans un premier temps, sur lidentification des actions à mener, avec 2 scénarios : le premier, dit « Continuité », basé sur la poursuite des actions de protection/restauration en cours et de celles déjà prévues sur la période 2018-2050 ; le second, dit « Bon état », qui inclut les actions qui seraient à faire en plus de celles du scénario précédent pour atteindre des objectifs plus ambitieux en matière de bon état des milieux aquatiques. Les coûts des actions pour chacun de ces scénarios ont été calculés. Ensuite, une évaluation des bénéfices supplémentaires du scénario « Bon état » a été réalisée, sur divers enjeux : stockage du carbone, réduction de la fréquence des inondations, amélioration de la biodiversité et du paysage, de la qualité de leau, diminution de la pollution bactériologique et virale. La différence entre ces bénéfices et le surcoût du scénario « Bon état » par rapport au scénario « continuité » permet de calculer le coût de linsuffisance de laction. Dans le cas du bassin du Couesnon, le coût de cette insuffisance de laction a été évalué à 27 millions deuros. Même si ces résultats sont à prendre avec prudence, cette étude a permis « de chiffrer de manière concrète, dune part, les actions supplémentaires pour latteinte du « Bon état » et, dautre part, les bénéfices que les usagers et plus globalement les habitants vont en retirer ».
Distribution : Le vrac emballe les Français ; Magasin « sans emballages » : Des pionnières convaincues
Fabienne MALEYSSON, Auteur ; Léa GIRARD, AuteurEn France, le vrac séduit de plus en plus de consommateurs. De 2013 à 2019, il a connu une croissance moyenne de 50 % de chiffre daffaires par an. Le nombre de commerces spécialisés dans ce mode de distribution sest envolé et les enseignes généralistes ne sont pas en reste : plus de 80 % des hypermarchés proposent un rayon dédié au vrac. Les consommateurs optent pour le vrac pour diverses raisons : saffranchir du marketing, éviter le gaspillage en achetant la quantité nécessaire, et diminuer les emballages. Preuve de lessor de ce mode de distribution, en février 2020, la loi sur léconomie circulaire a précisé que tout produit de consommation courante peut être vendu en vrac. Cette loi a également précisé que les clients ont le droit dapporter leurs contenants personnels dans les magasins, du moment quils sont propres. Toutefois, limpact environnemental global des produits en vrac nest pas réellement connu. Diverses interrogations subsistent, en particulier sur lempreinte environnementale de leur transport. Par ailleurs, si la promesse du secteur est de protéger la planète, il est préférable que les produits soient autant que possible bio et locaux. Pour illustrer cela, le fonctionnement du magasin spécialisé dans le vrac « Mamie mesure », qui sinscrit dans une démarche durable globale, est plus amplement détaillé.
Dossier : 50ème vendange certifiée bio en Champagne !
Justine CNUDDE, AuteurEn Champagne, la viticulture biologique a débuté dans les années 70, grâce à un petit groupe de vignerons précurseurs. André et Jacques Beaufort, Jean Bliard, Serge Faust, Roger Fransoret, Georges Laval, Yves Ruffin et Pierre Thomas ont en effet pris la décision, il y a 50 ans, de ne pas utiliser de pesticides de synthèse dans leurs vignes. Dans cet article, Jacques Beaufort, Sylvie Ruffin (belle-fille dYves Ruffin) et Vincent Laval (fils de Georges Laval) racontent les premiers pas de la bio sur ce territoire. Ils expliquent : 1 - les raisons qui ont poussé ces pionniers à passer en bio (risques environnementaux, problèmes de santé liés à lutilisation de pesticides, découverte de la méthode agrobiologiste Lemaire-Boucher) ; 2 - la perception de la bio à cette époque, ainsi que leurs relations avec le voisinage ; 3 - lhistorique de la mise en place dune organisation bio en Champagne ; 4 - les difficultés rencontrées au commencement pour commercialiser des bouteilles de Champagne en bio. Cet article est complété par un encart qui apporte des données chiffrées sur la viticulture biologique en 2019 sur ce territoire (260 domaines bio, soit 1148 ha, dont 619 en conversion).
La laine, matière première aux mille débouchés
Bérenger MOREL, AuteurLa laine, coproduit de lélevage ovin, est très mal valorisée et encore peu considérée par la réglementation française et européenne. Le premier débouché artisanal reste le textile (habillement, literie, draperie et décoration). Cependant, ce débouché valorise uniquement les toisons de qualité et ne permet pas de valoriser les laines plus grossières. Cest pourquoi, depuis plusieurs années, des associations, des laboratoires et les acteurs de certains territoires se mobilisent pour mieux valoriser les laines impropres au textile. Par exemple, dans lEst, le projet Défi Laine a pour objectif demployer ce type de laine dans lisolation énergétique des bâtiments publics. Dans le Sud, une équipe de chercheurs de Montpellier SupAgro et lassociation PolyBioAid se sont penchées sur des utilisations moins connues de la laine : filtre pour dépolluer lair ou les eaux, amendement pour les terres agricoles ou encore paillage organique pour lutter contre les adventices (laine transformée en film).
Oui, ré-autoriser les néonicotinoïdes serait un recul majeur que la France ne doit et ne peut se permettre. Explications.
FONDATION NICOLAS HULOT POUR LA NATURE ET L'HOMME, Auteur ; POLLINIS, Auteur ; GÉNÉRATIONS FUTURES, Auteur ; ET AL., Auteur | PARIS (179 Rue de Lafayette, 75 010, FRANCE) : GÉNÉRATIONS FUTURES | 2020Le 27 octobre 2020, le Sénat devait se prononcer en assemblée plénière sur le projet de loi du gouvernement remettant en cause linterdiction dutiliser, pour les betteraves, des insecticides contenant des néonicotinoïdes. Ce document a été rédigé à lattention des sénateurs, en amont du vote, par une vingtaine dorganisations (associations environnementales, associations de défense des consommateurs, syndicats agricoles et apicoles) afin de détailler les conséquences économiques, agronomiques, environnementales et sanitaires quengendrerait une ré-autorisation des néonicotinoïdes en France. Ces différentes organisations rappellent que la filière betteravière souffre de difficultés économiques structurelles (dérégulation du marché) et proposent des solutions économiques et agronomiques (sans néonicotinoïdes) pour préserver les emplois et rendre cette filière plus résiliente. Elles insistent également sur les impacts causés par ces insecticides sur la santé et sur lenvironnement en se basant sur de très nombreuses études scientifiques. Ils mettent ainsi en avant la contamination et la persistance des néonicotinoïdes dans les cours deau et les sols (au-delà des parcelles traitées), les effets mortels de ces insecticides sur les pollinisateurs (dont les abeilles) et sur de nombreuses autres espèces, notamment par effet ricochet sur les chaînes alimentaires (ex : poissons, oiseaux).
Projet de loi visant à réintroduire les néonicotinoïdes en France : Le vrai et le faux de la communication gouvernementale
GÉNÉRATIONS FUTURES, Auteur ; Unaf, Auteur ; GREENPEACE, Auteur ; ET AL., Auteur | PARIS (179 Rue de Lafayette, 75 010, FRANCE) : GÉNÉRATIONS FUTURES | 2020Ce document a été rédigé en réaction à un projet de loi visant à ré-autoriser lutilisation de néonicotinoïdes en culture de betteraves sucrières en France. A travers ce document, seize organisations paysannes, environnementales et apicoles sadressent aux députés français pour déconstruire quelques arguments favorables au retour des néonicotinoïdes. Il décrit en quoi ces insecticides présentent des risques pour les pollinisateurs, même si les betteraves sont récoltées avant leur floraison. Pour cela, il démontre la toxicité importante de ces insecticides, ainsi que leurs grandes rémanences et leurs capacités à contaminer lenvironnement. Ce document explique pourquoi le changement de pratique proposé (ne plus pulvériser de néonicotinoïdes mais enrober des semences avec ces insecticides) nest pas une solution durable et est en contradiction avec les objectifs du plan Ecophyto. Il présente aussi pourquoi la jaunisse (maladie transmise par des pucerons et contre lesquels les néonicotinoïdes sont utilisés) nest pas la principale cause de la crise que la filière betterave traverse en France. Cette crise est majoritairement due à des causes plus structurelles, telles que la dérégulation du marché et les sécheresses. Enfin, quelques chiffres, en lien avec les diminutions de rendement engendrées par linterdiction dutiliser des néonicotinoïdes et les emplois menacés au sein de la filière, sont contestés et réévalués.
Nouvelle-Aquitaine : S'unir pour la Valley bio du Gave
Frédérique ROSE, AuteurPour faire face à des problèmes de pollution d'origine agricole (nitrates, produits phytosanitaires) sur le territoire du Plan d'action territorial (PAT) de la nappe alluviale du Gave de Pau, l'Agence de l'eau Adour-Garonne et six collectivités ont lancé un appel à projet. Ainsi, à partir de 2017, les acteurs locaux de la filière bio - Interbio Nouvelle-Aquitaine, la Chambre d'agriculture des Pyrénées-Atlantiques, le Civam bio Béarn, et Agribio Union - vont travailler ensemble au développement de l'agriculture biologique sur ce territoire. Pour ce faire, des actions sont prévues sur : - l'accompagnement des conversions (journées techniques, mise en place d'un point d'accueil en AB) ; - la structuration des filières (augmentation de l'introduction de produits bio dans la restauration collective...) ; - la réflexion autour d'un outil financier adapté ; - et des actions de communication, notamment à destination des élus.
Vers un non travail du sol
Guy DUBON, AuteurLa journée portes ouvertes du centre Ctifl de Balandran, dans le Gard, fut l'occasion de montrer le développement de moyens de lutte bio et la prise en compte de l'agronomie en cultures légumières. Marie Torres, ingénieure en charge du programme melon, y a présenté un essai d'implantation de culture de melon avec un travail du sol simplifié au maximum. L'essai consiste en l'installation d'un engrais vert (ici vesce velue et blé), en automne, sur une butte, qui est détruit au printemps par couchage au rouleau Faca ou par broyage, puis qui est suivi d'une occultation par film plastique. Ainsi, le sol n'est pas travaillé durant cinq à six mois avant la plantation. Cette démarche est motivée, d'une part, par l'obligation de couverture maximale du sol en hiver dans les zones vulnérables Nitrates et, d'autre part, par la lutte contre la fusariose. Un essai identique sur courgette a été mené, avec un mélange de vesce d'hiver et d'orge en engrais vert. Les conclusions partielles de l'essai sur melon sont présentées et pointent les problèmes de faisabilité rencontrés (blé difficile à coucher par roulage), ainsi que les phases-clés à maîtriser (mise en place du paillage, installation de l'irrigation).
Dossier : Protection de l'eau : le réseau bio s'engage
Patricia HEUZE, AuteurDepuis plusieurs années, le réseau FNAB est engagé pour promouvoir l'AB comme solution pour protéger la ressource en eau. Le groupe de travail "Eau et Bio" qu'il a piloté, puis le programme du même nom, entre 2008 et 2010, ont permis de développer des outils et des connaissances pour faire connaître et reconnaître les atouts de l'AB dans la lutte contre la pollution de l'eau. En 2010, le dispositif des sites pilotes initie une dynamique et un cercle vertueux. En 2014, les 12 sites pilotes en place ont augmenté leur SAU en bio, puis dix nouveaux sites sont engagés dans le dispositif à la demande de collectivités locales. La FNAB siège désormais au Comité National de l'Eau, qui est consulté notamment sur les grandes orientations de la politique de l'eau. Le CGA de Lorraine, missionné par l'Agence de l'Eau Rhin-Meuse, travaille actuellement sur l'amont du bassin versant de la Seille et sur plusieurs zones de protection de captages lorrains. Sur 2330 captages en Lorraine, 192 sont prioritaires au regard de leur pollution par les phytosanitaires et les nitrates. Les producteurs bio jouent un rôle dans l'identification d'autres territoires à enjeu eau où l'AB pourrait se développer. L'article propose un focus sur la DUP (déclaration d'utilité publique), outil de protection de captages contre les pollutions ponctuelles, ainsi que sur la stratégie des SDAGE, dans laquelle s'inscrit la mission des Agences de l'Eau.
Repères : L'eau et les milieux aquatiques : Chiffres clés : Edition 2016
Les informations présentées dans ce document visent à dresser un panorama concis de la situation de l'eau et des milieux aquatiques à travers une sélection de données synthétiques, couvrant la plupart des enjeux : - les quantités d'eau disponibles et utilisées pour satisfaire les différents usages ; - la qualité sanitaire de l'eau potable et la protection de la ressource ; - l'état des rivières, des lacs, des eaux souterraines et celui de la biodiversité aquatique ; - la gestion des eaux usées et les sources de pollutions diffuses ; - les dépenses consacrées à l'eau par les différents acteurs ; - la perception des Français sur la situation actuelle et les actions à mettre en uvre. Elles donnent un aperçu des progrès réalisés et des défis qui perdurent. Le Commissariat général au développement durable, par son service de l'observation et des statistiques, et l'Office national de l'eau et des milieux aquatiques se sont associés pour produire ces chiffres clés, qui s'appuient majoritairement sur le système d'information sur l'eau. D'autres données issues de la statistique publique, de sources administratives, d'établissements publics, d'associations, de fédérations professionnelles ont également été mobilisées. Ce recueil de données contribue à l'objectif gouvernemental de "faciliter et fiabiliser l'accès par le citoyen à des données sur l'eau facilement compréhensibles" afin de "garantir la transparence de la politique de l'eau pour le consommateur". Il ne prétend cependant pas à l'exhaustivité. Il offre un aperçu des principaux sujets, en complément des informations plus détaillées mises à disposition sur internet.