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GRANDE SURFACE ALIMENTAIRESynonyme(s)GRANDE DISTRIBUTION ;forme moderne de distribution gms |
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Hypothèses de croissance du marché bio
"Présentation de deux points de vue sur le développement du marché bio. Pour Bertil Sylvander : ""plus le marché se développe, moins les gens savent exactement de quoi il s'agit"". Pour Maxime Morel, responsable produits biologiques dans un centre Leclerc : ""la fidélisation passe par une non-rupture dans les rayons et l'évolution du bio en grande distribution passe par une offre la plus large possible""."
Italie - Passeport pour la forme... et marché en plein expansion
41,5% d'entreprises en plus, 39,5% de surfaces en plus, 70% des opérateurs impliqués en bio dans le Sud, etc., l'agriculture biologique italienne a abandonné le marché de niche pour affronter le marché de masse. La filière fruits et légumes biologiques s'inscrit bien évidemment dans le mouvement. En grande distribution, les ventes bio ont déjà atteint un niveau compris entre 5 et 6% de la totalité des ventes du rayon fruits et légumes. Avec des prix de 30 à 40% supérieurs à ceux des produits conventionnels et une exportation dynamique, l'agriculture biologique reste extrêmement rentable. De grand groupes ont d'ailleurs investi le créneau et "industrialisé" la production augmentant encore la rentabilité de la filière.
Main basse sur les produits bio
L'inquiétude se fait jour devant une certaine industrialisation des produits biologiques et une pression sur les prix qui a aussi démarré, sous prétexte d'ouvrir le marché aux revenus les plus modestes. L'exemple développé de la maison Soy qui appartient au groupe Novartis, montre combien la filière s'opacifie au détriment du consommateur qui n'est plus informé. Face aux risques d'allègement des cahiers des charges, face aux industriels opportunistes, quelles seront les orientations choisies par la bio ?
Marketing the produce
Une vue d'ensemble du marché biologique italien. A la fin de l'année 1998, il y avait 40 000 exploitations biologiques en Italie. Elles couvraient une surface d'environ 850 000 hectares, ce qui représente 5 % de la surface totale cultivée en Italie. Le plus grand nombre de consommateurs achetant des produits biologiques est concentré dans les régions nord du pays où la structure économique et industrielle est la plus forte. Cependant, la plupart des produits biologiques sont produits au sud qui est plus orienté dans le secteur agricole et qui est la partie la plus chaude du pays. Historique et description du marché bio italien : la production, les principaux produits consommés, la commercialisation, les exportations, les activités biologiques,...
No verde Reino... O panorama "bio" no Reino Unido
Au Royaume-Uni, les consommateurs et les groupes de protection de l'environnement se sont unis pour revendiquer une meilleure qualité alimentaire et une plus grande protection environnementale. Cette prise de conscience collective (en faveur de la bio) est le fruit de problèmes successifs liés à la pollution, à la santé animale et à la contamination des aliments. Grâce à la pression des consommateurs, les grandes chaînes alimentaires se lancent de plus en plus fortement dans la commercialisation des produits biologiques. De plus, en 1997, 70% des produits bio consommés au Royaume-Uni étaient importés. Mais, ce pourcentage baisse car les agriculteurs britanniques se convertissant à la bio sont de plus en plus nombreux. Il existe diverses organisations spécialisées dans l'agriculture biologique au Royaume-Uni : L'HDRA (Henry Doubleday Research Association), Demeter (Association pour l'agriculture bio-dynamique), Elm Farm Research Center, Soil Association,... Présentation de la Soil Association et de l'HDRA, ainsi que de leurs activités. La certification et la formation en bio au Royaume-Uni (la certification est faîte à 70% par la Soil Association Certification Ltd, à 20% par Organic Farmers & Growers, et les 10% restants par Demeter, la Scottish Organic Producers Association et l'Irish Organic Farmers and Growers Association).
Pas de certification produit pour l'agriculture raisonnée
JM. Mutschler, directeur du réseau FARR, explique l'objectif de l'agriculture raisonnée qui ne doit pas être un signe officiel de qualité de plus. L'agriculture raisonnée se définit comme une méthode de production assurant un meilleur respect de l'environnement, mais qui n'implique pas forcément une qualité supérieure du produit. C'est une sorte de certification d'entreprise comme l'ISO, et elle doit être le standard de demain. FARR compte aujourd'hui 233 fermes dans 37 départements, de nombreux organismes de développement du syndicalisme agricole, de l'industrie agro-alimentaire (Danone) et de la distribution (Auchan, Casino) et de l'environnement.
Perceptions des consommateurs à l'égard des produits biologiques : La place du bio dans les GMS
Etude réalisée dans le cadre d'un PAE (Projet d'Action Educative) dans la région Pays de la Loire par les étudiants de BTSA du LEGTA Jules Rieffel. Les objectifs étaient de s'interroger sur la perception des consommateurs à l'égard des produits biologiques, de voir quels étaient les freins et les motivations à leurs achats de produits biologiques ainsi que leurs attentes en matière de commercialisation de ce type de produits,...
Produits bio : le bio passe enfin la démultipliée
En préambule, la question de l'avenir réservé aux produits bio. Par manque de communication adéquate, l'image du bio a souvent été très idéalisée et les produits bio sont depuis peu fréquemment remis en cause par les médias. Mais, ce dossier spécial est destiné à faire un tour d'horizon de l'état du développement actuel des produits frais bio en GMS. - Ultra frais : sur ce segment, Vrai est le leader incontesté suivi des marques distributeurs (MDD) en l'absence des géants de l'ultra-frais. Sont également présents : le Goût de la Vie, B'A et Bio d'Armor et le marché reste ouvert. A l'amont, l'expérience de Biolait mérite d'être signalée. - Fromage : côté fromage bio en grande distribution, tout est à faire car les distributeurs étaient jusqu'alors très réticentes. Là aussi, les grands groupes sont peu présents et les PME maîtrisent ce rayon. - Oeuf : l'oeuf bio représente 7% du CA du rayon oeuf pour un prix variant du simple au double. Cette forte consommation se traduit par la présence des grandes marques : Matines, Mas d'Auge, Lustucru et surtout la plupart des MDD. - Charcuterie : elle est apparue sur les linéaires bio par un certain nombre de ténors : Gayraud montagne noire, Bahier,...avec le problème du manque de matière première. - Viande et volailles : secteur en pleine croissance. On côtoie des acteurs comme : Soparvol, Loué, Freslon, Bourgoin, Terres du sud, Tendriade, Socopa, Charal,... - Fruits et légumes : bien qu'encore confidentiels, les F/L entament une progression très nette (+20% chez les préemballeurs). Le retard initial s'explique : expériences préalables négatives en F/L en GMS, prix élevés, présentation en préemballé peu compatible avec l'image du bio.
Sainsbury's invente la grande surface écologique
La chaîne anglaise de supermarchés Sainsbury's a mis en place près de Londres un magasin où l'aspect respect de l'environnement est au premier plan. Conçu dans un design futuriste, l'aménagement laisse une large place à la verdure. Les places de parking sont volontairement limitées pour encourager les clients à utiliser les transports en commun, en l'occurrence les bus qui s'arrêtent devant la grande surface. De même, une piste cyclable a été prévue ainsi qu'un abri à vélos. Des bornes pour recharger les voitures électriques ont été installées. Tout une batterie de services a été prévue pour le confort de la clientèle. Au plan de l'énergie, un grand radiateur fonctionne alimenté par les déchets du magasin qui sont brûlés. L'eau de pluie est récupérée sur le site pour l'arrosage des espaces verts. Enfin et bien entendu, les produits bio de la marque Sainsbury's Organic Food trouvent une place réservée dans le magasin. Pour l'instant, cet établissement a une vocation de test et aucune publicité n'est faite pour expliquer et valoriser l'originalité du concept.
La segmentation du marché français du poulet
Durant les dernières années, le marché français du poulet s'est diversifié rapidement et a vu l'émergence de nouveaux segments de marché. Cette segmentation s'est opérée selon deux axes, celui d'une différenciation qualitative (label, certification de conformité, agriculture biologique), et celui d'un niveau croissant d'élaboration de produits à base de poulet (découpe, panés, produits marinés, charcuterie,...). Les objectifs de l'étude de l'ITAVI ont donc été les suivants : - dresser un bilan de la segmentation du marché en 1998/99 ; - analyser pour chacun des produits ses atouts et ses handicaps ; - analyser les implications de la segmentation et des attentes du marché sur les systèmes de production ; - réaliser une prospective sur la segmentation du marché du poulet à l'horizon 2005.
Tendre vers des organisations plus intelligentes
Deuxième volet de l'interview de Lionel Bridoux, chef d'entreprise qui possède un supermarché à l'enseigne Intermarché à Montmélian, en Savoie. Historique du groupe Intermarché, la centralisation, la relation amont/aval, la stratégie,...
Terroir, bio, exotique, etc... "Je thème à la folie"
Les enseignes GMS mettent en place au rayon boisson une kyrielle de marques distributeurs à thème : Haut de gamme, exotique, junior, forme, bio. Cette démarche a été initiée par Promodès avec la marque Reflets de France. En bio, elle est largement avancée avec des marques spécifiques que sont : Stoc bio, Monoprix bio, Casino bio, Nature bio, Carrefour bio et Natège. A noter que, pour l'instant, à part Carrefour qui propose du vin, les autres boissons concernées sont uniquement des jus de fruits.
Le traiteur "bio et diététique" prend forme
L'article fait le point sur l'espace bio diététique et végétale du rayon LS sur lequel les GMS fondent des ambitions importantes puisque la part du linéaire consacrée est disproportionnée vu le chiffre d'affaire généré. En effet, celui-ci représente 50 MF répartis entre Bjorg (50%), Céréal (21%), Sojasun (16%), Gerblé (3%) et autres (10%) et enregistre de fortes progessions. Pour développer leurs parts de marché, les marques augmentent les animations des points de ventes et proposent des offres découvertes sur les produits secs. Ils profitent tous aussi des importants investissements publicitaires TV effectués par Bjorg et Cereal. La force de ce rayon repose toutefois surtout sur quelques produits principalement : ceux destinés au coeur du repas. Ainsi, Sojasun, avec quatre steaks de soja représente 16% du marché. Les choix des enseignes en terme d'évolution de gamme sont aussi présentés.
Trop chers, les produits bios ?
Le prix est une question d'importance pour l'avenir de l'agriculture biologique, mais sa réalité est complexe. Une enquête a été réalisée afin d'apporter des éclairages et des éléments de réponse à cette question. Debut décembre 1998, des relevés de prix ont été effectuées par les Quatres saisons et leurs lecteurs sur une vingtaine de produits alimentaires biologiques dans plusieurs régions de France et dans les différents circuits de distribution. Outre l'absence de certains produits en grande distribution (faute d'approvisionnement suffisant), les relevés de prix ne montrent pas des écarts très significatifs entre les différents circuits et souvent la grande distribution est plus chère. La comparaison avec les produits non biologiques met par contre en évidence des différences importantes, allant de 30 % à 85 % d'augmentation. Pour manger bio, il faudra peut-être changer ses habitudes alimentaires, mais certains magasins spécialisés proposent de plus en plus des produits en vrac pour abaisser le prix de vente.
La viande bio cherche ses marques
La sécurité alimentaire a une place de plus en plus importante lors du choix de produits des consommateurs. Si bien que ces derniers se penchent vers les produits biologiques de qualité et la viande n'échappe pas à cette tendance. Mais, face aux problèmes rencontrés lors de la distribution de la viande bio (en amont, elle souffre de l'irrégularité de l'approvisionnement et de la pénurie), on voit surgir des groupes comme la Selvi (groupe Scabev-Abattoirs d'Alençon) ; ainsi, certains distributeurs choisissent de créer leurs gammes de viande biologique à partir des unités de vente consommateur. La viande est découpée, conditionnée, étiquetée et livrée "clé en main" par les industriels. Place et stratégies utilisées par la grande distribution pour la vente de la viande bio. Exemple d'Auchan.