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20% de bio en 2020 : L'expérience des voisins ; La bio galloise, italienne et autrichienne
Le 18 mars 2008, à Lorient (Bretagne), trois représentants de la bio italienne, autrichienne et galloise ont répondu à l'invitation de la Frab (Bretagne) en participant au colloque "20% de la bio en 2020 : déclinaisons et applications en Bretagne". Andrea Ferrante de l'AIAB en Italie, Alexandra Pohl de Bio Austria en Autriche et Carolyn Wacher de l'Organic centre Wales ont ainsi témoigné des leviers qui ont permis à l'agriculture biologique de décoller dans leurs pays. Ils ont répondu à différentes questions posées sur : l'incidence des aides sur le développement de la bio, la réglementation européenne, les OGM, la PAC. Par ailleurs, le second article fait une présentation des trois intervenants et du contexte de développement de l'agriculture biologique dans leurs pays respectifs.
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2005 : Les conversions repartent
La dynamique de conversion, qui s'était arrêtée en 2004, tend à repartir en 2005 avec 350 nouveaux agrobiologistes (chiffres 2005 de l'Agence Bio) et devrait se poursuivre en 2006. Néanmoins, ces conversions seront certainement insuffisantes en regard des marchés qui s'ouvrent à ce secteur de production.
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2015, une année de forts changements pour les aides
LETTRE FILIÈRES FNAB - LÉGUMES, AuteurLes nouvelles aides à la conversion et au maintien pour 2015 font partie du deuxième pilier de la PAC, elles peuvent donc faire l'objet de règles spécifiques régionales, mais les montants surfaciques prévisionnels devraient être les suivants, respectivement pour la conversion et le maintien : pour les semences des céréales, protéagineux et cultures fourragères : 300 et 160 /ha ; pour le maraîchage et les semences potagères : 900 et 600 /ha ; pour les cultures légumières de plein champ : 450 et 250 /ha.
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2015, une année de forts changements pour les aides
La réforme de la PAC entraîne une modification des montants d'aides à l'hectare pour certaines cultures qui s'adresse à tous les producteurs, ainsi qu'un soutien spécifique pour les protéines. Un montant de 100 à 150 /ha sera alloué aux éleveurs qui implantent des surfaces fourragères comportant plus de 50 % de légumineuses afin de renforcer leur autonomie. Le soja, les autres protéagineux et la luzerne déshydratée seront soutenus à hauteur de 100 /ha à 200 /ha. Quant à la production de semences fourragères de légumineuses ou de mélanges, elle sera soutenue entre 150 et 200 /ha. Concernant les aides à la conversion bio et au maintien, leur montant respectif sera probablement de : 300 et 160 /ha pour les grandes cultures et les prairies artificielles à base de légumineuses ; 130 et 90 /ha pour les prairies permanentes ; 450 et 250 /ha pour les légumes de plein champ.
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2015, une année de forts changements pour les aides
LETTRE FILIÈRES FNAB - LAIT, AuteurQu'elles soient spécifiques ou non aux producteurs biologiques, les éleveurs laitiers bénéficieront de nouvelles aides de la PAC. Une aide directe par vache laitière de 36 en plaine et de 74 en montagne sera octroyée aux éleveurs pour les 30 à 40 premières vaches, et les nouveaux éleveurs bénéficieront d'une majoration. L'article indique les autres aides que pourront toucher les éleveurs pour leurs surfaces fourragères. Afin de compenser la perte liée à la disparition de la PHAE, l'ICHN sera élargie et elle reste cumulable avec les aides bio et autres MAEC. Quant aux aides à la conversion et au maintien, leur montant respectif sera de : 130 et 90 /ha pour les prairies (permanentes ou temporaires) associées à un système d'élevage ; 44 et 35 /ha pour les landes, estives et parcours. Les règles de cumul entre les Maec et Maec bio sont décrites dans leur ensemble.
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2015, une année de forts changements pour les aides
Les nouveaux montants d'aides à la conversion et au maintien seront (à titre indicatif) respectivement de 350 et 150 /ha. Les règles de non cumul des Mesures agro-environnementales et climatiques (MAEC) sont rappelées : les aides pour l'agriculture biologique ne sont pas cumulables avec les MAEC « système ». A partir de 2015, de nouvelles MAE sont prévues pour les viticulteurs, avec des montants de 193 à 495 /ha. Les modalités de leur mise en uvre seront fixées à l'échelle régionale.
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21 points clés pour l'agenda de l'OMC
Même si Seattle est passé par là, ce catalogue des points clés en discussion dans le cadre de l'OMC est toujours valable : qualité, sanitaire, droit à l'information, OGM, protection de l'environnement... sont quelques-uns des sujets chauds sur lesquels l'OMC devra se pencher dans les années à venir.
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24 agriculteurs sous contrat avec Vittel
Dans le périmètre de captage d'eau, Vittel a investi plusieurs millions de francs pour maîtriser le taux de nitrates. En contractualisant avec 24 agriculteurs, l'entreprise a obtenu que plus des 2/3 de la SAU concernée respectent le cahier des charges : zéro maïs, zéro pesticides, couverture du sol tout l'hiver, rotation luzerne-céréales-herbe, compostage du fumier et limitation de la fumure azotée. En contrepartie, Vittel verse une aide de 1200F/ha pendant 7 ans. Certains agriculteurs en ont profité pour se convertir à l'agriculture biologique, mais le changement de raisonnement global de l'exploitation et de métier n'est pas évident pour tous.
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L'AB en Suisse : un exemple à suivre ?
Pendant une semaine, 15 stagiaires du Certificat de Spécialisation "Technicien en Agriculture Biologique", 3 formateurs et l'animatrice du GEPAB (Groupe d'Etudes Pluridisciplinaires Agrobiologie Bretagne) ont rencontré les acteurs de la bio suisse. Bref aperçu des éléments du débat : - La Suisse biologique en chiffres ; la politique agricole gouvernementale ; la place de la Suisse dans l'Europe biologique, - La diversification des productions, - L'organisation des filières, - Recherche, développement, formation.
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L'accession au foncier grâce à l'agriculture solidaire
Pierre EMMANUEL, AuteurEn 2009, Romuald Bonnaire a acheté, avec sa compagne, un corps de ferme à Sommery dans le Pays de Bray (76), entouré de 7,5 hectares. Il s'est installé avec 40 brebis allaitantes Suffolk. Il élève ses agneaux à l'herbe et les vend à 21,5 kg. Aujourd'hui son troupeau compte 120 brebis mais la surface de terres dont il dispose ne lui permet pas de développer son activité à une échelle humaine et économiquement viable. Pour trouver des terres près de chez lui, il s'est tourné vers l'association « Terre de Liens » dont l'objet est l'acquisition et la préservation des terres agricoles à vocation nourricière. L'achat mutualisé d'une douzaine d'hectares proches de son corps de ferme via la foncière « Terre de Liens » a été l'opportunité pour Romuald, qui loue les terres à l'association, de réaliser complètement son projet de vie : produire, transformer et vendre localement de la viande d'agneau issue de l'agriculture biologique (et développer les circuits courts en travaillant en Amap (Associations pour le maintien de l'agriculture paysanne)). Avec l'ambition à moyen terme de diversifier la production (légumes, miel, pommes ) pour valoriser ses prairies en intégrant de nouveaux porteurs de projets, mais aussi dynamiser cette petite région du Pays de Bray par des manifestations notamment. Il envisage ainsi la plantation d'arbres fruitiers haute tige, la création de haies champêtres dans un projet solidaire et environnemental. Un encart est réservé à "Terres de liens".
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Accord politique sur la réforme de la Politique agricole commune : La France à l'heure des choix
Aurélie TROUILLIER, Auteur ; Lucile LEFEBVRE, Auteur ; Nathalie GALIRI, Auteur ; ET AL., AuteurLa revue Chambres d'agriculture se penche sur les mesures de la nouvelle PAC. Cette dernière, qui entrera en vigueur dans son intégralité au 1er Janvier 2014, préserve le principe d'une politique agricole commune et offre plus de flexibilité au niveau national. Des principes communs sont instaurés pour rendre la PAC plus juste, équitable, verte, efficace et transparente. Les pays bénéficient ensuite de marge de manuvre pour la distribution des aides. Ainsi, la France pourra utiliser des aides couplées jusqu'à hauteur de 15% de son plafond budgétaire et majorer les aides aux premiers hectares. Les montants par hectare et par exploitation seront la conséquence de choix effectués à l'échelle nationale. La France reste aussi libre de choisir ses propres modalités de convergence. La politique de développement rural a peu évolué par rapport à la période précédente. Peu d'éléments sont à ce jour disponibles concernant le développement rural, mais deux grands changements sont prévus : évolution de l'articulation entre les fonds européens ; décentralisation de l'élaboration des documents de programmation et des fonctions d'autorité de gestion qui seront confiées aux régions. Enfin, les outils de gestion des risques seront renforcés. Des négociations intenses sont à prévoir dans les mois qui viennent.
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Achetez des terres pour la bio !
Sjoerd WARTENA, AuteurIl existe aujourd'hui des agriculteurs souhaitant s'installer en bio mais ne disposant pas des fonds suffisants pour acheter. Sjoerd Wartena, président de l'association Terre de Liens, présente une belle initiative permettant aux particuliers d'aider ces agriculteurs en investissant dans une structure spécifique : la Foncière Terre de Liens. Elle a été créée par l'association Terre de Liens et la société financière de la Nef, en décembre 2006. Le contexte dans lequel la Foncière Terre de Liens intervient et le financement solidaire qu'elle permet sont exposés.
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Actes du 7ème Forum du Réseau Cocagne : "Cultivons la solidarité en Europe" : Eymoutiers, 24 et 25 novembre 2005
Ce document relate les Actes du 7ème Forum National du Réseau Cocagne, qui s'est tenu les 24 et 25 novembre 2005, à Eymoutiers en Haute-Vienne dans le Limousin. Organisé par le Réseau Cocagne et le Jardin de Cocagne de Couzeix, ce Forum a rassemblé l'ensemble des acteurs des Jardins de Cocagne sur le thème "Cultivons la solidarité en Europe". La première journée était centrée sur l'action des Jardins, la deuxième était consacrée à l'Europe, avec la participation de plusieurs intervenants européens.
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Actes du colloque "Bio, Proximité, Solidarité" : 14 octobre 2015
FNAB, Auteur ; CAB PAYS DE LOIRE, Auteur ; GAB 44, Auteur | PARIS (40 Rue de Malte, 75 011, FRANCE) : FNAB (Fédération Nationale d'Agriculture Biologique) | 2016Les actes du colloque national "Bio, Proximité, Solidarité", organisé par la CAB Pays de la Loire, le GAB 44 et la FNAB, à Nantes, le 14 octobre 2015, sont parus. Quatre thématiques y ont été abordées et des pistes d'actions opérationnelles ont été identifiées concernant ces quatre thèmes : - Comment favoriser une logistique à faible impact sur les produits bio locaux ? : Développer l'utilisation d'outils innovants permettant une mutualisation logistique ; Réaliser une cartographie des acteurs de la logistique et des différents flux de produits existants par territoire. - Comment assurer une juste rémunération des producteurs et une pérennité des projets ? : Agir sur les coûts de production et de distribution ; Favoriser l'accès du public à une alimentation de qualité : appui aux revenus et sensibilisation. - Comment introduire les circuits de proximité dans l'aide alimentaire ? : Favoriser la sensibilisation et l'information des bénéficiaires de l'aide alimentaire ; Favoriser la production et l'approvisionnement en produits bio locaux ; Favoriser la coopération avec les collectivités locales. - Comment favoriser la sensibilisation du public à une alimentation de qualité et de proximité ? : Ecrire un projet éducatif "Bio et Local" collectivement ; Ecrire un projet pédagogique collectivement.
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Actions à finalité environnementale : Le pâturage : un moyen de gestion adapté aux contrats agriculture durable
Les prairies naturelles et semi-naturelles représentent le quart de la superficie totale de la France, ce qui en fait une ressource économique considérable. Moyen reconnu pour la gestion de la diversité biologique, le pâturage devrait faire partie des actions à finalités environnementales des nouveaux contrats d'agriculture durable (CAD). En parallèle coexistera la mesure "prime herbagère agri-environnementale" (PHAE), récemment réévaluée à 68 euros/ha (+ 70% par rapport à l'ancienne "prime à l'herbe"). Ces deux mesures, PHAE et CAD, pourront se cumuler dans une même exploitation agricole, à condition que ce soit sur des parcelles différentes, et que le CAD ne contienne pas la mesure " gestion extensive de la prairie ". Quelques précisons techniques sont données dans cet article...