Thésaurus
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2 - Dynamique de l'AB, trajectoires et déterminants
Jean-Marie MORIN, Auteur ; Céline CRESSON, Auteur ; Célia BORDEAUX, Auteur ; ET AL., AuteurCe chapitre regroupe plusieurs articles sur les dynamiques de l'AB, trajectoires et déterminants, issus des présentations au colloque DinABio (Tours, 13 et 14 novembre 2013) Un premier article présente la formation sur l'agriculture biologique. Ensuite, une partie, consacrée à la dynamique des filières et des territoires, aborde plusieurs études de cas : développement de la filière légumes de plein champ bio, conséquences de l'introduction de cultures associées à graines dans les filières, filières biologiques de proximité en Rhône-Alpes, développement de l'agriculture biologique en Camargue, recherche action sur les innovations de l'économie bio, étude des transferts minéraux de l'agriculture conventionnelle vers l'agriculture biologique. Ensuite, les trajectoires et conversion font l'objet d'un second chapitre qui comporte une analyse spatiale des politiques de soutien et de la diffusion de l'AB, les méthodes et outils innovants mis au point pour développer l'élevage laitier biologique en piémont et montagne, et enfin une étude du rôle des facteurs économiques dans la décision de conversion. Le dernier chapitre porte sur les références et la transmission des savoirs. Les questions méthodologiques sont abordées à travers le projet RefAB. Les références des systèmes d'élevage bio du Massif Central sont analysées dans une approche transversale. Une approche multi-niveaux des besoins d'expérimentation en productions végétales est présentée et enfin la transmission professionnelle en AB fait aussi l'objet d'un article.
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Accompagner le (re)dimensionnement des fermes et des activités ; Se nourrir dautres champs et problématiques du développement rural
Alexandra VILLARROEL, AuteurUsageR.E.s est un projet piloté par lAtelier Paysan (2018-2021). Il vise à favoriser linnovation par lusage en agriculture (ex : autoconstruction de matériels et de bâtiments). Lun de ses objectifs est dinnover pour renforcer laccompagnement des agriculteurs, et plus particulièrement laccompagnement des agriculteurs en situation difficile, ainsi que des porteurs de projet à linstallation et des cédants. L'accompagnement va ainsi nourrir des réflexions sur le (re)dimensionnement des fermes et des activités. Pour cela, il va travailler sur les outils, les bâtiments, lhumain, les aspects financiers, les statuts juridiques, le collectif Des enquêtes, réalisées en 2019, avaient pour but de mieux cerner les besoins et les problématiques des agriculteurs concernés par le projet, avant de créer et dexpérimenter des modules de formation adéquats. Pour mettre en place cet accompagnement, les partenaires dUsageR.E.s vont également sappuyer sur des expériences menées en dehors du domaine agricole, comme celle de lUsine Vivante (qui est plus amplement détaillée dans larticle). Ce tiers-lieu a été créé en 2015, dans la Drôme. Il rassemble 50 travailleurs (de différents secteurs dactivités) dans une ancienne fabrique de pièces automobiles et aéronautiques. LUsine Vivante montre quil est possible dutiliser autrement un patrimoine bâti (redimensionnement, fonctionnement collectif, échange de compétences), ce qui peut être intéressant au regard des difficultés actuelles liées à la transmission de certaines exploitations.
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Accompagner la transmission par la formation
Ludovic MAMDY, AuteurLa Communauté d'agglomération havraise (Codah) travaille sur le maintien d'une ceinture maraîchère. Pour ce faire, elle met des terres à disposition des porteurs de projet mais a aussi identifié une problématique liée à la transmission des fermes. Ainsi, depuis 2016, une formation conçue par le Civam des Défis Ruraux est mise en place. D'une durée de 24 heures, cette formation a pour objectif d'aider les cédants à affiner et concrétiser leur projet de transmission, en abordant, dans un premier temps, la question sous l'angle psycho-sociologique. Un deuxième temps vise à identifier des repreneurs et à affiner avec eux le projet. Enfin, dans un troisième temps, ce sont les aspects financiers, administratifs, juridiques ou encore fiscaux qui sont abordés.
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Actes des conférences : La Terre est Notre Métier : Le Salon agricole de la bio
Ce document restitue 29 des conférences qui se sont déroulées lors de la 15ème édition du salon "La Terre est Notre Métier", en septembre 2018, en Bretagne. Ces interventions balaient un large panel dactions et de réflexions pour le développement de la bio : la transmission, les projets alimentaires territoriaux, la révision du règlement bio, lélevage de porcs bio et lalimentation 100 % biologique en porc, la construction de partenariats pour des approvisionnements locaux, la connaissance du sol, labattage à la ferme, lélevage laitier bio, Luzco : collectif pour développer les légumineuses fourragères, la valorisation des fourrages avec une conduite alimentaire simplifiée, lagriculture bio de conservation, les semences paysannes et les céréales bio, des leviers pour des systèmes de culture AB performants dans le Nord-Ouest de la France, la diversification vers du légume de plein champ, linstallation en maraîchage bio en circuit court, la pomme de terre biologique, la fertilisation en maraîchage diversifié, la gestion actuelle des adventices en légumes bio, linstallation de nichoirs et dabris de biorégulation en haute densité en vergers et en vignes, lapiculture bio, lorganisation de la filière grandes cultures bio, les filières bio équitables françaises, la résilience face aux aléas, laccès au foncier, linstallation sur une micro-ferme maraîchère, des systèmes innovants en élevage (croisement, monotraite, vieillissement des prairies, mères nourricières), la viande bio, la diffusion des semences paysannes.
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Agriculteurs et apprenants au travail. La transmission professionnelle dans les exploitations agrobiologiques : une approche par les configurations sociales et les situations d'interactions
Dans sa thèse, Fanny Chrétien s'intéresse aux dynamiques d'apprentissage des métiers agricoles, et plus particulièrement aux canaux par lesquels s'opère la transmission de savoirs dans le domaine de l'agriculture biologique. Dans un enjeu de renouvellement des générations en agriculture, elle avait pour objectif d'analyser la diversité des formes de transmission professionnelle par l'élaboration d'un modèle construit à partir d'une enquête réalisée en exploitation maraîchère biologique et d'une étude approfondie de trois cas de transmission dans des exploitations agrobiologiques. Ce travail s'intéresse à des formes spécifiques de construction de savoirs, qui peuvent s'observer lors de transmissions, en particulier hors cadre familial, et qui se sont développées en dehors des institutions publiques et des structures officielles de formation, en situation de travail, à l'instar des espaces tests agricoles. Cette thèse en sciences de l'éducation enrichit le débat sur les concepts et les définitions de ce qui fait la professionnalité.
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Les agriculteurs biologiques : Ruptures et innovations
Denise VAN DAM, Auteur ; Jean NIZET, Auteur ; Marcus DEJARDIN ; ET AL. | DIJON CEDEX (26 Boulevard Docteur Petitjean, BP 87999, 21 079, FRANCE) : EDUCAGRI ÉDITIONS | 2009
L'ouvrage retrace le parcours d'une soixantaine d'agriculteurs biologiques : céréaliers, maraîchers, arboriculteurs, éleveurs, ou encore vignerons, établis dans différentes régions de France et de Belgique. Différentes approches disciplinaires sont mobilisées : l'économie, lorsque les auteurs repèrent les manières dont les exploitants assurent la fonction d'entrepreneur ; la sociologie, quand ils s'intéressent, par exemple, aux canaux de transmission de l'expérience (la famille, le groupe des pairs) ; l'anthropologie, lorsqu'ils identifient le rôle inédit détenu par les femmes ; la psychologie, enfin, lorsqu'il est question des émotions ressenties lors de la transition vers le bio. Certains chapitres s'attachent davantage à une dynamique de rupture (première partie de l'ouvrage) : le choix de passer à l'agriculture biologique implique en effet d'abandonner des comportements antérieurs, de se différencier d'autres praticiens, avec ce que cela entraîne comme conflits, rejets, incertitudes, chocs émotionnels... Les autres abordent au contraire une dynamique d'innovation (seconde partie), qui implique la mise en place de nouvelles pratiques, individuellement et collectivement, grâce à l'expérimentation, la recherche, les échanges... L'ouvrage se termine sur des pistes d'action pour promouvoir l'agriculture biologique, en confrontant des points de vue de praticiens et d'experts.
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Les agriculteurs de demain face à l'enseignement de l'agroécologie
Isabelle BRUNNARIUS, Auteur ; Didier AUBRY, Auteur ; Pierre BOUVERET, Auteur ; ET AL., Auteur | DIJON CEDEX (26 Boulevard Docteur Petitjean, BP 87999, 21 079, FRANCE) : EDUCAGRI ÉDITIONS | 2019Comment les agriculteurs de demain vont-ils relever le défi de produire autrement ? Comment nourrir plus de 9 milliards d'êtres humains en 2050 tout en préservant les ressources de la planète ? De septembre 2016 à juillet 2018, une équipe de France 3 Franche-Comté et de Seppia a suivi 8 étudiants francs-comtois de la deuxième promotion du BTS ACSE rénové et un film a été produit (un lien pour visionner le film en ligne est indiqué dans l'ouvrage). Ce livre présente les portraits de ceux qui ont participé à laventure. Au cours de leur formation de BTS ACSE, les étudiants ont appris les principes de l'agroécologie. Comment réagissent-ils à cette remise en cause de l'agriculture conventionnelle ? L'agroécologie ne se résume pas à une simple définition. Héritage, observation, incertitude, métier, reconnaissance : les enseignants enseignent à produire autrement aux agriculteurs de demain. 4 dentre eux témoignent, ainsi que les 8 étudiants, issus de 2 établissements : le lycée LaSalle de Levier situé sur le plateau du Haut-Doubs et le lycée Granvelle de Dannemarie-sur-Crête (25). Ce livre est à la fois un outil de réflexion pour les établissements agricoles, les agriculteurs, mais aussi pour les consommateurs et les défenseurs de l'environnement. Soucieux de l'image qu'ils renvoient de leur profession, ces futurs agriculteurs ont besoin du soutien de toute la société pour parvenir à faire « leur part » de cette transition écologique.
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L'agriculture biologique en Roumanie
Dix ans après l'abandon du régime communiste, la Roumanie consacre toujours une grande importance à l'agriculture (60% du territoire est en surface agricole). Du fait de son histoire, plusieurs types de structures agricoles coexistent : des anciennes structures collectives qui se reconvertissent, des micro-exploitations qui subsistent, des exploitations familiales à grande dimension qui se développent et des grandes sociétés à actions. L'agriculture biologique se développe pour deux raisons : d'une part le marché extérieur (et notamment l'Europe) est très demandeur, d'autre part les agriculteurs roumains veulent mettre en oeuvre une agriculture durable. En terme de réglementation, des efforts ont été effectués puisque dès 1994, des associations de producteurs voient le jour pour permettre l'encadrement et la promotion de l'agriculture biologique en Roumanie.
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Agriculture durable : Quelle contribution des fermes aveyronnaises ?
Claudine MURAT, AuteurLa Mission Références de la Chambre d'agriculture de l'Aveyron a mené une enquête, en 2009, afin de savoir si les fermes aveyronnaises contribuent à une agriculture durable. C'est la méthode IDEA qui a été choisie afin de situer le plus objectivement possible la place et l'impact d'une exploitation dans son milieu. Trente exploitations, spécialisées ou mixtes, aux productions diverses (ovins lait, ovins viande, bovins lait, bovins viande, caprins) ont été enquêtées, faisant toutes partie des fermes suivies par la Mission Références. Pour les agriculteurs, c'est d'abord le facteur économique qui fait qu'une exploitation est durable, c'est ensuite l'aspect social, puis la qualité de vie. L'aspect environnemental apparaît pour eux comme évident mais ils ne se sentent que peu concernés. Quatre groupes d'exploitations ressortent pour lesquels les critères économiques sont les plus déterminants dans leurs différenciations : le groupe "Qualité", le groupe "Economes", le groupe "Structures en accroissement", le groupe "A la recherche d'un équilibre". Les résultats de chacun d'eux sont commentés et transcrits sous forme de graphiques.
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Agriculture paysanne : Des brebis, du fromage et de la rigueur
Margot JOBBÉ-DUVAL, AuteurBenjamin, Julia et Léa sont les trois associés de la ferme biologique de Messagendre, dans la Drôme. Ils possèdent 100 brebis de race lacaune en production (leur lait est transformé à la ferme et les fromages sont commercialisés en vente directe) et 2,5 ha de vigne (les raisins sont vendus à une cave coopérative). Cette ferme a été fondée en 2005 par les parents de Benjamin. Ce dernier les a vite rejoints et sest associé avec eux en 2008. En 2015, la mère de Benjamin approchait de la retraite et souhaitait diminuer son temps de travail. Cest dans ce contexte que Léa a été embauchée à la ferme. Avec son expérience en élevage et en transformation fromagère, elle a renforcé le GAEC et sest associée en 2017. Toutefois, il manquait encore un associé pour remplacer le père de Benjamin. A cette période, Julia effectuait ses stages de BPREA à la ferme de Messagendre. Elle a alors réalisé que son projet dinstallation pouvait seffectuer dans cette ferme et a enchaîné avec un stage de reprise quelle a souhaité prolonger pour voir une plus grande partie du cycle de la ferme. Julia sest associée au GAEC en mai 2018 et la transition avant le départ en retraite des parents sest effectuée sans à-coup. Dun point de vue organisation du travail, chacun des trois associés a des compétences différentes mais ils se partagent les astreintes quotidiennes. Leurs valeurs reposent principalement sur la clarté et la rigueur dans le travail.
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Agriculture paysanne : Sarthe : Un nouveau paysan aux portes du Mans
David GUYON, AuteurUn ancien animateur de la FADEAR (Fédération Associative pour le Développement de l'Emploi Agricole et Rural), David Guyon, raconte le parcours sinueux de son installation agricole en bio, près du Mans, sur 35 ha, avec trois ateliers : ovins, poulets de Loué et ruches. Il en ressort une certaine déception sur les formations proposées et l'accompagnement technique existant, mais un conseil clair aux cédants : bien anticiper le passage à la retraite, pour optimiser la reprise de la ferme. L'autre constat est qu'il a fallu se battre pour que cette ferme ne parte pas à l'agrandissement des voisins. Enfin, David prévoit déjà de vendre des plats cuisinés, pour profiter de sa proximité avec le centre ville du Mans et garder le maximum de valeur ajoutée sur la ferme.
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Alain Kervellec : "J'ai fait en sorte que Grégory ait une reprise sécurisante"
Antoine BESNARD, AuteurLégumier dans les Côtes d'Armor, Alain Kervellec réfléchit depuis plusieurs années à la transmission de sa ferme, avec deux grandes préoccupations : que son exploitation reste en agriculture biologique, et que le repreneur s'installe dans les meilleures conditions économiques possibles. Il insiste, pour cela, sur la nécessité d'une transmission progressive, qui permettra au cédant de se désengager petit à petit, tout en laissant au repreneur la possibilité de se former et de s'approprier l'outil. Dans cet entretien, Alain Kervellec raconte comment il envisage de céder sa ferme à Grégory, qui a été son salarié de 2004 à 2006. Il fait partie d'un des dix témoignages bretons qui composent le guide "Itinéraires de transmission".
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André Le Du, éleveur bovin lait : « La bio est à la portée de tous »
Frédéric RIPOCHE, AuteurEleveur depuis 30 ans, en AB depuis 1991, André Le Du a fait évoluer en permanence son système bovins lait. Installé dans le Finistère, il retrace ici son parcours avec, comme fil rouge, la recherche d'un équilibre basé sur l'autonomie, le respect du sol et celui des animaux. Pour lui, cette orientation fait que sa conversion à l'AB s'est faite au mieux. Au moment de celle-ci, le troupeau comptait des vaches Holstein produisant 8 500 l / an avec moins d'une tonne de concentré par an et par animal. Aujourd'hui, ce sont des Normandes qui constituent le gros de son troupeau et elles produisent 5 000 litres par an. L'exploitation est autonome en protéines, litière et céréales. L'ensemble des ressources fourragères sont revalorisées. La priorité est donnée à l'herbe et le système s'appuie sur des rotations longues, de 9 à 10 ans (7 à 8 ans de prairies à flore variée, suivies d'une orge de printemps et de colza fourrager, puis à nouveau une prairie semée sous couvert d'une avoine récoltée en grains). Pour cet agriculteur, qui prépare la transmission de son exploitation à son fils, l'AB est possible pour tous, si l'agriculteur évalue bien le potentiel de son système et internalise ce quil peut l'être.
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Annie et Jean-Yves Guillou : "Quand un jeune arrive sur une ferme, c'est un cerveau qui arrive"
Antoine BESNARD, AuteurEn 30 ans, Annie et Jean-Yves Guillou, éleveurs laitiers dans le Finistère, sont passés d'un système intensif avec un atelier hors-sol à une ferme bio. La conversion en bio a surtout été conduite par François, un de leur fils, installé en 2010, qui a toujours voulu faire ce métier et n'a jamais douté de ce mode de production. Julien, le frère de François, a créé un atelier maraîchage bio sur la ferme en 2014. A l'heure de la transmission, l'exploitation va poursuivre son chemin avec un maître-mot, l'autonomie. L'article présente la ferme, son évolution, ainsi que l'itinéraire de transmission, grâce aux témoignages d'Annie et de Jean-Yves.
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Anticipation et accompagnement : Les clés dune transmission réussie
Sarah CHOUPAULT, AuteurEn 2015, 73 fermes ont arrêté leur certification bio en Bretagne, dont 30 % pour cause de départ à la retraite. 19 % des terres ainsi libérées sont « reparties » en conventionnel. La question de la transmission dune exploitation lors d'un départ à la retraite reste donc un point crucial, en particulier en AB. Une enquête a été menée auprès dune vingtaine dagriculteurs bio de Côtes dArmor concernés par la transmission de leur ferme, afin de définir leurs besoins, leurs freins ou encore les critères quils envisageaient pour leur repreneur. Parmi les enseignements à retenir, on peut noter que les agriculteurs appréhendent différemment cette question selon la proximité de léchéance de la retraite. Plus on est éloigné de lâge de la retraite, moins cest un sujet de préoccupation, alors quanticiper est nécessaire afin de réussir cette étape cruciale. Commencer la réflexion dix ans avant léchéance permet notamment de déterminer au mieux la stratégie dinvestissement de la ferme. Anticiper permet aussi de mieux se préparer à laprès ou de limiter les risques de problèmes liés à certaines contraintes administratives. Parmi les besoins exprimés par une majorité des personnes enquêtées : la demande daccompagnements collectifs, afin déchanger avec dautres agriculteurs concernés par ce problème.