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Repères : Chiffres clés de l'environnement : Édition 2015
Les informations présentées dans ce document visent à dresser un panorama concis des enjeux environnementaux, en France, au travers de la sélection de données synthétiques. S'appuyant sur des séries temporelles longues, elles fournissent un aperçu des principales tendances caractérisant les relations entre la société, l'économie française et l'environnement. Au sommaire : - Milieux naturels et biodiversité : état, pressions (Climat Effet de serre ; Air ; Eaux ; Sols ; Biodiversité) ; - Gestion et utilisation des ressources naturelles (Consommation d'espace ; Consommation de matières ; Consommation d'eau ; Consommation d'énergie ; Consommation de ressources biologiques ; Déchets) ; - Économie de l'environnement et évolution des comportements (Opinion, Risques, Économie, Transports, Agriculture, Industrie).
Transforming food and farming : An organic vision for Europe in 2030
Yulia BARABANOVA, Auteur ; Raffaele ZANOLI, Auteur ; Marco SCHLÜTER, Auteur ; ET AL., Auteur | BRUXELLES (Rue du Commerce 124, 1000, BELGIQUE) : IFOAM EU GROUP | 2015Aujourd'hui, l'agriculture biologique semble être sortie de sa situation de marché de niche. Ainsi, il est nécessaire de faire le point sur ce qu'est devenue l'AB et sur ce qu'elle pourrait devenir, face aux évolutions politiques, aux challenges environnementaux et à l'évolution des marchés. IFOAM Europe a ainsi initié une démarche participative dans le but d'établir une vision commune de ce que pourrait être l'AB européenne en 2030 (Vision 2030). Les tendances et les incertitudes, de même que les opportunités et les risques, sont discutés. Quatre scénarios sont proposés. Ce document est ponctué d'expériences innovantes, ayant des impacts sur de multiples aspects de la durabilité, et visant la mise en relation de tous les acteurs pouvant être concernés.
Transition(s) vers une économie écologique : Le programme de prospective
Antoine RIVIERE, Auteur ; Halvard HERVIEU, AuteurCe document vise à présenter les travaux réalisés entre 2010 et 2014, dans le cadre du programme de prospective « Transition(s) vers une économie écologique » de la Mission prospective du Commissariat Général au Développement Durable, ainsi que les enseignements qu'il est possible d'en retirer. La première partie s'attache à comprendre quels pourraient être les contours d'une « économie écologique ». Pour ce faire, des scénarios ont été élaborés, permettant ainsi d'explorer le rôle que peuvent jouer différents acteurs (ex : les citoyens, les territoires, l'État) et les évolutions possibles du système socio-économique actuel. La seconde partie aborde des éclairages plus spécifiques afin de mettre en lumière certains leviers d'actions pour une transition. Ces éclairages sont aussi bien transversaux (ex. : rôle des TIC dans l'économie écologique, enjeu de l'emploi), que sectoriels (focus sur les transports et la mobilité écologique).
Afterres2050 : Un scénario soutenable pour l'agriculture et l'utilisation des terres en France à l'horizon 2050
Face à la crise sociale et environnementale planétaire, la recherche de nouveaux indicateurs (ex : indice de développement humain au lieu du PIB) et la modélisation des systèmes (avec la prise en compte des interactions dynamiques présentes au sein de ces systèmes) sont devenues des outils indispensables pour la définition des politiques publiques. Le scénario Afterres 2050 est un modèle qui s'inscrit à l'échelle du territoire, que celui-ci soit régional, national ou européen. Il s'appuie sur cinq principes fondamentaux : raisonner la consommation, mobiliser des pratiques et techniques maîtrisées, privilégier des voies « sans regret », développer une approche holistique, imaginer un projet ambitieux. Construit à l'aide du modèle MoSUT et constitué d'une série de tableaux interdépendants, Afterres 205 met en correspondance des productions, qui sont reliées à des surfaces et à des rendements, lesquels dépendent de facteurs de production (engrais ) parallèlement à une demande en denrées agricoles et sylvicoles pour l'alimentation, la production de matériaux et d'énergie. Afterres s'inscrit dans une triple transition : nutritionnelle, agricole et énergétique. Il propose notamment de diminuer les produits d'élevage par deux (nouvelles affectations à imaginer pour une partie des prairies y compris l'extensification globale de l'agriculture), de passer la moitié des élevages de monogastriques sous signes de qualité, de revenir aux races bovines mixtes (lait et viande). Concernant les cultures, la mixité des productions (cultures associées ) et l'allongement des rotations (1/3 de légumineuses) sont au cur de la stratégie, avec une progression des agricultures bio et intégrée. Néanmoins, la transition implique des changements profonds. Une des priorités semble être d'accompagner les agriculteurs catalyseurs du changement.
L'agriculture française face au défi climatique : quelles perspectives d'atténuation de ses émissions de gaz à effet de serre ?
Elise DELGOULET, Auteur ; Noémie SCHALLER, Auteur ; Pierre CLAQUIN, AuteurL'agriculture peut contribuer à l'amélioration du bilan des émissions de gaz à effet de serre (GES) de diverses manières : en stockant du carbone ou en produisant des énergies renouvelables qui se substitueraient aux énergies fossiles. Cette note du Centre d'études et de prospective, qui met en regard plusieurs travaux récents (Afterres, étude INRA 2013...), fait le bilan des émissions agricoles, des méthodes de calcul et des coûts d'atténuation. Les émissions des exploitations sont en baisse depuis 1990 en raison de la baisse de la fertilisation azotée, de la SAU et des effectifs bovins dus à l'intensification laitière. Elle présente succinctement les scénarios d'atténuation des émissions de GES agricoles d'ici à 2030 et 2050. Le périmètre des études ne tient pas compte des émissions de GES liées à la synthèse des intrants. L'année de référence pour le calcul du potentiel d'atténuation est 2005. A l'horizon 2050, les scénarios tendantiels (sans modification majeure des systèmes de production) conduisent à une réduction de moins de 5 %, tandis que les scénarios les plus volontaristes proposent jusqu'à 60 % d'atténuation. Les mesures pour parvenir à ces derniers impliquent des changements radicaux : l'agriculture intégrée, biologique et l'agroforesterie deviennent majoritaires ; le cheptel bovin allaitant disparaît quasiment ; la production de lait et de viande chute de 60 % ; les exportations diminuent de 50 %. Les autres scénarios proposent des atténuations de 30 à 50 % et tous envisagent une modification des régimes alimentaires, notamment un équilibrage entre la consommation de protéines animales et végétales. La réduction des émissions de GES a un coût, par exemple une réduction de 30 % à l'échelle européenne d'ici à 2050 coûterait 300 /t d'équivalent CO2.
L'agriculture française face au défi climatique : quelles perspectives d'atténuation de ses émissions de gaz à effet de serre ?
Elise DELGOULET, Auteur ; Noémie SCHALLER, Auteur ; Pierre CLAQUIN, Auteur | PARIS 07 SP (Secrétariat Général - Service de la statistique et de la prospective - Centre d'études et de prospective, 3 Rue Barbet de Jouy, 75 349, FRANCE) : MINISTÈRE DE L'AGRICULTURE ET DE LA SOUVERAINETÉ ALIMENTAIRE | 2014En 2012, l'agriculture a émis l'équivalent de 2 % des émissions françaises de gaz à effet de serre (GES), dont la moitié est due au protoxyde d'azote (N2O) lié à la fertilisation azotée et aux déjections animales. Les émissions liées à l'agriculture en France (hors fabrication des intrants) ont baissé de 9,6 % entre 1990 et 2012 alors que les émissions moyennes tous secteurs confondus sur la même période ont diminué de 12 %. Cette synthèse identifie les leviers d'action et compare neuf scénarios afin que le secteur agricole renforce sa contribution à la réduction des émissions de GES. Les scénarios tendanciels qui ne comportent pas de renforcement des mesures de lutte contre les GES par rapport à la situation actuelle ne permettent pas de réductions d'émissions. Les scénarios s'appuyant sur des mesures purement techniques sans modification des systèmes et des filières permettent une réduction des émissions de 10 à 20 %. Les scénarios de rupture (comme Afterres 2050) permettent de réduire les émissions de 30 à 60 % d'ici à 2050. Pour atteindre ce résultat, il faudrait modifier en profondeur les modes de production, la taille des cheptels, les régimes alimentaires et la balance commerciale. Dans tous les cas, aucun scénario ne permet de réduire de plus de 35 % les émissions de GES d'ici à 2030.
Agro-écologie et écologie industrielle : deux alternatives complémentaires pour les systèmes d'élevage de demain
Marielle THOMAS, Auteur ; Laurence FORTUN-LAMOTHE, Auteur ; M. JOUVEN, Auteur ; ET AL., AuteurLes productions animales sont peu à peu amenées à répondre à de nouveaux enjeux sociaux, économiques et environnementaux. Une orientation de leurs pratiques vers l'agro-écologie et l'écologie industrielle, deux approches complémentaires, peut leur permettre d'y répondre. L'agro-écologie repose sur les processus naturels afin de promouvoir des systèmes agricoles moins dépendants des intrants, valorisant la diversité animale et végétale, et produisant différents services écosystémiques. L'écologie industrielle, quant à elle, repose sur le bouclage des cycles, visant ainsi une économie de ressources et une réduction des pollutions. Dans cet article, cinq principes agro-écologiques sont proposés et analysés. Leurs combinaisons et performances sont décrites à travers quatre études de cas. Enfin, les opportunités et les freins au développement de ces approches sont discutés à travers la motivation des éleveurs à développer des systèmes autonomes et la nécessaire réorganisation du travail.
Alléger l'empreinte environnementale de la consommation des Français en 2030 - Rapport de synthèse : Vers une évolution profonde des modes de production et de consommation - Résumé
Dans le but de contribuer à la réflexion sur une consommation durable, l'ADEME a réalisé un exercice de prospective, s'attachant à donner une vision à l'horizon 2030 des changements technologiques, économiques et sociaux nécessaires à la réduction de l'empreinte environnementale de la consommation des ménages français. Ce résumé présente les principales hypothèses et enseignements de ce travail.
Bio N'Days 2014 Organics Cluster ; Étude prospective 2025 : les points et les idées clés à retenir : Deuxième partie
BIO-LINEAIRES, AuteurUne étude prospective pilotée par le cabinet Futuribles a été dédiée aux futurs possibles de la bio en 4 scénarios. Des éclairages et précisions des 4 scénarios, décrits dans l'article consacré du numéro 54 de la revue, sont apportés pour comprendre les évolutions les plus plausibles et bien préparer la décennie à venir. L'avenir sera certainement composé d'un mixte des différents scénarios, et il est intéressant de regarder quelles sont les grandes tendances qui se dégagent sur le plan du développement de la bio, sur des thématiques telles que : le destin des valeurs et des idéaux qu'elle porte, dans un monde en pleine mutation sociétale ; l'accès au bio pour les populations des pays émergents ; le rôle de la bio dans la transition vers une société plus verte, son engagement dans des chantiers propres à garantir l'éthique, sa relation aux consommateurs de demain, sa capacité à répondre à une demande globale de santé et d'harmonie avec la nature, etc.
Bio N'Days 2014 Organics Cluster ; Prospective 2025 : l'avenir de la bio en 4 scénarios clés
BIO-LINEAIRES, AuteurOrganics Cluster Rhône-Alpes est un réseau d'entreprises bio rassemblant 150 adhérents régionaux. Il est à l'origine des journées B.I.O. N'Days qui se sont tenues les 16 et 17 avril 2014, sur le thème « Imaginons les produits bio de 2025 : quels avenirs et choix stratégiques pour les acteurs ? ». 300 professionnels et acteurs nationaux et internationaux de la filière bio ont pu découvrir les conclusions d'une étude prospective inédite dédiée aux futurs possibles de la bio en 4 scénarios. Cette étude, pilotée par le cabinet Futuribles, a nécessité plus d'un an de préparation et l'appui de 40 experts. Après avoir exposé la méthode utilisée, les 4 scénarios centrés sur l'alimentaire et la cosmétique sont présentés : Scénario 1 : le bio en extension sous contrainte ; Scénario 2 : la bio gagnante ; Scénario 3 : la bio business et libérale ; Scénario 4 : la bio diluée.
Les contributions possibles de l'agriculture et de la forêt à la lutte contre le changement climatique
L'agriculture et la forêt sont réputées contribuer au quart des émissions mondiales de gaz à effet de serre. Elles devraient aussi être fortement impactées par le changement climatique à venir, risquant en cela de ne plus pouvoir nourrir les 9 milliards d'habitants attendus en 2050 sur la planète, ni participer à la nécessaire substitution des matières premières non renouvelables qui fondent encore aujourd'hui notre modèle de développement. Deux fronts sont ouverts pour répondre à ces inquiétudes : atténuer le changement climatique par la réduction des émissions de gaz à effet de serre (GES) et adapter les modes de productions agricole et forestière aux évolutions du climat. Ce rapport a identifié les éléments dont disposent l'agriculture et la forêt pour lutter contre le changement climatique. Il constitue la première étape d'un travail amené à être poursuivi par le Conseil Général de l'Alimentation, de l'Agriculture et des Espaces Ruraux (CGAAER).
La disponibilité future de la ressource en eau en France : quelle place pour le secteur agricole ?
Elise DELGOULET, AuteurL'utilisation de l'eau est déjà l'objet de tensions dans certaines régions en France. Ces tensions pourraient être exacerbées dans le futur, avec le changement climatique, la croissance démographique ou encore l'urbanisation. Cet article fait le point sur trois études prospectives menées à horizon 2030, 2050 et 2070. Leur analyse permet de rappeler les principaux facteurs jugés importants concernant la ressource en eau et ses usages. Les différents scénarii envisagés pour l'agriculture sont détaillés, puis, l'auteur donne les principaux résultats et limites de ces études. Les scénarii montrent qu'effectivement, les tensions sur l'eau vont s'amplifier en France et que l'agriculture devra s'adapter. Les conclusions et recommandations formulées vont dans le sens de l'optimisation de la ressource et de la limitation de la demande (recherche de l'efficience et sobriété). Enfin, ces études soulèvent une question importante, à savoir celle du mode d'arbitrage et de conciliation entre les différents usages de l'eau (énergie, agricole, domestique, industriel).
Distribution biologique 3.0 : Eco-anticipation du magasin bio idéal de 2025 (1/2)
Sauveur FERNANDEZ, AuteurLes magasins biologiques tels que nous les connaissons actuellement sont globalement des copies de leurs homologues conventionnels, avec une implantation urbaine périphérique, un agencement et une structure de distribution ordinaire. Les nouvelles demandes sociétales appellent de nouveaux types de magasins. Des circuits alternatifs émergent d'ores et déjà, par exemple les réseaux de vente directe gérés par les consommateurs, les magasins de producteurs, les épiceries sans emballages, les marchés locaux de vente en ligne, les épiceries ambulantes. Le magasin bio de 2025 combinera les caractéristiques suivantes : placés dans les centres-villes, les quartiers populaires ou les zones résidentielles (avec des distributeurs automatiques) ; une offre élargie à des secteurs non alimentaires et même des services ; une hausse de l'offre en vrac ; des bâtiments éco-conçus ; l'utilisation du design émotionnel et des outils numériques (QR Code) ; la vente de produits issus de semences anciennes, voire la culture et la transformation sur le lieu même du magasin afin de réduire la barrière traditionnelle entre distributeur et producteur.
Guide méthodologique du développement des stratégies régionales d'économie circulaire en France : Rapport final
L'ADEME et l'Association des Régions de France ont réalisé ce premier guide méthodologique de l'économie circulaire. Il a vocation à aider les territoires à saisir les opportunités de croissance et d'emplois qu'offre le passage vers l'économie circulaire. En effet, la loi de transition énergétique pour la croissance verte, présentée par la ministre de l'Écologie, du Développement durable et de l'Énergie, fait du passage à une économie circulaire l'un des principaux chantiers de la mutation de notre société. L'économie circulaire constitue ainsi l'une des priorités du prochain contrat de plan Etat Région (CPER 2015-2020). Ce guide constitue un outil d'aide à la décision pour déterminer les orientations concrètes de politiques publiques d'économie circulaire à mettre en uvre dans les différents secteurs : développement économique, politiques de l'emploi, de la formation, de l'insertion sociale, des transports, de l'aménagement du territoire. Il propose un grand nombre d'exemples de réalisations concrètes couvrant les sept piliers de l'économie circulaire : Économie de la fonctionnalité, écoconception, écologie industrielle et territoriale, allongement de la durée d'usage, consommation responsable, recyclage et valorisation des déchets, approvisionnement durable.
Marc Dufumier : « L'agro-écologie est un idéal ; la bio est la forme d'agriculture qui répond le mieux à cet idéal »
Dominique PARIZEL, AuteurMarc Dufumier, agronome, professeur émérite à AgroParisTech, conseiller auprès des Nations-Unies et de la Banque Mondiale, et Président de la Plate-forme française pour le commerce équitable, a été invité par Nature & Progrès pour présenter son dernier ouvrage (50 idées reçues sur l'agriculture et l'alimentation). L'article est le compte-rendu de la conversation que l'auteur a tenue avec lui sur les thèmes majeurs de son combat : la transition écologique, l'éducation et l'information en matière d'agriculture et d'alimentation. Pour l'agronome, notre système alimentaire est toxique et vulnérable. Son expérience et sa connaissance des pays du Sud apportent un éclairage sur la notion d'appauvrissement de la paysannerie, qui va à l'encontre des discours des lobbies agricoles français (vocation exportatrice de la France). Augmenter les rendements grâce à une intensité en main-d'uvre et en emploi, faire un usage « intensif » des rayons du soleil, de l'azote de l'air sur la parcelle, des ressources naturelles renouvelables n'ont rien à voir avec l'appellation d'agriculture intensive qui renvoie, par exemple, à la mono-production de maïs comme on la trouve depuis la Charente jusqu'au Béarn. C'est pour cette raison que Marc Dufumier préfère utiliser l'expression « intensément écologique ». L'idée qu'avec le bio les rendements vont nécessairement diminuer est une idée fausse, répète-t-il. Il revient également sur la question du prix des produits bio proposés aux consommateurs, en montrant qu'il est nécessaire d'éduquer, d'expliquer pourquoi, au final, les produits bio reviennent moins cher à la collectivité. Il aborde la question de l'enseignement de l'agronomie qui, pour lui, n'aurait jamais dû cesser d'être celui de l'agroécologie. Les systèmes de production issus du bio montrent une plus grande capacité de résilience, en retrouvant, en cas d'accident climatique par exemple, un état d'équilibre plus rapidement. Il examine ensuite les problématiques des circuits courts, puis de la restauration collective.