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Documents disponibles dans cette catégorie (128)


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Poules avec parcours : le bio tire son épingle du jeu
Rozenn MAIRET, AuteurUne enquête sur les résultats 2014 de 34 lots de poules pondeuses, issus de 27 élevages de Bretagne, des Pays-de-la-Loire et des Deux-Sèvres, a été réalisée autour de trois filières : label rouge, plein air et agriculture biologique. Dans chacune de ces filières, les poules ont accès à des parcours extérieurs. Les principaux résultats technico-économiques sont présentés dans cet article. Dans un contexte où les ufs issus de ces filières sont recherchés par les consommateurs, les systèmes bio maintiennent de bons résultats, mais les filières label rouge et plein air connaissent plus de difficultés, notamment d'un point de vue économique (augmentation des charges).
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Réseau charolais campagne 2015 : 50 exploitations conventionnelles : Principales évolutions par rapport à 2014 et 2012 ; 10 exploitations agri. biologique : Principales évolutions par rapport à 2014 et 2013
Michel LHERM, Auteur ; Christophe TROQUIER, Auteur ; Marielle ROULENC, Auteur ; ET AL., Auteur | SAINT-GENES-CHAMPANELLE (63 122, FRANCE) : INRA CLERMONT - THEIX | 2016Cette fiche synthétique rapporte les principaux résultats technico-économiques obtenus par le réseau charolais en 2015, réseau suivi par l'Unité Mixte de Recherche sur les Herbivores (UMRH) de l'Inra. La taille des exploitations et la productivité du travail, la marge brute bovine, la marge brute des cultures, les charges de structure et le revenu par travailleur pour 50 élevages conventionnels et 10 élevages biologiques sont analysés. Pour les exploitations biologiques, les cheptels se sont agrandis mais la taille des exploitations reste stable. La marge brute bovine de ces élevages a progressé de 16 % entre 2014 et 2015, grâce à une amélioration du produit brut bovin et à une baisse des charges du troupeau et des surfaces fourragères. En revanche, la marge brute des cultures est en baisse (-3 %) et les charges de structure sont en hausse (+2,6 %). Les revenus des éleveurs bio de ce réseau sont en hausse par rapport à leurs revenus de 2014, et restent supérieurs à ceux des éleveurs conventionnels (+35 %).
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Les revenus 2015 de l'agriculture biologique en Pays de la Loire
Pour la 7ème année consécutive, les Chambres dagriculture des Pays de la Loire, en partenariat avec les centres de gestion, ont compilé les chiffres des revenus agricoles bio 2015 de cette région. Lannée 2015 a connu une vague de conversions importante en Pays de la Loire (153 conversions pour environ 11 800 ha), et cette dynamique sest amplifiée en 2016 avec près de 320 conversions et 22 000 nouveaux ha en bio. Aussi, les chiffres de cette édition vont pouvoir servir de références, notamment pour les agriculteurs récemment engagés et pour ceux qui pensent reprendre une ferme bio ou qui envisagent une conversion. L'étude a pris en compte 577 exploitations bio (dont 183 en production laitière bio). Le document rassemble des références technico-économiques en agriculture biologique par grands systèmes de production.
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Synthèse : BL spécialisés (livreurs bio vs conventionnels) - 2015
Cette synthèse de lobservatoire Inosys des Réseaux délevage présente la moyenne des résultats technico-économiques des élevages bovins lait (BL) biologiques et conventionnels spécialisés et suivis en 2015. Les élevages sont catégorisés en quatre types : BL plaine spécialisés bio (19 élevages), BL plaine spécialisés conventionnels (116), BL montagne spécialisés bio (28) et BL montagne spécialisés conventionnels (107). Pour les élevages suivis, sont présentés les chiffres liés à la structure de lexploitation (UGB, SAU ), au fonctionnement technique (lait produit/VL, lait produit/SFP ), à lenvironnement (azote, énergie), aux résultats économiques (produits, charges, résultats de lexploitation, prix du lait, EBE ) et aux coûts de production (lait vendu / UMO, produits des différents ateliers, coût de production total ). En 2015, les systèmes bio affichent une bonne résilience. La performance économique de ces exploitations reste bonne avec un EBE/PB de lordre de 40 à 41%.
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Synthèse : Bovins viande Agri BIO - 2015
Cette synthèse de lobservatoire Inosys des Réseaux délevage présente la moyenne des résultats technico-économiques des élevages bovins viande biologiques suivis en 2015, en séparant les naisseurs spécialisés et les autres (production de veaux et/ou de bufs). Pour les 20 élevages suivis, sont présentés les chiffres liés à la structure de lexploitation (UGB, SAU ), à latelier bovin viande (productivité numérique, coût des aliments/kg, prix de vente ), à léconomie (charges, marge brute, EBE ), à lenvironnement (azote, énergie) et aux coûts de production (achats, travail, produits, prix de revient, rémunération ). En 2015, les élevages bovins viande bio ont maintenu leurs performances et leurs revenus. Les écarts de productivité demeurent mais les systèmes bénéficient de la baisse des charges de structure et renforcent encore un peu leur niveau defficacité économique.
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Dossier : les charges de mécanisation à la loupe
Aurélie CHEVEAU, Auteur ; Stéphane BOULENT, AuteurComme tous les ans, les éleveurs en système herbager de l'Adage et du Cedapa ont comparé leurs charges de mécanisation à celles du CER. Les résultats montrent que les charges de mécanisation moyennes de ces deux groupes (respectivement 556 et 587 /ha) sont égales ou supérieures à celles du CER (558 /ha). Parmi les éléments qui peuvent expliquer cela : des investissements importants en lien avec les besoins de matériel en propre pour la gestion des surfaces en herbe, ou encore en lien avec du matériel surdimensionné. Deux éleveurs bio ayant des charges de mécanisation relativement maîtrisées (environ 300 /ha) partagent leur expérience sur le sujet.
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Principales évolutions entre 2013 et 2014 pour un groupe de 34 éleveurs ovins viande du Massif Central et du sud de la Vienne, en échantillon constant
34 élevages conventionnels et 9 élevages biologiques en ovins viande sont suivis par l'équipe « Economie et gestion de l'exploitation d'élevage », de l'Inra de Clermont-Theix. Les principaux résultats technico-économiques de ces élevages pour la campagne 2014, en comparaison à la campagne 2013, sont présentés dans ce document : - structure des exploitations ; - marges de l'atelier ovin par brebis, de la SFP, des cultures et des ateliers complémentaires ; - charges de structure ; - aides générales ; - revenu. Les exploitations bio sont plus diversifiées que les conventionnelles. Ces ateliers complémentaires permettent aux éleveurs bio d'améliorer leur revenu, leur marge ovine étant un peu plus faible que pour les conventionnels, de même que leur productivité du travail (moins de brebis par travailleur en bio).
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Réseau charolais campagne 2014 : 54 exploitations conventionnelles, 10 exploitations agri. biologique : Principales évolutions par rapport à 2013 et 2012
Michel LHERM, Auteur ; Christophe TROQUIER, Auteur ; Didier BEBIN, Auteur ; ET AL., Auteur | SAINT-GENES-CHAMPANELLE (63 122, FRANCE) : INRA CLERMONT - THEIX | 2015Cette fiche synthétique rapporte les principaux résultats technico-économiques obtenus par le réseau charolais en 2014, réseau suivi par l'équipe « Economie et gestion de l'exploitation d'élevage », de l'Inra de Clermont-Theix. La taille des exploitations et la productivité du travail, la marge brute bovine, la marge brute des cultures, les charges de structure et le revenu par travailleur pour 54 élevages conventionnels et 10 élevages biologiques sont analysés. En conventionnel, la baisse des prix et des aides impacte le revenu des éleveurs (13 950 /UTH en 2014, soit -7 % par rapport à 2013), et ce malgré une année climatique et sanitaire normale et des charges mieux maîtrisées. Cette baisse de revenu est aussi observée pour les bio (19 384 /UTH en 2014, soit -30 % par rapport à 2013), mais leur revenu moyen reste supérieur à celui des élevages conventionnels de l'échantillon.
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Traction animale : En Viticulture Biologique : « qui veut cultiver longtemps ménage son cheval »
VIVRE LA VIGNE EN BIO, AuteurFace aux problématiques de compaction des sols liées à la mécanisation, de plus en plus d'agriculteurs reviennent vers la traction animale. Cette façon de travailler le sol présente divers avantages et inconvénients, présentés dans cet article. Des références économiques, issues de la Cuma des Centaures et de la documentation technique de l'association Prommata, présentent les différents postes de charges liés à l'installation en traction animale. Enfin, un exemple d'itinéraire technique en viticulture biologique illustre les interventions possibles avec un cheval de trait.
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Agir sur sa mécanisation pour un meilleur revenu : Exploitations bovins lait et bovins viande
Aline WANG, Auteur ; Yvon GUITTET, AuteurLorsque l'on parle d'économies sur l'exploitation agricole, la thématique de la mécanisation est rarement abordée. Pourtant, les charges de mécanisation constituent un poste de dépenses important : carburant, travaux par tiers, entretien du matériel, amortissements L'AFoCG et l'Union des CUMA section Vendée se sont penchées sur le sujet. Les charges de mécanisation, des années 2006 à 2012, ont été analysées pour 140 exploitations d'élevage en bovins lait et viande, conduites en agriculture conventionnelle, en système herbager, ou encore en agriculture biologique. Pour les exploitations bio, les charges de mécanisation par hectare sont en moyenne inférieures à celles des exploitations conventionnelles. Elles sont supérieures si on les considère en fonction de la production (/1000 L), du fait de la moindre productivité par vache. Ces charges pour les bio ont connu une hausse entre 2008 et 2012, qui peut s'expliquer par des besoins en matériel spécifique (désherbage mécanique ), ou encore par la conjoncture de prix du lait bio favorable aux investissements.
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Fiche "Repères" : Maraîchage bio diversifié en circuits courts
Ces fiches ont été réalisées en 2014 par des techniciens spécialisés en maraîchage bio en Poitou-Charentes, sur la base de chiffres relevés dans le cadre dune étude de coûts de production. Les données ont été recueillies par les techniciens au cours de lappui aux producteurs et sont complétées, le cas échéant, à dire dexpert. Les ateliers maraîchage de 3 exploitations en situations différentes sont décrits : une exploitation en phase de démarrage, inférieur ou égal à 3 ans d'activité ; une exploitation en développement, entre 3 et 8 ans dactivité ; une exploitation en rythme de croisière, supérieur ou égal à 8 ans dactivité. Les fiches présentent notamment, dans chaque cas, les charges opérationnelles totales, les charges de structure hors amortissement et lexcédent brut dexploitation. Des critères de réussite en maraîchage bio sont identifiés (main duvre, eau, sol, commercialisation, compétence technique) .
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Maraîchage bio diversifié en circuits courts
Sylvie SICAIRE, Auteur ; Benoît VOELTZEL, Auteur | MELLE (12 bis Rue Saint-Pierre, BP 22, 79 500, FRANCE) : AGROBIO POITOU-CHARENTES | 2014Ces fiches repères ont été réalisées en 2014 par des techniciens spécialisés en maraîchage bio en Poitou-Charentes, sur la base de résultats économiques relevés dans le cadre d'une étude de coûts de production. Les données ont été recueillies par les techniciens au cours de l'appui aux producteurs et sont complétées, le cas échéant, à dire d'experts. Trois fiches décrivent plus particulièrement l'atelier maraîchage d'une exploitation à partir de trois cas de figure : - Cas 1: une exploitation en phase de démarrage existence inférieure ou égale à 3 ans d'activité ; - Cas 2: une exploitation en développement (entre 3 et 8 ans d'activité) ; - Cas 3: une exploitation en rythme de croisière (existence supérieure ou égale à 8 ans). Ces trois fiches font aussi l'objet d'une synthèse.
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Martial Grossetête, agriculteur-meunier : Petites surfaces, faibles charges et bons résultats
Jean-Martial POUPEAU, AuteurSituée en Haute-Saône, l'exploitation familiale de 60 ha aujourd'hui cultivée par Martial Grossetête est certifiée en agriculture biologique depuis les années 60. Grâce à des charges réduites et à une diversification (transformation en farines), cet agriculteur-meunier parvient à dégager un revenu pour lui et son épouse, malgré la petite taille de l'exploitation. Les farines produites (blé, seigle, épeautre, blé noir) sont vendues localement, aux particuliers, en direct ou via les GMS, et aux professionnels de la boulangerie. Si la rotation n'est pas fixée d'avance, l'agriculteur estimant que cela ne permet pas de s'adapter aux conditions annuelles de salissement et de météo, l'assolement est diversifié. Les légumineuses sont très présentes aux côtés des céréales, en culture pure ou en mélanges. A travers différents encarts, Martial Grossetête fait le point sur certaines de ses pratiques agronomiques : décompactage, non-labour, semis direct
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Stratégie : Baisser les charges au maximum
Aude RICHARD, AuteurLorsqu'il a repris les 177 ha de l'exploitation familiale, dans le Loiret, Jean-Baptiste Drouin a immédiatement converti l'ensemble à l'agriculture biologique. Petit à petit, d'autres changements se sont opérés sur la ferme : création d'un atelier caprin avec transformation fromagère, augmentation de la surface en herbe Le fer de lance de cet agriculteur : les économies. Ainsi, la conduite des cultures (féverole, triticale, sarrasin, lin, avoine, blé population ) se limite au semis et à la récolte. Avec des charges très réduites, l'agriculteur ne craint pas les faibles rendements. De plus, il arrive toujours à valoriser ses productions : si une culture n'est pas satisfaisante, elle peut toujours servir à nourrir les animaux. Le semoir Eco-Dyn est un élément-clé de son parc de matériel et lui permet de faire un semis direct sous couvert. Pour optimiser la durabilité de son système, Jean-Baptiste Drouin souhaite à l'avenir y développer l'agroforesterie.
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Bio-portrait : Les jardins de Ladislas
Caroline LEFEBVRE, AuteurLes jardins de Ladislas sont conduits par Ladislas Gasirowski, dans le Haut Languedoc. Après une carrière d'éducateur, Ladislas décide, à 40 ans, de s'installer paysan : il s'installe maraîcher en bio et demande la mention Nature & Progrès en 2005. Présentation des jardins (qui s'étalent, sur plusieurs parcelles pour une surface totale d'environ 1 Ha, à 800 mètres d'altitude, depuis le hameau d'Euzèdes...), des productions agricoles (en adéquation avec les potentialités des milieux cultivés et les cultures légumières locales...). La production est majoritairement transformée (lactofermentations, confitures, purées, séchage...). Cependant, la pérennité de la ferme a été remise en cause (contraction d'un prêt pour achat de matériel agricole en 2010, baisse du chiffre d'affaires, refus de la banque d'un rééchelonnement en 2012, perte d'un tiers de la production de carottes dans la même année). Ladislas envisage de prendre le statut de cotisant solidaire (pour alléger ses charges). L'article conclut que, dans le système agricole actuel, les petites fermes devraient être soutenues.