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Le jardinier-maraîcher : Manuel d'agriculture biologique sur petite surface
Porté par le succès international de la 1ère édition du Jardinier-maraîcher, Jean-Martin Fortier, au Québec, a continué à perfectionner ses techniques de maraîchage diversifié et à tester des outils pour optimiser ses cultures biologiques sur petite surface. Dans cette nouvelle édition revue et augmentée, il partage de nouveau son savoir-faire afin d'aider les personnes qui rêvent de se lancer en agriculture biologique et les jardiniers-maraîchers qui souhaitent améliorer leurs pratiques culturales. Il entend prouver qu'il est possible de cultiver des légumes bio de façon intensive sur un terrain de moins d'un hectare, de nourrir en circuits courts plusieurs centaines de personnes et de rentabiliser sa micro-ferme. Ce guide pratique fournit des notes culturales sur plus de 25 légumes et apprend, étape par étape, comment : - choisir l'emplacement d'un site en s'inspirant de la permaculture ; - minimiser les investissements au démarrage de son entreprise ; - utiliser de la machinerie alternative au tracteur ; - cultiver en planches permanentes avec une approche de travail minime du sol ; - fertiliser organiquement ses cultures ; - lutter efficacement contre les maladies et les insectes nuisibles ; - désherber avec les meilleurs outils ; - prolonger la saison en "forçant" ses cultures ; - élaborer un calendrier cultural ; - faire une bonne planification financière. Cet ouvrage a été vendu à plus de 40 000 exemplaires et traduit dans plusieurs langues.
Organic agriculture more profitable to farmers
Une étude réalisée par des chercheurs de l'Université d'État de Washington conclut que, malgré des rendements plus faibles, les marges de profit de l'agriculture biologique sont significativement plus élevées que celles de l'agriculture conventionnelle. Les primes versées aux agriculteurs biologiques variaient de 29 à 32% au-dessus des prix conventionnels, alors que le seuil de rentabilité de l'agriculture biologique était de 5 à 7% de primes au-dessus du prix. Selon les auteurs de l'étude, ces résultats montrent qu'il y a de la place pour la croissance de l'agriculture biologique, car elle peut rester rentable, même si les primes baissent au fil du temps.
Photovoltaïque : La rentabilité retrouvée ?
Danielle BODIOU, AuteurEn avril 2015, les tarifs d'achat d'électricité photovoltaïque par ERDF ont été revus à la hausse. Cette revalorisation fait suite à une baisse régulière de ces tarifs entre 2011 et 2015, entraînant de façon proportionnelle une baisse des projets d'installations de panneaux photovoltaïques sur les bâtiments agricoles.
Un poulailler chez soi
Ce guide pratique, rédigé par Dominique Antoine, consultant en AB, s'adresse tout particulièrement aux nouveaux éleveurs qui souhaitent installer un poulailler de ponte familial, mais aussi aux aviculteurs qui souhaitent obtenir des revenus complémentaires à leur activité professionnelle. Après avoir décrit les principales caractéristiques physiologiques et psychologiques de la poule, des conseils sont donnés pour créer son propre élevage : construction et agencement du poulailler, choix des races, autoproduction des poulettes - futures pondeuses - ou achat de celles-ci dans les meilleures conditions. L'auteur explique également les modalités de production des ufs, en insistant sur les conditions à respecter pour nourrir économiquement les poules, en tenant compte du caractère omnivore de celles-ci, et les maintenir en bonne santé. Enfin, l'accent est mis sur la bonne gestion de l'élevage (technique et économique), et sur la réglementation à respecter lors de la création d'un poulailler.
Produire du blé de qualité pour la meunerie : quelle stratégie adopter ?
François BOISSINOT, AuteurAfin de produire du blé bio conforme aux exigences des meuneries, c'est-à-dire présentant un taux de protéines supérieur à 10,5-11 %, plusieurs stratégies sont envisageables. Un certain nombre d'entre elles sont mises à l'essai par les Chambres d'agriculture des Pays-de-la-Loire et leurs partenaires : la rotation, la fertilisation organique, les stimulateurs de nutrition des plantes, les associations céréales-protéagineux, le pilotage de la fertilisation au printemps par un outil d'aide à la décision. Les principaux résultats de ces essais sont rapportés dans cet article.
Rentabilité des cultures sous abris
Cette étude présente une comparaison des revenus et coûts de production par m² pour les tomates biologiques selon différents types de structures (serres froides, grands tunnels et tunnels chenille). L'analyse fournit, en particulier, des repères en termes de coûts annuels d'investissements et de main-d'uvre. L'approche et les résultats peuvent être adaptés à la réalité d'une entreprise maraîchère, pour évaluer sa propre rentabilité, ou la pertinence d'un investissement. Les résultats observés d'une entreprise à l'autre sont très variables. Il est recommandé d'analyser soigneusement les paramètres de l'entreprise pour interpréter les résultats ou planifier un projet. Cette étude a été présentée à l'occasion du premier colloque Bio pour tous ! du CETAB+ en mars 2015.
Une rentabilité variable, parfois tendue pour les unités de méthanisation actuelles
Cyrielle DELISLE, AuteurL'Association des Agriculteurs Méthaniseurs de France(AAMF) alerte sur le fait que l'objectif d'atteindre 1000 installations à l'horizon 2020 ne paraît pas réalisable si certains freins ne sont pas levés. En effet, les résultats ne sont pas encourageants selon le président de l'association : rentabilité très variable, fonctionnement plus coûteux que prévu, tarification mal adaptée, fiscalité pénalisante. Il précise que, si les résultats peuvent être encourageants la deuxième ou troisième année de fonctionnement, le retour d'expériences montre qu'il faut rester vigilant en quatrième et cinquième année, notamment en raison des grosses réparations qui sont souvent nécessaires, alors que les constructeurs les annoncent pour la septième année. D'autres points de vigilance sont présentés, en particulier pour arriver à maîtriser le niveau d'investissement.
Améliorer l'efficacité du travail en maraîchage, un enjeu majeur pour la pérennité des exploitations
Christophe DERUELLE, AuteurEn saison, les exploitants maraîchers diversifiés travaillent 60 heures par semaine. Sachant que le travail est le premier facteur de production, sa juste organisation doit faire l'objet d'une prévision. Cet article donne les étapes à suivre pour rationaliser l'organisation : 1) Prévoir les besoins à l'avance grâce à la planification des cultures, des livraisons, des réunions, etc. ; 2) Collecter les temps de travaux réellement effectués afin de les comparer aux prévisions ; 3) Analyser ses pratiques pour les améliorer, en utilisant par exemple les leviers suivants : faire appel à de la main d'uvre temporaire, modifier les pratiques agronomiques, changer d'équipements, optimiser le parcellaire voire les bâtiments, juger des méthodes de commercialisation. La Chambre d'agriculture de la Corrèze donne des ratios de référence pour la part de temps annuel consacrée à chaque activité d'un maraîcher.
Développer une activité de valorisation de légumes et petits fruits en circuit court - Guide pratique et repères
Le document est issu d'une large étude réalisée dans le cadre du projet lauréat Casdar 2010 : « Élaboration d'un référentiel pour évaluer la performance technique, économique, sociale et environnementale et favoriser le développement des circuits courts de commercialisation ». Ce projet s'est déroulé d'octobre 2010 à décembre 2013 et a réuni 61 partenaires (recherche, instituts techniques, organisations professionnelles agricoles, fédération d'AMAP ), dont 11 contributeurs en continu sur l'ensemble du programme. Les travaux présentés dans ce document ont été coordonnés par la FNAB et le CERD. Ils sont le fruit d'une enquête conduite auprès de 65 producteurs de légumes et petits fruits, dont 42 en agriculture biologique, dans 4 régions différentes. Les données présentées n'ont pas vocation à traduire la diversité des systèmes et des situations dans leur globalité, mais plutôt à fournir des repères pour éclairer la construction d'un projet. L'activité de production maraîchère, combinée à une valorisation en circuit court, reste chronophage, il est donc primordial de bien appréhender et anticiper ce temps de travail. C'est notamment à cela que ce guide pratique contribue. Au sommaire : - Méthodologie : présentation de l'échantillon ; - Réfléchir sa stratégie commerciale en maraîchage en circuit court ; - Typologie des systèmes agricoles produisant des légumes pour la commercialisation en circuit court ; - Qu'en conclure ?
Dossier : Les étapes d'une transmission en douceur
Véronique BARGAIN, AuteurA partir d'expériences localisées, en France, et de témoignages d'agriculteurs, le dossier aborde les points suivants : - Le financement, point clé de la transmission ; - Une cessation hors cadre bien menée (Deux-Sèvres) ; - Un outil innovant d'accompagnement à l'installation (Loire-Atlantique) ; - Une reconversion réussie pour Aline Pineau (Maine-et-Loire).
Engraisser et valoriser ses bovins mâles dans la filière viande bio
Guillaume LE JAL, Auteur ; Aurèle DE PREAUMONT, Auteur ; Blandine MASSOT, Auteur ; ET AL., Auteur | PARIS CEDEX 12 (Maison Nationale des Éleveurs, 149 Rue de Bercy, 75 595, FRANCE) : INSTITUT DE L'ÉLEVAGE | 2014De nombreux veaux mâles produits dans les structures allaitantes biologiques ne sont pas valorisés dans la filière biologique et poursuivent leur carrière et leur finition en circuit conventionnel. Cette situation constitue une perte de "matière première", alors même que la consommation de viande bovine biologique continue de se développer et que l'offre peine parfois à couvrir les besoins croissants. Par ailleurs, elle laisse aux éleveurs un sentiment de travail inachevé, souvent évoqué. Fort de ce constat, UNEBIO et ses partenaires ont entrepris d'étudier les différentes voies de finition des mâles biologiques. Du veau au buf en passant par le "Baron bio" dont les schémas techniques ont été construits dans ce projet, cette étude présente les différentes possibilités qui s'offrent aux éleveurs. De l'approche technique, à la valorisation des carcasses et l'analyse des qualités de viande, en passant par l'évaluation de l'intérêt économique des différentes stratégies, elle apporte aux éleveurs les conseils et les éclairages nécessaires pour optimiser la finition de leurs mâles en circuit biologique.
L'INRA démontre que la polyculture bio est rentable
LETTRE FILIÈRES FNAB - LAIT, AuteurL'Inra de Mirecourt livre les résultats d'une étude qu'elle mène depuis 2004 sur deux systèmes d'élevages laitiers biologiques : un système herbager et un en polyculture. Les deux systèmes sont très autonomes et le niveau de production reste élevé, ainsi que les indicateurs de biodiversité. La conversion à l'agriculture biologique et la recherche d'autonomie alimentaire ont permis de diviser les charges opérationnelles par deux et d'augmenter le produit brut.
Plusieurs options à étudier pour engraisser davantage de mâles bio
Sophie BOURGEOIS, AuteurActuellement, 70 % des mâles issus des élevages bovins allaitants biologiques sont valorisés en conventionnel. Vendre des mâles finis biologiques représente une diversification, telle que la finition des veaux sous la mère ou les barons qui sont des mâles non castrés de 12 à 16 mois et de 280 à 330 kg de carcasse. Les simulations montrent qu'il est possible d'améliorer l'EBE avec ces deux produits car peu de charges supplémentaires sont ainsi générées. En revanche, l'engraissement de bufs n'est pas toujours aussi rentable (d'autant plus que les aides spécifiques à cette catégorie ont disparu), mais cela peut participer à la valorisation des surfaces éloignées de l'exploitation, et peut également faire progresser l'efficacité économique du système.
Pommes bio pour la transformation : Vers des vergers dédiés ?
Myriam GOULETTE, AuteurLes transformateurs de pommes biologiques qui cherchent à s'approvisionner localement ont de réelles difficultés à trouver une matière première adaptée. Une journée spécifique, organisée le 4 mars 2014 à Agen, a permis à des producteurs, des transformateurs, et des acteurs de la filière Arbio, Cofra, Bio d'Aquitaine, Chambres d'agriculture et Invenio de se retrouver autour de cette problématique. Les questions économiques et techniques concernant une telle filière ont été au cur de cette journée. Des essais sur le ramassage machine notamment ont été présentés.
Yields and Profitability during and after Transition in Organic Grain Cropping Systems
Brian CALDWELL, Auteur ; Charles MOHLER L., Auteur ; Quirine KETTERINGS, Auteur ; ET AL., AuteurLa période de transition vers une agriculture biologique est un obstacle économique pour les fermes céréalières, et la gestion au début du processus a une influence importante sur les performances des cultures suivantes. En appliquant une rotation maïs/soja/épeautre d'hiver/trèfle rouge dans le compté de Cayuga (New York) on a pu comparer les rendements et résultats économiques de 4 systèmes biologiques pendant et après la transition. Ces systèmes étaient : haute fertilité (HF), basse fertilité (BF), forte gestion des adventices (FGA) et travail du sol réduit (TSR). Le maïs et le soja en HF, BF, FGA ont eu des résultats similaires tout au long de l'expérience, de l'ordre de 65% et 91% des rendements obtenus dans le comté de Cayuga (CC) pendant la transition. Pendant la première année post-transition, les maïs HF, BF, FGA ont eu un résultat de 63% mais ensuite ils ont atteint 98 à 114% des rendements du CC. Les rendements relativement à ceux du CC ont eu tendance à demeurer les mêmes après la transition. L'épeautre a eu de meilleurs résultats en HF et FGA qu'en BF. Ses rendements étaient variables après la transition. Les adventices ont augmenté dans tous les systèmes durant les 6 années, surtout en HF et TSR. Sur les sols et climats de ce comté les amendements en HF ont augmenté la biomasse des adventices comparativement au système BF, mais pas le rendement.Pendant la transition, les résultats économiques se sont révèlés plus faibles pour les systèmes HF, BF, FGA comparativement aux moyennes de la région, étaient meilleurs par la suite.