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Aménagements des parcours de poules biologiques
Jens THEJSEN, Auteur ; Brieuc DESAINT, Auteur ; Suzanne NIEMANN, Auteur ; ET AL., Auteur | AARHUS N (Agro Food Park 15, 8200, DANEMARK) : ØKOLOGISK LANDSFORENING (Fédération nationale danoise de lagriculture biologique) | 2020Pour les élevages de poules pondeuses en plein air, il est parfois difficile de gérer les parcours : le couvert végétal peut très vite laisser place à la terre nue et/ou à une très faible biodiversité. Ce livret propose différentes méthodes et outils pour améliorer l'utilisation des parcours dans les élevages biologiques. Les objectifs sont damener les poules à davantage utiliser leurs parcours ; de donner aux clients, grâce à lesthétique des parcours, une meilleure image de lagriculture biologique ; daccroître la diversité biologique et floristique dans lexploitation ; etc. Ce livret comprend ainsi différentes méthodes de plantation, des instructions sur la conception de sentiers, sur la sélection des plantes, sur la mise en place de brise-vent, etc. Il est la traduction dun document original édité par la Fédération nationale danoise de lagriculture biologique. Afin que les informations fournies soient adaptées pour les éleveurs français, certaines parties du document original ont été modifiées. La traduction en français de ce livret a été réalisée par lITAB dans le cadre du projet OK-Net Ecofeed, soutenu par lUnion Européenne. Il est également disponible en anglais.
Dossier : Changement climatique : Les leviers pour adapter ses vergers
Marion COISNE, AuteurEn arboriculture, les impacts du changement climatique vont saccentuer ces prochaines années : épisodes climatiques extrêmes, hausse des températures, apparition de nouveaux ravageurs La filière bio se mobilise pour trouver des adaptations afin de pouvoir continuer à produire. Ce dossier, composé de six articles, apporte le point de vue dexperts sur cette problématique et décrit certains leviers déjà mis en place par des arboriculteurs. Il commence par une interview de Sylvaine Simon et Laurent Brun, deux ingénieurs de recherche à lInrae de Gotheron (Drôme), qui expliquent les impacts actuels et à venir du changement climatique, les particularités de la bio et qui décrivent le verger du futur. Le second article évoque différents dispositifs mis en place pour évaluer les impacts du réchauffement climatique. Il liste également quelques pistes dadaptation : application de kaolinite avant la canicule, gestion de lirrigation, adaptation de la taille, changement de variétés (voire despèces ou de cultures). Larticle suivant est une interview dAudrey Trévisiol (de lAdeme). Elle décrit une méthode danalyse qui permet de définir des stratégies dadaptation à léchelle des filières. Le quatrième article est consacré à lévolution des bioagresseurs : avec lévolution du climat, ces derniers seront probablement plus voraces et virulents. Les arboriculteurs bio devront alors adapter leurs pratiques pour trouver un nouvel équilibre biologique. Enfin, ce dossier est clôturé par deux témoignages darboriculteurs bio. Stéphan Charmasson est basé dans les Bouches-du-Rhône. Il cultive plus de treize espèces (dont certaines peu fréquentes en France : baie de goji, feijoa, grenade ) en prévision de lévolution du climat dans larc méditerranéen. Philippe Sfiligoï, basé dans le Lot-et-Garonne, mise sur de nouvelles variétés et étudie le stockage de leau dans ses sols.
Prairies à flore variée
Maxime VIAL, AuteurCet article présente la démarche et les résultats des essais mis en uvre, depuis 2014, par l'APABA (Association pour la Promotion de l'Agriculture Biologique en Aveyron) et visant à accompagner les éleveurs bio aveyronnais dans la mise en place de prairies à flore variée. Un suivi de parcelles et un partenariat avec Inrae de Toulouse ont permis d'élaborer un outil d'aide à la décision, l'outil Capflor®. Ce dernier a pour objectif d'aider les éleveurs dans leurs choix d'espèces et de variétés adaptées au contexte de leurs fermes ; dans la définition du nombre d'espèces présentes dans le mélange et de l'identification de la part de chacune des espèces dans le mélange. Des résultats issus des suivis de parcelles depuis 2014 sont présentés : volumes de fourrages récoltés, valeur alimentaire de l'herbe, robustesse des prairies face aux aléas climatiques. Des préconisations sont ensuite formulées pour l'obtention de prairies à flore variée pérennes.
La sélection variétale pour s'adapter au climat ; Les semenciers explorent les problématiques climatiques
Cyrielle DELISLE, AuteurFace aux évolutions du climat et à loccurrence accrue des sécheresses, la production fourragère est impactée. Dans ce contexte, la recherche travaille sur la variabilité génétique des espèces fourragères pour répondre à ces nouveaux enjeux. Deux stratégies d'adaptation existent chez les plantes : d'un côté, les variétés qui maintiennent leur production même en cas de sécheresse, mais qui peuvent mourir en cas de sécheresse sévère (on parle de résistance à la sécheresse) ; de l'autre, les variétés qui stoppent leur croissance en attendant des conditions plus favorables (on parle alors de tolérance à la sécheresse). En fonction de la localisation géographique de la ferme, il est conseillé de choisir l'un ou l'autre de ces types de variétés. L'intérêt des mélanges fourragers est également étudié, et plus particulièrement les règles d'assemblage de différentes espèces et variétés. Les semenciers travaillent eux aussi sur ces aspects et sur la nécessaire adaptation au changement climatique des variétés qu'ils proposent. Trois d'entre eux expliquent leur stratégie dans cet article.
Biodynamis Hors-série n° 22 : Préserver le vivant
Laurent DREYFUS, Auteur ; Jens-Otto ANDERSEN, Auteur ; Wolfgang SCHAD, Auteur ; ET AL., AuteurA tous les niveaux de notre existence, le vivant semble en danger, et nous sommes tous concernés par sa préservation. Une réflexion sur la nature du vivant et les lois qui le régissent pose le cadre. Ensuite, une sélection de sujets, dans des domaines variés du quotidien, illustre l'urgence de raisonner la part et le pouvoir que nous laissons à la technique dans nos vies, au détriment du vivant Au sommaire : - La vitalité, renaissance dun concept ancien ; Extrait du livre "Vitality" de Jens-Otto Andersen, chercheur danois, qui propose des définitions de la notion de vitalité ; - Et si la vie avait besoin de la mort : Un aspect du darwinisme ; Bien comprendre la mort pour comprendre la vie, tel est le propos de l'auteur ; - Lindividualisation de la nature à travers lhomme ; Johannes Wirz, biologiste au centre Goetheanum, décrit la relation particulière que l'homme en tant qu'espèce entretient avec la nature. Selon lui, cette relation comporte intrinsèquement une dimension de responsabilité de l'homme vis-à-vis de la nature ; - Identifier les forces de vie ; Maryna Bogdanok propose un tour d'horizon des méthodes qui permettent d'appréhender et de visualiser les forces de vie (cristallisation sensible, méthode de Dorian Schmidt...) ; - Le vivant et la technique ; Comment équilibrer contact avec le vivant et technicité de plus en plus envahissante dans notre environnement ? ; - Du changement climatique à la rupture climatique ; Quels sont les actions et les gestes en notre pouvoir pour agir à notre niveau contre le changement climatique ? ; - Limportance de leau pour la vie ; Manfred Schleyer, chercheur à l'Institut allemand sur les fluides, explique l'importance et la fragilité de l'eau en tant qu'organisme vivant ; - Effets du béton industriel sur le corps humain ; - Préserver la vie des substances thérapeutiques au laboratoire Wala ; - Essais sur les sources de chaleur ; - Recherche sur les concombres et sur les jus de pomme ; - Mécaniser pour soulager lêtre humain ; Grégory Fachon, maraîcher biodynamique en Bretagne, décrit comment et pourquoi il a mécanisé sa ferme.
Choisir & décider - Céréales à paille en agriculture biologique - Synthèse nationale 2019
Amélie CARRIERE, Auteur ; Laurence FONTAINE, Auteur ; Hélène SICARD, Auteur ; ET AL., Auteur | PARIS (3 Rue Joseph et Marie Hackin, 75 016, FRANCE) : ARVALIS - INSTITUT DU VÉGÉTAL | 2019Cette première édition du guide Choisir & décider consacrée aux cultures de céréales à paille en agriculture biologique compile les résultats de plusieurs essais et réseaux, sur l'ensemble du territoire français. Il vise ainsi à apporter des informations concrètes et utilisables par les agriculteurs et les techniciens concernés par ces cultures. Les différents chapitres de ce guide traitent : - des variétés de blé tendre, de blé dur et de triticale (réseau de criblage variétal, rendements, teneurs en protéines, préconisations...) ; - du choix des espèces de céréales à paille à implanter en fonction des objectifs de l'agriculteur ; - de la gestion des maladies de semences (carie, traitement de semences sur blé tendre) et des adventices (leviers préventifs) ; - de la gestion d'un couvert permanent vivant. Co-édité par Arvalis-Institut du végétal et l'Itab, ce guide s'appuie sur les travaux d'un ensemble de structures porteuses d'essais.
Couverts végétaux : Implanter des cultures dans des couverts
Samuel MENARD, AuteurLimplantation de cultures dans des couverts présente de nombreux intérêts en maraîchage biologique (diminution des opérations de travail du sol, des émissions de gaz à effet de serre, etc.). En Nouvelle-Aquitaine, trois essais relatifs à ce sujet ont été mis en place afin dacquérir des références techniques sur le couvert végétal, les outils adaptés et litinéraire cultural. Le couvert végétal doit rester couché au roulage, être suffisamment dense et ne pas se dégrader trop rapidement. Actuellement, les meilleurs résultats sont obtenus avec les mélanges vesce / seigle et féverole / seigle pour une biomasse fraîche autour de 40 t/ha. Pour implanter une culture dans le couvert, trois outils sont nécessaires : un rouleau type « faca », une planteuse adaptée et un semoir type « strip-till ». La faisabilité de limplantation dune culture dans un couvert diffère selon les variétés choisies et lazote disponible. Les essais ont aussi pour objectif de mesurer les effets à long terme de cette technique sur la fertilité des sols, lévolution de la flore adventice et les résultats économiques.
Drôles de légumes ! : De nouveaux goûts à cultiver
Ce livre invite à cultiver, dans son jardin, des légumes venus d'ailleurs, et d'autres plus locaux, encore souvent méconnus : chayotte, cyclanthère, tomatillo, dolique, chou Mizuma, chervis, houblon, livèche, raifort... Cultiver ces légumes "inattendus", c'est aussi augmenter la biodiversité des jardins, améliorer l'offre nutritionnelle globale du potager, accueillir de nouvelles familles botaniques, donc permettre des rotations plus souples et limiter la prolifération des maladies et des ravageurs. C'est aussi attiser la curiosité et donner envie de jardiner comme on voyage, à la découverte de saveurs différentes : l'arachide mexicaine, le cresson de Madagascar, l'épinard-fraise asiatique, l'hélianthi nord-américain, le kiwano africain, le périlla japonais, la patate douce antillaise, sans oublier topinambour, arroche, panais... En tout, ce sont 50 espèces qu'il nous est donné de mieux connaître dans cet ouvrage.
Humains et animaux dans les agricultures alternatives : La domination en question
Denise VAN DAM, Auteur ; Jean NIZET, Auteur ; Michel STREITH, Auteur | DIJON CEDEX (26 Boulevard Docteur Petitjean, BP 87999, 21 079, FRANCE) : EDUCAGRI ÉDITIONS | 2019Depuis quelques années, la question des relations entre les humains et les animaux de divers statuts (animaux de rente, de compagnie, nuisibles) suscite de nombreux débats sociétaux portés par des groupes influents, des individus passionnés ou encore des scientifiques engagés. Louvrage apporte un éclairage original sur ces débats en analysant, à partir de différents points de vue disciplinaires (anthropologie, géographie, histoire, sociologie, etc.), des expériences mises en place dans le cadre dagricultures alternatives : des élevages bovins où les relations avec les animaux se trouvent transformées du fait de lintroduction de médecines douces ; un viticulteur qui utilise la flore (des haies, des arbres) et la faune (en introduisant des moutons dans ses vignes) pour assurer le devenir de son exploitation ; des éleveurs de moutons qui parviennent à revaloriser la laine comme co-produit, à côté de la viande et du lait ; lusage de techniques douces pour réguler les animaux nuisibles, comme les campagnols : piégeage sélectif, aménagement des espaces, etc. Ces expériences constituent autant de manières de sortir de la dichotomie entre la domination violente de lhomme sur lanimal, telle quelle est pratiquée dans la production animale industrielle, et labandon de toute forme délevage tel quil est promu par le véganisme. Cest donc bien à lanalyse des dominations douces que sattachent les textes proposés.
Bien choisir les essences de ses haies
Maude LE CORRE, AuteurLes haies apportent divers services aux vergers (effet brise-vent, réduction de lévapotranspiration et des variations de températures journalières, diminution de lérosion, habitat de nombreux auxiliaires et de pollinisateurs), mais il faut bien réfléchir aux différentes essences à implanter. Il est conseillé de choisir des espèces locales afin quelles soient bien adaptées aux conditions pédoclimatiques. Il faut compter entre cinq et huit espèces complémentaires pour obtenir un effet significatif sur laccueil dauxiliaires. Il est dailleurs préférable que ces dernières aient des périodes de floraison étalées dans le temps. Les espèces à tiges creuses ou entrelacées constituent également des abris dhivernation pour les auxiliaires. Enfin, il est important de ne pas introduire dans sa haie des plantes hôtes pour les ravageurs. Un encadré liste les espèces à éviter en verger de pommiers, de pêchers ou abricotiers, de cerisiers et doliviers. Par exemple, en pommiers ou poiriers, il est déconseillé dimplanter des aubépines (sensibles au feu bactérien), des érables champêtres et des noyers hybrides (hôtes de la leuzère et du carpocapse). Dautres espèces à éviter de manière plus générale sont également énumérées.
Comment réussir son semis de prairie autonome ?
Christophe LEFÈVRE, AuteurLe coût d'implantation d'une prairie est important, il est donc nécessaire de prendre certaines précautions pour mettre toutes les chances de réussite de son côté. Tout d'abord, ne pas planter trop en profondeur, car, au-delà d'1 cm, les jeunes plantules risquent de ne pas atteindre la surface. Mais faut-il semer en ligne ou à la volée, quelles doses de semis respecter, quel travail du sol et quelles rotations ? Comment choisir ses espèces et ses variétés ? C'est à cet ensemble de question que l'article s'emploie à répondre.
Gestion de lenherbement et biodiversité fonctionnelle en maraîchage biologique : le projet PLACOHB
Jérôme LAMBION, Auteur ; Lucie KOCH, AuteurLe projet PLACOHB (plantes couvre-sol comme contribution au contrôle des adventices et à la promotion de la biodiversité) est un projet mené sur trois ans (2017/2019) en arboriculture, maraîchage et viticulture en France. Il a pour but de sélectionner des plantes couvre-sol contrôlant efficacement les adventices et favorisant la biodiversité fonctionnelle. Le GRAB dAvignon a mis en place des essais dans ce cadre, en maraîchage sous abri, afin de gérer lenherbement au pied des bâches et doptimiser la régulation naturelle des ravageurs. Des observations agronomiques et entomologiques ont été réalisées. Les espèces plantées se sont bien installées, avec des recouvrements satisfaisants dès la première année. Globalement, les plantes semées ont aussi pu attirer un plus grand nombre dauxiliaires que le témoin (enherbement naturel). Elles ont ainsi bien pu jouer leur rôle de couvre-sol et de refuge pour les auxiliaires. Lalysson, la pâquerette et le souci tirent en particulier leur épingle du jeu. Une analyse du coût et du temps dinstallation pourrait compléter cette étude, ainsi que des résultats pluriannuels.
Légumes : Les engrais verts, une pratique généralisée chez les maraîchers québécois
Dominique BERRY, AuteurLes maraîchers bio québécois attachent une grande importance aux engrais verts, le contexte dimplantation étant plus approprié quen France (saison de production courte, hiver long, disponibilité en surfaces). Un groupe de maraîchers français, animé par la Chambre dagriculture du Rhône, parti en août 2017 en voyage détude, a découvert lengouement pour les engrais verts au Québec, pratique largement encouragée par les structures de développement agricole. Lobjectif est davoir un sol nu deux semaines au maximum. Les espèces varient selon la période à couvrir mais restent majoritairement des céréales et des légumineuses. Des associations dengrais verts aux cultures (carotte semée dans un chaume de seigle broyé, chou dans un seigle dautomne, etc.) sont très courantes. Une pratique observée semble être reproductible en France : implanter deux engrais verts sur une année calendaire sans retravailler le sol.
La pratique des engrais verts chez les maraîchers bio québécois
Dominique BERRY, AuteurDans les systèmes de maraîchage bio québécois, les engrais verts sont considérés comme essentiels et font lobjet dune réflexion approfondie. Le contexte local, la saison de production courte, les hivers longs et les grandes surfaces disponibles amènent les maraîchers à systématiser les engrais verts et les rotations longues (intégrant souvent des couverts pluriannuels). Les semis sont réalisés à laide de différents semoirs (semoirs à disque, double trémie, Delimbe, à gazon) et la destruction seffectue principalement avec un broyeur à fléau. La liste des espèces d'engrais verts hivernés est assez longue mais contient souvent des associations de céréales et de légumineuses. Les pratiques sont assez diverses, larticle en détaille une dizaine, telles que celle-ci : deux années dengrais verts suivies dun apport de fumier, une année de légumes exigeants, une année de légumes moins exigeants, puis retour en engrais verts). Une pratique semble intéressante et reproductible en France : celle de semer deux engrais verts sur une année calendaire sans retravailler le sol, avec, au printemps, un semis de mélange avoine - pois - féverole, puis, fin dété, un sursemis de ray grass ou seigle et vesce.
Une viticulture zéro herbicide
Pauline BOURDOIS, Auteur18 viticulteurs du Haut-Rhin sont à la recherche de solutions pour limiter leur recours aux herbicides. Avec des vignes implantées sur des coteaux, et donc sensibles à l'érosion, le travail du sol n'est pas une solution optimale pour eux. Ainsi, accompagnés par la Cuma Westhalten, et en partenariat avec le syndicat viticole local et l'Inra de Colmar, ils expérimentent l'implantation de piloselle sur les rangs de vignes. Cette petite plante couvrante se développe rapidement sans entrer en compétition avec la vigne. Les résultats obtenus sur les premières années sont assez hétérogènes, mais les viticulteurs-expérimentateurs restent confiants et attendent avec impatience la suite des évènements. En 2015, ils ont monté ensemble un GIEE, qui conduira en tout trois essais sur six ans : la mise en place de la piloselle sur le rang, le test d'une charrue spécialement conçue pour le travail du cavaillon, et l'implantation d'espèces sauvages locales de landes sèches sur l'inter-rang. Les résultats qui seront obtenus pourront intéresser l'agriculture biologique même si les 18 viticulteurs du GIEE n'envisagent pas de conversion.