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Les acheteurs de vin bio en France : Quelles dynamiques ? Quelles perceptions ?
Dans un contexte délicat, à la fois pour le vin en général et pour les produits biologiques, les ventes de vins bio se maintiennent, et elles étaient même en hausse de 6.3% en 2022. Selon les circuits de distribution, la situation n’est, cependant, pas identique : en baisse dans les grandes surfaces et les magasins bio, les ventes sont en augmentation chez les cavistes, en vente directe ou à l’exportation. Dans cette étude Millésime Bio – Circana, les acheteurs de vin bio ont été interrogés. Cinq tendances favorables ont été identifiées : 1 - 39% de nouveaux acheteurs, avec des profils plus jeunes et plus diversifiés socialement ; 2 - 37% des acheteurs ont augmenté leurs achats en 2022 ; 3 - Les acheteurs bio consommant aussi des vins conventionnels, il apparaît que la majorité d’entre eux souhaitent augmenter leurs achats de vins bio ; 4 - 71 % des acheteurs de vin bio se disent motivés par des préoccupations environnementales ; 5 - Plus les acheteurs cherchent des vins de qualité, plus ils considèrent que le vin doit être bio. Les acheteurs de vin bio préfèrent l’achat en vente directe ou chez les cavistes. Ils estiment aussi que la restauration pourrait mieux valoriser les vins bio (23% des achats de vins bio se font en restauration, prioritairement dans les restaurants).
Baromètre de l’Agence Bio : Plaisir, praticité… et prix !
Christine RIVRY-FOURNIER, AuteurL’Agence BIO a présenté son 21ème Baromètre de perception et de consommation des produits bio, basé sur une enquête de l’ObSoCo auprès de 4000 Français. Par rapport à 2022, les préoccupations santé et environnement diminuent (respectivement - 6 et - 9 points) en faveur de l’alimentation plaisir (+ 15 points). Les circuits courts, la réduction des emballages, les produits frais sont moins importants pour les Français, qui privilégient, à 62%, l’aspect pratique et le gain de temps. Or, l’image du bio est assimilée aux produits bruts. Jean Verdier, président de l’Agence BIO, explique pourtant que 80% des produits bio sont transformés. Développer les débouchés du bio passe aussi par l’application de la loi EGAlim et les 20% de bio en restauration collective, ainsi que par l’engagement des restaurateurs français. L’Agence BIO va adapter, en conséquence, sa communication, avec la campagne BioReflexe, vers le plaisir et la convivialité.
Lettre Info Marchés FNAB – Juin 2024
Sont présentés, dans ce document, les chiffres 2023 de l'Agence BIO du secteur bio français et les tendances pour la période de janvier à mai 2024. Ainsi, en 2023, la consommation à domicile de produits bio s’est élevée à 12.081 milliards d'euros, chiffre stable par rapport à 2022, avec un taux d’inflation de 7.7 % versus 11.8 % en conventionnel. La grande distribution est le seul circuit à avoir vu ses ventes en bio diminuer, alors que les magasins bio, les artisans-commerçants et la vente directe sont en croissance (+9 % pour la vente directe, pratiquée par 43 % des fermes bio). Les achats en bio ont aussi augmenté en 2023 dans la restauration hors domicile. Le nombre de fermes bio a progressé de 2 % en 2023, représentant 14.4 % des fermes françaises. Par contre, les surfaces conduites en bio sont en recul de 2 % (soit 10.4 % de la SAU nationale). Sur les premiers mois de 2024, les magasins bio voient leurs chiffres d’affaires encore en hausse, alors que la baisse du bio se poursuit en GMS. Concernant le lait de vache, le CNIEL note une baisse du nombre de livreurs de lait bio (-4.5 %, entre janvier 2023 et janvier 2024) et de la collecte de lait (- 6%), avec des situations différentes selon les régions. En grandes cultures, la demande des meuniers et des fabricants d’aliments pour le bétail semble repartir, mais les stocks restent importants. Selon l’observatoire économique Interfel, la consommation de fruits et légumes bio a baissé sur les 3 premiers mois de 2024, mais en lien aussi avec une offre moindre du fait des conditions climatiques. La charcuterie de porc bio a vu sa part de marché divisée par 2, depuis 2019.
Programme Ambition Bio 2027 - Avril 2024
Le Programme Ambition Bio 2027, dont la gouvernance est assurée par la DGPE du ministère de l’Agriculture, a pour objectif de renforcer la cohérence des politiques publiques pour consolider et développer l’agriculture biologique, y compris l’aquaculture biologique. Il décline les trois axes du plan d’action bio européen de 2021 et se recentre autour d’une feuille de route opérationnelle de 26 actions. Détail des différents axes : Axe transversal (en plus) - "Veille scientifique et anticipation sur les impacts environnementaux, de santé et socio-économiques de l’agriculture biologique" (étude sur les externalités et étude prospective à 2040). Axe 1 - "Stimuler la demande de produits biologiques et renforcer la confiance des consommateurs" : Connaître la demande (consommateurs et restauration commerciale) ; Adapter la communication aux débouchés (grand public, restaurations collective et commerciale) ; Stimuler la demande (loi Egalim, distribution). Axe 2 - "Consolider et développer des filières biologiques résilientes et ancrées dans les territoires" : Connaître les filières biologiques et les territoires pour mieux piloter, anticiper et gérer les crises (étude sur la situation des filières, recueil de données amont-aval, la bio dans les territoires) ; Structurer les filières biologiques pour assurer une juste répartition de la valeur entre les différents maillons (outils de régulation, contractualisation…) ; Soutenir l’investissement dans les filières biologiques (Fonds Avenir Bio…) ; Favoriser l’installation et la transmission en bio (dispositifs PLOA et PACTE, accès au foncier) ; Conforter la place du bio dans la formation (référentiels, présence sur tout le territoire, exploitations d’EPL et transfert vers les agriculteurs, formation des cuisiniers…). Axe 3 - "Accompagner les opérateurs de l’agriculture biologique face aux enjeux sociétaux et environnementaux d’aujourd’hui et demain" : Anticiper les évolutions à venir ; Promouvoir et diffuser les résultats de recherche – développement ; Renforcer la complémentarité entre les systèmes bio et conventionnels ; S’adapter aux enjeux à venir (changement climatique, contaminations sur des fermes bio, fertilisation et intrants).
Les bonnes adresses bio Rhône et Loire : 2023-2024
Ce guide, édité chaque année par AGRIBIO Rhône & Loire, fournit au consommateur des bonnes adresses où il pourra se procurer des produits issus de l'agriculture biologique locale des départements du Rhône et de la Loire. Il indique les coordonnées de producteurs, d'artisans et de magasins bio, ainsi que les AMAP, les marchés...
Étude de marché : Projet d'accueil œnotouristique au Domaine Hameau Touchebœuf (42)
Ce mémoire a été réalisé suite à un stage en entreprise, dans le cadre de la Licence professionnelle Agriculture Biologique Conseil et Développement (ABCD). Il présente une étude de marché axée sur la création d'un lieu d'accueil œnotouristique au Domaine Hameau Touchebœuf (42). Le vigneron, Simon Gastrein, a fondé ce domaine en 2013. Déjà bien connu et avec un réseau de distribution bien établi, il a décidé d'élargir sa gamme de vins et d'explorer de nouveaux débouchés. En 2021, il a lancé une activité de négoce et souhaite, à présent, développer davantage son entreprise en créant un espace d'accueil œnotouristique au sein du domaine, destiné aussi bien aux professionnels des métiers de bouche qu'aux particuliers. Cette étude de marché examine divers aspects, tels que le profil des consommateurs, la concurrence, les opportunités et les défis potentiels. Elle fournit des informations permettant d'évaluer la viabilité du projet.
Loïc Guines, président de l’Agence Bio : "Il faut se mobiliser tous azimuts" ; Les Culturales : Crise de la bio : quels atouts pour la surmonter ? ; Productions légumières : Une nécessité : optimiser les ventes ; Prince de Bretagne : "Soutenir les nouveaux bio"
Christine RIVRY-FOURNIER, Auteur ; Jean-Martial POUPEAU, Auteur ; Frédéric RIPOCHE, AuteurFace au contexte de crise que traverse aujourd’hui la bio, pour Loïc Guines, président de l’Agence BIO, « il faut se mobiliser tous azimuts ». En effet, différents leviers sont mobilisables, mais il faut agir maintenant, face aux grandes difficultés des producteurs et des filières. Ainsi, il est nécessaire de dynamiser fortement la consommation, notamment par plus de communication, la campagne BioRéflexe en cours devant être renforcée et relayée au niveau régional. Il faut aussi un soutien plus affirmé de l’État, d’autant plus si on veut atteindre l’objectif, à l’horizon 2030, de 21 % de SAU en bio. La loi Egalim est aussi un levier et tout doit être fait pour atteindre les objectifs fixés. Les exportations peuvent aussi offrir des débouchés et ainsi limiter les déclassements de produits bio en conventionnel. Le constat est partagé par nombre d’acteurs interviewés ici : la bio présente des atouts à mettre en valeur pour surmonter cette crise, comme ses externalités positives. S’il faut renforcer la communication et, notamment, éduquer les enfants, le cahier des charges doit aussi évoluer pour prendre en compte de nouvelles attentes des consommateurs : bien-être animal, certes, mais aussi équité. Chacun a son rôle à jouer, comme, par exemple, pour les légumes en GMS, promouvoir l’origine France malgré le contexte inflationniste et la baisse de consommation. Il faut aussi optimiser l’offre pour assurer une vraie reprise du marché et s’appuyer sur certains constats : en grande distribution, les îlots bio bien identifiés sont un plus pour les ventes et le drive reste bien placé pour les produits issus de l’AB. A noter que les hausses de prix observées sont plus marquées en conventionnel, ce qui peut être aussi un autre argument en faveur de la bio.
Le marché alimentaire bio en 2022
C. RENAULT, Auteur ; C. LEPEULE, Auteur ; T. CHEVER, Auteur ; ET AL., Auteur | MONTREUIL-SOUS-BOIS (12 Rue Henri Rol-Tanguy, 93 100, FRANCE) : AGENCE BIO (Agence Française pour le Développement et la Promotion de l'Agriculture Biologique) | 2023Ce rapport d'évaluation du marché alimentaire bio français 2022, réalisé par AND International pour l'Agence BIO, visait à estimer l'évolution du marché en 2022 et les perspectives pour 2023. D'après les réponses des opérateurs économiques des filières biologiques aux enquêtes d'AND International, les ventes de produits alimentaires bio sont en recul de près de 5 % en valeur et de 9 % en volume. Ce sont les ventes de viandes biologiques qui sont les plus impactées par la baisse de consommation des ménages. À ceci, s'ajoute un taux de déclassement atteignant les 40 % à certaines périodes de l'année pour le lait, les œufs et la viande de porc, ce qui pousse certaines exploitations à abandonner la certification bio. Quant à l'aval, le nombre d'emplois est en diminution pour la première fois depuis 15 ans, particulièrement dans le commerce de détail spécialisé. Des analyses transversales sont réalisées sur plusieurs autres thématiques : le commerce équitable bio, la situation dans les différentes régions, le marché de la restauration, les fruits et légumes frais, le vin bio, les céréales, les oléoprotéagineux, le secteur laitier, les viandes de boucherie, les productions avicoles, les produits alimentaires intermédiaires (farine, sucre, huile...).
Potentiel de développement de l'utilisation de produits biologiques en restauration commerciale
Cette étude, réalisée par AND International et Ecozept pour l'Agence BIO, vise à dresser un état des lieux de l'utilisation de denrées alimentaires biologiques, en 2022, en restauration commerciale et à identifier les freins, les motivations et les leviers des principaux acteurs (fournisseurs, restaurateurs, réseaux de restaurants) pour élargir la gamme bio en restauration commerciale. L'analyse, issue d'une première enquête menée auprès de 650 restaurateurs, a révélé que, dans la moitié des cas, le taux d'utilisation de denrées biologiques était inférieur à 10 % et, notamment, qu'il comprend une large part de vins bio ; elle révèle également les attentes des restaurateurs, notamment en matière d'information et de communication sur les produits biologiques. Les réponses des fournisseurs (2ème enquête) ont permis de faire émerger des pistes d'actions pour atténuer les freins liés au prix et à la logistique, mais aussi celui de la concurrence bio/local. Une enquête a également été conduite auprès de chaînes de restauration. En conclusion à cette étude, des recommandations ont été formulées pour les acteurs de la restauration commerciale.
Viandes bio : Les freins et besoins de la restauration collective
La restauration hors domicile (collective et commerciale) peut être un débouché pour les éleveurs de bovins allaitants bio qui cherchent à valoriser leur production en circuit court. Elle peut aussi aider à répondre à la problématique d’équilibre carcasse. Pourtant, en 2019, ce débouché représentait seulement 8 % des volumes de viande bovine bio commercialisés en France. Dans le cadre du projet BioViandes (tranche 2), des enquêtes visaient à mieux comprendre les éléments-clés permettant d’améliorer l’articulation entre l’amont et l’aval de la filière viande bovine bio du Massif central, avec un focus sur les filières de proximité. Ce document se focalise sur la restauration collective. Après avoir rappelé les motivations à introduire de la viande bio et locale en restauration collective (attente des consommateurs, lois EGALim et loi « Climat & Résilience »), il effectue une synthèse des besoins des acteurs : types d’animaux recherchés, morceaux privilégiés, taille des morceaux, organisations souhaitées pour l’approvisionnement… Les différents freins à l’introduction de viandes bio locales en restauration collective sont aussi présentés et ponctués de verbatims : facteur humain (côté aval et côté amont), prix et freins structurels (cadre imposé par les marchés publics pour la restauration collective). Quelques exemples innovants et concrets viennent ensuite illustrer des solutions : 1 - La démarche de la collectivité de Lons-le-Saunier ; 2 – Agrilocal, une plateforme virtuelle de mise en relation de l’offre et de la demande à l’échelle départementale ; 3 - L’association « De la ferme aux quartiers » et sa plateforme d’approvisionnement alimentaire solidaire ; 4 - « Paysans Bio d’Aveyron » : quand les éleveurs se regroupent. En complément de cette synthèse, un autre document (disponible sur le site internet du projet BioViandes) présente le cadre méthodologique utilisé pour obtenir ces informations.
L'accueil à la ferme : Une affaire de passionnés
Alexandra LANNUZEL, AuteurL'accueil à la ferme, au-delà d'une activité annexe à la production agricole, est une affaire de passionnés. Les agriculteurs et les agricultrices qui ouvrent les portes de leurs fermes partagent l'envie de transmettre, de faire découvrir l'agriculture et de tisser des liens avec des personnes de tous horizons. Dans cet article, trois fermes du Finistère - dont deux en bio - et avec trois déclinaisons différentes de l'accueil à la ferme sont présentées : - Nicolas Mazeau et Jennifer Scouarnec, de la Cidrerie de Rozavern, à Telgruc-sur-Mer ; - Amélie Goossens et Etienne Menguy, de la Ferme de Quéménès, située dans les îles de la mer d'Iroise ; - Sandra et Raphaël Cotty, de la Ferme de Croas Men, à Plouigneau.
Agrotourisme : Détente et expériences dans des fermes
Harry ROSENBAUM, Auteur ; Beat GROSSRIEDER, Auteur ; René SCHULTE, Auteur ; ET AL., AuteurEn Suisse, l'agrotourisme se développe. Cette activité est une bonne source de revenus pour de nombreuses fermes et elle comprend toute forme d'hébergement, avec ou sans services, offrant la possibilité de voir de près l'agriculture, la vie paysanne et le monde animal. L'agrotourisme est souvent géré par des femmes, en complément de l'activité agricole. Des portraits de fermes bio présentent différentes offres en agrotourisme : - Une ferme, une école - et de la nature, avec le gîte rural de La Bergerie, à Mormont JU ; - Wellness avec panorama, une offre spa à la ferme Hof Bach, à Trub BE ; - Activités sous le signe du respect, avec les activités pédagogiques, loisirs et sports à La Finca, à Cresciano TI.
Les bonnes adresses bio Rhône et Loire – 2022-2023
Ce guide, édité chaque année par AGRIBIO Rhône & Loire (ex-ARDAB), fournit au consommateur les bonnes adresses où il pourra se procurer des produits issus de l'agriculture biologique locale des départements du Rhône et de la Loire. Il indique les coordonnées de producteurs, d'artisans et de magasins bio, ainsi que les AMAP, les marchés...
Fraise : Se diversifier pour être plus résilient
Véronique BARGAIN, AuteurDans le Finistère, la SCEA Le pépin et la plume est une ferme biologique très diversifiée : fraises, pommes, 40 à 50 espèces de légumes, prairies et grandes cultures y côtoient les élevages de poules pondeuses et de vaches laitières. L'objectif pour les deux associés, Mickaël Pont et Mathieu Guyomard, est d'assurer l'autonomie et la résilience de l'exploitation de 96 hectares face aux risques techniques, mais aussi économiques. Les débouchés sont tout autant diversifiés, avec de la vente en circuits courts et longs, et la mise en place d'une activité de restauration (foodbus) depuis 2022.
Freins et besoins à la commercialisation de la viande biologique en circuit court : Résultats d’une enquête menée auprès d’opérateurs de l’aval de la filière viande bio Massif central
Ce diaporama synthétise les principaux résultats d’un travail mené, en 2022, par des étudiants de la Licence Professionnelle ABCD (Agriculture Biologique, Conseil et Développement), basés à la MFR d’Anneyron. Dans le cadre du projet BioViandes (tranche 2), ces étudiants ont été amenés à travailler sur les freins et les besoins pour commercialiser, en circuits courts, de la viande biologique produite à l’herbe sur le Massif central. Pour cela, ils ont mené 13 entretiens auprès de différents opérateurs de l’aval : 5 magasins spécialisés, 3 boucheries, 2 restaurants, 2 GMS, 1 plateforme de distribution. Ces entretiens avaient pour objectifs : de mieux connaître l’intérêt des distributeurs à vendre de la viande bio « 100 % élevée à l’herbe », et de mieux cerner leurs attentes en matière de qualité des carcasses, ainsi qu’en matière d’organisation pour l’approvisionnement. Globalement, les résultats montrent que l’aspect local est le point le plus important pour les consommateurs (et donc pour les distributeurs), plus que le bio. Ils souhaitent aussi de la qualité gustative et associent souvent « bio » à « cher ». Ils ne savent pas quelle est la plus-value de la viande bio produite à l’herbe par rapport à de la viande conventionnelle (défaut de communication). Ces résultats montrent aussi de grandes différences entre les attentes des différents types d’opérateurs de l’aval en matière d’achat et de stratégie de commercialisation de viande bio et locale. À l’issue de ces enquêtes, des pistes spécifiques, pour chaque type d’opérateur, ont été élaborées. En complément de cette synthèse, le rapport complet des étudiants est disponible sur le site internet du projet BioViandes.