Thésaurus
![]() COMPORTEMENT DU CONSOMMATEURSynonyme(s)COMPORTEMENT D'ACHAT |


Etendre la recherche sur niveau(x) vers le bas
![]()
![]()
1 Français sur 2 consomme régulièrement bio
BIO-LINEAIRES, AuteurC'est ce qu'indique la 11ème édition du baromètre de l'Agence Bio / CSA 2014 : 49% des Français consomment bio au moins une fois par mois. Le développement de la consommation de produits bio est une tendance de fond. On notera, par ailleurs, que les consommateurs connaissent relativement bien les caractéristiques générales des produits bio, c'est-à-dire le fait que ce sont des produits définis comme "sans traitement et sans additif" par exemple. Les Français réclament cependant d'en savoir davantage, et attendent, en particulier, des informations sur l'origine des produits, sur le mode de production, et sur les contrôles. L'étude a permis également de connaître les principales catégories de produits les plus consommées en bio, et de cerner les raisons principales des consommateurs pour se tourner vers les produits bio, ainsi que les facteurs déterminants pour en consommer davantage.
![]()
![]()
Les 101 règles d'or de la green attitude
Ce petit guide donne une multitude de recettes, d'astuces et de conseils pratiques pour vivre de manière éco-responsable dans sa vie de tous les jours. Avec des gestes et des actions concrètes faciles à réaliser à la maison, pour ses enfants, en faisant ses courses, dans ses déplacements, au travail, au jardin..., il est possible d'apprendre à moins gaspiller et à faire des économies substantielles. Les principes sont simples et parfaitement compatibles avec la vie moderne, comme l'illustrent les nombreux exemples proposés.
![]()
![]()
Le 12ème Baromètre Greenflex : Tous acteurs ! Les Français et la consommation responsable - Edition 2017
Greenflex présente les résultats dune étude réalisée sur un échantillon représentatif de la population française de 3 800 personnes de 15 à 74 ans et visant à mesurer l'évolution de la consommation responsable. Les tendances 2017 exposées concernent les préoccupations des consommateurs (pollution, réchauffement climatique, bien-être animal...), leur vision de la consommation responsable, leur avis sur l'importance des différents acteurs pour agir concrètement en faveur du développement durable (entreprises, individus, État, distributeurs), leurs attentes vis-à-vis des entreprises (offre de produits plus sains, étiquetage, éthique...), et les différents profils de consommateurs avec leurs caractéristiques.
![]()
![]()
2èmes Assises de l'Industrie Alimentaire : 20 mars 2008 : Etude sur : Les Français et l'alimentation : "Principaux enseignements du sondage réalisé par TNS Sofres pour l'ANIA les 20 et 21 février 2008" & "Impacts pour les industriels : le point de
Les critères de la consommation alimentaire des Français évoluent. D'abord, le lien entre une alimentation variée, saine et équilibrée et la santé est clairement fait. Mais, tout en retenant la responsabilité individuelle vis-à-vis de l'obésité, les Français considèrent que l'industrie alimentaire a un rôle à jouer et une responsabilité dans le domaine de la santé. Pour l'heure, les industries alimentaires bénéficient d'un bon capital de confiance : 77% des consommateurs sont satisfaits de la sécurité des produits alimentaires et ils jugent positivement l'offre de produits (variété, goût, facilité de préparation, valeur nutritionnelle, information). En revanche, les trois quarts des consommateurs sont mécontents de l'augmentation des prix alimentaires. Le prix est le premier élément de choix lors de l'achat. Il est suivi par la date de péremption (71%), puis par la provenance (34%,) la composition nutritionnelle (29%), les ingrédients (27%) et un label de qualité (25%). L'origine biologique (16%) vient après la marque (20%) mais elle entre dans les nouveaux " attributs de qualité " avec l'impact environnemental. La redéfinition du "bien manger" vise l'équilibre entre bon, sain et juste. Ainsi, 71% des consommateurs se disent prêts à payer plus cher un produit régional, 66% un produit qui a des garanties écologiques, 64% un produit 100% français. Un sur deux affirme privilégier un produit issu du commerce équitable ou d'un fabricant qui soutient une cause humanitaire. Les consommateurs affirment être prêts à payer plus cher un label de qualité. L'innovation n'est plus un critère de choix. Enfin, l'étude souligne la nécessité pour les industriels de "sortir de la banalisation des marques" et pour cela de "tirer parti" des niches.
![]()
![]()
Acceptation des vins de cépages résistants par les consommateurs : Résultats du projet TOPiwi 2007-2008
Markus VAN DER MEER, Auteur ; Franco WEIBEL, Auteur ; Dominique LEVITE, Auteur ; ET AL.Les « piwi », cépages peu sensibles aux maladies fongiques, sont intéressants pour la viticulture biologique et intégrée. Ils nécessitent moins de traitements phytosanitaires et peu ou pas de cuivre. Cependant, l'introduction de nouveaux cépages peut susciter des réticences chez les consommateurs, souvent attachés au cépage et à l'origine géographique. Par conséquent, les pépiniéristes recherchent des cépages « piwi » aux qualités organoleptiques proches des cépages traditionnels. Le projet TOPiwi a pour objectif de quantifier l'acceptation par les consommateurs des vins piwi et d'évaluer leur chance de succès sur le marché. Les résultats de l'étude 2008 montrent que les vins piwi, évalués par des consommateurs, peuvent se mesurer à des vins de cépage traditionnel. Ces données peuvent contribuer à affaiblir les préjugés négatifs des consommateurs vis-à-vis des cépages piwi et renforcer la recherche de nouveaux cépages avec de meilleures propriétés organoleptiques et culturales.
![]()
![]()
Achat équitable : Une perception complexe du consommateur
Selon l'étude Ipsos-Pfce-Maee-Gret sur le commerce équitable, les motivations pour l'achat de ce type de biens se sont diversifiées. La majorité des Français associe le commerce équitable à la qualité des produits, ainsi qu'au respect des petits producteurs des pays émergents. 36% des Français déclarent en avoir acheté au cours du mois écoulé, pour un budget globalement compris entre 5 et 20 mensuels. Toutefois, la consommation de ce type de produits dépend grandement de deux facteurs : le niveau d'éducation et le niveau des revenus. 61% des bac+3 et 58% des revenus supérieurs connaissant l'expression achètent régulièrement ces produits (contre 36% de l'ensemble des Français). Les produits les plus achetés sont le café, le riz/les céréales et le thé. Cependant, ces achats s'effectuent à une grande majorité dans les grandes et moyennes surfaces.
![]()
![]()
Les achats des ménages français
Au cours des années 1996 à 1998, les achats de salades par les ménages français sont restés stables en volume annuel (les achats de salades représentent 12 % des achats de légumes, hors pomme de terre). En revanche, les fluctuations mensuelles sont importantes et la composition du panier a beaucoup évolué. Laitues beurre et batavia sont les perdantes de cette évolution alors que les feuilles de chêne et la mâche gagnent du terrain. Analyse des données du panel Sécodip Consocan.
![]()
![]()
Actualité e-commerce : quoi de neuf ? Sélection et décryptage 2019
BIO-LINEAIRES, AuteurMontée en puissance de l'achat en ligne alimentaire, drive piéton et nouvelles générations de e-commerçants généralistes bio font partie des dernières tendances et nouveautés dans le e-commerce à découvrir en détails.
![]()
![]()
Actualité internationale : La bio au Canada : un marché en évolution qui s'organise...
BIO-LINEAIRES, AuteurSelon une récente étude d'Eco Ressources Consultants (sur la base des données de l'OTA (2011) et de Macey (2004)), le marché canadien du bio varierait entre 2,2 et 2,8 milliards de dollars en 2010... En 2008, les Canadiens achetaient surtout les produits biologiques auprès de détaillants conventionnels qui ont grandement stimulé l'émergence de produits biologiques sous les marques de distributeurs au cours de la décennie 2000-2010 (MAPAQ, 2005). La forte croissance de la vente directe est le fait le plus remarquable dans la distribution des produits bio : 19,6 % des ventes en 2008 (AAC, 2010) contre 3 % en 2003 (MAPAQ, 2005) Des graphiques présentent : la répartition des ventes de produits biologiques, par type de produit, au Canada, en 2008 (Source : Pellard et Homes (2011) ; la répartition des ventes au détail des produits bio en valeur et parts de marché 2008 (source : AAA 2010). Un récent sondage réalisé en 2011 au Québec (Filière biologique du Québec) révèle le comportement de consommateurs dans cette province
![]()
![]()
Actualités compléments alimentaires : Premiers résultats de l'étude NutriNet-Santé
BIO ACTUALITES, AuteurA l'occasion de l'article paru dans le British Journal of Nutrition sur la consommation de compléments alimentaires, l'article reprend le communiqué de l'équipe qui coordonne l'étude NutriNet-Santé. Mathilde Touvier (chercheur INSERM, Unité de Recherche en Epidémiologie Nutritionnelle) et Camille Pouchieu (Doctorante) ont étudié la consommation de compléments alimentaires et les facteurs sociodémographiques, comportementaux et alimentaires associés, dans un échantillon de 79 786 adultes français participant à l'étude. Y étaient considérés comme compléments alimentaires ceux au sens réglementaire (Directive 2002/46/CE) et les médicaments contenant principalement des vitamines et/ou des minéraux. Présentation des résultats et rappel sur l'étude NutriNet-Santé.
![]()
![]()
Agence Bio : Baromètre de consommation et de perception des produits biologiques en France : Rapport : Edition 2007
En octobre 2003, l'Agence Bio (Agence française pour le développement et la promotion de l'agriculture biologique) a lancé le premier baromètre de la perception et de la consommation des produits biologiques en France, afin d'observer dans le temps, année après année, l'évolution des attitudes des Français vis-à-vis des produits biologiques. Ce rapport rassemble l'intégralité des résultats du cinquième baromètre de consommation et de perception des produits bio en France (enquête réalisée du 25 octobre au 3 novembre 2007). Les objectifs de l'étude visent à connaître la part des consommateurs de produits biologiques en France, déterminer les caractéristiques de consommation des produits biologiques, définir les freins ou les motivations à la consommation de produits biologiques, évaluer l'image de l'agriculture biologique et la perception des produits biologiques, mesurer la notoriété des différentes marques et logos biologiques pour travailler sur la communication. Selon le baromètre 2007 de l'Agence Bio, comme en 2006, plus de 4 Français sur 10 consomment au moins un produit bio au moins une fois par mois. L'achat de produits biologiques a également augmenté par rapport à 2003. 37% de Français déclarent en avoir acheté, ou une personne de leur foyer, au cours des 4 semaines ayant précédé l'enquête alors qu'ils étaient 33% il y a 4 ans. De plus, que ce soit pour leurs enfants ou pour eux-mêmes, les Français souhaiteraient avoir des produits bio en restauration hors foyer. (Ce document est téléchargeable à l'adresse : http://www.agencebio.org/upload/pagesEdito/fichiers/Barometre_CSA_Agence%20Bio%202007.pdf).
![]()
![]()
Agence Bio - Baromètre de consommation et de perception des produits biologiques en France : Rapport n° 0901164 - Edition 2009
Les résultats complets du 7ème Baromètre de consommation et de perception des produits biologiques en France sont disponibles sur le site internet de l'Agence Bio (tout comme le dossier de presse). En octobre 2003, l'Agence Bio (Agence française pour le développement et la promotion de l'agriculture biologique) a lancé le premier baromètre de la perception et de la consommation des produits biologiques en France. Le but étant notamment d'observer dans le temps, année après année, l'évolution des attitudes des Français vis-à-vis des produits biologiques. Les objectifs du Baromètre sont de : - Connaître la part des consommateurs de produits biologiques en France ; - Déterminer les caractéristiques de consommation des produits biologiques ; - Définir les freins ou les motivations à la consommation de produits biologiques ; - Évaluer l'image de l'agriculture biologique et la perception des produits biologiques ; - Mesurer la notoriété des différentes marques et logos biologiques. Après un rappel du contexte et des objectifs, une présentation de la méthodologie et de l'échantillon interrogé, ce rapport Édition 2009 donne les résultats détaillés de l'étude. La proportion de Français consommateurs de produits biologiques continue de s'inscrire dans une tendance positive : 42% en 2007, 44% en 2008 et aujourd'hui 46% ; celle des acheteurs restant stable. Les attitudes à l'égard des produits biologiques et plus largement à l'égard de l'agriculture biologique, restent très majoritairement positives. La consommation de produits bio résiste face à la crise : 84% des consommateurs-acheteurs bio disent avoir maintenu ou augmenté leurs dépenses en produits biologiques et 25% ont même l'intention d'augmenter leur consommation dans les 6 prochains mois. Les produits biologiques les plus consommés sont toujours les fruits et légumes (80%), les produits laitiers (71%), les oeufs (62%), et l'huile/produits d'épicerie (56%) et ce au même niveau qu'en 2008. On constate que les vins et les poissons sont en hausse.
![]()
![]()
L'agriculture biologique en Auvergne sur la ligne de départ
F. LE DOUARAN 1993Les problèmes de sauvegarde de l'environnement et de santé humaine étant d'actualité, l'agriculture biologique est un des moyens qui contribuent à la résolution de ces problèmes. En Auvergne, celle-ci est déjà existante et peut intéresser un bon nombre d'exploitations dont l'intensification est limitée par le contexte géographique. Les acteurs régionaux se sont regroupés au sein d'une interprofession régionale de mêmes objectifs que la nationale. De plus, la législation européenne de l'agriculture biologique impose aux différents opérateurs une inscription auprès des DDAF. Afin de mieux connaître ces exploitants et leurs productions dans la région Auvergne, Françoise LE DOUARAN a établi, pour le compte de la Chambre Régionale, un Fichier Producteur. Enfin, ces productions ayant droit au signe de qualité agriculture biologique, il est intéressant de cerner les volumes des différentes productions, les filières biologiques existantes et de maîtriser la commercialisation des produits "bio", compte-tenu de l'augmentation prévisible des volumes. La mise en place d'une législation européenne ayant permis le recensement des producteurs concernés, il apparaît que la région auvergne compte 176 agriculteurs "officiels" pour 4452 Ha et 57 "sympathisants". Dans l'avenir, cette agriculture doit encore évoluer, mais il y a nécessité de mettre en place ou de structurer ces filières pour la consommation des produits bio. Il en existe déjà 6 en production végétale et 4 en production animale, mais il rest des priorités de création en bovins lait et viande, compte-tenu de la diversité des productions. L'agriculture biologique en Auvergne, pour son développement futur, a un certains nombre d'atouts tels que l'organisation des Chambres Départementales d'Agriculture avec leurs conseillers en agrobiologie, les associations départementales de producteurs et l'interprofession "Auvergne biologique". L'existence du Certificat de Spécialisation en Agrobiologie contribue à la formation, la recherche et l'expérimentation. Enfin, le Conseil Régional attribue una aide non négligeable à la reconversion. Mais il y a encore des freins au développement de l'agriculture biologique. Des flous législatifs, au niveau du Cahier des Charges en production animale, de la bio-partielle, ainsi que la lenteur de la mise en place des aides (nationales et européennes) à la reconversion ; des filières incomplètes ou mal organisées ; des producteurs souvent très dispersés, ne favorisent pas l'avancée de l'Agriculture biologique. Pourtant, la consommation de produits biologiques tend à augmenter (2,25% du marché en l'an 2000). Alors , l'Auvergne prendra-t-elle place au niveau national dans la production biologique ?
![]()
L'agriculture biologique en Europe : situation et perspectives
L'article analyse la situation actuelle, les enjeux et les perspectives de l'agriculture biologique dans le monde, notamment en Europe. Une première partie rappelle la faiblesse du marché biologique mondial actuel (moins de 1 % du marché alimentaire), mais aussi sa forte croissance des dernières années. En Europe, les ventes de produits biologiques, fort variables selon les pays, restent généralement (très) modestes par habitant, mais sont en augmentation. Les motivations des consommateurs ont trait notamment à la santé, l'environnement, le goût, le bien-être animal. Une deuxième partie présente l'évolution des surfaces dans le monde, en Europe et en France, ainsi qu'un rapide rappel historique de la lente émergence au cours du XXème siècle. Divers freins à l'expansion de la bio sont analysés dans une dernière partie : limites à la croissance des achats des consommateurs, certaines difficultés des producteurs, besoin en terre plus élevé, développement de la grande distribution, conflits entre courants. In fine, on souligne la nécessité pour l'ensemble de l'agriculture, et non seulement pour une petite fraction, d'être davantage durable. http://www.notre-europe.eu/fileadmin/IMG/pdf/Bonny_Agribio.pdf
![]()
![]()
L'alimentation bio et durable : État des lieux et perspectives : Les experts français prennent la parole
La France est l'un des pays pionniers dans la structuration des filières bio locales. Elle a une carte à jouer dans l'élaboration d'un nouveau modèle socioéconomique qui prend en compte la transition vers une alimentation saine et durable dans sa globalité, afin de redonner la priorité au bien-être des humains et non aux profits. Cet e-book donne la parole à celles et ceux qui uvrent pour que la filière bio reste source dinnovation sociétale, environnementale et économique. 36 acteurs de lalimentation bio et durable apportent leur contribution (agriculteurs, chercheurs, consom'acteurs, entrepreneurs, etc.). Au sommaire : - La bio : des débuts en dents de scie, un présent radieux pour un avenir prometteur ; - Les clés pour comprendre le fonctionnement de la filière bio ; - Le pouvoir du caddie ou la place du consommateur dans la Bio ; - Économie, politique agricole : l'avenir appartient-il à la filière bio ? ; - Épilogue : Le futur de la Bio, une équation à plusieurs variables.