Thésaurus
> AGROALIMENTAIRE > CONSOMMATION ALIMENTAIRE > CONSOMMATEUR > COMPORTEMENT DU CONSOMMATEUR
COMPORTEMENT DU CONSOMMATEURSynonyme(s)COMPORTEMENT D'ACHAT |
Documents disponibles dans cette catégorie (314)
Ajouter à la sélection Affiner la recherche
Etendre la recherche sur niveau(x) vers le bas
Consommation responsable : Pour soutenir les agriculteurs !
VEGETABLE, AuteurMax Havelaar France a publié les résultats de la première édition de son baromètre de la transition alimentaire. Il en ressort que la première motivation des français à consommer « responsable », c'est-à-dire équitable, bio ou local, est le soutien aux producteurs (59%). De plus, la consommation régulière de produits responsables augmente. Enfin, les enquêtés semblent reconnaître le rôle primordial du consommateur dans le changement de modèle, vers plus de durabilité et déquité.
Dossier : Applications consommateurs
Laura DUPONCHEL, Auteur ; Michel KNITTEL, Auteur ; Simon LE FUR, Auteur ; ET AL., AuteurLe succès du Nutri-Score et de ces applications qui, comme Yuka, "Ménag'Score" de 60 Millions de Consommateurs ou MyLabel dont Bio Consom'acteurs est partenaire, permettent aux consommateurs de décrypter le contenu des produits de grande consommation est-il le fait d'une tendance de fond pour plus de transparence ou d'un effet de mode ? Ce dossier fait le point en expliquant le fonctionnement de ces applications, leur impact sur les industriels, la GMS et le réseau bio, avec les points de vue de distributeurs spécialisés, de transformateurs, d'experts en nutrition ou en cosmétique et détergence. Des applications sont parfois axées sur le score nutritionnel, d'autres sur l'éthique du produit, ou encore sur la durabilité. Les choix des consommateurs peuvent pousser les fabricants à revoir les recettes et les ingrédients de leurs produits afin qu'ils soient mieux "notés". Selon une nutritionniste, il ne faut pas se fier les yeux fermés à ces applications. Néanmoins, ces dernières semblent répondre au besoin de transparence qui saccroît auprès des consommateurs.
Dossier : Le flexitarisme, une tendance alimentaire en phase avec la bio
Laura DUPONCHEL, Auteur ; Claude AUBERT, Auteur ; Angélique HOULBERT, AuteurLe flexitarisme est une pratique alimentaire qui consiste à consommer moins de viande et dont se réclament un tiers des Français, selon un sondage OpinonWay. Dans ce dossier, qui aborde à la fois les origines de ce mouvement, sa représentativité en France et la variété de régimes alimentaires apparentés, les liens entre flexitarisme et alimentation bio sont illustrés. Une diététicienne détaille les bénéfices nutritionnels dune approche flexitarienne. Pour Claude Aubert, diminuer sa consommation de viande devrait s'accompagner d'une consommation en provenance d'élevages à taille humaine où les éleveurs prennent soin de leurs animaux, plutôt que "d'usines à viande". Le dossier est ainsi composé des articles suivants : - Le flexitarisme, un régime écologique bon pour la santé ; - Surconsommation de viande : quels effets sur lagriculture et lélevage ? ; - Le flexitarisme dun point de vue nutritionnel.
Dossier : Impact du Covid-19 sur la distribution. Et demain...
BIO-LINEAIRES, AuteurQuel aura été l'impact de la crise sanitaire liée à la Covid-19 et en particulier de la période de confinement sur la consommation et la distribution des produits bio ? Le dossier passe en revue de nombreux thèmes liés à cette situation inédite, avec : des interviews de représentants des principales organisations professionnelles (Natexbio, Synabio, Synadis Bio, Synadiet) ; la présentation des chiffres du bio en GMS et en réseau spécialisé ; le panier idéal pour faire face à la période (alimentation, sommeil, anxiété ) ; le point sur la situation en Allemagne, en Belgique et dans le reste du monde ; le rôle des microbes et la désinfection, des témoignages dentreprises du marché de lentretien en réseau bio... Les résultats de deux enquêtes, l'une auprès de magasins bio, l'autre auprès de consommateurs, sont présentés.
Dossier de presse Agence BIO : Baromètre de consommation et de perception des produits biologiques en France : Agence BIO/Spirit Insight - Février 2020 : Le bio sera-t-il le moteur de la tendance sociétale du "consommer moins mais mieux" ? Consommation, engagements et attentes des Français
Qui sont aujourdhui les consommateurs de produits bio en France ? Quelles sont les différentes motivations en fonction de lâge et du niveau de revenu ? Quels sont les principaux freins à la consommation de produits issus de lagriculture biologique ? Ce dossier de presse présente les principaux résultats de l'étude réalisée par Spirit Insight pour lAgence BIO. Les données sur la consommation bio en France sont fournies. En 2019, près de 9 Français sur 10 consomment des produits biologiques ne serait-ce que rarement, comme en 2018. 71 % en consomment au moins une fois par mois, un niveau également stable depuis deux ans. 14 % en consomment tous les jours.
Dossier de presse Familles Rurales : Observatoire des prix des fruits et légumes 2020
Familles Rurales présente les résultats de son Observatoire des prix des fruits et légumes frais, pour aider chaque famille, quel que soit son budget, à opérer des choix éclairés. Létude des prix 2020 porte sur un panier de 8 fruits et 8 légumes frais, conventionnels et bio, sur 4 surfaces de vente. En cette année particulière, le confinement (manque de main duvre, coûts de transport plus importants, production étrangère moins abondante) et les conditions météorologiques pour certains produits peuvent expliquer certaines augmentations, ces dernières demeurent néanmoins très importantes pour les consommateurs sans pouvoir les assurer dune meilleure rémunération des producteurs. Les principaux résultats montrent une augmentation, en 1 an, du prix des fruits de + 17 % en conventionnel et de + 6 % en bio, et de celui des légumes de + 4 % en conventionnel et de + 1 % en bio. Respecter le PNNS (Plan National Nutrition Santé) représente entre 12 et 21 % dun SMIC net mensuel pour une famille de 4 personnes. La crise Covid-19 a fait ressortir 2 tendances : le suremballage des fruits et légumes, alors que celui-ci rime avec pollution et surcoût ; consommer français ne coûte pas forcément plus cher si lon respecte la saisonnalité des produits (les produits bio restant plus chers que les conventionnels).
Edition 2020 du baromètre de consommation et de perception des produits biologiques en France
Pour cette édition du Baromètre de consommation et de perception des produits biologiques en France, lAgence BIO a mené une étude, en novembre 2019, auprès dun échantillon représentatif de 2 000 Français de plus de 18 ans. Si la consommation de produits bio maintient son bon niveau (plus de 7 Français sur 10 en consomment au moins une fois par mois), le nombre de consommateurs quotidiens en 2019 a dépassé le nombre de non-consommateurs. Les jeunes sont plus nombreux. Parmi les principaux enseignements de cette enquête : même si les moins de 35 ans sont les « fers de lance » de la consommation, « lenvie de bio » est partagée par toutes les tranches dâge de la population. Les jeunes, pour qui consommer bio est presque devenu un acte de militantisme, sont avant tout sensibles aux enjeux éthiques et environnementaux. Chez les plus de 50 ans, lacte dachat se veut de plus en plus « citoyen ». Sils sont particulièrement attachés à la qualité du produit, ces derniers sont de plus en plus attentifs au respect des saisons et aux produits locaux. Autre enseignement, la grande majorité des Français interrogés se dit prête à changer sa façon de consommer. Cette révolution des habitudes à laquelle nous assistons inclut le bio bien sûr, mais aussi la lutte contre le gaspillage alimentaire, la limitation des emballages et le respect des agriculteurs.
Le magasin des halles de Cernay dans le Haut-Rhin : Chronique dune conversion vers la bio
Jérôme TISSERAND, AuteurDepuis septembre 2019, le magasin des halles de Cernay, dans le Haut-Rhin, a une offre en fruits et légumes exclusivement biologique. Point de vente multi-frais de 1000 m², ces halles proposent à la vente des fruits et légumes biologiques depuis 1991. En 2006, la gamme bio était presque aussi importante que celle en conventionnel. En 2010, lentreprise sagrandit et ouvre 4 autres magasins, tous exclusivement en AB. Suite à cette situation, passer les halles de Cernay totalement en bio pour les fruits et légumes devenait logique et synonyme dun approvisionnement et dune gestion simplifiés. A ce jour, léquipe du rayon fruits et légumes offre, chaque jour, pas moins de 180 références en première gamme, en respectant les saisons et en étant pédagogiques auprès des clients pour expliquer, notamment, les raisons de prix plus élevés quen conventionnel. Un an plus tard, même si la crise Covid rend difficile le bilan, on peut noter que la clientèle est majoritairement restée : les clients se sont adaptés et ont fait évoluer leurs habitudes dachats. Le magasin a même vu une nouvelle clientèle, composée dacheteurs en AB, séduite par loffre et sa qualité. Les halles sont aussi devenues un fournisseur conséquent pour la restauration hors domicile de la région, en recherche de produits biologiques.
Sondage OpinionWay pour Max Havelaar : Baromètre Max Havelaar de la transition alimentaire
Un sondage OpinionWay pour Max Havelaar a mis en lumière l'impact de la crise de la Covid-19, en France, sur les attentes des consommateurs, en particulier en matière de consommation responsable. Les Français ont eu l'occasion de s'interroger sur leur consommation et, pour 73 % d'entre eux, le contexte de crise leur a donné (davantage) envie de consommer responsable. Pour 62 % des interrogés, la crise sanitaire de 2020 a été à l'origine d'une prise de conscience quant à la nécessité d'avoir des comportements plus vertueux, comme limiter les emballages, acheter local, équitable, etc. 78 % ont déclaré être favorables à une consommation de produits 100 % locaux. 58 % ont réalisé que de nombreux produits de consommation sont en effet importés (café, banane, chocolat), mais qu'il leur serait difficile de s'en passer définitivement, contrairement à d'autres produits. La notion de vrac a, elle aussi, fait son chemin.
Territoires en transition : Déconfiner les énergies
Stéphane THEPOT, AuteurLes initiatives pour un nouveau développement local sont nombreuses au sein des territoires ruraux. Cet article en présente plusieurs, du Berry au Quercy, en passant par le Gers. Quelles touchent au développement des circuits de proximité, notamment suite au confinement, à lapprovisionnement en produits locaux, bio ou non, à destination par exemple de magasins de proximité ou encore de la cantine, à linstallation de chaufferies au bois communales (dont une dans lIndre ne valorisant que du bois issu des haies du territoire), ou déoliennes « citoyennes », financées par des habitants, toutes ces initiatives, souvent basées sur des démarches collectives, montrent la vitalité de la « France profonde ». Elles montrent aussi limportance de penser autrement, de créer du lien, de mixer les avis et les horizons, de favoriser lécoute pour « jouer ensemble » et, ainsi, « déconfiner les énergies ».
Utiliser les circuits courts : Organisation et mode d'emploi ; Avantages et inconvénients ; Adresses et liens utiles ; Témoignages et cas pratiques
Ce guide pratique est destiné aux producteurs qui souhaitent se lancer dans la vente de leurs produits alimentaires par le biais des circuits courts ou d'en étendre la pratique via de nouvelles formes. Chaque modèle de circuit court a été étudié : fonctionnement, statut juridique, avantages et inconvénients, étapes pour vendre par le biais de ce circuit court... L'ensemble des possibilités de vente directe et les principaux circuits courts sont présentés : boutiques à la ferme, magasins de producteurs, distributeurs automatiques, marchés alimentaires, salons et foires, AMAP, paniers, cueillette, coopératives alimentaires, Jardins de Cocagne, boutiques et épiceries en direct des producteurs, boutiques des lycées agricoles, artisanat monastique, plateformes internet (« La Ruche qui dit oui ! »), drives... Des témoignages de producteurs et de consommateurs illustrent l'intérêt ou le fonctionnement de ces différents circuits-courts.
Baromètre 2018 de consommation et de perception des produits biologiques en France : Janvier 2019
D'après le Baromètre Agence BIO de janvier 2019, le comportement alimentaire à légard des produits biologiques, après avoir fortement évolué au cours des dernières années, semble atteindre un niveau de maturité en se stabilisant à un bon niveau. Plus de 7 Français sur 10 en consomment au moins une fois par mois, et les jeunes générations en consomment de plus en plus. La consommation de produits bio hors alimentaire (produits dentretien, de jardinage, cosmétiques et hygiène ) tend à sélargir de façon significative. Au-delà dun mode de consommation, cest un état desprit, qui repose sur une attention portée au gaspillage alimentaire, à la réduction des emballages et du plastique, au fait de cuisiner soi-même, à la provenance des produits, à leur saisonnalité, etc. et qui marque linscription de la consommation bio dans une démarche responsable globale. Les consommateurs se déclarent bien informés sur l'impact de l'AB sur la santé et sur l'environnement, et sur l'origine des produits. En revanche, l'information sur la réglementation et sur le contrôle mériterait d'être plus soutenue. Cette 16ème édition du Baromètre de consommation et de perception des produits biologiques en France présente l'ensemble des informations liées à la consommation bio en France : consommation et achat de produits biologiques, habitudes alimentaires et typologie des consommateurs français, prix et budget alimentaire, perception des produits bio, information sur les produits bio, attentes vis-à-vis des lieux de distribution, produits consommés, achats, perspectives et avenir.
Complément alimentaire : Une croissance pérenne du marché en 2018 - Que pensent les Français des compléments alimentaires ?
Deux articles pour comprendre les perspectives du marché des compléments alimentaires : le premier montre une croissance du marché qui continue, avec + 1,3 % en 2019, pour 1,9 milliard d'euros de chiffre d'affaires. Le sommeil/stress, la digestion et la vitalité sont les 3 indications qui, à elles seules, totalisent 51 % des ventes en pharmacie, 41 % des ventes en GMS et 35 % des ventes en parapharmacie. En 2018, la part des compléments alimentaires vendus dans les circuits spécialisés (bio et diététiques) était de 15,5 %. Dans les magasins bio précisément, la croissance est moins soutenue. Le deuxième article s'intéresse aux motivations des consommateurs français de compléments alimentaires. Ceux-ci évoquent majoritairement la naturalité des compléments alimentaires, et les utilisent en prévention et pour éviter de prendre des médicaments, faisant de la santé un motif prioritaire sur les raisons de beauté. Les Français ont globalement une image positive des compléments alimentaires, considérant par exemple que les produits de la ruche, les plantes médicinales, les huiles essentielles, les vitamines, les omégas, les minéraux sont bons, voire très bons pour la santé. Plus de la moitié souhaiteraient que leur médecin leur en conseille ou leur en prescrive et estiment que les mutuelles devraient les rembourser.
Déconsommation : Le grand tournant (1/2)
BIO-LINEAIRES, AuteurConsommer moins mais mieux, la déconsommation serait non pas l'anti-consommation, mais une prise de conscience que consommer n'est pas une fin en soi. Le consom'acteur cherche un bien-être global, où l'"être" et le mieux-vivre deviennent plus importants que l'"avoir plus". Déconsommer reposerait sur un "mieux manger", quitte à devoir assumer certaines contraintes (faire ses courses "autrement"), mais aussi sur un désir de faire soi-même, d'éviter le gaspillage, de se débarrasser du superflu, de recycler, réparer... La bio, bien en phase avec ces tendances et avec cet imaginaire de la déconsommation, a cependant encore des progrès à faire pour séduire la nouvelle génération de déconsom'acteurs...
Déconsommation : Le grand tournant (2/2)
BIO-LINEAIRES, AuteurLa déconsommation, différente de la décroissance, est un phénomène social dans lequel un bon nombre de citoyens se reconnaissent, dans une démarche visant à redonner du sens aux actes d'acheter et de consommer. Cette dynamique va au-delà d'une recherche de produits sains, mais elle reste un marqueur fort de la bio : chasse au gaspillage, simplicité volontaire, conscience écologique, défiance face aux industriels... La frange la plus avancée de ce mouvement de déconsommation revendique aussi, motivée par le sentiment d'arriver au bout d'une forme de surconsommation, un changement de mode de vie qui passe par un désemcombrement et une simplification. Les motivations peuvent procéder aussi d'une volonté de consommer plus raisonnable et plus responsable sans se ruiner ni nuire aux ressources, et elles peuvent se traduire de différentes façons : recyclage des matières, réemploi des objets, choix de produits sans déchets (shampoings solides, serviettes lavables...), fait maison, etc. Pour les magasins bio, la déconsommation indique de nouvelles façons de satisfaire les clients : opérer une distinction nette avec la GMS bio, par exemple en n'allant pas vers une multiplication des références, favoriser les produits locaux, mettre en avant le zéro déchet, valoriser des astuces pour mieux maîtriser son budget autrement qu'en chassant les "promos", privilégier le relationnel. Proposer des menus et des cours zéro surconsommation, créer, dans le magasin, une ambiance chaleureuse et une proximité bienveillante avec les clients, organiser des espaces collaboratifs de gratuité, inciter à l'utilisation de la consigne et/ou au recyclage des contenants usagers, autant d'exemples d'actions qu'il est possible de mettre en place et qui sont susceptibles de satisfaire tous les types de déconsommateurs, quelles que soient leurs motivations.