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ECONOMIE DU TOURISMESynonyme(s)economie touristique |


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1er semestre 2016 : l'activité des magasins bio est au beau fixe
BIO-LINEAIRES, AuteurLe relevé d'activité des magasins bio français du 1er semestre 2016 montre une progression du chiffre d'affaires de toutes les familles de produits et une progression globale de 20 %. Le vrac, les fruits et légumes et le frais sont en tête de palmarès, l'épicerie sèche et les produits d'hygiène et d'entretien contribuent à la croissance pour une part importante et les compléments alimentaires et le "sans gluten" sont toujours en progression.
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2000 fermes bio en Bretagne
Antoine BESNARD, Auteur ; Michaël DESPEGHEL, AuteurD'après l'Observatoire de la production bio en Bretagne, la barre des 2000 fermes bio a été franchie au cours de l'année 2015 dans cette région, soit 5,8 % des fermes bretonnes. Cette croissance est marquée par deux grandes tendances : l'installation en maraîchage bio et la conversion des fermes en bovins lait. Les chiffres relatifs à l'AB en Bretagne sont présentés : répartition des fermes bio en fonction de leur production principale, place de l'agriculture bio bretonne en France, évolution du nombre de fermes bio entre 2009 et 2015, évolution des surfaces bio depuis 2012 et projections 2017 et 2020.
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2010, l'année du développement pour l'agriculture bio
Thierry MICHEL, AuteurAprès une introduction rapide sur le contexte de développement de l'agriculture biologique en France, l'article donne des indications sur le marché français des produits alimentaires issus de l'agriculture biologique. Celui-ci se situe en troisième position en Europe, derrière l'Allemagne et le Royaume-Uni. En 2008, le marché hexagonal a représenté 2,6 milliards d'euros (40 euros par français), en progression de 25 % par rapport à 2007 et de 60 % depuis 2005. Pour le cabinet d'études économiques Precepta, le chiffre d'affaires des produits bio pourrait augmenter de 40 % d'ici à 2012... Par ailleurs, l'article revient sur différents sujets : le comportement du consommateur français ; l'intensification des échanges entre les différents acteurs de la chaîne : association de Biocoop avec la Coopérative des agriculteurs biologiques du Sud-Ouest (Cabso) ; restitution, auprès de la presse et de professionnels, de résultats d'études sur le blé, le maïs... par la Fnab, à l'initiative d'Inter Bio Bretagne ; proposition par ABioDoc (service de Vetagro Sup - Campus agronomique de Clermont (63)), en mars et juin 2010, de deux stages, accessibles dans le cadre de la formation continue des personnels de l'enseignement agricole, intitulés "Maîtriser la recherche documentaire dans Biobase, la base de données spécialisée en agriculture biologique d'ABioDoc"... Sont également rapportés un entretien avec Elisabeth Mercier, directrice de l'Agence Bio (axes de travail de l'Agence Bio...), ainsi que des données statistiques (évolution du nombre d'exploitations engagées en bio, répartition des surfaces végétales en mode de production biologique).
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Une 3e voie en grande culture
L'agriculture intensive ou productiviste est à l'index, tout ou presque lui est reproché. Une première voie d'évolution possible pour mettre en oeuvre une agriculture durable peut être l'agriculture raisonnée, mais du fait des investissements considérables qu'elle nécessite, sa rentabilité est remise en cause ; une autre voie serait l'agriculture biologique mais, elle non plus, n'apparaît pas comme une panacée pour l'auteur. Reste donc la 3ème voie exposée ici : approcher les principes de l'agriculture biologique sans s'interdire d'utiliser des produits de synthèse si nécessaire.
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L'action citoyenne, accélératrice de transitions vers des modes de vie plus durables
Karine LANCEMENT, Auteur ; Stéphane LÉVÊQUE, Auteur ; Dominique BOURG, Auteur ; ET AL., Auteur | PARIS (Hôtel de Roquelaure, 246 Boulevard Saint-Germain, 75 007, FRANCE) : MINISTÈRE DE LA TRANSITION ÉCOLOGIQUE ET SOLIDAIRE | 2019Le programme de recherche sur les modes de vie durables "Movida" a souligné lapport des démarches ascendantes à linitiative des citoyens dans lévolution des modes de vie. A la suite de ce programme, le service de la recherche du Ministère de la Transition Écologique et Solidaire (MTES) a confié au Cerema une étude exploratoire « Deqlic : définir et questionner les initiatives citoyennes ». A partir d'un panorama des initiatives citoyennes de transition qui se développent de façon accélérée en France depuis quelques années, l'objet est d'interroger les origines et les facteurs d'émergence de ces initiatives, leurs grandes caractéristiques, leur parcours, mais aussi les facteurs de réussite, les besoins et difficultés rencontrées par les porteurs de projets citoyens, et les relations entretenues (ou non) avec les acteurs publics. Ce document rend compte des éléments produits au cours de ce travail exploratoire. En premier lieu, la définition et la caractérisation des initiatives citoyennes permettent de préciser le périmètre de létude et den identifier lobjet. La deuxième partie analyse l'apport des initiatives citoyennes dans une logique de transition, puis la troisième décrit leur rapport avec les institutions et les besoins exprimés par les porteurs d'initiatives. Enfin, des propositions sont faites sur le changement de posture nécessaire au développement des initiatives citoyennes pour accélérer les transitions, et sur les suites à donner à Deqlic, ainsi que sur les pistes de recherche à approfondir.
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Activité en MSB
BIO-LINEAIRES, AuteurL'article présente l'évolution du chiffre d'affaires des magasins spécialisés bio (MSB) de 2017 par rapport à 2016 et de 2018 par rapport à 2017, mois par mois, ainsi que l'évolution de la surface de vente due aux ouvertures.
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Activité en MSB : Expliquer pour comprendre
BIO-LINEAIRES, AuteurBio-Linéaires explique comment sont analysés les différents chiffres en provenance de Bio Analytics pour présenter régulièrement, dans ses pages, l'évolution du marché des Magasins Spécialisés Bio (cumul à date, à périmètre constant, cumul à date intégrant les ouvertures...). L'année 2018 est prise en exemple.
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Activité en MSB (magasin spécialisé bio) : 1er trimestre 2016 et 2017
BIO-LINEAIRES, AuteurFocus sur les trois premiers mois de 2016 et de 2017 pour comparer les chiffres d'affaires des magasins bio sur ces deux périodes, et pour présenter la part et l'évolution de CA de grandes familles de produits. En termes d'ouvertures de nouveaux magasins bio, l'estimation de croissance totale sur la période du 1er trimestre 2017 est de + 9,23 %.
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Activité en MSB (magasin spécialisé bio) en 2016
BIO-LINEAIRES, AuteurUn graphique présente l'évolution du chiffre d'affaires mois par mois des magasins spécialisés en bio (janvier à décembre 2016). A noter la faible performance du mois d'octobre.
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Actualité belge : Le bio en magasins spécialisés : enfin les chiffres !
BIO-LINEAIRES, AuteurQue représentent, en Belgique, les magasins spécialisés en produits bio et compléments alimentaires en termes de superficie de vente, de nombre de travailleurs employés, de chiffres d'affaires... et ce, par province et par région ? Afin de dépasser la question de la confidentialité, tout en permettant aux magasins de positionner leur activité, l'Unadis, l'Union professionnelle belge des détaillants spécialisés en produits bio et compléments alimentaires, a décidé de transformer le chiffre d'affaires en indice de ventes. La référence choisie est janvier 2009 avec un indice 100. Pour chaque mois, l'indice est calculé sur la base de ce mois de référence La collecte des indices auprès de 17 magasins répartis dans toute la Wallonie a donné lieu à un premier graphique sur l'évolution des ventes à partir de l'indice 2009 et jusqu'en mars 2012. L'article présente une première analyse sur l'année 2009 : faible chiffre d'affaires en février (indice 97), remontée nette à la fin du 1er trimestre, suivie d'une baisse en juillet et août, et d'une hausse au mois de décembre (indice 116)...
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Actualité distribution : Ouvertures, fermetures : solde négatif en quantité et en surface...
BIO-LINEAIRES, AuteurMalgré les difficultés économiques qui ont débuté en septembre 2009, l'évolution du parc des magasins bio est plutôt positive. Après une année 2010 riche en ouvertures avec 127 magasins, on peut estimer que la situation en 2013 se présentera différemment. En effet, les ouvertures seront certainement moins nombreuses. En revanche, leurs surfaces moyennes continueront d'augmenter. Même si la balance 2013 entre les ouvertures et les fermetures devrait être négative, on s'attend à une évolution positive des surfaces totales... Présentation : 107 fermetures depuis janvier 2013 ; 47 ouvertures à fin juillet 2013 ; La distribution spécialisée : un cas d'école.
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Actualite internationale : Grande-Bretagne : le marché bio peine encore...
BIO-LINEAIRES, AuteurEn 2011, selon le rapport annuel de la Soil Association, les ventes de produits bio au Royaume-Uni ont connu une baisse de 3,7 % pour atteindre 2 milliards d'euros. Malgré cela, ce marché, qui a souffert de la crise financière, reprend confiance. Parmi la hausse des ventes de produits biologiques (aliments pour bébé, viande d'agneau et de volaille ), les produits laitiers, ainsi que les fruits et légumes ont représenté respectivement 29 et 23 % des ventes En raison d'un approvisionnement restreint en produits biologiques dans les supermarchés, les consommateurs se sont approvisionnés grâce à de nouveaux circuits. Les paniers bio, la vente en ligne et la livraison à domicile font partie du seul canal de distribution qui ait connu une augmentation (+ 7,2 %), et représentent, en 2011, un chiffre d'affaires de 204 millions d'. Les CA pour les autres canaux de distribution sont de : 1,45 milliard d' pour la GMS, 37, 1 millions d' pour la vente à la ferme..., 300,7 millions d' pour les autres détaillants et indépendants. Il y a dorénavant plus de 500 programmes de livraison de paniers bio au Royaume-Uni (Abel & Cole, société Riverford ). Tesco, Sainsbury's, Waitrose restent les chaînes leaders de vente au détail pour les produits bio au Royaume-Uni. Mais, dans l'ensemble, elles ont vu leurs ventes de produits bio baisser en moyenne de 9,5 %, sauf les ventes de Tesco qui ont diminué de 2 %. Lidl a vu ses ventes de produits bio augmenter de 16,7 %...
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Actualité internationale : Suisse, la belle croissance du bio continue...
BIO-LINEAIRES, AuteurEn Suisse, pour la première fois depuis sept ans, Bio Suisse a enregistré, en 2011, plus de nouvelles reconversions que de départs, nombre qui a encore augmenté de 27,1 % en 2012 par rapport à 2011. Le nombre de producteurs bio représente aujourd'hui 11 % environ de l'ensemble des exploitations agricoles suisses. Le chiffre d'affaires du marché bio suisse était, en 2011, de 1,45 milliard d'euros (4 milliards en France). Le bio atteint pour la première fois une part de marché de 6 % de l'ensemble des produits alimentaires et toutes les familles de produits les plus demandées ont progressé... Mais un nombre encore plus élevé de familles paysannes bio sera nécessaire pour couvrir la demande des consommateurs suisses - surtout pour les céréales et les oléagineux. Bio Suisse, la principale organisation bio de Suisse et la propriétaire de la marque Bourgeon, continue de s'engager dans le développement du marché, la vulgarisation, la recherche... Des graphiques présentent le marché suisse des produits biologiques de 2007 à 2011 (chiffre d'affaires total en millions de francs suisses, évolution des différents canaux de distribution), ainsi que la répartition de la distribution des produits biologiques par canaux de distribution 2011.
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Agri'scopie : L'agriculture biologique en Normandie : Typologie des exploitations bio
Ce document vient en complément de lObservatoire régional de lagriculture biologique en Normandie. Il apporte des éclairages sur la répartition géographique des exploitations bio, leurs profils typologiques, leurs structures et leurs modes de commercialisation. Des graphiques illustrent l'évolution des surfaces bio depuis 2013. Les données utilisées proviennent de deux sources différentes et complémentaires : la base de données exhaustive anonyme contenant les informations transmises par les organismes certificateurs et le fichier des notifications complété par les producteurs bio.
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L'agriculture bio en Auvergne-Rhône-Alpes : Les chiffres de la production, transformation et distribution : Edition 2019 ; Repères 2017-2018
Alice ODOUL, Auteur ; Thibault PECLET, Auteur ; Marithé CASTAING, Auteur ; ET AL., Auteur | LEMPDES (16B Rue Aimé Rudel, BP 45, 63 370, FRANCE) : DRAAF AUVERGNE-RHÔNE-ALPES | 2019Les données 2018 de lAgence Bio ont placé Auvergne-Rhône-Alpes au 3ème rang des régions françaises en nombre de fermes bio : 5 858 exploitations bio ou en conversion, soit 10 % des exploitations régionales, marquant une progression en 5 ans de 50 % ; La région compte également 251 776 ha en bio, dont 195 357 ha certifiés et 56 419 ha en conversion, portant à 8,9 % la part de la SAU bio AuRA dans la SAU bio nationale. 2 755 opérateurs de laval sont également présents dans la région. Auvergne-Rhône-Alpes reste la première région française en ce qui concerne le réseau aval, très développé et dynamique. Les fermes bio dAuvergne-Rhône-Alpes pratiquent souvent la vente directe. Lâge moyen des producteurs ayant démarré une conversion bio récente (avant 2017-2018), se situe autour de 46 ans, 39 % dentre eux ont 50 ans et plus. Lagriculture bio semble être considérée comme un atout pour faciliter la transmission dune exploitation. La part des projets bio enregistrés dans les points daccueil installation en 2018 a progressé (36 % vs 29 % en 2017), mais en nombre variable selon les départements. Les chiffres clés 2018 de la filière bio en Auvergne-Rhône-Alpes sont détaillés et commentés : collecte, distribution, transformation, coopératives, débouchés de la restauration collective. Sont ensuite présentés les chiffres par filière et par département.
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L'agriculture Bio en Rhône-Alpes : Les chiffres de la production, transformation et distribution : édition 2016 - repères 2015
Fin 2015, la région Rhône-Alpes comptait : 3 117 exploitations bio (2ème région française), soit 8 % des exploitations régionales ; 101 091 ha certifiés bio ou en conversion (4ème région française), soit 7 % des surfaces agricoles régionales ; 1075 préparateurs certifiés bio (1ère région française) ; 283 grossistes, 327 magasins spécialisés bio, Rhône-Alpes étant 2ème région française en nombre de distributeurs bio. Au sommaire de ce document rassemblant les chiffres de l'AB en Rhône-Alpes : - La bio dans la nouvelle région Auvergne-Rhône-Alpes ; - La production agricole bio en Rhône-Alpes ; - La transformation des produits bio ; - La consommation et la distribution des produits bio ; - Les filières bio ; - Les productions végétales : Légumes ; Fruits ; Vin ; PPAM ; Céréales et oléoprotéagineux ; - Les productions animales : Viande bovine ; Lait de vache ; Lait de chèvre et de brebis ; Viande ovine ; Viande porcine ; Poulets de chair et ufs ; Miel ; - La bio dans les départements : Drôme ; Ardèche ; Isère ; Ain ; Loire ; Rhône ; Savoie ; Haute-Savoie.
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Agriculture biologique en bref : édition 2014
Cette brochure présente les chiffres de l'agriculture biologique en Midi-Pyrénées pour l'année 2013. Cette région est leader en termes de surface en AB (130 502 hectares certifiés ou en conversion, soit 5,75 % de la SAU régionale). C'est également la région qui a connu la plus forte dynamique de conversion entre 2012 et 2013, avec des taux de +5,6 % pour le nombre d'exploitations et de +11 % pour les surfaces. Les grandes cultures ont significativement profité de cette vague de conversion, et la région est leader sur cette production en France. En ce qui concerne les productions animales, Midi-Pyrénées est la première région en ovins et bovins viande, avec des effectifs en augmentation de 6 % par rapport à 2012. 581 transformateurs de produits biologiques sont présents sur le territoire midi-pyrénéen. 55 % des producteurs pratiquent la vente directe, et la restauration collective est un débouché en développement.
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"Agriculture biologique : une filière en expansion" ; "Sondage : Les Français adeptes de la viande bio"
INFORMATION AGRICOLE (L'), Auteur- "Agriculture biologique : une filière en expansion". Ce premier article rappelle que plus de 80 millions d'hectares sont désormais consacrés à l'agriculture biologique à travers le monde (incluant les surfaces dédiées à l'apiculture et à la cueillette). En termes de consommateurs de produits bio, 90 % d'entre eux vivent en Amérique du Nord et en Europe. L'Allemagne est le pays où la consommation de produits bio est la plus développée, suivie de la France (qui se situe, en termes de SAU bio, au troisième rang dans l'Union européenne). - "Sondage : Les Français adeptes de la viande bio". D'après le sondage d'avril 2016 mené par la Commission Bio d'Interbev, 70 % des Français interrogés affirment manger de la viande bio. Les chiffres d'affaires des différentes viandes bio en France, entre 2012 et 2014, sont rappelés.
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Agriculture biologique et marché bio : Conférence de presse annuelle de Bio Suisse
BIO SUISSE, Auteur ; Urs BRÄNDLI, Auteur ; Daniel BÄRTSCHI, Auteur ; ET AL., Auteur | BÂLE (Peter Merian-Strasse 34, CH-4052, SUISSE) : BIO SUISSE | 2012Le dossier présente un communiqué de presse sur le maintien de la croissance, en Suisse, ainsi que les exposés d'Urs Brändli, Président de Bio Suisse, Daniel Bärtschi, Directeur de Bio Suisse, Max Eichenberger, Président de la Commission de labellisation de la transformation et du commerce de Bio Suisse (partenariat, Le Bourgeon, politique agricole...). Les "Données Production et Marché" présentent les producteurs et surfaces bio en 2011. (En 2011, la Suisse compte 6 005 fermes bio dont 5 618 respectant le Cahier des charges du Bourgeon et la proportion de surface agricole utile cultivée en bio atteint 11,1 % en moyenne générale ) ; les chiffres d'affaires des produits bio en comparaison pluriannuelle et selon les canaux de distribution (le marché bio a progressé de 4,2 % en 2011, le chiffre d'affaires des produits bio a atteint 1 738 millions CHF ) ; les parts de marché d'une sélection de produits bio (le chiffre d'affaires des denrées alimentaires biologiques représente 6 % du total du marché de l'alimentaire ; depuis trois ans les parts de marché progressent en continu dans toutes les régions, en augmentant de 4,5 % ; le chiffre d'affaires des produits frais a de nouveau progressé plus que la moyenne en 2011 et tous les groupes de produits contribuent à la croissance ). Le Moulin Bio « Albert Lehmann Lindmühle », la plus ancienne meunerie familiale de Suisse, est également présenté.
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L'agriculture biologique en Pays de la Loire en 2011
Olivier JEAN, AuteurCe document, consacré à l'agriculture biologique en Pays de la Loire en 2011, est organisé comme suit : - Les Pays de la Loire deuxième région française pour la superficie en agriculture biologique ; - Loire-Atlantique en tête ; - Une production bio animale particulièrement présente, mais qui reste limitée ; - Des exploitants plus jeunes et plus diplômés ; - Un chiffre d'affaires alimentaire bio en hausse constante ; - Une exploitation bio sur deux commercialise via les circuits court ; - Plus de main d'uvre qu'en conventionnel dans les exploitations bio où légumes et vin dominent ; - Un résultat courant le plus élevé pour les exploitations biologiques orientées en grandes cultures ; - Les produits du secteur animal plus chers en magasins spécialisés qu'en grandes surfaces. Une carte localisant les exploitations bio situées en Pays de la Loire et des graphiques complètent le document.
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L'agriculture biologique traverse sa première crise
"Après une période faste liée à la crise de ""la vache folle"", la filière bio marque le pas. La baisse des prix fait souffrir les agriculteurs bio, alors même que la France reste déficitaire en produits bio. Les explications sont à rechercher principalement dans la concurrence de plus en plus rude, qui a permis aux transformateurs et aux grandes surfaces d'inverser le rapport de force avec les producteurs bio et dans un prix nettement supérieur à ceux des produits standards, qui a contribué à détourner certains consommateurs du bio. La dispersion des producteurs bio sur le territoire est à l'origine de ces surcoûts. Quel est donc l'avenir du bio ? Augmenter la taille de la production française pour limiter les surcoûts ? Arrêter les conversions, au risque de voir le marché du bio pris d'assaut par les autres pays européens ? L'issue dépend en grande partie de l'attitude du gouvernement français, qui aujourd'hui contrairement à ses voisins, ne soutient plus la conversion."
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L'agriculture garde l'île de Batz à flot
Chantal PAPE, AuteurAvec une surface de 357 ha dont 160 ha de SAU, l'île de Batz, située au large de Roscoff, dans le Finistère, compte une vingtaine de producteurs dont la moitié en agriculture biologique. La production est tournée vers le maraîchage avec notamment des cultures d'échalotes, d'oignons, de choux friséx et de pommes de terre. L'agriculture reste un pilier de l'économie car, si l'urbanisme grignote peu à peu les terres agricoles, les revenus du tourisme ne suffisent pas à eux seuls pour faire vivre l'île. Cette agriculture insulaire souffre de plusieurs contraintes comme un foncier onéreux, des exploitations de petites tailles et bien sûr des coûts engendrés par les transports en bateaux. Toutefois, le climat permet une production plus précoce que le continent, ce qui permet notamment de limiter les problèmes de mildiou sur pomme de terre. Les producteurs se sont organisés en Cuma pour regrouper les légumes et les expédier sur le continent. Leurs pommes de terre, qui affichent leur provenance, ont su se démarquer d'un point de vue gustatif auprès des consommateurs.
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Agrobio Europe : Un outil au service des aviculteurs et des céréaliers bio
Implantée à Guingamp dans les Côtes d'Armor, la SARL Agrobio Europe fait l'interface entre producteurs bio et éleveurs de poules pondeuses bio. Créée en 1998, cette entreprise a profité pleinement, au moment de son lancement, du vent en poupe des produits bio, et plus précisément des oeufs qu'elle rachète aux éleveurs pour les commercialiser par le biais de la société de conditionnement Trégor oeufs. Agrobio Europe offre donc un service qui englobe l'approvisionnement, la collecte, la rétrocession d'aliments et le suivi d'élevage. Visite guidée.
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Agrobiologie et environnement
L'objectif de cette étude menée par le CEMAGREF et la FCAAA, est d'évaluer et de comparer l'impact sur l'environnement des modes de production agrobiologique et conventionnel dans la région Aquitaine. Des diagnostics agri-environnementaux à l'échelle de l'exploitation agricole ont été effectués sur un échantillon de 80 exploitations (40 en bio, 40 en conventionnel) représentatives de la diversité régionale. Les indicateurs retenus sont fondés sur l'analyse des composantes structurelles du système de production et des grands choix stratégiques de l'agriculteur. Cette méthode permet d'estimer l'impact potentiel mais non l'impact réel pour lequel il faudrait prendre en compte les données du milieu. Les conclusions de l'étude soulignent que l'agrobiologie est favorable à la protection de l'environnement par l'ensemble des pratiques mises en oeuvre (et qui vont au-delà du simple cahier des charges), alors qu'en agriculture conventionnelle, la maîtrise des risques de pollution diffère selon les choix de conduite des agriculteurs.
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L'alimentaire bio à fin avril 2018
BIO-LINEAIRES, AuteurEn avril 2018, la distribution de produits bio en hypermarchés, supermarchés, Enseignes à Dominante Marques Propres (EDMP), drives et supérettes a connu une légère baisse de croissance (+ 20 %) par rapport à février et mars de cette même année (+ 25,6 % en février). Un tableau présente, pour l'ensemble des produits bio (épicerie salée, sucrée, crèmerie, frais non laitier, surgelés-glaces, liquides), l'évolution du chiffre d'affaires et de la part de marché pour avril 2018, du cumul courant à fin février et du cumul annuel mobile à fin avril 2018.
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L'alimentaire bio à fin juin 2018
BIO-LINEAIRES, AuteurFin juin 2018, la distribution de produits bio en hypermarchés, supermarchés, Enseignes à Dominante Marques Propres (EDMP), drives et supérettes a connu une croissance de 22,4 %. Un tableau présente, pour l'ensemble des produits bio (épicerie salée, sucrée, crèmerie, frais non laitier, surgelés-glaces, liquides), l'évolution du chiffre d'affaires et de la part de marché, du cumul courant et du cumul annuel mobile fin juin 2018.
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L'alimentaire bio à fin septembre 2018
BIO-LINEAIRES, AuteurEn septembre 2018, la distribution de produits bio en hypermarchés, supermarchés, Enseignes à Dominante Marques Propres (EDMP), drives et supérettes a connu une légère baisse de croissance par rapport aux trois mois précédents : 18,1 %, contre 22,4 % en juin, 19,9 % en juillet et 18,5 % en août. Un tableau présente, pour l'ensemble des produits bio (épicerie salée, sucrée, crèmerie, frais non laitier, surgelés-glaces, liquides), l'évolution du chiffre d'affaires et de la part de marché, du cumul courant et du cumul annuel mobile fin septembre 2018.
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L'alimentaire bio en GMS au 2ème trimestre 2016
BIO-LINEAIRES, AuteurLa distribution des produits bio en hypermarchés, supermarchés, Enseignes à Dominante Marques Propres (EDMP) et E-commerce a continué sa progression au 2ème trimestre 2016. Les meilleures performances sont celles des produits d'épicerie salée et de la gamme petit déjeuner. Dans ces circuits, le bio a représenté 3,3 % sur cette période. Un tableau présente, pour l'ensemble des produits bio (épicerie salée, sucrée, crèmerie, frais non laitier, surgelés-glaces, liquides), l'évolution du chiffre d'affaires, de la part de marché et des ventes unités.
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L'alimentaire bio en GMS au 3ème trimestre 2016
BIO-LINEAIRES, AuteurLa distribution des produits bio en hypermarchés, supermarchés, Enseignes à Dominante Marques Propres (EDMP) et E-commerce a continué sa progression au 3ème trimestre 2016. Les plus importantes performances ont été réalisées par les conserves de fruits (+39,2 %) et par les produits de la saurisserie (+ 35,6 %). Est à noter également, pour cette période, la performance des produits frais (hors produits laitiers) en libre-service. Comme pour les 2 premiers trimestres 2016, lépicerie salée maintient sa croissance, toujours boostée par les féculents, lalimentation infantile et les conserves de légumes. Un tableau présente, pour l'ensemble des produits bio (épicerie salée, sucrée, crèmerie, frais non laitier, surgelés-glaces, liquides), l'évolution du chiffre d'affaires et de la part de marché.
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L'alimentaire bio en GMS à fin 2016
BIO-LINEAIRES, AuteurEn 2016, la distribution des produits bio en hypermarchés, supermarchés, Enseignes à Dominante Marques Propres (EDMP) et E-commerce a progressé, avec un taux de croissance de 19,7 % contre 10,2 % à fin 2015. Les meilleures performances concernent en particulier lépicerie salée (+25 %). La crèmerie reste leader en matière de part de marché avec près de 6 %. Un tableau présente, pour l'ensemble des produits bio (épicerie salée, sucrée, crèmerie, frais non laitier, surgelés-glaces, liquides), l'évolution du chiffre d'affaires et de la part de marché pour l'année 2016.
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L'alimentaire bio en GMS fin 2017
BIO-LINEAIRES, AuteurFin 2017, le taux de croissance de la distribution des produits bio était estimé à 20,4 %, contre 19,7 % en 2016. Un tableau présente, pour l'ensemble des produits bio (épicerie salée, sucrée, crèmerie, frais non laitier, surgelés-glaces, liquides), l'évolution du chiffre d'affaires et de la part de marché entre décembre 2016 et décembre 2017, ainsi que le cumul annuel mobile. La conjonction dune demande croissante des consommateurs en produits bio et de la multiplication des initiatives des enseignes GMS porte le poids du bio à 3,4 % du chiffre daffaires des produits de grande consommation, frais et libre-service, dans tous les circuits GMS (hypermarchés, supermarchés, Enseignes à Dominante Marques Propres (EDMP), drives). C'est la plus forte croissance historique.
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L'alimentaire bio en GMS fin 2018
BIO-LINEAIRES, AuteurFin 2018, le taux de croissance de la distribution des produits bio en hypermarchés, supermarchés, Enseignes à Dominante Marques Propres et E-commerce était estimé à 21,4 %, contre 20,4 % en 2017. Un tableau présente, pour l'ensemble des produits bio (épicerie salée, sucrée, crèmerie, frais non laitier, surgelés-glaces, liquides), l'évolution du chiffre d'affaires et de la part de marché entre décembre 2017 et décembre 2018, ainsi que le cumul annuel.
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L'alimentaire bio en GMS à fin février 2018
BIO-LINEAIRES, AuteurDébut 2018, la distribution de produits bio en hypermarchés, supermarchés, Enseignes à Dominante Marques Propres (EDMP), drives et supérettes a poursuivi sa croissance. Le mois de février a connu une évolution de + 25 %. Le bio représentait alors 3,9 % des ventes de produits alimentaires dans ces circuits. Un tableau présente, pour l'ensemble des produits bio (épicerie salée, sucrée, crèmerie, frais non laitier, surgelés-glaces, liquides), l'évolution du chiffre d'affaires et de la part de marché pour février 2018, du cumul courant à fin février et du cumul annuel mobile à fin février 2018.
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L'alimentaire bio en GMS à fin février 2018
BIO-LINEAIRES, AuteurDébut 2018, la distribution de produits bio en hypermarchés, supermarchés, Enseignes à Dominante Marques Propres (EDMP), drives et supérettes a poursuivi sa croissance. Le mois de février a connu une évolution de + 25 %. Le bio représentait alors 3,9 % des ventes de produits alimentaires dans ces circuits. Un tableau présente, pour l'ensemble des produits bio (épicerie salée, sucrée, crèmerie, frais non laitier, surgelés-glaces, liquides), l'évolution du chiffre d'affaires et de la part de marché pour février 2018, du cumul courant à fin février et du cumul annuel mobile à fin février 2018.
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L'alimentaire bio en GMS à fin septembre 2017
BIO-LINEAIRES, AuteurEn septembre 2017, la vente de produits bio en hypermarchés, supermarchés, Enseignes à Dominante Marques Propres (EDMP), drives et supérettes a connu une croissance de + 22 %. Les produits frais non laitiers, lépicerie salée, lépicerie sucrée ont notamment connu respectivement une croissance de 31 %, 28,3 % et 24,3 %. Les produits traiteur frais en libre-service observent la plus forte progression (+ 54,2 %), et la crèmerie prend + 6 % de part de marché. Un tableau présente, pour l'ensemble des produits bio (épicerie salée, sucrée, crèmerie, frais non laitier, surgelés-glaces, liquides), l'évolution du chiffre d'affaires et de la part de marché pour septembre 2017, du cumul depuis le 1er janvier 2017 et du cumul annuel mobile.
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L'alimentaire bio en GMS en janvier et février 2017
BIO-LINEAIRES, AuteurDébut 2017, la distribution des produits bio en hypermarchés, supermarchés, Enseignes à Dominante Marques Propres (EDMP), drives et supérettes a connu une croissance un peu moins forte par rapport à lensemble de lannée 2016. Certaines familles de produits ont en effet régressé, comme la saurisserie (- 17,9 %). La crèmerie reste, quant à elle, leader en matière de part de marché, avec près de 6 %. Un tableau présente, pour l'ensemble des produits bio (épicerie salée, sucrée, crèmerie, frais non laitier, surgelés-glaces, liquides), l'évolution du chiffre d'affaires et de la part de marché pour janvier et février 2017.
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Alimentation : demain, tout ne sera plus comme avant
Guillaume LOHEST, Auteur ; Chloé DARGE, AuteurPablo Servigne, auteur de "Nourrir l'Europe en temps de crise", répond, dans cet article, à quelques questions directement en lien avec le contenu de son livre. Il aborde ainsi les différentes crises que connaissent nos sociétés - climat, ressources pétrolières et autres, biodiversité, accès à l'eau, crises financières...- et propose une analyse personnelle, basée sur des études scientifiques récentes. Les constats et propositions qu'il formule concernent l'impact de ces crises entremêlées sur l'avenir des systèmes alimentaires.
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Allemagne : Toujours beaucoup d'ouvertures de supermarchés bio
BIO-LINEAIRES, AuteurAvec un taux de progression du marché bio allemand d'environ 10% en 2008, le chiffre d'affaires total du marché bio alimentaire allemand frôlerait les 6 milliards d'euros contre environ 2 milliards en France. Selon les analystes du ZMP (Zentrale Markt-und Preisberichtstelle), cette progression aurait pu être encore plus élevée et atteindre les niveaux des années précédentes (15%) s'il n'y avait pas eu la pénurie de matières premières durant le premier semestre 2008. C'est donc tout logiquement et sensiblement dans les mêmes proportions que le nombre de points de vente a aussi augmenté. Selon Organic-Market-Info, on a compabilisé 71 nouvelles ouvertures de supermarchés et magasins bio dont 60 supermarchés bio de plus de 400 m². Rappelons que, depuis 2000, chaque année, entre 25 et 83 supermarchés bio ouvrent en Allemagne. En référence à des données statistiques, l'article analyse la situation : - Moins d'ouvertures en 2008 ; - Ce qui se passe en France ; - 37 250 m² de surfaces en plus ; - Surface moyenne en hausse.
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Almata, haut comme Biopom
Un petit article pour présenter Biopom, nouvelle entreprise venue dans le monde de la bio. Sa spécialité est le jus de fruits bio. L'entreprise a choisi des emballages épurés et porte une attention toute particulière à la qualité de ses matières premières. Il s'agit là de produits de haut de gamme déclinés en divers parfums : orange, poire, raisin, pomme, mirabelle...
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L'amélioration de la production d'une exploitation maraîchère du Sundgau
Ce mémoire a été réalisé dans le cadre de la Licence Professionnelle "Agriculture Biologique Conseil et Développement". L'étude porte sur l'exploitation maraîchère de Denis Brun et Christophe Rapp, l'EARL Biau Potager (90), en bio depuis 30 ans. Leur objectif est d'augmenter la production de légumes biologiques pour suivre une demande croissante. Pour cela, les associés sont à la recherche de conseils. Trois grands chantiers structurent le travail pour améliorer les conditions de production : le drainage sur certaines parcelles trop humides (terre argileuse lourde), l'installation de 2 000 m2 de serres, et la lutte contre les maladies et les ravageurs. Étape par étape, les opérations pour mettre en uvre des solutions identifiées sont décrites.
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Anaïs s'en va-t-en guerre
Anaïs, 24 ans, s'est lancée dans la culture des plantes aromatiques et médicinales bio, en Bretagne. Les difficultés qu'elle rencontre sont nombreuses, qu'il s'agisse de la météo capricieuse, ou encore de contraintes financières ou administratives Marion Gervais propose un documentaire au plus proche de la jeune productrice, qui, sous le regard attentif de la réalisatrice, évoque ses problèmes, tout en s'occupant de ses plantes. Anaïs apparaît toujours comme quelqu'un travaillant en extérieur, sans relâche, clamant avec fierté sa liberté, son indépendance, le plaisir d'exercer son activité. Malgré les doutes et les obstacles, la conviction d'Anaïs l'emporte en permanence.
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Année 2015 : année charnière pour la filière bio en Allemagne
BIO-LINEAIRES, AuteurEn Allemagne, alors que les années précédentes avaient vu se creuser l'écart entre production et consommation bio, en 2015, la production a progressé de manière significative. De même, les surfaces de vente bio ont également progressé (3 % par rapport à 2014). Certaines filières restent cependant déficitaires en matières premières (céréales et oléoprotéagineux, lait). Cet article propose une analyse des tendances dans la distribution spécialisée allemande.
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L'appétit pour le bio de deux Coubonnais
L'alimentation animale bio a de l'avenir. Tel est le credo de marie-José Buiza et laurent Mazoyer qui viennent de créer, à Coubon, Haute-Loire, leur entreprise de fabrication de granulés pour ovins, bovins, chevaux et lapins. S'approvisionnant dans le département et les départements limitrophes, ils garantissent une production 100% bio et prévoient d'atteindre dès cette année 2000, le million de tonnes de granulés.
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Approche technico-économique des systèmes de productions maraîchères diversifiées de Rhône-Alpes
Le réseau des référents techniques régionaux agriculture biologique des Chambres d'Agriculture de Rhône-Alpes a réalisé un ensemble de fiches systèmes agricoles. Ces fiches sont des outils d'accompagnement des projets d'installation et de conversion. Celle-ci porte sur l'"Approche technico-économique des systèmes de productions maraîchères diversifiées de Rhône-Alpes". 1. Caractérisation des systèmes de production de légumes biologiques en Rhône-Alpes (la très grande majorité de la production de légumes biologiques en Rhône-Alpes correspond à du maraîchage diversifié avec prédominance de vente en circuits courts. Ce document se restreindra à décrire ce système) : Approche système ; Caractéristiques typologiques. 2. Les indicateurs clés : Indicateurs de technicité ; Indicateurs économiques ; Indicateurs économiques globaux.
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Arboriculture : Une approche économique en verger semi-intensif bio
Stéphanie GAZEAU-SHAN, AuteurCet article rapporte une intervention de Thierry Ramat, formateur et arboriculteur, sur un exemple d'approche économique pour un verger semi-intensif de pommiers. Ce mode de conduite est particulièrement adapté à l'agriculture biologique et présente de nombreux avantages (moins d'investissement au départ, plus grande rusticité ), même si une technicité importante est nécessaire. Les rendements, chiffres d'affaires et divers coûts de production d'un verger existant sont présentés.
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L'Ardèche, vivier de plantes médicinales
Vincent Deschandol ramasse et cultive en bio des plantes médicinales depuis 1999. Rien qu'en bio, l'activité de cueillette occupe une cinquantaine de personnes en Ardèche. Entre 800 et 1 300 mètres d'altitude, chacun a, de manière tacite, ses coins, des espaces dont les propriétaires autorisent la cueillette en échange d'un sac de pommes de terre ou de fruits frais. Au cours de ses pérégrinations, Vincent Deschandol constate la difficulté à se procurer l'arnica tant la plante souffre des erreurs de l'agriculture conventionnelle. Par contre, le cueilleur collecte l'aubépine, le laurier, le thym de garrigue, le bourgeon de hêtre. En France, plus de 200 plantes à parfum, aromatiques et médicinales sont cueillies et plus de 120 sont cultivées. La lavande et le lavandin représentent plus de la moitié des surfaces de production bio. Sur 5 hectares seulement, l'exploitation de l'Ardéchois en renferme une grande diversité. Echinacée, mélisse, menthe poivrée, bardane, pissenlit, serpolet... couvrent la moitié de la surface. Plusieurs situations liées à la viabilité de l'exploitation de Vincent Deschandol sont évoquées : le contexte dans lequel évoluait son exploitation lors de son installation ; les débouchés de certaines de ses plantes aromatiques ; l'entretien de petites terrasses ou le choix de cultures sur bâches ; la livraison de végétaux à la coopérative Vivaplantes, située à Mercuer. Cependant, alors que la production de plantes à parfum est, en France, un secteur très dynamique et en pleine croissance (7% des PPAM sont bio, alors que la surface totale consacrée à ce mode de culture dépasse à peine 2%), Vincent Deschandol, pour compléter son revenu, travaille 10 heures par semaine à Vivaplantes.
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Auswirkungen einer Ausdehnung des Öko-Landbaus in der Europäischen Union : Neue Forschungsergebnisse
Une thèse de troisième cycle examinait les résultats possibles d'une augmentation distincte de l'agriculture biologique dans l'Union Européenne. Particulièrement, les conséquences pour la structure de la production agricole et les effets sur le marché ont été déterminés ainsi que les effets environnementaux.
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Autonomie des exploitations agricoles et conséquences environnementales : Etude d'un indicateur
Martin BORTZMEYER, Auteur ; Adriana RAVEAU, AuteurL'autonomie d'une exploitation agricole désigne sa capacité à limiter le recours à des produits achetés sur les marchés de fournitures agro-industrielles (intrants), souvent sources d'impacts négatifs sur l'environnement. Pour autant, le ration des intrants sur le chiffre d'affaires peut-il caractériser une exploitation plus autonome et ainsi plus respectueuse de l'environnement ? L'étude sur deux filières spécialisées en lait et en céréales montre que ce ratio, faisant intervenir les prix, des intrants et des productions, est avant tout un indicateur de performance économique. Il peut éventuellement aider à discerner les exploitations exerçant une moindre pression environnementale, c'est-à-dire peu utilisatrices d'intrants par hectare, mais ce n'est pas systématique. Ces résultats conduisent à discuter la construction de ce ratio en tant qu'indicateur d'autonomie ou de dépendance et à proposer des pistes d'amélioration. Le document se présente comme suit : - Un ratio retenu pour sa simplicité ; - Un ratio de performance économique... ; ... qui peut révéler une moindre consommation d'intrants, mais pas systématiquement ; - Une analyse du ratio sur deux filières ; - Pour les Bovins lait : le ratio révèle à la fois l'efficience et la sobriété... ; ... mais il peut pénaliser des régions peu productives ou valorisant mal le lait ; - Approche régionalisée pour la filière Céréales ; - En IDF (Ile-de-France), à la fois critère de sobriété et de chiffre d'affaires plus important ; - En Midi-Pyrénées, le ratio ne permet pas de distinguer les exploitations les plus sobres ; - Meilleure production et meilleure valorisation monétaire ; - Un ratio à aménager pour le rendre plus pertinent. Un encadré présente le réseau d'information comptable agricole (RICA) et la classification par Otex.
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L'autre façon de voyager
Il est difficile de cerner ce qu'est le tourisme responsable, mais, quoi qu'il en soit ,il s'oppose à l'industrie du tourisme dont le maître mot est rentabilité. Pour moraliser le tourisme, des initiatives officielles ont été prises comme la création de chartes pour un tourisme durable ou d'un label pour une éthique du tourisme. Mais ces chartes internationales ou françaises n'imposent aucune contrainte aux tour-opérateurs et l'idée d'un label, amorcée par le Ministère français du Tourisme, en 2002, a été abandonnée. Cependant, ces initiatives dénotent une prise de conscience car le tourisme classique (celui du forfait tout compris) est prédateur pour les pays du Sud. Une association australienne s'est d'ailleurs engagée dans la certification de complexes hôteliers qui améliorent leurs pratiques environnementales et sociales. Mais la mesure reste coûteuse. Aussi, les réseaux associatifs impliqués dans le tourisme responsable doivent se faire connaître car 66% de personnes interrogées se disent intéressées : des organisations se structurent et offrent des solutions alternatives. C'est le cas avec l'ATES (Association pour un Tourisme Equitable et Solidaire), qui s'est organisée autour de valeurs fondamentales, comme l'implication des populations locales, le respect de leur culture et de la nature, la répartition plus équitable des ressources générées par le tourisme... C'est également le cas avec ATR (Agir pour un tourisme responsable), qui s'est engagée dans la création d'un label.
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La baisse des tarifs est effective
REUSSIR BOVINS VIANDE, AuteurDans un arrêté publié au Journal Officiel du 5 mars 2011, le gouvernement a confirmé la baisse du tarif de rachat de l'électricité photovoltaïque. En ce qui concerne les agriculteurs, les panneaux intégrés au bâti verront leur tarif de rachat démarrer à 35,2 c/kWh pour les installations de petite taille (9kWc) et passer à 12 centimes au-delà. En intégration simplifiée, le tarif est fixé à 30,35 c/kWh pour les installations de moyenne puissance (36 kwc au maximum), puis il est dégressif. Chaque trimestre, la Commission de régulation de l'énergie (CRE) les révisera à la baisse afin de les adapter aux diminutions de coûts du matériel. Cette décision va inévitablement se traduire par une baisse sensible du nombre d'installations. Jean-Louis Bal, président du syndicat des énergies renouvelables (SER), précise, en termes chiffrés, le net ralentissement prévu pour 2012 (ralentissement des nouveaux investissements du fait du plafonnement à 500 MW par an et du fait de la mise en place d'une procédure d'appel d'offres sur 60 % de ce total...). Cependant, selon lui, pour l'avenir, si l'intérêt d'investir dans le photovoltaïque s'est sensiblement réduit, il ne faut pas pour autant tirer un trait définitif sur l'éventualité d'un investissement.
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Un bar à vin pour sauver son domaine
Justine GRAVÉ, AuteurLise et Bertrand Jousset sont installés sur 11 ha dans le Val de Loire depuis 2002 et sont passés en agriculture biodynamique depuis 2015. Les fortes gelées quils ont subies en 2012, 2013, 2016 et 2017 ont occasionné entre 50 et 100 % de pertes sur leur domaine. Pour réagir face à ces aléas climatiques, ils ont créé, en 2012, une activité de négoce. Malgré cette nouvelle activité, les fortes gelées de 2016 ont remis de nouveau en question léquilibre de lexploitation. Ils décident alors de développer un bar à vin durant la saison estivale afin daugmenter la part de vente directe qui ne représentait alors que 5 % des bouteilles (contre 70 % à lexport). Ils réaménagent leur ancienne salle de dégustation et y installent une cuisine pour un investissement dun peu moins de 20 000 . Hormis les touristes, ils visent les habitants locaux et communiquent essentiellement via les réseaux sociaux. Sur le plan administratif, le couple a réalisé un stage de 20 h pour obtenir la licence III (500 remboursables pour les chefs dentreprise et leur conjoint collaborateur) et a déposé une déclaration administrative quinze jours avant l'ouverture. Après deux années, la vente directe a doublé et la fréquentation a augmenté de 20 % la deuxième année.
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Le Baromètre 2016 des énergies renouvelables électriques en France
Julien COURTEL, Auteur ; Aude RICHARD, Auteur ; Juliette TALPIN, Auteur ; ET AL., Auteur | PARIS (146 Rue de l'Université, 75 007, FRANCE) : OBSERV'ER | 2016Cette septième édition du Baromètre des filières renouvelables électriques en France réunit un ensemble d'indicateurs énergétiques, socioéconomiques et industriels qui, regroupés et analysés, présentent une photographie détaillée de tous les secteurs. Elle présente les énergies renouvelables électriques les plus développées, comme le photovoltaïque, l'éolien, l'hydraulique, la biomasse solide, le biogaz et l'incinération de déchets, mais également les secteurs en devenir comme la géothermie, les énergies marines et le solaire thermodynamique. Chaque filière traitée est présentée sous la forme d'une fiche synthétique. Une attention toute particulière a été portée à la dimension territoriale en produisant, chaque fois que cela était possible, un détail régional de l'état des filières suivies. Au sommaire : - Les filières renouvelables : - Éolien ; - Photovoltaïque ; - Hydraulique ; - Biomasse solide ; - Biogaz ; - Déchets urbains renouvelables ; - Géothermie ; - Énergies marines renouvelables ; - Solaire thermodynamique ; - Panorama régional des filières renouvelables électriques en France ; - Les régions à la loupe.
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Bien choisir ses variétés en fonction de sa conduite
Cet article est un recueil de témoignages et d'échanges entre agriculteurs sur la conduite de leurs prairies complexes et sur leurs prises de décision, avec tout d'abord le choix des variétés et de leur précocité en fonction du mode de conduite (pâture, fauche, ou mixte). Pour le RGA, des critères, tels la remontaison et la souplesse d'exploitation, sont déterminants. Sont évoqués ensuite divers cas concrets de gestion de parcelles en fonction du choix initial et des aléas d'exploitation.
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Les biens communs
Le dossier propose une réflexion et un changement de regard sur les biens communs (tous les élements, la terre, l'humus, l'eau, l'air, l'énergie, les semences, les savoirs faire traditionnels) : - Editorial ; - Les secrets des trésors collectifs ; - Penser les biens communs ; - Remettre les valeurs humaines au coeur des processus sociaux ; - Le revenu de base inconditionnel : une solution pour rendre sa liberté à l'agriculteur ? ; - Pédagogie sensible et pédagogie de l'imaginaire ; - Climat de la Terre, climat de l'homme ; - L'eau, de cueillette à culture ; - Le sol : l' épiderme vivant de la Terre ; - La terre n'est pas une marchandise ; - Favoriser la biodiversité au jardin ; - Réflexions sur le passage à l'acte.
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Bilan de l'approvisionnement des lycées pilotes : Année scolaire 2009/2010
Ce document présente un bilan de l'approvisionnement des lycées pilotes de Rhône-Alpes en produits biologiques sur l'année 2009/2010 (en comparaison avec l'année 2008/2009). Le chiffre d'affaires a été de 573 000 pour un volume estimé à 155 tonnes de produits biologiques (le CA et le volume de produits biologiques étaient de 450 000 et de 125 tonnes l'année scolaire précédente). Cela correspond à 159 évènements "repas 100 % bio" organisés par les lycées, soit 80 600 repas bio servis aux convives des établissements pilotes et, dans chaque lycée, à une introduction régulière chaque semaine de 2 familles de produits bio au minimum. Le bilan statistiques repose sur plusieurs aspects : nombre et implantation des fournisseurs, poids relatif des producteurs dans l'effectif des fournisseurs, dépense des lycées en produits bio ; volume, chiffre d'affaires et leur évolution par famille de produits ; origine des produits (difficile à analyser) et la part du chiffre d'affaires et du volume en fonction de l'origine des fournisseurs. Le bilan fait également état de l'impact de cette consommation sur les filières bio rhônalpines ; de l'évolution, sous forme de graphique : des repas 100 % bio et de l'introduction des familles de produits dans les lycées.
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La bio en Allemagne : Une progression encore fragile
BIO-LINEAIRES, AuteurEn Allemagne, la progression du chiffre d'affaires en distribution spécialisée était relativement importante au premier semestre 2018 (+7,9 %). Ajoutée à une progression du nombre de clients, cette tendance vient peut-être marquer la fin de la primauté de la grande distribution en matière de circuit de distribution bio. Pourtant, un problème structurel demeure, illustré par le faible nombre d'ouvertures de magasins bio (78 en 2017) et par un turnover important du personnel. La distribution bio en Allemagne a du mal à investir sur le long terme. Les rachats par les chaînes filialisées continuent.
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Le Bio en chiffres : Conférence de presse annuelle de Bio Suisse du 4 avril 2017
En Suisse, 50 % des consommateurs achètent chaque jour ou plusieurs fois par semaine des produits bio, ce qui en fait le pays champion du monde de la consommation bio. Bio Suisse a communiqué les chiffres clés de la bio pour 2016, parmi lesquels : le nombre total de producteurs Bourgeon, en Suisse et au Liechtenstein, travaillant selon le cahier des charges de Bio Suisse, est de 6 144, sur quelque 140 000 ha, soit 13,4 % de l'ensemble de la surface agricole. Le marché bio a aussi continué de progresser en augmentant d'environ 7,8 %, le chiffre d'affaires bio a dépassé les 2,5 milliards de francs suisses et la proportion de bio par rapport à l'ensemble du marché alimentaire a atteint 8,4 %.
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Le bio continue sa croissance alors que le marché est saturé
Jürg SCHENKEL, AuteurEn Suisse, le marché bio a de nouveau progressé de 5,3 pour cent en 2012 pour atteindre un chiffre d'affaires total de 1,83 milliard de francs. Le bio représente maintenant 6,3 pour cent de l'ensemble du marché des denrées alimentaires, établissant ainsi un nouveau record. La viande et le poisson caracolent en tête des groupes de produits avec une croissance de 13,8 pour cent. Et ils sont - avec les produits laitiers - les plus grands générateurs de chiffre d'affaires avec 186 millions de francs.
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La bio, dans la crise !
BIO-LINEAIRES, Auteur"La bio, dans la crise !", tel était le titre de la présentation de Jacques Dupré, directeur Insight de SymphonyIRI Group, à la conférence Eco-food, du 18 septembre 2012. Les chiffres présentés ne concernent que les Produits de Grande Consommation (PGC) en GMS. On intègre dans cette catégorie les produits d'entretien, d'hygiène, les produits de l'épicerie sucrée et salée, les liquides (boissons rafraîchissantes sans alcool - BRSA -, bières, cidres, alcools), les surgelés, les glaces, la crème et les produits frais non laitiers en libre service en poids fixe. Un ralentissement de la croissance du chiffre d'affaires est observé depuis 6 mois mais, en dehors du mois de mars, les chiffres restent positifs. Selon Jacques Dupré, le marché du bio semble impacté par la crise qui s'installe petit à petit dans l'alimentaire. Certains distributeurs ont déjà pris en compte ce ralentissement vraisemblable de la "demande bio" dans leur politique d'assortiment. Les produits locaux pourraient représenter une vraie concurrence pour les produits bio dans l'avenir.
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Bio : Les défis des distributeurs spécialisés
Florence BRAY, AuteurCe dossier, dédié aux distributeurs spécialisés et à leurs stratégies 2019, se compose des articles suivants : - La stratégie des spécialistes du bio en questions ; - Les leaders de la distribution sélective reprendront-ils l'avantage sur les GSA ? ; - Les challengers sont-ils condamnés à une course à la taille ? ; - Les réseaux bio des GSA vont-ils réussir à se faire une place ? ; - Une expansion tous azimuts du bio en GMS.
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La bio en France en 2014
BIO-LINEAIRES, AuteurEn 2014, selon l'Agence Bio, les ventes de produits biologiques en France ont progressé dans tous les circuits de distribution. D'après les premières estimations, pour la même année, les surfaces cultivées en bio aurait augmenté de 4 % par rapport à 2013, et le nombre de producteurs aurait plus que doublé depuis 2007 (+ 4 % par rapport à 2013). Pour 2014, cela représente plus de 2000 nouveaux producteurs engagés en bio. Concernant la transformation, ce sont plus de 900 transformateurs nouvellement engagés en bio (hors transformateurs à la ferme), avec un dynamisme particulier pour la fabrication artisanale de pain bio et l'élaboration de vin bio. D'autres chiffres sont disponibles dans cet article, notamment concernant les motifs de conversion ou d'abandon du bio, la répartition de l'activité principale des nouveaux transformateurs engagés en bio en 2014, ou encore la répartition du chiffre d'affaires global des magasins bio entre les différentes catégories de produits (l'alimentaire représente, à titre d'exemple, 68 % du CA global de l'ensemble des magasins bio français).
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Le bio en GMS : une croissance qui s'essouffle pour la première fois !
Ingrid CUGNIERE, AuteurDepuis le début de l'année 2019, le bio ne cesse de progresser en GMS (+ 21,6 %), mais cette croissance tend à s'essouffler, comparé à la croissance de + 23,1 % en 2018 vs 2017. Tous les rayons du PGC-FLS (Produits de grande consommation - Frais libre-service) ont progressé. A noter que, dans 4 rayons, le bio progresse, alors que le conventionnel non : hygiène, épicerie salée, épicerie sucrée et spiritueux-champagnes. Selon l'institut IRI, le bio devrait atteindre 7 % du chiffre d'affaires alimentaire d'ici 2021.
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Bio PGC FLS : les GMS accélèrent en ce début d'année
BIO-LINEAIRES, AuteurLes ventes bio pèsent 3,9 % du chiffre d'affaires des produits de grande consommation et du frais libre-service (PGC FLS) des grandes surfaces à fin février 2018 (3,2 % en début d'année 2017). Fin février 2018, la croissance du bio s'établissait à + 23,3 % (contre 21,9 % à fin février 2017), pour un chiffre d'affaires de 622 millions. Le drive et les Enseignes à Dominante Marques Propres (EDMP) enregistraient les plus fortes croissances sur ces deux premiers mois pour le bio PGC FLS. Une croissance record du bio est à noter dans les rayons entretien.
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Le Bio PGC-FLS (Produits de Grande Consommation - Frais Libre-Service) en GSA (Grande Surface Alimentaire) : une forte croissance soutenue par une offre encore plus importante...
BIO-LINEAIRES, AuteurSur les 4 premiers mois de 2018, alors que le chiffre d'affaires des produits de grande consommation et du frais libre-service (PGC-FLS) a stagné à + 0,3 %, la part de marché du bio a poursuivi sa croissance dans tous les formats de la Grande Surface Alimentaire (GSA) pour atteindre 4 % du chiffre daffaires.
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Bio Suisse : Le bio en chiffres 2017
Fin 2017, 6 423 producteurs de Suisse et du Liechtenstein travaillaient selon le Cahier des charges de Bio Suisse (279 de plus quen 2016), correspondant à 13,6 % de l'ensemble des fermes. Les denrées alimentaires bio ont aussi atteint un record en réalisant un chiffre d'affaires de plus de 2,7 milliards de Francs suisses et une part de marché de 9 %. C'est en Suisse romande que la progression a été la plus forte. Sont présentés les chiffres d'affaires et les parts de marché, qui ont progressé pour toutes les catégories de produits.
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Bio Suisse : Conférence de presse du 27 mars 2008
Lors de sa conférence de presse annuelle, Bio Suisse a présenté les principaux chiffres de l'agriculture biologique suisse. L'an dernier, les ventes de produits bio se sont accrues de 7,7% pour atteindre près de 1,3 milliard de francs suisses. Le marché des aliments bio a ainsi enregistré une croissance plus de deux fois plus élevée que le marché alimentaire global (3%). La progression est particulièrement frappante en Romandie où les ventes bio se sont accrues de 9%. La surface agricole cultivée de manière biologique a également augmenté de 2000 hectares. Bio Suisse envisage l'avenir avec confiance. Le marché pourrait absorber aisément quelques centaines de fermes biologiques supplémentaires. Le dossier de presse de la conférence se présente comme suit : - Résumé pour les médias : "Le Bio en plein essor - aussi en Suisse romande" ; - Illustrations : nombre des entreprises agricoles selon le nombre et la surface en 2007, chiffre d'affaires des produits bio sur plusieurs années et selon le mode de commercialisation, parts de marché de différents produits bio ; - Exposés : Markus Arbenz : "Le bio vit un nouvel essor", Jürg Schenkel : "Un Bourgeon à croix Suisse", Markus Weber : "Le vin suisse bio - des débuts difficiles à un produit de qualité". Le dossier complet de la conférence de presse annuelle est téléchargeable à l'adresse : http://www.bio-suisse.ch/fr/bioinzahlen.php.
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Bio Suisse : Rapport annuel 2008
BIO SUISSE, Auteur ; Urs BRÄNDLI, Auteur | BÂLE (Peter Merian-Strasse 34, CH-4052, SUISSE) : BIO SUISSE | 2009Après un éditorial sur l'accord de libre-échange avec l'Union européenne dans le domaine agroalimentaire (ALEA) et l'engagement de Bio Suisse (lancement de la stratégie de qualité, nécessité d'un intense travail politique...), le rapport annuel 2008 de Bio Suisse (Association suisse des organisations d'agriculture biologique) présente le bilan de son action en faveur de l'agriculture biologique : - Marché bio suisse (forte croissance au cours d'une année agitée) ; - Association (le combat pour des conditions-cadre) ; - Assurance et développement qualité (1 054 nouveaux produits Bourgeon) ; - Bilan et recettes 2008 (augmentation des recettes et de l'efficacité, bilan au 31 décembre 2008, comptes d'exploitation pour la période du 1er janvier au 31 décembre 2008) ; - Marketing (de nouveaux comportements et l'origine suisse soutiennent le marché bio) ; - Marché laitier (de grands défis persistent, malgré la bonne croissance).
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Bio Suisse : Rapport annuel 2010
Comme présenté dans son éditorial, Bio Suisse a, en 2010, mis l'accent sur l'encouragement à la diversité, profitant de l'année officielle de la biodiversité. La fédération l'a fait de diverses manières : ouverture de fermes Bourgeon à de nombreux visiteurs, dans le cadre des Journées portes ouvertes dans les fermes bio ; projet « Encourager de la biodiversité dans les fermes Bourgeon » lancé pour trois ans ; préparation de la base d'une nouvelle directive pour la biodiversité. Le rapport annuel 2010 de Bio Suisse met l'accent sur plusieurs aspects : révision de son cahier des charges pour qu'il garantisse un haut niveau de biodiversité dans les fermes Bourgeon ; nouvelle directive en faveur de l'équité commerciale ; communication de Bio Suisse porteuse, puisque 66 % des consommateurs suisses connaissent le Bourgeon (la plus forte des marques indépendantes en Suisse) ; intérêt des médias pour Bio Suisse... ; influence de Bio Suisse sur la réforme de la formation professionnelle agricole en réalisant l'"Ecole Bio" ; traitement de 70 cas de résidus dans les produits Bourgeon (pour la plupart, traces dues à des contaminations croisées involontaires) ; progression du marché bio ; résolution des problème structurels du commerce spécialisé ; à l'importation, les produits étrangers ne peuvent obtenir une attestation de reconnaissance Bourgeon que s'ils respectent le cahier des charges et la politique d'importation de Bio Suisse ; produits transformés ; conversion ; politique agricole... Une présentation du bilan et des comptes de Bio Suisse, ainsi que de l'organisation termine le rapport annuel.
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Les biocarburants stimulent le revenu des céréaliers
Des simulations de l'INRA montrent que, d'ici à 2013, l'essor des biocarburants permettrait de compenser des pertes de revenu dues à une réforme de la PAC ou un accord à l'OMC.
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Biocoop assoit son modèle et étend son réseau
LSA, AuteurLe leader historique de la distribution de produits bio en France a vu son chiffre d'affaires progresser de 13,4% en 2014. Il a également accentué le développement de son réseau avec 17 ouvertures cette même année, et compte désormais un parc de 357 magasins. Biocoop propose 7 400 références, dont 80% pour l'alimentaire. Claude Gruffat, président de l'enseigne, souligne l'aspect militant du concept. Il estime à 8 000 ha la surface cultivée en bio nécessaire pour couvrir l'ensemble des besoins du réseau, en plus des 100 000 ha existants. Pour lui, c'est une façon d'encourager les conversions. Le modèle de gouvernance de l'entreprise s'appuie sur un conseil d'administration réunissant les magasins, les producteurs, les 3 450 salariés et l'association Bio Consom'acteurs.
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Biodynamistes en Norvège
Jean-Michel FLORIN, AuteurAu nord d'Oslo (Norvège), la ferme de Fokhol est un grand domaine collectif acquis dans les années 1990. Actuellement, l'ensemble du domaine avec les terres, les bâtiments, les animaux et les machines appartient a une fondation d'intérêt général sans but lucratif (recherche et formation). Inge y est responsable de la maison d'accueil et du jardin potager avec son verger ; Rune, l'agriculteur, est chargé des cultures de base (rotation de 3 années de légumineuses-graminées, 1 an de seigle, 1 an d'épeautre à laquelle s'ajoutent des légumes de plein champ, le travail est effectué avec des chevaux ardennais). Sigune, la vachère, a un troupeau de vaches de race rouge de Norvège. Morten, le mari de Sigune, travaille à collaborer avec les voisins et aussi à faire connaître la bio-dynamie au grand public. Le chiffre d'affaires global de la ferme est d'environ 400 000 euros par an. Près d'Hamar, au nord d'Oslo, Benthe Pünther et Gertjan Snaijer élèvent, sur la chèvrerie artisanale de « Ommang », des chèvres et des vaches : le rendement global du fromage et du fromage brun (spécialité norvégienne produite avec du petit-lait) atteint environ 20 %. Le lait de chèvre est transformé sur place, une partie du lait de vaches est commercialisée en bio à la laiterie proche. La commercialisation est faite en vente directe ; une sorte d'Amap a été créée. Dans une région plus élevée de Norvège (entre Oslo, Trondheim et Bergen), Ola Aukrust est installé sur un domaine de 15 ha de surface labourable, avec des pâtures, de la forêt et des alpages sur lesquels sont élevées 15 vaches laitières avec un quota laitier de 75 000 litres. Outre les vaches laitières, Ola et sa femme ont développé du maraîchage et la production de plantes médicinales. Ola s'est également impliqué dans la mise en place d'une commercialisation de produits de terroir de la vallée de Gudbrandsdalen, et a construit une nouvelle maison culturelle, sur son site, dans le cadre des fermes culturelles Gudbrandsdalen.
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Biolait sourit à nouveau
Arnaud MONNIER, AuteurAvec 232 producteurs adhérents sur 48 départements, Biolait est aujourd'hui le premier collecteur indépendant de lait bio. Cette société collecte 40 millions de lait bio, soit 16% de la production française, et vise la collecte de 70 millions de lait bio par an, d'ici 2013. La société créée en 1994, travaille, via ses adhérents, à convertir de nouveaux éleveurs au bio en leur assurant que leur lait sera valorisé comme tel. Pour ses clients industriels, faire appel à Biolait permet notamment de pallier le manque de lait. Si 20% d'entre eux, comme Sodiaal, viennent compléter leur propre production, la grande majorité vient chercher la totalité de ses besoins en lait bio. Et comme ceux-ci augmentent, Biolait envisage l'avenir avec davantage de sérénité qu'au début des années 2000. L'article revient sur la situation de la société (chiffre d'affaires, potentiel de collecte et accent mis sur les conversions, contrat d'engagement d'une durée de cinq ans, contrat tripartite avec Bioccop).
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Le bon coup du lapin!
C'est l'expérience d'un couple et de ses trois enfants qui quittent Paris pour Pontchardon (Orne). Ils vont créer un élevage de Lapin Normand certifiés Agriculture Biologique. Présentation de leur parcours, de l'innovation de leur projet et de leur avenir.
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Au bonheur des plantes
Stéphane PERRAUD, Auteur ; Nadia FARGEIX-BONDIA, AuteurLa surface cultivée en plantes aromatiques et médicinales (ppam) a crû d'un tiers ces quinze dernières années, dopée par une demande croissante du public. Sur les 35 000 hectares cultivés dominent le lavandin, la lavande et la sauge sclarée, les trois principales plantes à parfum (20 000 ha), ainsi que le pavot (10 000 ha). La France en importe massivement des pays de l'Est, du Maghreb et de Chine. Il existe pourtant un potentiel avec 1 500 plantes recensées, mais 250 seulement sont régulièrement commercialisées Le chiffre d'affaires des plantes aromatiques et médicinales est évalué à 85 millions d'euros par an. Les principales zones de production se trouvent en Rhône-Alpes et en Provence Alpes Côte d'Azur et progressent dans l'Ouest, les Cévennes et l'Auvergne. Mais, comme le précise Nadine Garcia, responsable de la cellule "marché des ppam" à FranceAgriMer, on peut s'installer partout. L'article expose comment devenir producteur et vivre des débouchés en plantes aromatiques et médicinales. Cette dynamique attire de nouveaux candidats à l'installation majoritairement en bio. Ainsi sont présentés des témoignages de producteurs en plantes aromatiques et médicinales, installés en agriculture biologique : Sabine Couvent qui cultive des plantes médicinales et tinctoriales en bio avec l'aide de ses ânes, à La Bégude-de-Mazenc (Drôme) ; Le Groupement d'intérêt économique "Plante Infuse" qui réunit des producteurs de plantes, à Saint-Croix-Vallée-Française (Lozère). En outre des points sont faits sur : le métier de cueilleur, la part du bio, se former, le statut d'agriculteur...
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Bovins allaitants : Quel sera l'impact sur mon système si je passe en bio ?
Mathilde SCHRYVE, Auteur ; Christèle PINEAU, Auteur ; Baptiste CORNETTE, Auteur ; ET AL., Auteur | BOURG LES VALENCE Cedex (Chambre d'Agriculture de la Drôme, 145 Avenue Georges Brassens - CS 30418, 26 504, FRANCE) : TECH&BIO | 2020Présenté lors du Rendez-vous Tech&Bio Élevage, qui s'est tenu les 9 et 10 septembre 2020 en Bourgogne-Franche-Comté, ce diaporama s'appuie sur des références technico-économiques issues de plusieurs sources - dont le suivi de plusieurs fermes réalisé dans le cadre du projet BioRéférences, piloté par le Pôle Bio Massif Central. Il a pour but d'apporter des réponses aux questions que des éleveurs de bovins viande peuvent se poser dans le cadre d'une conversion à l'agriculture biologique : - Est-ce qu'on gagne mieux sa vie en bio qu'en conventionnel ? ; - En Bourgogne-Franche-Comté, quelles sont les différences entre les élevages allaitants bio et les autres ? ; - Qu'est-ce qui peut limiter les résultats de mon exploitation ? ; - Pourquoi les élevages allaitants régionaux ont-ils de meilleurs revenus en AB ? ; - Est-ce que ma situation financière sera plus saine si je passe en bio ? ; - Comment se situerait ma productivité du travail à l'ha par rapport à un système conventionnel ? ; - Quels sont les leviers que je peux activer pour améliorer mon revenu ? ; - ainsi que diverses questions sur les aspects liés au matériel agricole et à la mécanisation.
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Bretagne : l'agriculture biologique, un ferment pour l'agriculture bretonne
3 pages pour faire le tour de la production biologique bretonne, à l'aide des données statistiques de l'observatoire de la production agrobiologique bretonne et de l'observatoire de la transformation (produit respectivement par la FRAB et IBB). Une vue d'ensemble de la filière, dans une région en forte croissance qui rassemble aujourd'hui 10 % des agrobiologistes français, sur 7 % de la sole bio nationale, avec des perspectives très variable selon les productions.
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Le business du commerce équitable
Le dossier mène l'enquête sur les contradictions et les potentialités du commerce équitable : - Alter Eco : Le beurre de karité "équitable" payé 3,5 fois plus aux productrices burkinabés ; - Max Havelaar : De l'éthique à l'étiquette ; - Artisans du Monde : un réseau pionnier en voie de professionnalisation ; - Commerce équitable : tendances et contacts.
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Caractérisation des facteurs de résilience des élevages laitiers biologiques
A. PERRIN, Auteur ; Alexandre BANCAREL, Auteur ; Guillaume MARTIN, Auteur ; ET AL., Auteur | PARIS CEDEX 12 (Secrétariat 3R - MNE, 149 Rue de Bercy, 75 595, FRANCE) : RENCONTRES RECHERCHES RUMINANTS | 2018Dans un contexte agricole de plus en plus incertain et changeant, la question de la résilience des exploitations laitières biologiques aux aléas climatiques, économiques... mérite dêtre posée. Lobjectif de cette étude conduite dans le cadre du projet CasDar Résilait (présentée lors des Rencontres Recherches Ruminants 2018) était de caractériser les facteurs de résilience de ces exploitations. Pour cela, une enquête a été conduite dans 151 exploitations biologiques bovines, ovines ou caprines réparties dans cinq régions françaises. La première partie de lenquête avait pour objectif danalyser la perception, par les éleveurs, de la résilience et de ses facteurs favorables. Différents facteurs possibles ont ainsi été mis en évidence, comme la conversion à lAB, la diversification ou la cohérence globale du projet dexploitation (adaptation des objectifs aux moyens de production et du niveau dintensification au potentiel des ressources disponibles). La seconde partie de lenquête avait pour objectif danalyser le maintien des exploitations dans un état satisfaisant pour les éleveurs au cours du temps, et de lexpliquer par un ensemble de variables de structure dexploitation (SAU, main duvre, taille du cheptel...) et de pratiques (assolement, travail du sol, alimentation des animaux...). Les résultats montrent que les pratiques orientées vers la mise en place de systèmes plus herbagers (en augmentant la part de prairies dans la SAU, en avançant la date de mise à lherbe ou en pratiquant le plus longtemps possible le pâturage exclusif) améliorent en partie la résilience des systèmes bovins biologiques. Dans les systèmes ovins et caprins, la construction de la résilience semble davantage passer par lamélioration de la productivité individuelle des animaux.
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Le centime laitier se paie un deuxième tour
L'Assemblée Générale de Bio Suisse du 16 avril 2003 avait donné son feu vert à une retenue provisoire de 1,5 centimes par kilo de lait bio pour financer la mise en valeur des surplus. Ces surplus auraient été engendrés par le manque de clarté qui a suivi le crash de SDF et par la révélation du fait que SDF semble avoir acheté plus de lait qu'elle n'en pouvait transformer. Mais la retenue décidée en avril a fait l'objet d'un recours, et le vote aura été répété le 3 juillet lors d'une Assemblée Générale extraordinaire. Les structures du marché du lait bio se retrouvent indirectement au centre du débat.
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Centre : Manque de viande bio
En quelques mois, dans la région Centre, la demande en viande biologique a été multipliée par deux. Du coup les abatteurs font des appels insistants aux coopératives pour obtenir davantage d'animaux que ce soient des bovins, des agneaux ou des porcs. Mais selon Jean-Francois Vincent, responsable de la commission élevage Bio Centre, pour que les éleveurs s'engagent dans un surcroît de production, il leur faut des garanties financières.
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Cerfrance compare systèmes bio et conventionnels : Les atouts de lapproche système
Christine RIVRY-FOURNIER, AuteurLe réseau Cerfrance amorce une réponse à la question de la rentabilité dune conversion à la bio au travers de lanalyse et de la comparaison des données économiques des fermes bio et conventionnelles adhérentes. Globalement, les résultats moyens sont supérieurs en bio. Létude Cerfrance Adheo, réalisée sur 2009-2016 dans lEst de la France, met en balance des résultats de fermes à peu près similaires. Les analyses montrent que les exploitations biologiques sont plus petites (134 ha/174 ha), avec davantage de main duvre (2,4 UTH/1,8 UTH), avec une valeur ajoutée plus importante et plus stable et un EBE (excédent brut dexploitation) sensiblement supérieur. Ainsi, bien que les agriculteurs bio soient davantage endettés, ils ont plus les moyens de lassumer. Les indicateurs économiques observés exposent des fermes bio globalement en meilleure santé, mais le passage à la bio ne peut toutefois pas sauver les situations difficiles.
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Ces jeunes pousses qui font le bio de demain
Clara DELPAS, AuteurC'est sur le salon Natexpo 2013 que Baptiste Cotte a proposé, pour la première fois, à six jeunes autres entrepreneurs du bio de s'unir en réseau. De façon informelle et dans un esprit d'entraide, ils échangent des idées et des conseils pour développer leurs marques et proposent leur soutien à de jeunes entrepreneurs qui se lancent. Tous se sont engagés dans le bio portés par une motivation liée à un événement déclencheur, que ce soit l'envie de protéger les ressources de la mer, de mettre en valeur la culture indienne, d'offrir aux enfants une alimentation à haute valeur nutritionnelle et gustative... Engagés dans une démarche sociale, écologique et solidaire, ils n'en ont pas moins conscience de l'importance de la communication pour être visibles sur le marché. Porteurs d'une vision innovante du secteur, ces jeunes entrepreneurs contribuent à dynamiser le bio par une offre de produits variés, à la fois transparents, ultra-écologiques et plus proches des attentes des consommateurs.
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Les changements induits par le passage en agriculture biologique dans six exploitations laitières du Puy-de-Dôme
Ce document est un mémoire réalisé, suite à un stage au Service Contrôle Laitier à l'EDE du Puy-de-Dôme, dans le cadre de la licence professionnelle "Agriculture Biologique Conseil et Développement". Six trajectoires d'exploitations laitières du Puy-de-Dôme, en mode biologique depuis neuf ans environ, font l'objet d'une étude retraçant l'évolution de leurs résultats technico-économiques. L'analyse des enregistrements du Contrôle Laitier, des résultats de comptabilité et d'enquêtes obtenus dans ces six élevages, conjuguée à l'expérience personnelle de l'auteur de l'étude, ont permis d'identifier les changements induits par le passage en agriculture biologique. L'étude fait une présentation des exploitations laitières : les structures (agrandissement des surfaces, taille des troupeaux, niveau de production laitière) ; l'évolution des taux et de la production laitière par vache ; la conduite des surfaces et les systèmes fourragers ; la conduite du pâturage et l'alimentation hivernale des vaches laitières ; la politique de renouvellement du troupeau laitier ; l'évolution des exploitations (charges de structures, opérationnelles...) et leur efficacité économique.
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... Chantal Jouanno, invitée des rencontres de l'Agence Bio
BIOFIL, AuteurChantal Jouanno, secrétaire d'Etat chargée de l'écologie, était invitée aux rencontres de l'Agence Bio, le 8 juin 2010, à Paris. Elle a affirmé que « l'agriculture biologique est un modèle agricole d'avenir à soutenir plus que jamais ». En effet, l'Observatoire prospectif de l'Agence Bio annonce 4,5 % de la surface en bio en 2012. Pour ce faire, la structuration des débouchés est nécessaire. En France, avec ses 3 milliards d'euros de chiffre d'affaires, la filière bio attire de nouveaux opérateurs. La restauration hors domicile a notamment doublé son chiffre d'affaires en un an. L'un des critères à favoriser est le concept « kilomètre zéro ». Paolo Agostini, responsable technique du service de restauration scolaire à Rome, témoigne en ce sens.
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Chiffres 2008 : Analyse chiffrée des points de vente et des grossistes/distributeurs
BIO-LINEAIRES, AuteurL'analyse chiffrée des points de vente et des grossistes/distributeurs fait ressortir l'évolution du chiffre d'affaires des grossistes/distributeurs depuis 2005, les principaux acteurs de la distribution et leur évolution (2007-2008), l'évolution du chiffre d'affaires des réseaux organisés depuis 2004, ainsi que quelques chiffres sur la typologie des magasins bio (réseaux organisés et indépendants).
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Chiffres 2008 (France) : Progression record du marché de l'alimentation biologique : 2,6 milliards d'euros de chiffre d'affaires
BIO-LINEAIRES, AuteurLa nouvelle enquête menée pour l'Agence Bio par AND-I sur le marché de la consommation bio en France montre une très forte croissance des ventes ces dernières années. En 2008, le chiffre d'affaires du marché des produits alimentaires issus de l'agriculture biologique est ainsi évalué à 2,6 milliards d'euros, en hausse de 25 % par rapport à 2007. Ce marché est structurellement en augmentation, avec une croissance moyenne annuelle de l'ordre de 10 % de 1999 à 2005, tous secteurs de produits confondus. Désormais, la part de marché des produits bio atteint 1,7 % du marché alimentaire, contre 1,1 % en 2005. L'article revient sur les différents éléments de l'enquête : - Des circuits de distribution variés ; - Etat des ventes en croissance dans tous les circuits de la distribution ; - Une large gamme de produits alimentaires bio ; - Une croissance des ventes de produits alimentaires bio dans tous les secteurs ; - Des orientations avec des différences selon les circuits de distribution ; - Où en sont les importations. Deux graphiques permettent d'évaluer la répartition des ventes de produits bio en France et par grande catégorie, tous circuits confondus en 2008 (en valeur). Deux tableaux montrent le chiffre d'affaires par circuit TTC (en millions d'euros), ainsi que le chiffre d'affaires alimentaire bio par circuit en 2005, 2007 et 2008.
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Chiffres 2008 : Le marché des grossistes et distributeurs bio
BIO-LINEAIRES, AuteurLe marché des distributeurs en "gros", tous produits confondus (alimentaire bio et non alimentaire), approcherait les 480 millions d'euros. Ce secteur bénéficie tout naturellement de l'évolution de la consommation bio en France. Un tableau indique les chiffres d'affaires de grossistes bio en 2006, 2007, 2008, le pourcentage consacré à l'alimentaire, le nombre de magasins livrés, ainsi qu'une répartition du chiffre d'affaires entre grossistes, magasins, RHD (Restauration Hors Domicile), GMS, autres.
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Chiffres 2008 : Résultats 2008 des principales enseignes
BIO-LINEAIRES, AuteurLes principales enseignes de la distribution spécialisée bio (les chaînes, les succursales, les franchises ou tout autre système de groupement) compteraient, en 2008, 698 points de vente sur 2 014 identifiés. Un tableau présente l'évolution des principales enseignes : Biocoop, La Vie Claire, Satoriz, Naturalia, Biomonde, Les nouveaux Robinsons, La Vie Saine, Eau Vive, en fonction de leurs chiffres d'affaires respectifs (2004 à 2008), du nombre de magasins, de collaborateurs, de la part alimentaire bio, des surfaces de vente (2006 à 2008).
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Chiffres 2009 : Le marché des grossistes et distributeurs bio
BIO-LINEAIRES, AuteurIl est toujours difficile d'analyser, en raison de la multi-activité de certains intervenants qui sont à la fois transformateur, importateur et grossiste, le marché des distributeurs en "gros". Tous produits confondus (alimentaire bio et non alimentaire), il approcherait les 500 millions d'euros. Ce secteur bénéficie tout naturellement de l'évolution de la consommation bio en France. Le tableau présenté - qui réfère aux estimations fournies par les entreprises concernées - indique les chiffres d'affaires (2006, 2007, 2008), exprimés en millions d'euros, des distributeurs en gros : Accent bio, Aquitaine Biologie, Base Bio, Biocash Distribution... Il précise également, par distributeur, le pourcentage de produits alimentaires sur tous les produits distribués, le nombre de magasins livrés et la répartition du chiffre d'affaires entre Grossiste, Magasin, RHD, GMS, Autres.
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Chiffres 2009 : Résultats 2009 des principales enseignes
BIO-LINEAIRES, AuteurLes principales enseignes de la distribution spécialisée bio (les chaînes, les succursales, les franchises ou tout autre système de groupement) compteraient, en 2009, 766 points de vente sur 1 960 identifiés. Un tableau donne les chiffres de la distribution spécialisée (chiffres d'affaires en millions d'euros, de 2004 à 2009) ; évolution 2008/2009 en nombre de magasins, de collaborateurs ; évolution en % alimentaire bio, surface de vente cumulée (2007, 2008, 2009), surface moyenne par point de vente (2007, 2008, 2009), indicateurs de l'évolution des principales enseignes (Biocoop, La Vie Claire, Satoriz, Naturalia, Biomonde, Les Nouveaux Robinsons...).
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Chiffres clés 2008... : Etude sur les 100 plus fortes ventes en CA 2007/2008
BIO-LINEAIRES, AuteurL'analyse des 100 meilleures ventes sur une année complète est riche d'enseignements. Le premier d'entre eux confirme la spécificité des magasins spécialisés. Les 100 meilleures ventes représentent, finalement, une part faible du chiffre d'affaires global. Les spécialistes ont besoin d'un assortiment riche et varié afin d'assurer leur pérennité. Ces ventes représentent 7,9 % du CA (en 2007 comme en 2008, résultat très stable). Pour rappel, une des précédentes analyses sur 4 mois indiquait les 500 meilleures ventes à 37,85 % du CA. Ces ventes représentent l'un des postes importants des actes d'achat des clients fidèles. Différents éléments de l'étude sont présentés : - Méthode (relevé pour chaque mois de 2007 et 2008 du chiffre d'affaires réalisé pour les 100 références les plus vendues sur un échantillon représentatif de magasins de plus de 300 m²) ; - Familles (épicerie, ultra-frais...) ; - Part du CA mensuel des 100 meilleures ventes ; - Représentativité des grandes familles dans le top 100 des ventes en CA (données en %).
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Chiffres clés de la bio : Les conversions redémarrent
Christine RIVRY-FOURNIER, Auteur2008 a enregistré une relance des conversions, soit une hausse de 34,6% des surfaces engagées par rapport à l'année précédente. Au total, si les surfaces n'ont augmenté que de 5%, le nombre d'exploitations bio, lui, a grimpé de 11%, atteignant 13 298 fermes certifiées. Ces chiffres, présentés par l'Agence Bio montrent aussi que la vigne, les PPAM (plantes aromatiques et médicinales), les légumes frais et les fruits sont les cultures en plus forte hausse. Le nombre de préparateurs et le chiffre d'affaires du marché des produits bio sont aussi à la hausse.
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Chiffres clés : Mois après mois dans les magasins spécialisé
BIO-LINEAIRES, AuteurLes chiffres présentés, relatifs à l'activité des magasins spécialisés, sont extraits d'un relevé des ventes sur un échantillon de 52 magasins au cours de la période de janvier 2007 à fin mars 2009. Ils sont suivis d'un commentaire autour d'un premier trimestre 2009 bon dans l'ensemble (les magasins en place augmentent leur nombre de clients, cependant le montant des paniers semble diminuer ; le nombre d'unités vendues progresse, mais pas dans la même proportion que le chiffre d'affaires...).
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Chiffres clés : Mois après mois dans les magasins spécialisés
BIO-LINEAIRES, AuteurLes chiffres présentés, relatifs à l'activité des magasins spécialisés, sont extraits d'un relevé des ventes sur un échantillon de 52 magasins au cours de la période de janvier 2007 à fin novembre 2008. Ils sont suivis d'un bref commentaire autour d'une reprise de l'activité sur les deux derniers mois (en comparaison avec les mois d'août et septembre), même s'il existe de fortes disparités selon les magasins.
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Chiffres clés : Mois après mois dans les magasins spécialisés
Les chiffres présentés sont extraits d'un relevé des ventes sur un échantillon de 49 magasins au cours de la période de janvier 2007 à fin avril 2008. La moyenne des surfaces de vente est de 331 m2. Les magasins en réseaux organisés représentent 53%, les indépendants 38% et 8% des magasins font partie d'un groupement. En cumul, le relevé représente sur cette période 33 992 268 articles vendus pour un chiffre d'affaires de 114 240 430 euros.
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Chiffres clés : Mois après mois dans les magasins spécialisés
Les chiffres présentés sont extraits d'un relevé des ventes sur un échantillon de 52 magasins spécialisés au cours de la période de janvier 2007 à fin juillet 2008. La moyenne des surfaces de vente est de 337 m2. Les magasins en réseaux organisés représentent 53%, les indépendants 38%, et 8% des magasins font partie d'un groupement. En cumul depuis janvier 2007, le relevé représente 39 022 532 articles vendus pour un chiffre d'affaires de 139 374 902 euros.
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Chiffres clés : Mois après mois dans les magasins spécialisés
BIO-LINEAIRES, AuteurLes chiffres présentés, relatifs à l'activité des magasins spécialisés, sont extraits d'un relevé des ventes sur un échantillon de 52 magasins au cours de la période de janvier 2007 à fin septembre 2008. Ils sont suivis d'un bref commentaire autour du ralentissement de la croissance mais du maintien de l'activité.
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Chiffres clés : Mois après mois dans les magasins spécialisés
BIO-LINEAIRES, AuteurLes chiffres présentés, relatifs à l'activité des magasins spécialisés, sont extraits d'un relevé des ventes sur un échantillon de 52 magasins au cours de la période de janvier 2007 à fin avril 2009. Ils sont suivis d'un commentaire mettant en évidence les 100 meilleures ventes en CA (chiffre d'affaires) dans les magasins spécialisés. Elles représentent quasiment 8 % du CA global (7,91 en 2007, 7,94 en 2008). L'alimentaire est fortement présent (75,19 % en 2007, 79,34 % en 2008). Mais il est à noter que, par exemple, le rayon Fruits & Légumes représente entre 17 et 20 % du CA global selon les magasins, pourtant, dans les 100 meilleures ventes, leur part n'est que de 0,32 %. Ceci, en raison du grand nombre de références et du faible prix par unités vendues. Le détail du Top 100 des ventes 2008 porte sur l'épicerie, l'ultra-frais, la cosmétique, la détergence, les éco-produits, la diététique.
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Chiffres clés : Mois après mois dans les magasins spécialisés
BIO-LINEAIRES, AuteurLes chiffres présentés, relatifs à l'activité des magasins spécialisés, sont extraits d'un relevé des ventes sur un échantillon de 52 magasins au cours de la période de janvier 2007 à fin septembre 2009. Ils sont suivis d'un commentaire sur l'évolution du chiffre d'affaires constant moyen des magasins bio (entre 8 et 12 %), le nombre important d'ouvertures en 2009, la croissance des magasins (qui frôle les 17 % par an), l'évolution en grande distribution (tendance qualitative des produits proposés allant en diminuant), l'opportunité d'ouvrir des points de vente sur des zones de chalandise déjà très occupées...
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Chiffres clés : Mois après mois dans les magasins spécialisés
BIO-LINEAIRES, AuteurLes chiffres présentés, relatifs à l'activité des magasins spécialisés, sont extraits d'un relevé des ventes sur un échantillon de 52 magasins au cours de la période de janvier 2007 à fin juillet 2009. Ils sont suivis d'un commentaire relatif à un léger tassement de la croissance en juin 2009. Le mois de juin a été particulier : même si l'activité a augmenté par rapport à 2008, une nette baisse de la fréquentation est constatée, notamment lors de la 3ème semaine.