Thésaurus
![]()
ECONOMIE DU TOURISMESynonyme(s)economie touristique |


Etendre la recherche sur niveau(x) vers le bas
![]()
![]()
1er semestre 2016 : l'activité des magasins bio est au beau fixe
BIO-LINEAIRES, AuteurLe relevé d'activité des magasins bio français du 1er semestre 2016 montre une progression du chiffre d'affaires de toutes les familles de produits et une progression globale de 20 %. Le vrac, les fruits et légumes et le frais sont en tête de palmarès, l'épicerie sèche et les produits d'hygiène et d'entretien contribuent à la croissance pour une part importante et les compléments alimentaires et le "sans gluten" sont toujours en progression.
![]()
![]()
2000 fermes bio en Bretagne
Antoine BESNARD, Auteur ; Michaël DESPEGHEL, AuteurD'après l'Observatoire de la production bio en Bretagne, la barre des 2000 fermes bio a été franchie au cours de l'année 2015 dans cette région, soit 5,8 % des fermes bretonnes. Cette croissance est marquée par deux grandes tendances : l'installation en maraîchage bio et la conversion des fermes en bovins lait. Les chiffres relatifs à l'AB en Bretagne sont présentés : répartition des fermes bio en fonction de leur production principale, place de l'agriculture bio bretonne en France, évolution du nombre de fermes bio entre 2009 et 2015, évolution des surfaces bio depuis 2012 et projections 2017 et 2020.
![]()
![]()
2010, l'année du développement pour l'agriculture bio
Thierry MICHEL, AuteurAprès une introduction rapide sur le contexte de développement de l'agriculture biologique en France, l'article donne des indications sur le marché français des produits alimentaires issus de l'agriculture biologique. Celui-ci se situe en troisième position en Europe, derrière l'Allemagne et le Royaume-Uni. En 2008, le marché hexagonal a représenté 2,6 milliards d'euros (40 euros par français), en progression de 25 % par rapport à 2007 et de 60 % depuis 2005. Pour le cabinet d'études économiques Precepta, le chiffre d'affaires des produits bio pourrait augmenter de 40 % d'ici à 2012... Par ailleurs, l'article revient sur différents sujets : le comportement du consommateur français ; l'intensification des échanges entre les différents acteurs de la chaîne : association de Biocoop avec la Coopérative des agriculteurs biologiques du Sud-Ouest (Cabso) ; restitution, auprès de la presse et de professionnels, de résultats d'études sur le blé, le maïs... par la Fnab, à l'initiative d'Inter Bio Bretagne ; proposition par ABioDoc (service de Vetagro Sup - Campus agronomique de Clermont (63)), en mars et juin 2010, de deux stages, accessibles dans le cadre de la formation continue des personnels de l'enseignement agricole, intitulés "Maîtriser la recherche documentaire dans Biobase, la base de données spécialisée en agriculture biologique d'ABioDoc"... Sont également rapportés un entretien avec Elisabeth Mercier, directrice de l'Agence Bio (axes de travail de l'Agence Bio...), ainsi que des données statistiques (évolution du nombre d'exploitations engagées en bio, répartition des surfaces végétales en mode de production biologique).
![]()
![]()
Une 3e voie en grande culture
L'agriculture intensive ou productiviste est à l'index, tout ou presque lui est reproché. Une première voie d'évolution possible pour mettre en oeuvre une agriculture durable peut être l'agriculture raisonnée, mais du fait des investissements considérables qu'elle nécessite, sa rentabilité est remise en cause ; une autre voie serait l'agriculture biologique mais, elle non plus, n'apparaît pas comme une panacée pour l'auteur. Reste donc la 3ème voie exposée ici : approcher les principes de l'agriculture biologique sans s'interdire d'utiliser des produits de synthèse si nécessaire.
![]()
![]()
L'action citoyenne, accélératrice de transitions vers des modes de vie plus durables
Karine LANCEMENT, Auteur ; Stéphane LÉVÊQUE, Auteur ; Dominique BOURG, Auteur ; ET AL., Auteur | PARIS (Hôtel de Roquelaure, 246 Boulevard Saint-Germain, 75 007, FRANCE) : MINISTÈRE DE LA TRANSITION ÉCOLOGIQUE ET SOLIDAIRE | 2019Le programme de recherche sur les modes de vie durables "Movida" a souligné lapport des démarches ascendantes à linitiative des citoyens dans lévolution des modes de vie. A la suite de ce programme, le service de la recherche du Ministère de la Transition Écologique et Solidaire (MTES) a confié au Cerema une étude exploratoire « Deqlic : définir et questionner les initiatives citoyennes ». A partir d'un panorama des initiatives citoyennes de transition qui se développent de façon accélérée en France depuis quelques années, l'objet est d'interroger les origines et les facteurs d'émergence de ces initiatives, leurs grandes caractéristiques, leur parcours, mais aussi les facteurs de réussite, les besoins et difficultés rencontrées par les porteurs de projets citoyens, et les relations entretenues (ou non) avec les acteurs publics. Ce document rend compte des éléments produits au cours de ce travail exploratoire. En premier lieu, la définition et la caractérisation des initiatives citoyennes permettent de préciser le périmètre de létude et den identifier lobjet. La deuxième partie analyse l'apport des initiatives citoyennes dans une logique de transition, puis la troisième décrit leur rapport avec les institutions et les besoins exprimés par les porteurs d'initiatives. Enfin, des propositions sont faites sur le changement de posture nécessaire au développement des initiatives citoyennes pour accélérer les transitions, et sur les suites à donner à Deqlic, ainsi que sur les pistes de recherche à approfondir.
![]()
![]()
Activité en MSB
BIO-LINEAIRES, AuteurL'article présente l'évolution du chiffre d'affaires des magasins spécialisés bio (MSB) de 2017 par rapport à 2016 et de 2018 par rapport à 2017, mois par mois, ainsi que l'évolution de la surface de vente due aux ouvertures.
![]()
![]()
Activité en MSB : Expliquer pour comprendre
BIO-LINEAIRES, AuteurBio-Linéaires explique comment sont analysés les différents chiffres en provenance de Bio Analytics pour présenter régulièrement, dans ses pages, l'évolution du marché des Magasins Spécialisés Bio (cumul à date, à périmètre constant, cumul à date intégrant les ouvertures...). L'année 2018 est prise en exemple.
![]()
![]()
Activité en MSB (magasin spécialisé bio) : 1er trimestre 2016 et 2017
BIO-LINEAIRES, AuteurFocus sur les trois premiers mois de 2016 et de 2017 pour comparer les chiffres d'affaires des magasins bio sur ces deux périodes, et pour présenter la part et l'évolution de CA de grandes familles de produits. En termes d'ouvertures de nouveaux magasins bio, l'estimation de croissance totale sur la période du 1er trimestre 2017 est de + 9,23 %.
![]()
![]()
Activité en MSB (magasin spécialisé bio) en 2016
BIO-LINEAIRES, AuteurUn graphique présente l'évolution du chiffre d'affaires mois par mois des magasins spécialisés en bio (janvier à décembre 2016). A noter la faible performance du mois d'octobre.
![]()
![]()
Actualité belge : Le bio en magasins spécialisés : enfin les chiffres !
BIO-LINEAIRES, AuteurQue représentent, en Belgique, les magasins spécialisés en produits bio et compléments alimentaires en termes de superficie de vente, de nombre de travailleurs employés, de chiffres d'affaires... et ce, par province et par région ? Afin de dépasser la question de la confidentialité, tout en permettant aux magasins de positionner leur activité, l'Unadis, l'Union professionnelle belge des détaillants spécialisés en produits bio et compléments alimentaires, a décidé de transformer le chiffre d'affaires en indice de ventes. La référence choisie est janvier 2009 avec un indice 100. Pour chaque mois, l'indice est calculé sur la base de ce mois de référence La collecte des indices auprès de 17 magasins répartis dans toute la Wallonie a donné lieu à un premier graphique sur l'évolution des ventes à partir de l'indice 2009 et jusqu'en mars 2012. L'article présente une première analyse sur l'année 2009 : faible chiffre d'affaires en février (indice 97), remontée nette à la fin du 1er trimestre, suivie d'une baisse en juillet et août, et d'une hausse au mois de décembre (indice 116)...
![]()
![]()
Actualité distribution : Ouvertures, fermetures : solde négatif en quantité et en surface...
BIO-LINEAIRES, AuteurMalgré les difficultés économiques qui ont débuté en septembre 2009, l'évolution du parc des magasins bio est plutôt positive. Après une année 2010 riche en ouvertures avec 127 magasins, on peut estimer que la situation en 2013 se présentera différemment. En effet, les ouvertures seront certainement moins nombreuses. En revanche, leurs surfaces moyennes continueront d'augmenter. Même si la balance 2013 entre les ouvertures et les fermetures devrait être négative, on s'attend à une évolution positive des surfaces totales... Présentation : 107 fermetures depuis janvier 2013 ; 47 ouvertures à fin juillet 2013 ; La distribution spécialisée : un cas d'école.
![]()
![]()
Actualite internationale : Grande-Bretagne : le marché bio peine encore...
BIO-LINEAIRES, AuteurEn 2011, selon le rapport annuel de la Soil Association, les ventes de produits bio au Royaume-Uni ont connu une baisse de 3,7 % pour atteindre 2 milliards d'euros. Malgré cela, ce marché, qui a souffert de la crise financière, reprend confiance. Parmi la hausse des ventes de produits biologiques (aliments pour bébé, viande d'agneau et de volaille ), les produits laitiers, ainsi que les fruits et légumes ont représenté respectivement 29 et 23 % des ventes En raison d'un approvisionnement restreint en produits biologiques dans les supermarchés, les consommateurs se sont approvisionnés grâce à de nouveaux circuits. Les paniers bio, la vente en ligne et la livraison à domicile font partie du seul canal de distribution qui ait connu une augmentation (+ 7,2 %), et représentent, en 2011, un chiffre d'affaires de 204 millions d'. Les CA pour les autres canaux de distribution sont de : 1,45 milliard d' pour la GMS, 37, 1 millions d' pour la vente à la ferme..., 300,7 millions d' pour les autres détaillants et indépendants. Il y a dorénavant plus de 500 programmes de livraison de paniers bio au Royaume-Uni (Abel & Cole, société Riverford ). Tesco, Sainsbury's, Waitrose restent les chaînes leaders de vente au détail pour les produits bio au Royaume-Uni. Mais, dans l'ensemble, elles ont vu leurs ventes de produits bio baisser en moyenne de 9,5 %, sauf les ventes de Tesco qui ont diminué de 2 %. Lidl a vu ses ventes de produits bio augmenter de 16,7 %...
![]()
![]()
Actualité internationale : Suisse, la belle croissance du bio continue...
BIO-LINEAIRES, AuteurEn Suisse, pour la première fois depuis sept ans, Bio Suisse a enregistré, en 2011, plus de nouvelles reconversions que de départs, nombre qui a encore augmenté de 27,1 % en 2012 par rapport à 2011. Le nombre de producteurs bio représente aujourd'hui 11 % environ de l'ensemble des exploitations agricoles suisses. Le chiffre d'affaires du marché bio suisse était, en 2011, de 1,45 milliard d'euros (4 milliards en France). Le bio atteint pour la première fois une part de marché de 6 % de l'ensemble des produits alimentaires et toutes les familles de produits les plus demandées ont progressé... Mais un nombre encore plus élevé de familles paysannes bio sera nécessaire pour couvrir la demande des consommateurs suisses - surtout pour les céréales et les oléagineux. Bio Suisse, la principale organisation bio de Suisse et la propriétaire de la marque Bourgeon, continue de s'engager dans le développement du marché, la vulgarisation, la recherche... Des graphiques présentent le marché suisse des produits biologiques de 2007 à 2011 (chiffre d'affaires total en millions de francs suisses, évolution des différents canaux de distribution), ainsi que la répartition de la distribution des produits biologiques par canaux de distribution 2011.
![]()
![]()
Agri'scopie : L'agriculture biologique en Normandie : Typologie des exploitations bio
Ce document vient en complément de lObservatoire régional de lagriculture biologique en Normandie. Il apporte des éclairages sur la répartition géographique des exploitations bio, leurs profils typologiques, leurs structures et leurs modes de commercialisation. Des graphiques illustrent l'évolution des surfaces bio depuis 2013. Les données utilisées proviennent de deux sources différentes et complémentaires : la base de données exhaustive anonyme contenant les informations transmises par les organismes certificateurs et le fichier des notifications complété par les producteurs bio.
![]()
![]()
L'agriculture bio en Auvergne-Rhône-Alpes : Les chiffres de la production, transformation et distribution : Edition 2019 ; Repères 2017-2018
Alice ODOUL, Auteur ; Thibault PECLET, Auteur ; Marithé CASTAING, Auteur ; ET AL., Auteur | LEMPDES (16B Rue Aimé Rudel, BP 45, 63 370, FRANCE) : DRAAF AUVERGNE-RHÔNE-ALPES | 2019Les données 2018 de lAgence Bio ont placé Auvergne-Rhône-Alpes au 3ème rang des régions françaises en nombre de fermes bio : 5 858 exploitations bio ou en conversion, soit 10 % des exploitations régionales, marquant une progression en 5 ans de 50 % ; La région compte également 251 776 ha en bio, dont 195 357 ha certifiés et 56 419 ha en conversion, portant à 8,9 % la part de la SAU bio AuRA dans la SAU bio nationale. 2 755 opérateurs de laval sont également présents dans la région. Auvergne-Rhône-Alpes reste la première région française en ce qui concerne le réseau aval, très développé et dynamique. Les fermes bio dAuvergne-Rhône-Alpes pratiquent souvent la vente directe. Lâge moyen des producteurs ayant démarré une conversion bio récente (avant 2017-2018), se situe autour de 46 ans, 39 % dentre eux ont 50 ans et plus. Lagriculture bio semble être considérée comme un atout pour faciliter la transmission dune exploitation. La part des projets bio enregistrés dans les points daccueil installation en 2018 a progressé (36 % vs 29 % en 2017), mais en nombre variable selon les départements. Les chiffres clés 2018 de la filière bio en Auvergne-Rhône-Alpes sont détaillés et commentés : collecte, distribution, transformation, coopératives, débouchés de la restauration collective. Sont ensuite présentés les chiffres par filière et par département.
![]()
![]()
L'agriculture Bio en Rhône-Alpes : Les chiffres de la production, transformation et distribution : édition 2016 - repères 2015
Fin 2015, la région Rhône-Alpes comptait : 3 117 exploitations bio (2ème région française), soit 8 % des exploitations régionales ; 101 091 ha certifiés bio ou en conversion (4ème région française), soit 7 % des surfaces agricoles régionales ; 1075 préparateurs certifiés bio (1ère région française) ; 283 grossistes, 327 magasins spécialisés bio, Rhône-Alpes étant 2ème région française en nombre de distributeurs bio. Au sommaire de ce document rassemblant les chiffres de l'AB en Rhône-Alpes : - La bio dans la nouvelle région Auvergne-Rhône-Alpes ; - La production agricole bio en Rhône-Alpes ; - La transformation des produits bio ; - La consommation et la distribution des produits bio ; - Les filières bio ; - Les productions végétales : Légumes ; Fruits ; Vin ; PPAM ; Céréales et oléoprotéagineux ; - Les productions animales : Viande bovine ; Lait de vache ; Lait de chèvre et de brebis ; Viande ovine ; Viande porcine ; Poulets de chair et ufs ; Miel ; - La bio dans les départements : Drôme ; Ardèche ; Isère ; Ain ; Loire ; Rhône ; Savoie ; Haute-Savoie.
![]()
![]()
Agriculture biologique en bref : édition 2014
Cette brochure présente les chiffres de l'agriculture biologique en Midi-Pyrénées pour l'année 2013. Cette région est leader en termes de surface en AB (130 502 hectares certifiés ou en conversion, soit 5,75 % de la SAU régionale). C'est également la région qui a connu la plus forte dynamique de conversion entre 2012 et 2013, avec des taux de +5,6 % pour le nombre d'exploitations et de +11 % pour les surfaces. Les grandes cultures ont significativement profité de cette vague de conversion, et la région est leader sur cette production en France. En ce qui concerne les productions animales, Midi-Pyrénées est la première région en ovins et bovins viande, avec des effectifs en augmentation de 6 % par rapport à 2012. 581 transformateurs de produits biologiques sont présents sur le territoire midi-pyrénéen. 55 % des producteurs pratiquent la vente directe, et la restauration collective est un débouché en développement.
![]()
![]()
"Agriculture biologique : une filière en expansion" ; "Sondage : Les Français adeptes de la viande bio"
INFORMATION AGRICOLE (L'), Auteur- "Agriculture biologique : une filière en expansion". Ce premier article rappelle que plus de 80 millions d'hectares sont désormais consacrés à l'agriculture biologique à travers le monde (incluant les surfaces dédiées à l'apiculture et à la cueillette). En termes de consommateurs de produits bio, 90 % d'entre eux vivent en Amérique du Nord et en Europe. L'Allemagne est le pays où la consommation de produits bio est la plus développée, suivie de la France (qui se situe, en termes de SAU bio, au troisième rang dans l'Union européenne). - "Sondage : Les Français adeptes de la viande bio". D'après le sondage d'avril 2016 mené par la Commission Bio d'Interbev, 70 % des Français interrogés affirment manger de la viande bio. Les chiffres d'affaires des différentes viandes bio en France, entre 2012 et 2014, sont rappelés.
![]()
![]()
Agriculture biologique et marché bio : Conférence de presse annuelle de Bio Suisse
BIO SUISSE, Auteur ; Urs BRÄNDLI, Auteur ; Daniel BÄRTSCHI, Auteur ; ET AL., Auteur | BÂLE (Peter Merian-Strasse 34, CH-4052, SUISSE) : BIO SUISSE | 2012Le dossier présente un communiqué de presse sur le maintien de la croissance, en Suisse, ainsi que les exposés d'Urs Brändli, Président de Bio Suisse, Daniel Bärtschi, Directeur de Bio Suisse, Max Eichenberger, Président de la Commission de labellisation de la transformation et du commerce de Bio Suisse (partenariat, Le Bourgeon, politique agricole...). Les "Données Production et Marché" présentent les producteurs et surfaces bio en 2011. (En 2011, la Suisse compte 6 005 fermes bio dont 5 618 respectant le Cahier des charges du Bourgeon et la proportion de surface agricole utile cultivée en bio atteint 11,1 % en moyenne générale ) ; les chiffres d'affaires des produits bio en comparaison pluriannuelle et selon les canaux de distribution (le marché bio a progressé de 4,2 % en 2011, le chiffre d'affaires des produits bio a atteint 1 738 millions CHF ) ; les parts de marché d'une sélection de produits bio (le chiffre d'affaires des denrées alimentaires biologiques représente 6 % du total du marché de l'alimentaire ; depuis trois ans les parts de marché progressent en continu dans toutes les régions, en augmentant de 4,5 % ; le chiffre d'affaires des produits frais a de nouveau progressé plus que la moyenne en 2011 et tous les groupes de produits contribuent à la croissance ). Le Moulin Bio « Albert Lehmann Lindmühle », la plus ancienne meunerie familiale de Suisse, est également présenté.
![]()
![]()
L'agriculture biologique en Pays de la Loire en 2011
Olivier JEAN, AuteurCe document, consacré à l'agriculture biologique en Pays de la Loire en 2011, est organisé comme suit : - Les Pays de la Loire deuxième région française pour la superficie en agriculture biologique ; - Loire-Atlantique en tête ; - Une production bio animale particulièrement présente, mais qui reste limitée ; - Des exploitants plus jeunes et plus diplômés ; - Un chiffre d'affaires alimentaire bio en hausse constante ; - Une exploitation bio sur deux commercialise via les circuits court ; - Plus de main d'uvre qu'en conventionnel dans les exploitations bio où légumes et vin dominent ; - Un résultat courant le plus élevé pour les exploitations biologiques orientées en grandes cultures ; - Les produits du secteur animal plus chers en magasins spécialisés qu'en grandes surfaces. Une carte localisant les exploitations bio situées en Pays de la Loire et des graphiques complètent le document.
![]()
![]()
L'agriculture biologique traverse sa première crise
"Après une période faste liée à la crise de ""la vache folle"", la filière bio marque le pas. La baisse des prix fait souffrir les agriculteurs bio, alors même que la France reste déficitaire en produits bio. Les explications sont à rechercher principalement dans la concurrence de plus en plus rude, qui a permis aux transformateurs et aux grandes surfaces d'inverser le rapport de force avec les producteurs bio et dans un prix nettement supérieur à ceux des produits standards, qui a contribué à détourner certains consommateurs du bio. La dispersion des producteurs bio sur le territoire est à l'origine de ces surcoûts. Quel est donc l'avenir du bio ? Augmenter la taille de la production française pour limiter les surcoûts ? Arrêter les conversions, au risque de voir le marché du bio pris d'assaut par les autres pays européens ? L'issue dépend en grande partie de l'attitude du gouvernement français, qui aujourd'hui contrairement à ses voisins, ne soutient plus la conversion."
![]()
![]()
L'agriculture garde l'île de Batz à flot
Chantal PAPE, AuteurAvec une surface de 357 ha dont 160 ha de SAU, l'île de Batz, située au large de Roscoff, dans le Finistère, compte une vingtaine de producteurs dont la moitié en agriculture biologique. La production est tournée vers le maraîchage avec notamment des cultures d'échalotes, d'oignons, de choux friséx et de pommes de terre. L'agriculture reste un pilier de l'économie car, si l'urbanisme grignote peu à peu les terres agricoles, les revenus du tourisme ne suffisent pas à eux seuls pour faire vivre l'île. Cette agriculture insulaire souffre de plusieurs contraintes comme un foncier onéreux, des exploitations de petites tailles et bien sûr des coûts engendrés par les transports en bateaux. Toutefois, le climat permet une production plus précoce que le continent, ce qui permet notamment de limiter les problèmes de mildiou sur pomme de terre. Les producteurs se sont organisés en Cuma pour regrouper les légumes et les expédier sur le continent. Leurs pommes de terre, qui affichent leur provenance, ont su se démarquer d'un point de vue gustatif auprès des consommateurs.
![]()
![]()
Agrobio Europe : Un outil au service des aviculteurs et des céréaliers bio
Implantée à Guingamp dans les Côtes d'Armor, la SARL Agrobio Europe fait l'interface entre producteurs bio et éleveurs de poules pondeuses bio. Créée en 1998, cette entreprise a profité pleinement, au moment de son lancement, du vent en poupe des produits bio, et plus précisément des oeufs qu'elle rachète aux éleveurs pour les commercialiser par le biais de la société de conditionnement Trégor oeufs. Agrobio Europe offre donc un service qui englobe l'approvisionnement, la collecte, la rétrocession d'aliments et le suivi d'élevage. Visite guidée.
![]()
![]()
Agrobiologie et environnement
L'objectif de cette étude menée par le CEMAGREF et la FCAAA, est d'évaluer et de comparer l'impact sur l'environnement des modes de production agrobiologique et conventionnel dans la région Aquitaine. Des diagnostics agri-environnementaux à l'échelle de l'exploitation agricole ont été effectués sur un échantillon de 80 exploitations (40 en bio, 40 en conventionnel) représentatives de la diversité régionale. Les indicateurs retenus sont fondés sur l'analyse des composantes structurelles du système de production et des grands choix stratégiques de l'agriculteur. Cette méthode permet d'estimer l'impact potentiel mais non l'impact réel pour lequel il faudrait prendre en compte les données du milieu. Les conclusions de l'étude soulignent que l'agrobiologie est favorable à la protection de l'environnement par l'ensemble des pratiques mises en oeuvre (et qui vont au-delà du simple cahier des charges), alors qu'en agriculture conventionnelle, la maîtrise des risques de pollution diffère selon les choix de conduite des agriculteurs.
![]()
![]()
L'alimentaire bio à fin avril 2018
BIO-LINEAIRES, AuteurEn avril 2018, la distribution de produits bio en hypermarchés, supermarchés, Enseignes à Dominante Marques Propres (EDMP), drives et supérettes a connu une légère baisse de croissance (+ 20 %) par rapport à février et mars de cette même année (+ 25,6 % en février). Un tableau présente, pour l'ensemble des produits bio (épicerie salée, sucrée, crèmerie, frais non laitier, surgelés-glaces, liquides), l'évolution du chiffre d'affaires et de la part de marché pour avril 2018, du cumul courant à fin février et du cumul annuel mobile à fin avril 2018.
![]()
![]()
L'alimentaire bio à fin juin 2018
BIO-LINEAIRES, AuteurFin juin 2018, la distribution de produits bio en hypermarchés, supermarchés, Enseignes à Dominante Marques Propres (EDMP), drives et supérettes a connu une croissance de 22,4 %. Un tableau présente, pour l'ensemble des produits bio (épicerie salée, sucrée, crèmerie, frais non laitier, surgelés-glaces, liquides), l'évolution du chiffre d'affaires et de la part de marché, du cumul courant et du cumul annuel mobile fin juin 2018.
![]()
![]()
L'alimentaire bio à fin septembre 2018
BIO-LINEAIRES, AuteurEn septembre 2018, la distribution de produits bio en hypermarchés, supermarchés, Enseignes à Dominante Marques Propres (EDMP), drives et supérettes a connu une légère baisse de croissance par rapport aux trois mois précédents : 18,1 %, contre 22,4 % en juin, 19,9 % en juillet et 18,5 % en août. Un tableau présente, pour l'ensemble des produits bio (épicerie salée, sucrée, crèmerie, frais non laitier, surgelés-glaces, liquides), l'évolution du chiffre d'affaires et de la part de marché, du cumul courant et du cumul annuel mobile fin septembre 2018.
![]()
![]()
L'alimentaire bio en GMS au 2ème trimestre 2016
BIO-LINEAIRES, AuteurLa distribution des produits bio en hypermarchés, supermarchés, Enseignes à Dominante Marques Propres (EDMP) et E-commerce a continué sa progression au 2ème trimestre 2016. Les meilleures performances sont celles des produits d'épicerie salée et de la gamme petit déjeuner. Dans ces circuits, le bio a représenté 3,3 % sur cette période. Un tableau présente, pour l'ensemble des produits bio (épicerie salée, sucrée, crèmerie, frais non laitier, surgelés-glaces, liquides), l'évolution du chiffre d'affaires, de la part de marché et des ventes unités.
![]()
![]()
L'alimentaire bio en GMS au 3ème trimestre 2016
BIO-LINEAIRES, AuteurLa distribution des produits bio en hypermarchés, supermarchés, Enseignes à Dominante Marques Propres (EDMP) et E-commerce a continué sa progression au 3ème trimestre 2016. Les plus importantes performances ont été réalisées par les conserves de fruits (+39,2 %) et par les produits de la saurisserie (+ 35,6 %). Est à noter également, pour cette période, la performance des produits frais (hors produits laitiers) en libre-service. Comme pour les 2 premiers trimestres 2016, lépicerie salée maintient sa croissance, toujours boostée par les féculents, lalimentation infantile et les conserves de légumes. Un tableau présente, pour l'ensemble des produits bio (épicerie salée, sucrée, crèmerie, frais non laitier, surgelés-glaces, liquides), l'évolution du chiffre d'affaires et de la part de marché.
![]()
![]()
L'alimentaire bio en GMS à fin 2016
BIO-LINEAIRES, AuteurEn 2016, la distribution des produits bio en hypermarchés, supermarchés, Enseignes à Dominante Marques Propres (EDMP) et E-commerce a progressé, avec un taux de croissance de 19,7 % contre 10,2 % à fin 2015. Les meilleures performances concernent en particulier lépicerie salée (+25 %). La crèmerie reste leader en matière de part de marché avec près de 6 %. Un tableau présente, pour l'ensemble des produits bio (épicerie salée, sucrée, crèmerie, frais non laitier, surgelés-glaces, liquides), l'évolution du chiffre d'affaires et de la part de marché pour l'année 2016.
![]()
![]()
L'alimentaire bio en GMS fin 2017
BIO-LINEAIRES, AuteurFin 2017, le taux de croissance de la distribution des produits bio était estimé à 20,4 %, contre 19,7 % en 2016. Un tableau présente, pour l'ensemble des produits bio (épicerie salée, sucrée, crèmerie, frais non laitier, surgelés-glaces, liquides), l'évolution du chiffre d'affaires et de la part de marché entre décembre 2016 et décembre 2017, ainsi que le cumul annuel mobile. La conjonction dune demande croissante des consommateurs en produits bio et de la multiplication des initiatives des enseignes GMS porte le poids du bio à 3,4 % du chiffre daffaires des produits de grande consommation, frais et libre-service, dans tous les circuits GMS (hypermarchés, supermarchés, Enseignes à Dominante Marques Propres (EDMP), drives). C'est la plus forte croissance historique.
![]()
![]()
L'alimentaire bio en GMS fin 2018
BIO-LINEAIRES, AuteurFin 2018, le taux de croissance de la distribution des produits bio en hypermarchés, supermarchés, Enseignes à Dominante Marques Propres et E-commerce était estimé à 21,4 %, contre 20,4 % en 2017. Un tableau présente, pour l'ensemble des produits bio (épicerie salée, sucrée, crèmerie, frais non laitier, surgelés-glaces, liquides), l'évolution du chiffre d'affaires et de la part de marché entre décembre 2017 et décembre 2018, ainsi que le cumul annuel.
![]()
![]()
L'alimentaire bio en GMS à fin février 2018
BIO-LINEAIRES, AuteurDébut 2018, la distribution de produits bio en hypermarchés, supermarchés, Enseignes à Dominante Marques Propres (EDMP), drives et supérettes a poursuivi sa croissance. Le mois de février a connu une évolution de + 25 %. Le bio représentait alors 3,9 % des ventes de produits alimentaires dans ces circuits. Un tableau présente, pour l'ensemble des produits bio (épicerie salée, sucrée, crèmerie, frais non laitier, surgelés-glaces, liquides), l'évolution du chiffre d'affaires et de la part de marché pour février 2018, du cumul courant à fin février et du cumul annuel mobile à fin février 2018.
![]()
![]()
L'alimentaire bio en GMS à fin février 2018
BIO-LINEAIRES, AuteurDébut 2018, la distribution de produits bio en hypermarchés, supermarchés, Enseignes à Dominante Marques Propres (EDMP), drives et supérettes a poursuivi sa croissance. Le mois de février a connu une évolution de + 25 %. Le bio représentait alors 3,9 % des ventes de produits alimentaires dans ces circuits. Un tableau présente, pour l'ensemble des produits bio (épicerie salée, sucrée, crèmerie, frais non laitier, surgelés-glaces, liquides), l'évolution du chiffre d'affaires et de la part de marché pour février 2018, du cumul courant à fin février et du cumul annuel mobile à fin février 2018.
![]()
![]()
L'alimentaire bio en GMS à fin septembre 2017
BIO-LINEAIRES, AuteurEn septembre 2017, la vente de produits bio en hypermarchés, supermarchés, Enseignes à Dominante Marques Propres (EDMP), drives et supérettes a connu une croissance de + 22 %. Les produits frais non laitiers, lépicerie salée, lépicerie sucrée ont notamment connu respectivement une croissance de 31 %, 28,3 % et 24,3 %. Les produits traiteur frais en libre-service observent la plus forte progression (+ 54,2 %), et la crèmerie prend + 6 % de part de marché. Un tableau présente, pour l'ensemble des produits bio (épicerie salée, sucrée, crèmerie, frais non laitier, surgelés-glaces, liquides), l'évolution du chiffre d'affaires et de la part de marché pour septembre 2017, du cumul depuis le 1er janvier 2017 et du cumul annuel mobile.
![]()
![]()
L'alimentaire bio en GMS en janvier et février 2017
BIO-LINEAIRES, AuteurDébut 2017, la distribution des produits bio en hypermarchés, supermarchés, Enseignes à Dominante Marques Propres (EDMP), drives et supérettes a connu une croissance un peu moins forte par rapport à lensemble de lannée 2016. Certaines familles de produits ont en effet régressé, comme la saurisserie (- 17,9 %). La crèmerie reste, quant à elle, leader en matière de part de marché, avec près de 6 %. Un tableau présente, pour l'ensemble des produits bio (épicerie salée, sucrée, crèmerie, frais non laitier, surgelés-glaces, liquides), l'évolution du chiffre d'affaires et de la part de marché pour janvier et février 2017.
![]()
![]()
Alimentation : demain, tout ne sera plus comme avant
Guillaume LOHEST, Auteur ; Chloé DARGE, AuteurPablo Servigne, auteur de "Nourrir l'Europe en temps de crise", répond, dans cet article, à quelques questions directement en lien avec le contenu de son livre. Il aborde ainsi les différentes crises que connaissent nos sociétés - climat, ressources pétrolières et autres, biodiversité, accès à l'eau, crises financières...- et propose une analyse personnelle, basée sur des études scientifiques récentes. Les constats et propositions qu'il formule concernent l'impact de ces crises entremêlées sur l'avenir des systèmes alimentaires.
![]()
![]()
Allemagne : Toujours beaucoup d'ouvertures de supermarchés bio
BIO-LINEAIRES, AuteurAvec un taux de progression du marché bio allemand d'environ 10% en 2008, le chiffre d'affaires total du marché bio alimentaire allemand frôlerait les 6 milliards d'euros contre environ 2 milliards en France. Selon les analystes du ZMP (Zentrale Markt-und Preisberichtstelle), cette progression aurait pu être encore plus élevée et atteindre les niveaux des années précédentes (15%) s'il n'y avait pas eu la pénurie de matières premières durant le premier semestre 2008. C'est donc tout logiquement et sensiblement dans les mêmes proportions que le nombre de points de vente a aussi augmenté. Selon Organic-Market-Info, on a compabilisé 71 nouvelles ouvertures de supermarchés et magasins bio dont 60 supermarchés bio de plus de 400 m². Rappelons que, depuis 2000, chaque année, entre 25 et 83 supermarchés bio ouvrent en Allemagne. En référence à des données statistiques, l'article analyse la situation : - Moins d'ouvertures en 2008 ; - Ce qui se passe en France ; - 37 250 m² de surfaces en plus ; - Surface moyenne en hausse.
![]()
![]()
Almata, haut comme Biopom
Un petit article pour présenter Biopom, nouvelle entreprise venue dans le monde de la bio. Sa spécialité est le jus de fruits bio. L'entreprise a choisi des emballages épurés et porte une attention toute particulière à la qualité de ses matières premières. Il s'agit là de produits de haut de gamme déclinés en divers parfums : orange, poire, raisin, pomme, mirabelle...
![]()
L'amélioration de la production d'une exploitation maraîchère du Sundgau
Ce mémoire a été réalisé dans le cadre de la Licence Professionnelle "Agriculture Biologique Conseil et Développement". L'étude porte sur l'exploitation maraîchère de Denis Brun et Christophe Rapp, l'EARL Biau Potager (90), en bio depuis 30 ans. Leur objectif est d'augmenter la production de légumes biologiques pour suivre une demande croissante. Pour cela, les associés sont à la recherche de conseils. Trois grands chantiers structurent le travail pour améliorer les conditions de production : le drainage sur certaines parcelles trop humides (terre argileuse lourde), l'installation de 2 000 m2 de serres, et la lutte contre les maladies et les ravageurs. Étape par étape, les opérations pour mettre en uvre des solutions identifiées sont décrites.
![]()
![]()
Anaïs s'en va-t-en guerre
Anaïs, 24 ans, s'est lancée dans la culture des plantes aromatiques et médicinales bio, en Bretagne. Les difficultés qu'elle rencontre sont nombreuses, qu'il s'agisse de la météo capricieuse, ou encore de contraintes financières ou administratives Marion Gervais propose un documentaire au plus proche de la jeune productrice, qui, sous le regard attentif de la réalisatrice, évoque ses problèmes, tout en s'occupant de ses plantes. Anaïs apparaît toujours comme quelqu'un travaillant en extérieur, sans relâche, clamant avec fierté sa liberté, son indépendance, le plaisir d'exercer son activité. Malgré les doutes et les obstacles, la conviction d'Anaïs l'emporte en permanence.
![]()
![]()
Année 2015 : année charnière pour la filière bio en Allemagne
BIO-LINEAIRES, AuteurEn Allemagne, alors que les années précédentes avaient vu se creuser l'écart entre production et consommation bio, en 2015, la production a progressé de manière significative. De même, les surfaces de vente bio ont également progressé (3 % par rapport à 2014). Certaines filières restent cependant déficitaires en matières premières (céréales et oléoprotéagineux, lait). Cet article propose une analyse des tendances dans la distribution spécialisée allemande.
![]()
![]()
L'appétit pour le bio de deux Coubonnais
L'alimentation animale bio a de l'avenir. Tel est le credo de marie-José Buiza et laurent Mazoyer qui viennent de créer, à Coubon, Haute-Loire, leur entreprise de fabrication de granulés pour ovins, bovins, chevaux et lapins. S'approvisionnant dans le département et les départements limitrophes, ils garantissent une production 100% bio et prévoient d'atteindre dès cette année 2000, le million de tonnes de granulés.
![]()
![]()
Approche technico-économique des systèmes de productions maraîchères diversifiées de Rhône-Alpes
Le réseau des référents techniques régionaux agriculture biologique des Chambres d'Agriculture de Rhône-Alpes a réalisé un ensemble de fiches systèmes agricoles. Ces fiches sont des outils d'accompagnement des projets d'installation et de conversion. Celle-ci porte sur l'"Approche technico-économique des systèmes de productions maraîchères diversifiées de Rhône-Alpes". 1. Caractérisation des systèmes de production de légumes biologiques en Rhône-Alpes (la très grande majorité de la production de légumes biologiques en Rhône-Alpes correspond à du maraîchage diversifié avec prédominance de vente en circuits courts. Ce document se restreindra à décrire ce système) : Approche système ; Caractéristiques typologiques. 2. Les indicateurs clés : Indicateurs de technicité ; Indicateurs économiques ; Indicateurs économiques globaux.
![]()
![]()
Arboriculture : Une approche économique en verger semi-intensif bio
Stéphanie GAZEAU-SHAN, AuteurCet article rapporte une intervention de Thierry Ramat, formateur et arboriculteur, sur un exemple d'approche économique pour un verger semi-intensif de pommiers. Ce mode de conduite est particulièrement adapté à l'agriculture biologique et présente de nombreux avantages (moins d'investissement au départ, plus grande rusticité ), même si une technicité importante est nécessaire. Les rendements, chiffres d'affaires et divers coûts de production d'un verger existant sont présentés.
![]()
![]()
L'Ardèche, vivier de plantes médicinales
Vincent Deschandol ramasse et cultive en bio des plantes médicinales depuis 1999. Rien qu'en bio, l'activité de cueillette occupe une cinquantaine de personnes en Ardèche. Entre 800 et 1 300 mètres d'altitude, chacun a, de manière tacite, ses coins, des espaces dont les propriétaires autorisent la cueillette en échange d'un sac de pommes de terre ou de fruits frais. Au cours de ses pérégrinations, Vincent Deschandol constate la difficulté à se procurer l'arnica tant la plante souffre des erreurs de l'agriculture conventionnelle. Par contre, le cueilleur collecte l'aubépine, le laurier, le thym de garrigue, le bourgeon de hêtre. En France, plus de 200 plantes à parfum, aromatiques et médicinales sont cueillies et plus de 120 sont cultivées. La lavande et le lavandin représentent plus de la moitié des surfaces de production bio. Sur 5 hectares seulement, l'exploitation de l'Ardéchois en renferme une grande diversité. Echinacée, mélisse, menthe poivrée, bardane, pissenlit, serpolet... couvrent la moitié de la surface. Plusieurs situations liées à la viabilité de l'exploitation de Vincent Deschandol sont évoquées : le contexte dans lequel évoluait son exploitation lors de son installation ; les débouchés de certaines de ses plantes aromatiques ; l'entretien de petites terrasses ou le choix de cultures sur bâches ; la livraison de végétaux à la coopérative Vivaplantes, située à Mercuer. Cependant, alors que la production de plantes à parfum est, en France, un secteur très dynamique et en pleine croissance (7% des PPAM sont bio, alors que la surface totale consacrée à ce mode de culture dépasse à peine 2%), Vincent Deschandol, pour compléter son revenu, travaille 10 heures par semaine à Vivaplantes.
![]()
![]()
Auswirkungen einer Ausdehnung des Öko-Landbaus in der Europäischen Union : Neue Forschungsergebnisse
Une thèse de troisième cycle examinait les résultats possibles d'une augmentation distincte de l'agriculture biologique dans l'Union Européenne. Particulièrement, les conséquences pour la structure de la production agricole et les effets sur le marché ont été déterminés ainsi que les effets environnementaux.
![]()
![]()
Autonomie des exploitations agricoles et conséquences environnementales : Etude d'un indicateur
Martin BORTZMEYER, Auteur ; Adriana RAVEAU, AuteurL'autonomie d'une exploitation agricole désigne sa capacité à limiter le recours à des produits achetés sur les marchés de fournitures agro-industrielles (intrants), souvent sources d'impacts négatifs sur l'environnement. Pour autant, le ration des intrants sur le chiffre d'affaires peut-il caractériser une exploitation plus autonome et ainsi plus respectueuse de l'environnement ? L'étude sur deux filières spécialisées en lait et en céréales montre que ce ratio, faisant intervenir les prix, des intrants et des productions, est avant tout un indicateur de performance économique. Il peut éventuellement aider à discerner les exploitations exerçant une moindre pression environnementale, c'est-à-dire peu utilisatrices d'intrants par hectare, mais ce n'est pas systématique. Ces résultats conduisent à discuter la construction de ce ratio en tant qu'indicateur d'autonomie ou de dépendance et à proposer des pistes d'amélioration. Le document se présente comme suit : - Un ratio retenu pour sa simplicité ; - Un ratio de performance économique... ; ... qui peut révéler une moindre consommation d'intrants, mais pas systématiquement ; - Une analyse du ratio sur deux filières ; - Pour les Bovins lait : le ratio révèle à la fois l'efficience et la sobriété... ; ... mais il peut pénaliser des régions peu productives ou valorisant mal le lait ; - Approche régionalisée pour la filière Céréales ; - En IDF (Ile-de-France), à la fois critère de sobriété et de chiffre d'affaires plus important ; - En Midi-Pyrénées, le ratio ne permet pas de distinguer les exploitations les plus sobres ; - Meilleure production et meilleure valorisation monétaire ; - Un ratio à aménager pour le rendre plus pertinent. Un encadré présente le réseau d'information comptable agricole (RICA) et la classification par Otex.
![]()
![]()
L'autre façon de voyager
Il est difficile de cerner ce qu'est le tourisme responsable, mais, quoi qu'il en soit ,il s'oppose à l'industrie du tourisme dont le maître mot est rentabilité. Pour moraliser le tourisme, des initiatives officielles ont été prises comme la création de chartes pour un tourisme durable ou d'un label pour une éthique du tourisme. Mais ces chartes internationales ou françaises n'imposent aucune contrainte aux tour-opérateurs et l'idée d'un label, amorcée par le Ministère français du Tourisme, en 2002, a été abandonnée. Cependant, ces initiatives dénotent une prise de conscience car le tourisme classique (celui du forfait tout compris) est prédateur pour les pays du Sud. Une association australienne s'est d'ailleurs engagée dans la certification de complexes hôteliers qui améliorent leurs pratiques environnementales et sociales. Mais la mesure reste coûteuse. Aussi, les réseaux associatifs impliqués dans le tourisme responsable doivent se faire connaître car 66% de personnes interrogées se disent intéressées : des organisations se structurent et offrent des solutions alternatives. C'est le cas avec l'ATES (Association pour un Tourisme Equitable et Solidaire), qui s'est organisée autour de valeurs fondamentales, comme l'implication des populations locales, le respect de leur culture et de la nature, la répartition plus équitable des ressources générées par le tourisme... C'est également le cas avec ATR (Agir pour un tourisme responsable), qui s'est engagée dans la création d'un label.
![]()
![]()
La baisse des tarifs est effective
REUSSIR BOVINS VIANDE, AuteurDans un arrêté publié au Journal Officiel du 5 mars 2011, le gouvernement a confirmé la baisse du tarif de rachat de l'électricité photovoltaïque. En ce qui concerne les agriculteurs, les panneaux intégrés au bâti verront leur tarif de rachat démarrer à 35,2 c/kWh pour les installations de petite taille (9kWc) et passer à 12 centimes au-delà. En intégration simplifiée, le tarif est fixé à 30,35 c/kWh pour les installations de moyenne puissance (36 kwc au maximum), puis il est dégressif. Chaque trimestre, la Commission de régulation de l'énergie (CRE) les révisera à la baisse afin de les adapter aux diminutions de coûts du matériel. Cette décision va inévitablement se traduire par une baisse sensible du nombre d'installations. Jean-Louis Bal, président du syndicat des énergies renouvelables (SER), précise, en termes chiffrés, le net ralentissement prévu pour 2012 (ralentissement des nouveaux investissements du fait du plafonnement à 500 MW par an et du fait de la mise en place d'une procédure d'appel d'offres sur 60 % de ce total...). Cependant, selon lui, pour l'avenir, si l'intérêt d'investir dans le photovoltaïque s'est sensiblement réduit, il ne faut pas pour autant tirer un trait définitif sur l'éventualité d'un investissement.