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ECONOMIE DU TOURISMESynonyme(s)economie touristique |


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La bio en France en 2014
BIO-LINEAIRES, AuteurEn 2014, selon l'Agence Bio, les ventes de produits biologiques en France ont progressé dans tous les circuits de distribution. D'après les premières estimations, pour la même année, les surfaces cultivées en bio aurait augmenté de 4 % par rapport à 2013, et le nombre de producteurs aurait plus que doublé depuis 2007 (+ 4 % par rapport à 2013). Pour 2014, cela représente plus de 2000 nouveaux producteurs engagés en bio. Concernant la transformation, ce sont plus de 900 transformateurs nouvellement engagés en bio (hors transformateurs à la ferme), avec un dynamisme particulier pour la fabrication artisanale de pain bio et l'élaboration de vin bio. D'autres chiffres sont disponibles dans cet article, notamment concernant les motifs de conversion ou d'abandon du bio, la répartition de l'activité principale des nouveaux transformateurs engagés en bio en 2014, ou encore la répartition du chiffre d'affaires global des magasins bio entre les différentes catégories de produits (l'alimentaire représente, à titre d'exemple, 68 % du CA global de l'ensemble des magasins bio français).
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Le bio en GMS : une croissance qui s'essouffle pour la première fois !
Ingrid CUGNIERE, AuteurDepuis le début de l'année 2019, le bio ne cesse de progresser en GMS (+ 21,6 %), mais cette croissance tend à s'essouffler, comparé à la croissance de + 23,1 % en 2018 vs 2017. Tous les rayons du PGC-FLS (Produits de grande consommation - Frais libre-service) ont progressé. A noter que, dans 4 rayons, le bio progresse, alors que le conventionnel non : hygiène, épicerie salée, épicerie sucrée et spiritueux-champagnes. Selon l'institut IRI, le bio devrait atteindre 7 % du chiffre d'affaires alimentaire d'ici 2021.
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Bio PGC FLS : les GMS accélèrent en ce début d'année
BIO-LINEAIRES, AuteurLes ventes bio pèsent 3,9 % du chiffre d'affaires des produits de grande consommation et du frais libre-service (PGC FLS) des grandes surfaces à fin février 2018 (3,2 % en début d'année 2017). Fin février 2018, la croissance du bio s'établissait à + 23,3 % (contre 21,9 % à fin février 2017), pour un chiffre d'affaires de 622 millions. Le drive et les Enseignes à Dominante Marques Propres (EDMP) enregistraient les plus fortes croissances sur ces deux premiers mois pour le bio PGC FLS. Une croissance record du bio est à noter dans les rayons entretien.
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Le Bio PGC-FLS (Produits de Grande Consommation - Frais Libre-Service) en GSA (Grande Surface Alimentaire) : une forte croissance soutenue par une offre encore plus importante...
BIO-LINEAIRES, AuteurSur les 4 premiers mois de 2018, alors que le chiffre d'affaires des produits de grande consommation et du frais libre-service (PGC-FLS) a stagné à + 0,3 %, la part de marché du bio a poursuivi sa croissance dans tous les formats de la Grande Surface Alimentaire (GSA) pour atteindre 4 % du chiffre daffaires.
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Bio Suisse : Le bio en chiffres 2017
Fin 2017, 6 423 producteurs de Suisse et du Liechtenstein travaillaient selon le Cahier des charges de Bio Suisse (279 de plus quen 2016), correspondant à 13,6 % de l'ensemble des fermes. Les denrées alimentaires bio ont aussi atteint un record en réalisant un chiffre d'affaires de plus de 2,7 milliards de Francs suisses et une part de marché de 9 %. C'est en Suisse romande que la progression a été la plus forte. Sont présentés les chiffres d'affaires et les parts de marché, qui ont progressé pour toutes les catégories de produits.
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Bio Suisse : Conférence de presse du 27 mars 2008
Lors de sa conférence de presse annuelle, Bio Suisse a présenté les principaux chiffres de l'agriculture biologique suisse. L'an dernier, les ventes de produits bio se sont accrues de 7,7% pour atteindre près de 1,3 milliard de francs suisses. Le marché des aliments bio a ainsi enregistré une croissance plus de deux fois plus élevée que le marché alimentaire global (3%). La progression est particulièrement frappante en Romandie où les ventes bio se sont accrues de 9%. La surface agricole cultivée de manière biologique a également augmenté de 2000 hectares. Bio Suisse envisage l'avenir avec confiance. Le marché pourrait absorber aisément quelques centaines de fermes biologiques supplémentaires. Le dossier de presse de la conférence se présente comme suit : - Résumé pour les médias : "Le Bio en plein essor - aussi en Suisse romande" ; - Illustrations : nombre des entreprises agricoles selon le nombre et la surface en 2007, chiffre d'affaires des produits bio sur plusieurs années et selon le mode de commercialisation, parts de marché de différents produits bio ; - Exposés : Markus Arbenz : "Le bio vit un nouvel essor", Jürg Schenkel : "Un Bourgeon à croix Suisse", Markus Weber : "Le vin suisse bio - des débuts difficiles à un produit de qualité". Le dossier complet de la conférence de presse annuelle est téléchargeable à l'adresse : http://www.bio-suisse.ch/fr/bioinzahlen.php.
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Bio Suisse : Rapport annuel 2008
BIO SUISSE, Auteur ; Urs BRÄNDLI, Auteur | BÂLE (Peter Merian-Strasse 34, CH-4052, SUISSE) : BIO SUISSE | 2009Après un éditorial sur l'accord de libre-échange avec l'Union européenne dans le domaine agroalimentaire (ALEA) et l'engagement de Bio Suisse (lancement de la stratégie de qualité, nécessité d'un intense travail politique...), le rapport annuel 2008 de Bio Suisse (Association suisse des organisations d'agriculture biologique) présente le bilan de son action en faveur de l'agriculture biologique : - Marché bio suisse (forte croissance au cours d'une année agitée) ; - Association (le combat pour des conditions-cadre) ; - Assurance et développement qualité (1 054 nouveaux produits Bourgeon) ; - Bilan et recettes 2008 (augmentation des recettes et de l'efficacité, bilan au 31 décembre 2008, comptes d'exploitation pour la période du 1er janvier au 31 décembre 2008) ; - Marketing (de nouveaux comportements et l'origine suisse soutiennent le marché bio) ; - Marché laitier (de grands défis persistent, malgré la bonne croissance).
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Bio Suisse : Rapport annuel 2010
Comme présenté dans son éditorial, Bio Suisse a, en 2010, mis l'accent sur l'encouragement à la diversité, profitant de l'année officielle de la biodiversité. La fédération l'a fait de diverses manières : ouverture de fermes Bourgeon à de nombreux visiteurs, dans le cadre des Journées portes ouvertes dans les fermes bio ; projet « Encourager de la biodiversité dans les fermes Bourgeon » lancé pour trois ans ; préparation de la base d'une nouvelle directive pour la biodiversité. Le rapport annuel 2010 de Bio Suisse met l'accent sur plusieurs aspects : révision de son cahier des charges pour qu'il garantisse un haut niveau de biodiversité dans les fermes Bourgeon ; nouvelle directive en faveur de l'équité commerciale ; communication de Bio Suisse porteuse, puisque 66 % des consommateurs suisses connaissent le Bourgeon (la plus forte des marques indépendantes en Suisse) ; intérêt des médias pour Bio Suisse... ; influence de Bio Suisse sur la réforme de la formation professionnelle agricole en réalisant l'"Ecole Bio" ; traitement de 70 cas de résidus dans les produits Bourgeon (pour la plupart, traces dues à des contaminations croisées involontaires) ; progression du marché bio ; résolution des problème structurels du commerce spécialisé ; à l'importation, les produits étrangers ne peuvent obtenir une attestation de reconnaissance Bourgeon que s'ils respectent le cahier des charges et la politique d'importation de Bio Suisse ; produits transformés ; conversion ; politique agricole... Une présentation du bilan et des comptes de Bio Suisse, ainsi que de l'organisation termine le rapport annuel.
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Les biocarburants stimulent le revenu des céréaliers
Des simulations de l'INRA montrent que, d'ici à 2013, l'essor des biocarburants permettrait de compenser des pertes de revenu dues à une réforme de la PAC ou un accord à l'OMC.
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Biocoop assoit son modèle et étend son réseau
LSA, AuteurLe leader historique de la distribution de produits bio en France a vu son chiffre d'affaires progresser de 13,4% en 2014. Il a également accentué le développement de son réseau avec 17 ouvertures cette même année, et compte désormais un parc de 357 magasins. Biocoop propose 7 400 références, dont 80% pour l'alimentaire. Claude Gruffat, président de l'enseigne, souligne l'aspect militant du concept. Il estime à 8 000 ha la surface cultivée en bio nécessaire pour couvrir l'ensemble des besoins du réseau, en plus des 100 000 ha existants. Pour lui, c'est une façon d'encourager les conversions. Le modèle de gouvernance de l'entreprise s'appuie sur un conseil d'administration réunissant les magasins, les producteurs, les 3 450 salariés et l'association Bio Consom'acteurs.
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Biodynamistes en Norvège
Jean-Michel FLORIN, AuteurAu nord d'Oslo (Norvège), la ferme de Fokhol est un grand domaine collectif acquis dans les années 1990. Actuellement, l'ensemble du domaine avec les terres, les bâtiments, les animaux et les machines appartient a une fondation d'intérêt général sans but lucratif (recherche et formation). Inge y est responsable de la maison d'accueil et du jardin potager avec son verger ; Rune, l'agriculteur, est chargé des cultures de base (rotation de 3 années de légumineuses-graminées, 1 an de seigle, 1 an d'épeautre à laquelle s'ajoutent des légumes de plein champ, le travail est effectué avec des chevaux ardennais). Sigune, la vachère, a un troupeau de vaches de race rouge de Norvège. Morten, le mari de Sigune, travaille à collaborer avec les voisins et aussi à faire connaître la bio-dynamie au grand public. Le chiffre d'affaires global de la ferme est d'environ 400 000 euros par an. Près d'Hamar, au nord d'Oslo, Benthe Pünther et Gertjan Snaijer élèvent, sur la chèvrerie artisanale de « Ommang », des chèvres et des vaches : le rendement global du fromage et du fromage brun (spécialité norvégienne produite avec du petit-lait) atteint environ 20 %. Le lait de chèvre est transformé sur place, une partie du lait de vaches est commercialisée en bio à la laiterie proche. La commercialisation est faite en vente directe ; une sorte d'Amap a été créée. Dans une région plus élevée de Norvège (entre Oslo, Trondheim et Bergen), Ola Aukrust est installé sur un domaine de 15 ha de surface labourable, avec des pâtures, de la forêt et des alpages sur lesquels sont élevées 15 vaches laitières avec un quota laitier de 75 000 litres. Outre les vaches laitières, Ola et sa femme ont développé du maraîchage et la production de plantes médicinales. Ola s'est également impliqué dans la mise en place d'une commercialisation de produits de terroir de la vallée de Gudbrandsdalen, et a construit une nouvelle maison culturelle, sur son site, dans le cadre des fermes culturelles Gudbrandsdalen.
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Biolait sourit à nouveau
Arnaud MONNIER, AuteurAvec 232 producteurs adhérents sur 48 départements, Biolait est aujourd'hui le premier collecteur indépendant de lait bio. Cette société collecte 40 millions de lait bio, soit 16% de la production française, et vise la collecte de 70 millions de lait bio par an, d'ici 2013. La société créée en 1994, travaille, via ses adhérents, à convertir de nouveaux éleveurs au bio en leur assurant que leur lait sera valorisé comme tel. Pour ses clients industriels, faire appel à Biolait permet notamment de pallier le manque de lait. Si 20% d'entre eux, comme Sodiaal, viennent compléter leur propre production, la grande majorité vient chercher la totalité de ses besoins en lait bio. Et comme ceux-ci augmentent, Biolait envisage l'avenir avec davantage de sérénité qu'au début des années 2000. L'article revient sur la situation de la société (chiffre d'affaires, potentiel de collecte et accent mis sur les conversions, contrat d'engagement d'une durée de cinq ans, contrat tripartite avec Bioccop).
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Le bon coup du lapin!
C'est l'expérience d'un couple et de ses trois enfants qui quittent Paris pour Pontchardon (Orne). Ils vont créer un élevage de Lapin Normand certifiés Agriculture Biologique. Présentation de leur parcours, de l'innovation de leur projet et de leur avenir.
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Au bonheur des plantes
Stéphane PERRAUD, Auteur ; Nadia FARGEIX-BONDIA, AuteurLa surface cultivée en plantes aromatiques et médicinales (ppam) a crû d'un tiers ces quinze dernières années, dopée par une demande croissante du public. Sur les 35 000 hectares cultivés dominent le lavandin, la lavande et la sauge sclarée, les trois principales plantes à parfum (20 000 ha), ainsi que le pavot (10 000 ha). La France en importe massivement des pays de l'Est, du Maghreb et de Chine. Il existe pourtant un potentiel avec 1 500 plantes recensées, mais 250 seulement sont régulièrement commercialisées Le chiffre d'affaires des plantes aromatiques et médicinales est évalué à 85 millions d'euros par an. Les principales zones de production se trouvent en Rhône-Alpes et en Provence Alpes Côte d'Azur et progressent dans l'Ouest, les Cévennes et l'Auvergne. Mais, comme le précise Nadine Garcia, responsable de la cellule "marché des ppam" à FranceAgriMer, on peut s'installer partout. L'article expose comment devenir producteur et vivre des débouchés en plantes aromatiques et médicinales. Cette dynamique attire de nouveaux candidats à l'installation majoritairement en bio. Ainsi sont présentés des témoignages de producteurs en plantes aromatiques et médicinales, installés en agriculture biologique : Sabine Couvent qui cultive des plantes médicinales et tinctoriales en bio avec l'aide de ses ânes, à La Bégude-de-Mazenc (Drôme) ; Le Groupement d'intérêt économique "Plante Infuse" qui réunit des producteurs de plantes, à Saint-Croix-Vallée-Française (Lozère). En outre des points sont faits sur : le métier de cueilleur, la part du bio, se former, le statut d'agriculteur...
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Bovins allaitants : Quel sera l'impact sur mon système si je passe en bio ?
Mathilde SCHRYVE, Auteur ; Christèle PINEAU, Auteur ; Baptiste CORNETTE, Auteur ; ET AL., Auteur | BOURG LES VALENCE Cedex (Chambre d'Agriculture de la Drôme, 145 Avenue Georges Brassens - CS 30418, 26 504, FRANCE) : TECH&BIO | 2020Présenté lors du Rendez-vous Tech&Bio Élevage, qui s'est tenu les 9 et 10 septembre 2020 en Bourgogne-Franche-Comté, ce diaporama s'appuie sur des références technico-économiques issues de plusieurs sources - dont le suivi de plusieurs fermes réalisé dans le cadre du projet BioRéférences, piloté par le Pôle Bio Massif Central. Il a pour but d'apporter des réponses aux questions que des éleveurs de bovins viande peuvent se poser dans le cadre d'une conversion à l'agriculture biologique : - Est-ce qu'on gagne mieux sa vie en bio qu'en conventionnel ? ; - En Bourgogne-Franche-Comté, quelles sont les différences entre les élevages allaitants bio et les autres ? ; - Qu'est-ce qui peut limiter les résultats de mon exploitation ? ; - Pourquoi les élevages allaitants régionaux ont-ils de meilleurs revenus en AB ? ; - Est-ce que ma situation financière sera plus saine si je passe en bio ? ; - Comment se situerait ma productivité du travail à l'ha par rapport à un système conventionnel ? ; - Quels sont les leviers que je peux activer pour améliorer mon revenu ? ; - ainsi que diverses questions sur les aspects liés au matériel agricole et à la mécanisation.