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1 Français sur 2 consomme régulièrement bio
BIO-LINEAIRES, AuteurC'est ce qu'indique la 11ème édition du baromètre de l'Agence Bio / CSA 2014 : 49% des Français consomment bio au moins une fois par mois. Le développement de la consommation de produits bio est une tendance de fond. On notera, par ailleurs, que les consommateurs connaissent relativement bien les caractéristiques générales des produits bio, c'est-à-dire le fait que ce sont des produits définis comme "sans traitement et sans additif" par exemple. Les Français réclament cependant d'en savoir davantage, et attendent, en particulier, des informations sur l'origine des produits, sur le mode de production, et sur les contrôles. L'étude a permis également de connaître les principales catégories de produits les plus consommées en bio, et de cerner les raisons principales des consommateurs pour se tourner vers les produits bio, ainsi que les facteurs déterminants pour en consommer davantage.
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10 signaux prouvant que la transition agricole et alimentaire a commencé
En 2016, lagriculture responsable a gagné du terrain, les Français ont consommé de plus en plus responsable, la restauration a amélioré ses pratiques et les nouveaux modes de distribution (circuits courts, supermarchés coopératifs) ont progressé... Sur tous les fronts, on constate des avancées qui ne peuvent plus être ignorées. WWF France présente 10 signaux démontrant que la transition agricole et alimentaire est déjà à luvre. Selon lorganisation, il existe, en France, une partie de la population composée d'agriculteurs, de consommateurs, de collectivités locales, de producteurs et dentreprises qui mènent déjà, à leur échelle, la transition vers un nouveau modèle agricole et alimentaire.
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100 arguments en faveur de l'agriculture biologique
Ce document, édité par l'Institut de recherche de l'AB suisse, présente 100 arguments en faveur de l'agriculture biologique, en fournissant, pour chacun, plusieurs références documentaires issues de résultats scientifiques, mais aussi d'ordonnances et de cahiers des charges biologiques suisses. Les arguments sont regroupés sous 16 thématiques : - Le bio est vraiment bio ; - Le bio est cohérent ; - Le bio est plus sûr ; - Les produits bio sont différents ; - Les produits bio sont plus riches ; - Le bio travaille sans manipulations génétiques ; - Les animaux bio vivent mieux ; - Moins de médecine conventionnelle pour les animaux bio ; - Le bio favorise la biodiversité ; - Le bio prend soin du sol ; - Le bio protège l'eau, les cours d'eau et les lacs ; - Le bio économise l'énergie ; - Le bio est bon pour le climat ; - Le bio est social ; - Le bio fournit des plus-values sociétales ; - Le bio est important pour l'alimentation du monde.
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100 réflexes bio : Alimentation, cosmétiques, mode, maison, enfants : Vivre bio, c'est facile !
Après une introduction sur les bonnes raisons de "vivre bio", ce livre qui donne des indications sur les réflexes à adopter est organisé comme suit : - Bio dans l'assiette (je suis les labels à la trace, je traque les OGM, je m'abonne à un panier de fruits et légumes hebdomadaire, le mange local et de saison...) ; - Tout beau, tout bio (je parle l'Inci - International Nomenclature of Cosmetic Ingredients - couramment, je repère les labels cosmébio...) ; - Bio du sol au plafond (j'aère ma maison, je purifie l'atmosphère avec les difuseurs d'huiles essentielles...) ; - Le bio dès le berceau (mon régime femme enceinte, je m'habille coton bio...) ; - Chic et bio (j'apprends par coeur les chiffres de la culture du coton, je suis les labels, je choisis les bonnes matières...) ; - s'informer bio (je passe au salon bio, je m'inscris dans un café vert...).
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Le 12ème Baromètre Greenflex : Tous acteurs ! Les Français et la consommation responsable - Edition 2017
Greenflex présente les résultats dune étude réalisée sur un échantillon représentatif de la population française de 3 800 personnes de 15 à 74 ans et visant à mesurer l'évolution de la consommation responsable. Les tendances 2017 exposées concernent les préoccupations des consommateurs (pollution, réchauffement climatique, bien-être animal...), leur vision de la consommation responsable, leur avis sur l'importance des différents acteurs pour agir concrètement en faveur du développement durable (entreprises, individus, État, distributeurs), leurs attentes vis-à-vis des entreprises (offre de produits plus sains, étiquetage, éthique...), et les différents profils de consommateurs avec leurs caractéristiques.
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12ème forum végétable : Alimentation et attentes sociétales : La bio fait partie de la solution
Claire BOUC, Auteur ; Franck JOURDAIN, AuteurLe 9 avril 2019, se tenait le 12ème Forum végétable sur le thème « La bio est-elle la réponse ? », au cours duquel 175 participants ont pu écouter les interventions de 16 experts. Cet article revient sur certains messages clés issus dacteurs de laval (notamment de grandes enseignes ou de la restauration collective) ou de lamont. Si, pour tous, lAB fait bien partie de la solution pour répondre aux attentes sociétales en matière dalimentation, les défis restent nombreux dans un contexte de forte augmentation de la consommation de produits bio, avec une question clé : Comment faire de lAB un succès sur le long terme et que lon ne reproduise pas le modèle actuel très concurrentiel, visant à baisser les prix, quitte à ne pas payer au juste prix les producteurs ? De plus, il existe de nombreuses démarches pouvant concurrencer lAB, au moins brouiller son message, comme le « sans pesticide/résidu ». Avoir une démarche claire et cohérente (traduite dans le cahier des charges), viser lexcellence et la qualité, sappuyer toujours plus sur des logiques agroécologiques (« les fondamentaux de la nature »), favoriser les produits bio locaux, travailler sur la notion de haute valeur environnementale (notamment en matière de packaging), respecter le travail des agriculteurs, bien communiquer, travailler à garder la confiance du consommateur , autant de chantiers pour relever le défi dune bio durable répondant aux demandes des consommateurs. Ainsi, pour lun des intervenants à ce forum, « si lagriculture prouve que ses produits sont bio, locaux, et bons, le pari dune alimentation durable sera gagné ».
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1964, les silences des campagnes
Céline PESSIS, AuteurL'auteur est historienne, spécialiste de la genèse de l'écologie dans la France d'après-guerre. Elle revient ici sur quelques faits marquants des années 60. En 1962, est publié "Silent Spring" par Rachel Carson, biologiste américaine, qui met au grand jour l'empoisonnement des chaînes alimentaires et des écosystèmes par les dérivés d'armes chimiques développés pour la Seconde Guerre mondiale, et promeut les méthodes de lutte biologique. En 1963, les instances étatiques françaises réaffirment la fiabilité du système d'homologation des pesticides de l'époque. Dans le même temps, les lois agricoles planifient la modernisation des exploitations familiales "rentables" et le délestage de celles jugées "archaïques". L'article développe l'enchaînement des actions et déclarations qui ont traversé les années soixante et transformé la production céréalière, puis l'élevage, avec les industries agro-alimentaires en moteur du processus d'industrialisation de l'agriculture. La société de consommation qui se développe marginalise et déclasse des paysans devenus non-compétitifs, et qui tenteront de résister. Certains d'entre eux deviendront les premiers praticiens de l'agriculture biologique. Les premières structures de promotion de la bio s'emploient à connecter cette petite paysannerie avec les préoccupations de médecins, hygiénistes, agronomes et naturalistes sensibilisés.
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1ères Rencontres des Grandes Cultures Bio - 24 novembre 2016 - Paris : Recueil de communications
Pascal GURY, Auteur ; Florent GUHL, Auteur ; Laurent BEDOUSSAC, Auteur ; ET AL., Auteur | PARIS CEDEX 12 (149 Rue de Bercy, 75 595, FRANCE) : ITAB (Institut Technique de l'Agriculture Biologique) | 2016Les 1ères Rencontres des Grandes Cultures Bio, organisées par l'ITAB, ARVALIS - Institut du Végétal et Terres Inovia, ont eu lieu le 24 novembre 2016, à Paris. Au sommaire de ce Recueil de communications : INTRODUCTION : - Le développement des grandes cultures bio : pour quels marchés ? ; - Les produits de grandes cultures biologiques au cur de la consommation alimentaire biologique. ASSOCIATIONS CÉRÉALES-LÉGUMINEUSES : - Performances et fonctionnement des associations céréales-légumineuses ; Quand chercheurs, coopérative et agriculteurs travaillent ensemble pour améliorer la production de la lentille par le biais des associations ; - Principes techniques pour conduire une association céréales-protéagineux ; - Association d'espèces : retour d'expérience de la CORAB, coopérative biologique. SOJA POUR L'ALIMENTATION HUMAINE ET ANIMALE : - Atouts et contraintes de la production de soja biologique en France ; - Transformer du soja biologique : les attentes d'un Fabricant d'Aliments du Bétail (FAB) ; - Transformer du soja biologique pour l'alimentation humaine : témoignage d'un acteur français. BLÉS PANIFIABLES : - Produire du blé bio pour répondre à la demande en pain bio : les attentes d'un meunier ; - Impact de l'insertion de légumineuses dans les systèmes de culture et de la fertilisation organique sur le couple rendement-teneur en protéines du grain de blé en AB ; - Analyse de la qualité des variétés de blé cultivées en AB ; - Du producteur au consommateur pour développer une filière de pain bio locale : l'exemple de la Provence. Les diaporamas de ces interventions sont en ligne à l'adresse : http://www.itab.asso.fr/publications/colloque-gc2016.php.
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2014 : L'environnement en France : Les grandes tendances
Ce document est la synthèse de l'édition 2014 du rapport sur l'environnement en France. La connaissance des milieux naturels a progressé grâce à l'observation et à la recherche. L'état de l'environnement demeure préoccupant, son évolution incertaine. Dans ce document, sont tout d'abord présentés des éléments de connaissance sur l'eau, l'air, les sols, la biodiversité, les ressources naturelles, les risques naturels. Puis, sont exposées certaines actions visant à améliorer l'état de l'environnement, initiatives locales et solutions à long terme.
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2017 : la consommation de produits bio poursuit sa croissance...
BIO-LINEAIRES, AuteurEn 2017, en France, le marché bio a connu une évolution de + 17 % pour dépasser les 8 milliards d'euros de chiffre d'affaires. Les surfaces bio ont augmenté de 15,6 %. Cet article présente les chiffres clés de cette progression : évolution du chiffre d'affaires par circuit de distribution de 2011 à 2017, répartition des achats de produits bio par les ménages français en 2017 (catégories de produits, valeur), répartition des ventes de produits par circuit de distribution. Le développement des ventes de produits bio est surtout rapide dans la GMS, qui a développé ses propres gammes bio. Néanmoins, les magasins spécialisés restent le premier circuit de distribution des fruits et légumes bio.
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2018 : Stagnation des importations bio en France
BIO-LINEAIRES, AuteurSelon l'Agence BIO, en 2018, 69 % des produits bio consommés dans l'Hexagone ont été produits en France. 31 % de ces produits ont donc été importés, contre 29 % en 2016. Un tableau présente l'origine des approvisionnements selon les produits bio, en 2018.
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280 ha en Marais Poitevin : Denis Gautronneau, vétéran de la bio
Agriculteur et transformateur bio, prestataire de service en travaux agricoles, membre fondateur de la Corab, coopérative céréalière bio en Charente-Maritime, Denis Gautronneau est installé près du Marais Poitevin. Il mène sa barque depuis près de 40 ans dans une des plus grandes exploitations du département. Parcours et points de vue sur l'actualité.
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2èmes Assises de l'Industrie Alimentaire : 20 mars 2008 : Etude sur : Les Français et l'alimentation : "Principaux enseignements du sondage réalisé par TNS Sofres pour l'ANIA les 20 et 21 février 2008" & "Impacts pour les industriels : le point de
Les critères de la consommation alimentaire des Français évoluent. D'abord, le lien entre une alimentation variée, saine et équilibrée et la santé est clairement fait. Mais, tout en retenant la responsabilité individuelle vis-à-vis de l'obésité, les Français considèrent que l'industrie alimentaire a un rôle à jouer et une responsabilité dans le domaine de la santé. Pour l'heure, les industries alimentaires bénéficient d'un bon capital de confiance : 77% des consommateurs sont satisfaits de la sécurité des produits alimentaires et ils jugent positivement l'offre de produits (variété, goût, facilité de préparation, valeur nutritionnelle, information). En revanche, les trois quarts des consommateurs sont mécontents de l'augmentation des prix alimentaires. Le prix est le premier élément de choix lors de l'achat. Il est suivi par la date de péremption (71%), puis par la provenance (34%,) la composition nutritionnelle (29%), les ingrédients (27%) et un label de qualité (25%). L'origine biologique (16%) vient après la marque (20%) mais elle entre dans les nouveaux " attributs de qualité " avec l'impact environnemental. La redéfinition du "bien manger" vise l'équilibre entre bon, sain et juste. Ainsi, 71% des consommateurs se disent prêts à payer plus cher un produit régional, 66% un produit qui a des garanties écologiques, 64% un produit 100% français. Un sur deux affirme privilégier un produit issu du commerce équitable ou d'un fabricant qui soutient une cause humanitaire. Les consommateurs affirment être prêts à payer plus cher un label de qualité. L'innovation n'est plus un critère de choix. Enfin, l'étude souligne la nécessité pour les industriels de "sortir de la banalisation des marques" et pour cela de "tirer parti" des niches.
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35 questions sur la biodynamie à l'usage des amateurs de vin : 2ème édition
Alors que le monde du vin entend de plus en plus parler de la biodynamie, la confusion continue de régner autour de cette pratique connue surtout pour suivre les influences de la lune et des planètes. Pourtant, cette agriculture au plus proche de la nature vise avant tout à intensifier les échanges entre la plante et son environnement pour améliorer la qualité du raisin, et donc du vin. L'auteur, lui-même viticulteur en biodynamie, fait la part des choses entre le vrai et le faux. À travers 35 questions, il propose un tour d'horizon à la fois scientifique et passionné de cette méthode de culture qui peut intéresser les amateurs de vin comme les néophytes curieux : Quelle est la différence entre biologique et biodynamique ? La biodynamie est-elle scientifique ? Les vins biodynamiques sont-ils meilleurs que les autres ?...
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9è Rencontre technique CTIFL/ITAB Fruits Biologiques : Diversité de connaissances et de systèmes
Muriel MILLAN, Auteur ; Claude-Eric PARVEAUD, AuteurLa 9ème Rencontre technique Fruits Biologiques, coorganisée par le CTIFL et lITAB, sest tenue le 28 mars 2019 au centre CTIFL de Balandran (Gard). Ce rendez-vous bisannuel, dédié aux professionnels de larboriculture bio, a réuni plus de 138 participants. Il a permis de faire le point sur les dernières connaissances scientifiques et techniques, qui permettront peut-être de lever certains verrous au développement de la production de fruits l'état des lieux du marché, le lien entre la consommation de produits bio et la santé humaine, les stratégies de diversification, ainsi que des points relatifs à lagronomie, à la réglementation et à la conservation. Cette journée sest clôturée par une visite du verger biologique du projet ALTO, situé sur lexploitation de Balandran.