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L'aliment bio s'invite sur les marchés mondiaux
Une enquête de l'IFOAM, réalisée dans 120 pays, dresse un état de la situation de l'agriculture biologique dans le monde : pourcentage des terres agricoles consacrées à l'agriculture biologique, nombre d'exploitants, taux de progression des surfaces utilisées en agriculture biologique, rapport production/demande à travers les produits laitiers, taux de consommation des produits bio, spécificité du marché britannique.
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An overview of the biodynamic wine sector
Alessandra CASTELLINI, Auteur ; Christine MAURACHER, Auteur ; Stefania TROIANO, AuteurLes auteurs de cet article se sont penchés sur la viticulture biodynamique et ses principales caractéristiques, y compris la certification : - caractéristiques de ce marché et tendances ; - coûts de production et stratégies de marketing adoptées par les établissements viti-vinicoles ; - caractéristiques de la demande et perception des consommateurs vis-à-vis de pratiques plus durables et de "produits verts" comme ceux issus de la biodynamie ; - et liens entre la production de vin biodynamique et l'environnement. Les progrès de la recherche ont été mis en avant, ainsi que le potentiel et les besoins de la viticulture biodynamique et, plus globalement, du secteur viti-vinicole.
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Analyse des facteurs qualitatifs d'évolution de la demande
Quelles conséquences a pour les producteurs agricoles et les transformateurs industriels et artisanaux la prise en compte des attentes des consommateurs en matière de qualité et de garantie de qualité ? Confrontés à des attentes multiples de la part des consommateurs, comment les offreurs s'y prennent-ils pour faire converger les caractéristiques techniques de leurs produits et les préférences de consommation qui s'expriment de manière subjective ? Les stratégies visaient jusqu'alors 2 objectifs : signaler la qualité et la garantir. Les stratégies qui se développent sur le marché national, et à l'échelle internationale, recouvrent 3 grandes séries d'enjeux : économiques, juridiques et techniques pour les années qui viennent. Explications.
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Banane Bio - Perspectives plus que favorables
Avec des augmentations de 30% par an depuis quelques années, les importations de bananes biologiques progressent rapidement. Même si les volumes sont encore faibles, les perspectives de développement sont favorables sur les principaux marchés (Europe, Japon, Etats-Unis). Mais les contraintes à la production restent encore nombreuses (Sigatoka noir, fertilité des sols à long terme, pourriture de la couronne) et celles à la commercialisation également, que ce soit au niveau de la logistique ou du prix.
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Bio : Le pari osé de 20% des surfaces
La demande de produits biologiques augmente en France de 9.5% par an et les 2% de SAU actuellement en bio ne suffisent pas à la satisfaire. Pour éviter d'y répondre par des importations et pour relancer la production, le ministre de l'Agriculture a mis en place le plan " Agriculture biologique horizon 2012 ". Un plan ambitieux, mais qui souffre d'un manque de moyens, selon les acteurs qui s'expriment dans l'article, en particulier pour les aides à la conversion et au maintien des agriculteurs bio, véritables points de blocage. Car si les conditions n'ont jamais été aussi favorables, les agriculteurs conventionnels ont toujours du mal à franchir le pas, bloqués par des freins aussi bien psychologiques, que techniques et économiques. Les acteurs des filières de transformation et de distribution évoquent eux la nécessité de se structurer pour répondre au manque de produits et réduire les coûts. Certaines entreprises proposent ainsi un accompagnement technique et économique auprès d'agriculteurs qu'elles poussent à se convertir. L'article présente quatre encarts dont le témoignage d'un arboriculteur bio qui n'arrive plus à satisfaire la demande ; l'exemple d'une caisse de sécurisation pour les éleveurs-engraisseurs de bovins bio mise en place par l'interprofession biologique du Centre ; le transfert de techniques développées en bio vers l'agriculture conventionnelle par le groupement des agriculteurs bio d'Ille-et-Vilaine et enfin, les témoignages de responsables de restaurants collectifs sur les conditions de réussite à l'introduction de repas bio en restaurant collectif, ainsi que leurs opinions sur l'objectif fixé d'y servir 20% des repas en bio d'ici 2012.
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Bio : répondre à la demande
La demande en produits biologiques devrait être multipliée par quatre d'ici à l'an 2001, pour la région Basse-Normandie. Malgré la bonne dynamique des industriels de l'agroalimentaire, en effet le nombre d'entreprises spécialisée dans les produits bio devrait doubler cette année, les reconversions des producteurs en cours n'arriveront pas à la satisfaire. Le décalage demande/production risque ainsi de s'amplifier.
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Biolait : Un 200ème adhérent cinq ans après le lancement
Celà fait maintenant cinq ans que Biolait existe et sa croissance a été fulgurante. Le GIE, premier collecteur de lait biologique en France, vient d'élargir sa zone de collecte à l'Alsace et il compte à ce jour 200 adhérents et collecte 23 millions de litres de lait de vache sur environ cinquante départements (c'est-à-dire près du quart de la production française de lait biologique). Le groupement emploie actuellement 45 salariés et son fonctionnement repose sur une égalité entre les producteurs qui perçoivent le même prix quels que soient la région ou le volume de production. Explications.
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Bionade, la boisson bio qui fait rêver Coca-Cola
Un soda sans alcool et "bio"connaît en Allemagne un immense succès. En 2003, il se vendait à peine 3 millions de bouteilles, contre 70 millions l'an dernier et... 200 millions en 2007. La boisson est distribuée en Suisse, en Autriche, en Scandinavie, au Benelux, en Italie, en Espagne et au Portugal. Elle devrait être bientôt distribuée en Irlande et aux Etats-Unis. Les concurrents se montrent intéressés et la société bavaroise est à un tournant. Elle doit, en effet, s'assurer d'avoir les capacités de production suffisantes pour répondre à la demande.
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Bourgogne - Franche-Comté : Le nouveau moulin de Decollogne opérationnel pour 2011
Christine RIVRY-FOURNIER, AuteurLe Moulin Decollogne, filiale du groupe coopératif Dijon Céréales, a pour projet la construction d'un nouveau moulin, dédié à la bio, à Aiserey (Côte d'Or). Les travaux débuteront au début du second trimestre 2010, l'installation sera opérationnelle pour la moisson 2011. La capacité d'écrasement à l'ouverture sera de 20 000 tonnes, avec possibilité d'accroissement de l'activité. Ce projet s'appuiera sur une coopération interrégionale, avec des partenaires locaux. Dijon Céréales apportera ses compétences et son potentiel de production. L'approvisionnement sera essentiellement de proximité. La réussite de ce projet nécessite donc le développement des surfaces bio (l'objectif serait de convertir 45 000 ha). Pour ce faire, Dijon Céréales promeut la conversion et participe à des travaux sur l'adaptation des variétés au terroir. Ce nouveau moulin, qui a nécessité 5,5 millions d'euros d'investissement, sera équipé à la fois de lignes de production avec des meules de pierre et des cylindres. Il proposera des modes de conditionnement variés, et permettra d'écraser de nombreuses céréales. Cette nouvelle filière permettra donc aux agriculteurs de la région de diversifier leur production, dans un contexte économique favorable à la production de céréales bio.
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Breite Akzeptanz von Blumen aus okologischen Anbau
Les produits alimentaires certifiés biologiques connaissent une adhésion sans cesse croissante de la part des consommateurs, mais qu'en est-il de la demande en plantes d'ornement issues de l'agriculture biologique ? A la demande des autorités de Hamburg, une enquête a été menée auprès de 529 visiteurs sur les neuf marchés bio de la ville. Si 86 % des personnes interrogées acceptent bien ou très bien l'idée de fleurs bio, 40 % sont près à payer ces produits 15 à 30 % plus cher et 45 % avec une différence de prix inférieur à 15 %.
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La CFCA et FCD s'engagent
Signature d'un protocole de collaboration sur l'agriculture biologique entre FCD et la Confédération Française de la Coopération Agricole (CFCA). L'objectif de cette collaboration est la promotion et le développement de la production agricole biologique française, et cela grâce à des filières organisées. Des mesures seront prises en suivant trois axes principaux : - mieux connaître le marché biologique, - mettre en place des partenariats entre les coopératives et les distributeurs, - garantir et améliorer la qualité et la traçabilité des produits.
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Commission technique 2011 en maraîchage biologique du GRAB
Catherine MAZOLLIER, AuteurLe 6 octobre 2011, a eu lieu la Commission technique en maraîchage biologique du GRAB. Cette commission, regroupant des conseillers techniques, des animateurs bio et des expérimentateurs, a pour objectifs de faire remonter les demandes des agriculteurs et de faire connaître les travaux réalisés par le GRAB. L'article comporte un tableau présentant le programme d'expérimentation 2011 du GRAB en 6 thèmes (fertilité, fertilisation, variétés, réduction des besoins en eau, protection des cultures et biodiversité). Un autre tableau recense les demandes des agriculteurs : le manque de références techniques et technico-économiques est toujours mentionné. Concernant les problèmes sanitaires, ils sont une forte préoccupation.
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Conférence "biofuels" aux Pays-Bas : Biocarburants : vont-ils bouleverser la donne ?
Les biocarburants sont en passe de modifier profondément et très rapidement le paysage de l'agriculture mondiale et des marchés des céréales. Les défis qu'ils posent en termes de développement et d'équilibre des marchés sont aussi porteurs d'opportunités nouvelles pour l'industrie de la nutrition animale, grâce notamment à la mise à disposition de nouvelles matières premières, les distillers grains. Un colloque international, organisé le 19 octobre dernier aux Pays-Bas par le Schothorst Feed Research, un centre de recherche spécialisé dans la nutrition animale, a fait le point.
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Contribution de l'ADEME à l'élaboration de visions énergétiques 2030-2050 : Synthèse, 8 novembre 2012
Depuis l'année 2012, l'Ademe a mobilisé ses services techniques et économiques sur l'exercice de prospective énergétique « Vision 2030-2050 » qui est synthétisé dans ce document. Ce travail, réalisé en interne, permet à l'Agence de proposer des scénarios énergétiques et climatiques volontaristes axés sur la maîtrise de la consommation énergétique et le développement de l'offre d'énergies renouvelables. Cet exercice de prospective identifie ainsi une voie possible pour la transition énergétique en France, répondant aux enjeux environnementaux et identifiant les adaptations nécessaires de l'outil de production d'énergie français et les filières de croissance verte. Deux horizons et deux méthodologies distincts « Vision 2030 » et « Vision 2050 » sont d'abord présentés dans un tableau synthétique (méthodologie, objectif, secteurs considérés, indicateurs principaux ). Pour l'une et l'autre de ces visions énergétiques, soit deux scénarios, sont ensuite présentés : - Cadrage macroéconomique et démographique ; - Bâtiment et organisation urbaine ; - Transport et mobilité ; - Alimentation, agriculture et utilisation des sols ; - Industrie et procédés industriels ; - Bilan total de la demande énergétique ; - Production d'énergie renouvelable ; - Eléments environnementaux.
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Dans la Drôme : L'abattoir Carbec passe en certification bio
Pierre-Louis BERGER, AuteurAprès plusieurs mois de réflexion, l'abattoir multi-espèces Carbec (à Romans-sur-Isère, dans la Drôme) et la salle de découpe Romans Viande ont démarré, le 1er mars 2010, une activité certifiée bio, en parallèle à un travail à façon sur la viande conventionnelle. Cette certification résulte d'un marché en croissance et d'une demande de la part des éleveurs bio de cette région de Romans-sur-Isère, mais aussi du Nord de la Drôme. Le syndicat mixte de la Drôme des Collines prend à sa charge, sous forme de subventions, une partie des frais de certification.