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2011 Certified Organic Production Survey
Le département d'agriculture des États-Unis a mené un sondage sur la production certifiée biologique. Le sondage a pour objectif de collecter des données sur les entreprises biologiques aux États-Unis afin d'aider l'Agence de gestion du risque (RMA) du département d'agriculture à mieux connaître le secteur et à améliorer les produits d'assurance destinés aux producteurs biologiques. Le premier sondage en agriculture biologique, réalisé en 2008, a permis de mieux comprendre l'impact économique des entreprises biologiques à l'échelle du pays et à l'échelle des états. Le sondage de 2011 comprend des données sur la superficie, le type et les ventes associées à différentes productions certifiées biologiques. Des informations sur les terres, la participation à des programmes fédéraux ainsi que des pratiques de commercialisation des entreprises biologiques sont également incluses.
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La bio adoptée par trois Français sur quatre mais à petites doses...
Astrid CANEVET, AuteurUne étude, réalisée par le site ma-Reduc.com, dont l'auteur est porte-parole, en collaboration avec l'institut de sondage BVA, présente un certain nombre d'éléments qui caractérisent les comportements d'achats de produits biologiques : - Le bio-consommateur ; - Un penchant pour les fruits et légumes bio ; - La bio : les motivations d'achat ; - Direct au producteur ou en grande surface ?
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Communiqué de presse : L'intérêt des Français pour la viande bio se confirme !
Pour mieux cerner la perception des consommateurs français et leurs attentes concernant la viande bio, la Commission Bio dINTERBEV a réalisé, comme chaque année depuis 2015, une enquête nationale avec le soutien de lIfop. Ce communiqué de presse présente les résultats de cette consultation, qui font ressortir l'image particulièrement positive de la viande bio. Aujourd'hui, ce sont 7 Français sur 10 qui déclarent apprécier la viande bio. Si on observe une stabilisation de la consommation, en revanche, les intentions d'achat sont en hausse, marquant un environnement très favorable à la viande bio en 2017. Les consommateurs de viande bio perçoivent celle-ci comme respectueuse du bien-être animal et bénéfique pour la santé et pour l'environnement. De plus, ils apprécient qu'elle contribue à mieux rémunérer les producteurs et considèrent qu'en consommer relève aussi d'un acte citoyen.
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Des consommateurs de produits bio de plus en plus nombreux
37% en 2003, 44% en 2004 et 47% en 2005 : les consommateurs français sont de plus en plus nombreux à consommer des produits de l'AB, selon une étude de l'Agence Bio rendue publique en février 2006. Cet article donne l'ensemble des chiffres du sondage, qui portait aussi sur le degré de connaissance de l'AB de la part des consommateurs (40% s'estiment bien informés). Si 94% affirment consommer bio " pour leur santé ", ils sont toutefois 84% à évoquer aussi comme raison l'environnement (contre 79% en 2003). Les fruits et légumes arrivent en tête des produits consommés, suivis par les oeufs. 72% achètent au supermarché, mais ils sont 58% à déclarer vouloir un rayon spécifique à la bio. Les consommateurs sont d'accord pour payer en moyenne 11% de plus que pour les produits conventionnels. La restauration collective progresse aussi, avec 700 000 repas en 2005 (70% de plus qu'en 2004).
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Les différences sociales en matière d'alimentation
Céline LAISNEY, AuteurBien que la consommation de masse, la grande distribution et l'industrialisation aient permis la « démocratisation » de nombreux produits alimentaires, des différences sociales persistent en termes d'alimentation. Ces différences concernent la part et le montant du budget alloué à l'alimentation, les produits consommés et leur qualité, mais aussi les lieux d'achat et la relation à la restauration collective. Ainsi, les fruits et légumes, le poisson, le vin et les produits frais sont plus consommés par les ménages les plus aisés, tandis que les plus modestes se tournent vers les féculents (pomme de terre, riz, etc.), les boissons sucrées, la viande et les plats préparés. Les produits bio ou sous label sont plus facilement achetés par les plus aisés, mais le bio se démocratise : en 2010, 52% des personnes disposant de moins de 900 net par mois achètent régulièrement des produits bio contre seulement 20 % en 1995. Les goûts et habitudes alimentaires ont tendance à se diffuser des catégories supérieures vers les plus modestes, surtout entre les classes intermédiaires. On peut donc s'attendre à une diffusion de l'utilisation de produits frais et biologiques, mais cette diffusion restera conditionnée par le budget et le niveau de vie des ménages.
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Dossier : Bio sociétal
Sauveur FERNANDEZ, Auteur ; Cédric ROUSSELET, AuteurCe dossier, intitulé "Bio-Sociétal", comporte les articles suivants : - Bio, RSE et grands enjeux sociétaux : 1 - Introduction : vers de nouveaux paradigmes ; 2 - Le développement durable ; 3 - La RSE (Responsabilité sociétale des entreprises) ; 4 - Les tendances récentes de la RSE ; 5 - Les normes et labels de la RSE ; 6 - L'économie circulaire ; 7 - Bio sociétal : retour aux sources et nouvelle ère. - La prise de conscience : Le premier pas vers la liberté ! (sondage, sur le sujet du développement durable ou de l'économie circulaire, auquel 654 consommateurs ont participé en mars 2016).
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Faits saillants du sondage auprès de la population québécoise sur la consommation de produits biologiques
En 2013, un sondage a été mené auprès d'un échantillon de 730 personnes âgées de 18 et plus sur la consommation des produits biologiques au Québec. Il a été réalisé par la Filière biologique du Québec afin d'analyser la consommation alimentaire biologique au Québec. Selon les données de cette étude, 80 % des répondants sont bien informés des caractéristiques des produits biologiques. Plus de la moitié (56 %) affirment en avoir consommé et 18 % en consomment tous les jours. Les fruits et légumes sont les produits les plus consommés et représentent 93 % de la consommation alimentaire biologique. Les principales motivations pour la consommation des aliments biologiques sont : la santé 82 %, l'économie locale 80 % et le gout 63 %. Le prix demeure l'argument principal pour 53 % des non-consommateurs. Les répondants disent qu'ils comparent régulièrement les prix des produits biologiques aux non-biologiques avant de prendre leur décision d'achat et 83 % considèrent qu'un écart de prix de 20 % au profit des produits biologiques serait acceptable. Les prix restent aussi le meilleur incitatif visant à encourager la consommation du bio (selon 60 % des répondants). La télévision est la première source d'information sur le bio suivie des journaux, magazines et circulaires. Les supermarchés sont le lieu d'achat privilégié, en dépit de la présence des circuits courts. Malgré l'impact positif du bio sur l'environnement (selon 74 % des non-consommateurs), le prix demeure la principale raison invoquée par les non-consommateurs du bio. Les maillons du secteur biologique doivent développer des stratégies d'informations sur les avantages du bio et les coûts de production. Il est aussi avantageux de diversifier l'offre des produits bio québécois afin de se différencier des produits conventionnels.
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Identifiant : Une proposition de contenu validée par les GAB et des partenaires attentifs au projet !
Elodie FARGEAS, AuteurCet article fait le point sur l'avancée du projet d'identifiant national porté par la FNAB après la journée qui y était dédiée le 10 décembre 2008. Le projet a été approuvé globalement par la consultation des GAB et confirmé par le sondage en ligne des producteurs. Certains ont exprimé des doutes sur sa faisabilité, ils seront pris en compte par le réseau. Le projet devra être porté par une structure indépendante de la FNAB, qui restera le syndicat de tous les producteurs bio. Ceux qui souhaiteront utiliser l'identifiant devront se faire certifier à partir d'un cahier des charges respectant quatre points détaillés dans l'article : - le règlement européen du 1er janvier 2009 ; - la dernière version du cahier des charges REPAB F ; - le renforcement de certains points ; - des mesures précises sur les OGM. L'identifiant placerait les fermes dans une perspective évolutive avec deux engagements : - un diagnostic global de l'exploitation et la mise en place des objectifs de progrès qui en découlent ; - la signature d'une charte engageant au respect de principes éthiques, écologiques et sociaux. Les points de vue de différents partenaires présents lors de la journée sont rapportés ici succinctement, tout comme celui des GAB bretons.
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L'impact du Règlement sur les produits biologiques sur vos activités
La Fédération biologique du Canada (FBC) a lancé en octobre 2010, un sondage afin de connaître le point de vue de l'industrie biologique canadienne sur les enjeux réglementaires et normatifs dans le contexte de l'expiration de la Politique commerciale et de la stratégie de conformité et d'application. Le Règlement canadien sur les produits biologiques (RPB) a pris effet le 30 juin 2009. Dans le but d'assurer une implantation harmonieuse du RPB, l'Agence canadienne d'inspection des aliments (ACIA) a mis en place la Politique commerciale et de la stratégie de conformité et d'application. L'objectif de cette politique est d'allouer temps et flexibilité au gouvernement et à l'industrie pour qu'ils s'adaptent au nouveau système obligatoire de certification biologique. L'application de cette politique d'implantation axée sur une approche « douce et éducative » prenait fin le 30 juin 2011. Le présent rapport présente les résultats de ce sondage. L'adoption de la Norme biologique canadienne (NBC) progresse principalement pour ceux qui désirent vendre leurs produits sur les marchés interprovinciaux et internationaux. Cependant, cette adoption n'est pas encore complétée pour certains opérateurs. Quarante-trois pour cent des répondants pensent qu'il serait nécessaire de réviser certaines exigences de la NBC. Les résultats dénotent également un manque de préparation, à l'intérieur comme à l'extérieur du Canada, pour évaluer la conformité des produits importés à la NBC ou à l'entente d'équivalence CANADA/ÉTATS-UNIS. Une nette majorité de répondants déclarent que le RPB n'a pas eu d'impact ni positif, ni négatif, sur le commerce de leurs produits.
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Manger chez soi : pourquoi ? : Motivations et obstacles à l'achat de fruits et légumes locaux : un sondage pancanadien
« Manger chez soi : pourquoi? » présente les résultats d'un sondage pancanadien sur les motivations et les obstacles à l'achat de fruits et légumes locaux. Il s'agit d'un sondage réalisé en août 2010 par Équiterre et la firme Léger Marketing auprès de 1121 Canadiens âgés de plus de 18 ans. Selon les résultats de ce sondage, 78 % des Canadiens préconisent l'achat local. Toutefois, il semble y avoir une confusion autour du concept d'achat local. Pour certains, ce concept fait référence à la proximité, alors que pour d'autres il fait référence aux frontières provinciales ou encore aux frontières nationales. « Lorsque le consommateur se retrouve en situation de choix, il préfère privilégier un produit du pays, même provenant d'une province éloignée plutôt qu'un produit américain de plus grande proximité ». Par ailleurs, 70 % des répondants préfèrent un produit local à un produit biologique provenant de Californie. Les auteurs proposent des pistes de solution comme celle d'associer des produits locaux à une image de territoire politique et économique plutôt qu'à des caractéristiques environnementales.
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Le marché québécois des produits biologiques - Croissance, tendances et possibilités, 2013
L'association canadienne pour le commerce des produits biologiques (COTA) a réalisé en 2013 une étude pancanadienne sur le marché des produits biologiques. Des données de plusieurs études marketing et de statistiques de ventes sont compilées pour l'ensemble du pays et pour les provinces de la Colombie-Britannique, de l'Alberta, de l'Ontario et du Québec. Le rapport sur le marché du Québec est basé sur un sondage canadien auprès des consommateurs mené par Vision Critical en 2012, et sur un sondage auprès de consommateur québécois supervisé par la Filière biologique du Québec en 2013. La première partie du rapport aborde les attitudes et influences des consommateurs québécois, des données démographiques par rapport à l'achat de produits bio, une proposition de segmentation du marché, les perceptions des consommateurs vis-à-vis leurs achats et des stratégies pour accroitre la consommation. La seconde partie décrit les différents canaux de commercialisation des produits et donne quelques statistiques par canal et par catégorie de produits. Selon les résultats des études, les consommateurs québécois se disent les plus grands acheteurs de produits biologiques au Canada, les consommateurs prévoiraient une augmentation de leurs dépenses en produits biologiques dans les prochaines années, et le prix demeure toujours la facteur limitant le plus l'achat d'aliments biologiques. Au niveau démographique, les consommateurs d'origine ethnique achètent davantage d'aliments bio, ainsi que les diplômés universitaires, les personnes âgées de 35 à 44 ans, et les familles avec des enfants. Les supermarchés, les grandes surfaces et les pharmacies constituent le principal canal de vente des aliments biologiques, pour des ventes dépassant les 900 millions de $. Les fruits et légumes, les boissons et les produits laitiers et les ufs sont, en ordre les catégories de produits bio les plus consommées en valeur. Ce rapport couvrant le marché du Québec est disponible auprès de la Filière biologique du Québec.
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Meeting Market Demand in the Organic Sector : HandlerSupplier Relationships in the Face of Tight Supply
C. DIMITRI, Auteur ; L. OBERHOLTZER, AuteurLes acheteurs de produits biologiques tels que les distributeurs, les emballeurs ou les grossistes, ont souvent de la difficulté à arrimer leur approvisionnement avec la croissance de la demande de leurs clients. En effet, cette dernière croît plus rapidement que la production biologique. Ces intermédiaires utilisent une variété de mécanismes de coordination verticale afin de sécuriser leurs approvisionnements en produits biologiques. Pour augmenter l'offre de produits biologiques, ils peuvent offrir une assistance à la conversion à l'agriculture biologique et une aide à l'amélioration de la production comme celle de travailler davantage avec des producteurs débutants, d'offrir du service-conseil technique ou de faire des arrangements de livraisons à chargement partiel. Des chercheurs du USDA et de l'Université de Géorgie aux États-Unis ont sondé 1393 intermédiaires biologiques afin de vérifier lesquels sont plus sujets à entreprendre des démarches avec leurs fournisseurs afin d'améliorer l'offre de produits. Les intermédiaires qui uvrent dans le bio depuis plus longtemps, ceux qui achètent directement des producteurs ou de coopératives de producteurs, ainsi que les grossistes, sont davantage portés à entreprendre ce genre de démarches. Les chercheurs suggèrent que ces intermédiaires travaillant avec leurs fournisseurs doivent être prêts à accorder plus d'importance aux relations d'affaires, et moins au prix des produits.
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Perception de l'agro-écologie par les agriculteurs français : Évolution depuis un an
Une enquête BVA sur la perception de l'agro-écologie par les agriculteurs français, réalisée en janvier 2016, pour le Ministère de lAgriculture, auprès de 800 agriculteurs constituant un échantillon représentatif des 311 106 chefs dexploitation professionnels français, établit que 79 % des agriculteurs déclarent avoir entendu parler de lagro-écologie, 73 % déclarent sêtre engagés dans au moins 3 démarches relevant de l'agro-écologie : limiter les intrants (76 % ), améliorer la qualité des sols et limiter lérosion (72 % ) sont les démarches les plus citées comme mises en application. Les démarches visant à la préservation des ressources en eau et celles favorisant le rôle de la faune auxiliaire arrivent ensuite avec respectivement 61 % et 55 % des agriculteurs qui déclarent les mettre en uvre. 62 % des agriculteurs ont recours à des échanges dexpériences et/ou des démarches collectives pour mettre en place ces démarches. Concernant les GIEE, 27 % savent de quoi il s'agit et 30 % ne les connaissent que de nom. 47 % des agriculteurs utilisent un outil de diagnostic ou de pilotage.
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Pommes bio : stratégies et facteurs-clés pour une production rentable
D. MENCARELLI HOFMANN, Auteur ; A. KILCHENMANN, AuteurDans le cadre du projet européen Isafruit, la station de recherche ACW, en collaboration avec Fruit Suisse, a cherché à cibler les facteurs et stratégies déterminants pour une exploitation rentable et durable des cultures de pommier. Elle a pour ceci réalisé un sondage auprès des arboriculteurs, avec prélèvement d'un échantillon spécifique pour les exploitations bio, qui sont caractérisées. Les producteurs sondés ont dû évaluer les stratégies et facteurs mis en place depuis dix ans. Les principaux résultats relatifs aux formes de coopérations et aux appréciations positives des facteurs de rentabilité, de stratégies de production et de techniques de travail sont rapportés en histogrammes et analysés. Cette étude révèle que le rendement est un facteur de succès déterminant, qu'il est fortement influencé par l'organisation technique et la gestion de l'entreprise, ainsi que la disposition à l'innovation, mais sans relation avec la surface cultivée ou celle de l'entreprise.
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Produits biologiques en restauration collective : Evaluation des besoins, identification des attentes des acheteurs et mise en relation avec les caractéristiques de l'offre pour une dynamique de développement : Tome III. Résultats de l'enquête CSA par sondage. Rapport CSA n° 0900035
Ce document fait suite au rapport final et au rapport intermédiaire (Annexes) sur les produits biologiques en restauration collective. Il fait état du rapport CSA (Institut de sondages d'opinion et d'études de marché en France et en Europe) n° 0900035. Sont présentés, dans ce document, les différents éléments de l'étude : contexte, objectifs, méthodologie, aide à la lecture, structure de l'échantillon, ainsi que les résultats détaillés de l'étude : L'achat de produits biologiques ; Acheteurs de produits biologiques : description et perspectives ; Non acheteurs de produits biologiques : perspectives 2012 ; Projection du marché du bio en 2012 ; Attitudes, freins et leviers à l'égard du bio.