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2021 - année exceptionnelle dans la distribution spécialisée bio allemande
ECOZEPT, AuteurEn Allemagne, le marché bio continue sa progression, avec un chiffre d'affaires bio approchant les +6 % en 2021 par rapport à l'année précédente. Cependant la situation est particulière pour la distribution spécialisée bio, qui connaît une baisse, particulièrement dans les petites surfaces en zone urbaine, surtout au dernier trimestre 2021 (-10 % en moyenne). Cependant, il faut noter que la crise Covid-19 rend difficile toute comparaison avec les chiffres 2020 et que l'évolution des achats bio par rapport à 2019 reste très positive : + 30 % tous circuits confondus, + 15 % en magasin bio en 2021. Dans cet article, Ecozept établit un bilan détaillé des ventes bio 2021 en Allemagne, où figure l'évolution des ventes pour différents produits bio, ainsi que les perspectives pour 2022.
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57 000 hectares de vergers bio
Adrien LASNIER, AuteurEntre 2015 et 2020, les surfaces fruitières bio ou en conversion ont doublé, passant d'environ 30 000 ha à 57 000 ha. Les deux espèces les plus cultivées, dans le verger bio comme dans le verger national (bio et non-bio confondus), sont les pommes (21 % des surfaces de fruits bio) et la noix (26 %). Un encart présente les chiffres 2021 de la part de consommation de 6 fruits frais bio par les ménages.
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Activité en Magasins Bio durant les 5 premiers mois 2022
BIO-LINEAIRES, AuteurCet article traite de l'évolution du chiffre d'affaires en magasins spécialisés bio durant les 5 premiers mois 2022. Le mois de mai étant difficilement représentatif en raison des jours fériés, on retiendra surtout l'évolution du CA en cumul sur l'année (- 16 % entre mai 2022 et mai 2021). À noter que le contexte médiatique ne joue pas nécessairement en faveur de la bio.
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Ain : Les tofeuses du Bugey
Marie MELEC, AuteurÀ Peyrieu (01), Gaëlle Marchand-Plasse et Fanny Demarque cultivent du soja bio qu'elles transforment en tofu dans leur atelier, à Saint-Martin-de-Bavel, depuis 2022. Toutes les deux issues du monde de lélevage paysan, elles souhaitaient conserver une activité agricole et garder du temps pour leurs autres activités professionnelles et associatives. Pour cela, le travail est adapté de façon à être faisable par une seule personne. Gaëlle et Fanny se sont installées sur les principes de la société coopérative (SCIC) Les Fermes Partagées, présentée dans un encart. Ceci leur permet d'avoir un statut de salariées-entrepreneures et une meilleure couverture sociale. Gaëlle et Fanny ont bâti un système qui respecte leurs convictions : un voisin agriculteur livre leurs produits en échange des résidus de graines de soja pour l'alimentation animale, leur culture de protéines végétales est intégrée en partie dans les rotations des fermes maraîchères voisines (en échange de leur travail au champ) et permet de réduire les importations de soja et les impacts écologiques qu'elles génèrent. Elles commercialisent leur tofu (environ 40 kg par semaine) dans 2 AMAP et dans 4 magasins de producteurs, dans l'Ain et en Haute-Savoie. Elles souhaitent également développer la commercialisation en restauration collective.
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L'alimentaire bio en GMS à fin 2021 ; Bilan 2021 en GMS : une année plus complexe ! ; Activité de la distribution Bio en 2021
Juliette FAVRE, Auteur ; BIO-LINEAIRES, AuteurD'après les données IRI, en France, la vente des produits bio (alimentaires et DPH) en GMS a connu une décroissance de -3,1 % en 2021, par rapport à 2020. Cependant, par rapport à 2019, année de référence avant la crise Covid-19, le marché bio en GMS a augmenté de 9,8 % en 2021. Un tableau présente les évolutions de chiffres daffaires en GMS pour de nombreux produits bio. Un article analyse le bilan 2021 de la consommation bio en GMS. Deux pages sont ensuite consacrées à lactivité des magasins spécialisés bio, de 2019 à 2021, avec graphiques et analyses.
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L'alimentaire bio en GMS à fin avril ; Les difficultés du bio en GSA se poursuivent
Juliette FAVRE, AuteurÀ la fin avril 2022, le recul des ventes de produits alimentaires bio en GMS depuis début 2022 s'est confirmé, avec une décroissance atteignant - 9,6 %, d'après les données IRI, par rapport à avril 2021 (contre - 6,5 % en février). La montée de l'inflation continue d'inciter les consommateurs à prêter davantage d'attention aux prix et, par conséquent, à favoriser les marques de distributeurs plus économiques. Les assortiments bio se réduisent significativement cette année dans les différents circuits des GMS, et à un rythme supérieur à celui des produits conventionnels. Seules quelques familles de produits (bières, produits d'hygiène et de beauté, aliments bébé), pour lesquelles l'écart de prix entre bio et conventionnel est plus restreint, échappent à la tendance.
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L'alimentaire bio en GMS à fin février ; Dans un contexte de contraction des ventes, l'inflation s'installe en GSA ; Activité de la distribution Bio fin 1er trimestre 2022
Juliette FAVRE, Auteur ; BIO-LINEAIRES, AuteurDébut 2022, le recul des ventes des produits alimentaires biologiques s'est poursuivi. Selon les données IRI, le chiffre d'affaires de la distribution bio en GMS a été affecté par une baisse de 6,5 % en février, par rapport à 2021. Seul le rayon bières et cidres bio a connu une évolution positive en un an, avec une augmentation du CA de 5,5 %. L'inflation s'installe en GMS, sur les produits de grande consommation, en bio comme en conventionnel. En février 2022, les trois quarts des produits de grande consommation et du frais en libre service étaient inflationnistes, contre 44 % en septembre 2021. Face à l'augmentation généralisée des prix, le comportement des consommateurs est modifié (achat de produits moins onéreux) ; c'est le label AB, dont le prix est plus élevé, qui risque d'en souffrir le plus. Deux tableaux présentent les chiffres de l'inflation, en bio et en conventionnel, des 5 catégories de produits les plus vendues en GMS. Pour finir, l'évolution 2019-2022 de l'activité de la distribution spécialisée bio, elle aussi en ralentissement, est présentée.
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Alimentation des porcs bio : Matières premières et protéines en questions ; Alimentation des porcs bio - Témoignages
Frédéric RIPOCHE, AuteurEntre flambée des prix et difficultés dapprovisionnement, notamment en apports protéïques, comment sadaptent les éleveurs de porcs bio, dans ce contexte, dautant plus sous pression que le marché du porc bio est en baisse (- 3 % entre 2020 et 2021, selon l'Agence BIO) ? A travers les témoignages de Pascal Petit, responsable technique du groupement Bio Direct, et déleveurs naisseurs plein-air ou naisseurs-engraisseurs en bâtiments, ces articles montrent un panel de solutions et dapproches mises en uvre. Point-clé : la maîtrise des coûts de production, avec la recherche dun niveau dautonomie dau moins 50 %, ou encore loptimisation de lalimentation via le rationnement et la chasse au gaspillage. Il est aussi important de travailler sur les performances délevage : réduire le nombre de porcelets à la naissance, mais avoir des nouveau-nés plus gros ; avoir des lots homogènes danimaux ; ne pas aller chercher les derniers kilos, trop coûteux à produire Autant déléments qui réduisent la consommation daliments. Sécuriser les approvisionnements, en privilégiant le local, est aussi un point important. Mais, le contexte amène à chercher des alternatives ou/et à retravailler les formulations des aliments pour sadapter. Ainsi, par exemple, Bio Direct travaille sur lutilisation de la levure de bière, incorporée jusquà 5 % dans ses formulations. Yannick Raud du GAEC Le Lambert, éleveur naisseur-engraisseur en Vendée, a recours à lachat de bouchons de luzerne, tout en optimisant son outil de fabrication daliments à la ferme pour des rations plus précises valorisant le maïs en grain humide. Gildas Alleno, éleveur naisseur-engraisseur dans les Côtes d'Armor, préfère avoir moins de porcelets, mais des sevrés plus homogènes et de qualité. Marie Scherrier, éleveuse en plein-air, travaille à réduire la part daliments achetés en intégrant le pâturage ou en développant un projet de fabrication daliments à la ferme avec l'achat de matériel doccasion.
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Annuaire des compétences bio en Auvergne-Rhône-Alpes
Diane RIVATON, Auteur ; Lucas PROST, Auteur ; Adrien PETIT, Auteur ; ET AL., Auteur | LYON CEDEX 07 (Agrapole, 23 Rue Jean Baldassini, 69 364, FRANCE) : COOPÉRATION AGRICOLE AUVERGNE-RHÔNE-ALPES | 2022Cet annuaire des compétences bio en Auvergne-Rhône-Alpes a été réalisé par La Coopération Agricole Auvergne-Rhône-Alpes, ABioDoc - VetAgro Sup, le Cluster Bio, la Chambre Régionale d'Agriculture AuRA, la FRAB AuRA, le Pôle Bio Massif Central et la DRAAF AuRA. Dans cette première édition, l'objectif était de rendre compte des ressources en compétences disponibles, en agriculture biologique, sur le territoire. Les premiers destinataires de cet outil sont les structures de développement de l'AB, acteurs des filières bio. L'objectif, à terme, est de communiquer cet outil à l'ensemble des opérateurs économiques. Cet annuaire, non exhaustif, regroupe des contacts reconnus sur le terrain, ce qui permet de dresser un premier état des compétences bio en région AuRA.
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Appels à la modération et baisse des prix pour le lait bio
Costie PRUILH, AuteurAlors que la demande en produits laitiers biologiques stagne depuis 2021, créant un certain déséquilibre offre/demande, plusieurs laiteries mettent en place des dispositifs particuliers pour mieux faire face à l'afflux de lait bio au printemps, période généralement excédentaire, et ainsi limiter les déclassements. Cet article présente un tour d'horizon de ces dispositifs en 2021 et début 2022.
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Auvergne-Rhône-Alpes : Un plan pour localiser la filière brassicole
Christine RIVRY-FOURNIER, AuteurLa région Auvergne-Rhône-Alpes compte plus de 80 brasseries bio, ce qui en fait la première région de France sur ce secteur d'activités. Toutefois, pour le consommateur, qui dit bière bio dit aussi bière locale. Aussi, les acteurs de la filière travaillent de concert, depuis quelques années, pour localiser la filière brassicole, et plus particulièrement la production des matières premières essentielles que sont l'orge et le houblon. Pour ce faire, un plan filière a été lancé par la Région en 2021. L'objectif : apporter un appui technique aux producteurs mais aussi un appui à l'investissement.
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La Belgique nous surprendra encore !
Mélanie LONGIN, AuteurEn Belgique, en 2021, malgré l'épisode Covid-19 et la crise économique, le marché bio se consolide. Il continue de progresser, frôlant le milliard d'euros en 2021, avec 45 % des dépenses bio belges réalisées en Wallonie. Le réseau vrac, local et bio (EAP), s'il est en souffrance, reste dynamique pour certains magasins, grâce à la réduction de leur offre et au maintien de prix assez compétitifs. D'autres décisions viennent bouleverser la face du marché bio belge, notamment la fusion, en avril dernier, entre le grossiste Biofresh et les mini-chaînes Färm et Biostory, comprenant au total 33 magasins, qui entrent en compétition avec la chaîne Bio Planet (du groupe Colruyt). Par ailleurs, face à la baisse de fréquentation du marché bio du Bénélux, plusieurs grossistes belges se tournent vers le développement du nord du pays, ainsi que vers d'autres canaux de distribution.
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La bio chez Eureden : CapAB donne un sens à la filière
Christine RIVRY-FOURNIER, AuteurLe groupe coopératif breton Eureden est né en 2000, de la fusion des coopératives Triskalia et daucy. Cette fusion classe le groupe coopératif au 3ème rang des groupes alimentaires français. Avec près de 2 000 producteurs biologiques (qui représentent 10 % des coopérateurs), Eureden cherche à se faire une place sur le marché de la bio, en soutenant les filières et en clarifiant son projet bio. La gouvernance de la partie bio dEureden est assurée par une commission spécifique, présidée par David Joubier, administrateur et producteur bio. Limportant, pour Eureden, est de favoriser la contractualisation pour anticiper. Le groupe coopératif mise également sur sa nouvelle marque, CapAB, lancée au printemps 2022, qui rassemble tous les producteurs bio du groupe et les nouveaux convertis. Pour les grandes cultures, CapAB sappuie sur lactivité dAgro Bio Pinault (filiale spécialisée en grain dEureden). Cette nouvelle entité assure la collecte, la mise aux normes et la vente des céréales et oléagineux bretons. En légumes, la croissance de la filière reste soutenue. Les bassins de production du groupe coopératif alimentent les conserveries daucy et les sites de surgélation. Côté productions animales, la filière est moins avancée : la filière porc est en construction, la filière uf repose sur 45 000 poules en partenariat avec le fabricant daliments Moulin du Poher, et la filière lait sest construite en partenariat avec Laïta et Agrial.
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La bio en crise de croissance ?
Véronique BARGAIN, AuteurEn 2021, la consommation de produits biologiques a connu une baisse. Pour les fruits et légumes, cette baisse de consommation est générale, et concerne aussi, dans une moindre mesure, les produits conventionnels. Pour cette même année, les chiffres de l'Agence BIO révèlent un taux de déconversion des fermes en agriculture biologique sensiblement équivalent aux années précédentes. Une grande partie de ces déconversions est toutefois liée à des départs à la retraite, et les conversions, bien que moindres, se poursuivent. Dans ce contexte, où l'offre poursuit sa croissance alors que la demande ralentit, la filière doit faire d'autant plus d'efforts pour sa structuration : les importations en fruits et légumes biologiques sont encore importantes et le débouché de la restauration collective reste à développer.
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Bio, local et plaisir, les trois maîtres mots de Naturalia
Laura DUPONCHEL, AuteurLe 30 mars 2022, lors d'une conférence de presse, Allon Zeitoun, directeur général de Naturalia, a présenté les chiffres 2021, ainsi que les objectifs pour 2022. L'enseigne, par rapport à 2020, a vu son chiffre d'affaires diminuer de 2 %, malgré ses 38 points de vente supplémentaires en 2021. Cependant, par rapport à 2019, le chiffre d'affaires de l'enseigne a augmenté de 19 %. Pour 2022, l'objectif de Naturalia s'articule autour de trois maîtres mots : bio, local et plaisir. De nombreuses nouveautés sont déployées par l'enseigne, pour favoriser l'accessibilité au bio (promotions sur un nombre plus important de produits), recréer du lien social avec le consommateur (animations-dégustations le week-end) et promouvoir une offre locale plus importante (objectif 15 %), notamment au travers d'une campagne d'affichage avec la distance de provenance de certains produits.