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Documents disponibles dans cette catégorie (5483)


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Dossier de presse Familles Rurales : Observatoire des prix 2021
Début 2022, pour la quinzième année consécutive, l'association Familles Rurales a publié son observatoire des prix, opérant ainsi une veille sur le coût du panier alimentaire des Français. L'étude présentée ici est issue de relevés réalisés en février, avril, juin et octobre 2021, dans 148 magasins (hypermarchés, supermarchés, enseignes à dominante marques propres et magasins spécialisés bio), et autour de trois grandes gammes de produits : les marques nationales, les premiers prix et les produits issus de l'agriculture biologique. Ce sont ainsi les prix de 97 produits de consommation courante, et référencés dans le Plan National Nutrition Santé (PNNS), qui ont été étudiés à la loupe. L'inflation a été relativement contenue en 2021 (+2 % en deux ans) à l'exception des fruits et légumes (+ 9 %). Pour autant, pour s'alimenter selon les préconisations du PNNS, une famille devait dépenser, chaque mois, en moyenne, de 450 pour un panier peu varié de produits de premiers prix à 1148 pour un panier varié de produits bio, soit entre 36 % et 93 % d'un SMIC net mensuel avant impôt. Face à ce constat, l'association réitère ses appels aux pouvoirs publics pour la mise en place de mesures facilitant l'accès pour tous à une alimentation saine et de qualité.
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Marché bio : "Il va falloir tenir dans les turbulences"
Christine RIVRY-FOURNIER, AuteurJérôme Caillé, polyculteur-éleveur de volailles dans les Deux-Sèvres, est aussi président de la Commission bio de La Coopération agricole et administrateur de la coopérative Terrena. Dans cet interview, il aborde le contexte du marché en grandes cultures biologiques fin 2021 et début 2022, et analyse cette période tendue pendant laquelle les agriculteurs doivent faire face à de nombreuses turbulences : relocalisation des approvisionnements, crise sanitaire de la Covid-19, hausse des coûts de l'énergie, entrée en application du nouveau règlement bio européen, etc.
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Marché des légumes bio : Entre hausse de l'offre et repli de la demande
Christine RIVRY-FOURNIER, AuteurFin 2021, la dynamique du marché des légumes bio s'est ralentie avec, d'un côté, une hausse de l'offre et, de l'autre, un repli de la demande. Près de 10 % des surfaces légumières françaises étaient certifiées bio fin 2020, soit plus de 42 000 ha. Comme souvent, cette situation est marqué par un phénomène d'ajustement du marché : en 2021, les conversions sont nettement moins nombreuses. Côté consommation, après une bonne année 2020, les achats de légumes bio sont à la baisse fin 2021, dans un contexte jugé difficile pour le pouvoir d'achat des Français. La hausse des coûts de production n'en rend que plus grande l'inquiétude des producteurs.
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Soja bio : Une graine très recherchée
Frédéric RIPOCHE, AuteurProtéagineux bio encore très recherché, malgré l'émergence d'alternatives, le soja reste une matière première particulièrement importante sur le marché bio, et ce, d'autant plus depuis l'obligation d'alimentation 100 % bio pour les monogastriques au 1er janvier 2022. Si les volumes produits en France augmentent (estimation de +10 000 tonnes entre 2019-2020 et 2020-2021), il en est de même pour la demande, et les prix suivent donc la même tendance. Ces derniers ont atteint le niveau record de 800-850 /tonne fin 2021. Dans cet article, Stéphane Vanrenterghem, membre du groupe expert grains de la Coopération Agricole et directeur d'Agribio Union, apporte son éclairage.
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Sommet de l'Elevage : Les coûts de production en question
Christine RIVRY-FOURNIER, AuteurLa loi Egalim 2 est entrée en vigueur le 1er janvier 2022. Elle impose notamment une contractualisation entre un agriculteur et son principal acheteur. Afin de négocier des prix supérieurs aux coûts de production, le calcul de ces derniers devient indispensable. Pour ce faire, l'Idele-Institut de lÉlevage a développé l'outil Couprod. Facile d'utilisation, reconnu et utilisé par plusieurs interprofessions, cet outil ne permet toutefois pas de prendre en compte la diversité des systèmes bio. Par ailleurs, les éleveurs bio sont confrontés à des charges de plus en plus élevées. Dans cet article, plusieurs agriculteurs et acteurs des filières d'élevage bio expriment leurs ressentis et positions vis-à-vis de ce contexte.
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11 % d'écart sur un panier de 20 fruits et légumes bio !
BIO-LINEAIRES, AuteurEn novembre 2019, Bio Linéaires relevait un écart de prix de 5,8 % en faveur du réseau bio par rapport aux supermarchés de moins de 2 500 m2 (sur une sélection de 15 produits bio). En septembre 2020, une nouvelle comparaison intégrant, cette fois-ci, les hypermarchés, établit un écart de prix de 11 % en faveur de la GSA, sur une sélection de 20 fruits et légumes bio. Un tableau présente les résultats par produit.
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3J Développement : la solution pratique et de bon sens pour le vrac liquide
BIO-LINEAIRES, Auteur3JD est une entreprise familiale installée dans la Vienne, spécialisée dans la vente de produits en vrac liquides. Fondatrice du groupe Nature & Stratégie, la famille Gabory nest pas une inconnue dans le monde de la bio. Engagée pour la réduction du gaspillage et de l'empreinte environnementale, lentreprise propose toute une gamme de distributeurs de vrac liquides, adaptés aux différents besoins des magasins, qui permettent une traçabilité parfaite et le respect des normes dhygiène et de sécurité. Pour les liquides non alimentaires, 3JD choisit de distribuer les marques de produits Etamine du Lys et Coslys via la structure commerciale familiale, Comptoir des Lys, du groupe Nature & Stratégie. Pour lalimentaire, cest vers dautres partenaires que lentreprise se tourne : « des fabricants bio de qualité, de préférence locaux » à qui elle offre une place et de la visibilité en magasin, ainsi que des solutions pour la poursuite de leur projet de vente en vrac. Pour finir ce publireportage, les Gabory partagent leur volonté de continuer à accompagner les producteurs et les fabricants, tout en offrant aux consommateurs et aux points de vente des solutions pratiques pour la distribution des produits.
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60 Millions de consommateurs : Hors-série n°209 : Manger bio : Les vrais bienfaits ; Les déceptions
Adeline TREGOUET, Auteur ; Cécile KLINGER, Auteur ; Elisabeth BOUVET, Auteur ; ET AL., AuteurPour tester la qualité des produits bio, 60 Millions de consommateurs a passé au crible 100 références : équilibre nutritionnel, nombre d'additifs, promesses marketing... Comparés aux mêmes références en conventionnel, comment les produits bio se distinguent-ils ? Ce Hors-série de la revue 60 Millions de consommateurs se compose de 4 parties : - Le bio, quésaco ? : Rappel des grands principes du bio, en culture, en élevage ; Informations sur les labels ; - Le bio et les autres : Tout d'abord, ce qu'en dit la science ; Puis, 100 références, dans 8 familles de produits, sont décryptées et comparées aux références conventionnelles (sucres ajoutés, additifs, pourcentage et origine des matières premières, acides gras saturés...) ; - Le bio paysan : Passage en revue de 3 filières (Riz de Camargue, porcs, sésame) et freins au développement des conversions (monocultures en riz...) ; - Le bio business ; Les produits bio de la grande distribution sont-ils des produits bio au rabais ? ; Comment le réseau bio spécialisé se démarque-t-il ?
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8e Salon Tech&Bio : Le plein en références techniques et économiques ; Pôle Élevage : Des repères dans toutes les filières ; Création de filières agroalimentaires : « Un long fleuve pas si tranquille »
Christine RIVRY-FOURNIER, Auteur ; Frédéric RIPOCHE, Auteur ; Jean-Martial POUPEAU, AuteurCes trois articles effectuent un retour sur la 8ème édition du salon Tech&Bio, qui sest tenue du 21 au 23 septembre 2021, sur le Lycée agricole du Valentin, à Bourg-lès-Valence (Drôme). Cette édition a regroupé 18 000 visiteurs. Le premier article revient sur ce rendez-vous incontournable qui permet de faire le plein en références techniques et économiques, et de voir les dernières innovations. Au total, 375 exposants de lamont et de laval étaient présents, une centaine de démonstrations de matériels innovants ont été organisées, ainsi que de nombreuses conférences, dont certaines ont été prises dassaut. Le fil vert de cette édition a été le Village du Biocontrôle (nouveauté 2021), qui a réuni plus de 16 entreprises. Le second article est consacré au Pôle Élevage. Divers ateliers et conférences ont abordé les principales préoccupations des éleveurs bio. Cet article revient plus précisément sur les conférences consacrées à lautonomie alimentaire des élevages bio, lactualisation des références en ovins lait bio, ladéquation entre loffre et la demande pour la filière ovins viande bio (projet Casdar ReVABio), ainsi qu'au nouveau bâtiment délevage de la ferme du Lycée agricole du Valentin, qui illustre comment réduire les conséquences des évolutions climatiques sur un troupeau laitier. Pour finir, le dernier article regroupe les témoignages de trois opérateurs qui ont participé à la création de filières agroalimentaires bio issues en grandes cultures : la coopérative agricole Duransia (filière légumes secs), le transformateur Ekibio (filière blé dur) et le distributeur Carrefour (filières blé dur et blé tendre).
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Accompagner la nouvelle vague de conversions en viticulture biologique : impacts des changements de pratiques et repères sur la filière bio
Vincent BOU NADER, Auteur ; Nicolas DELORME, Auteur ; Alice ODOUL, AuteurPour accompagner les dynamiques de conversions en bio des viticulteurs d'Auvergne-Rhône-Alpes, la FRAB AuRA et CerFrance ont réalisé une étude sur les impacts de la conversion chez les viticulteurs de la région. Une trentaine de viticulteurs passés en bio ont répondu à l'enquête. A la question "Votre temps de travail et celui de vos associés a-t-il augmenté suite à votre passage à l'AB ?", 80 % des viticulteurs interrogés répondent "oui", augmentation essentiellement due au travail du sol et au désherbage manuel. En ce qui concerne le rendement, les viticulteurs interrogés font état d'une diminution de 18 % en moyenne (de 50 hl/ha à 41 hl/ha), mais de nombreux facteurs entrent en compte. D'autres questions, portant sur les techniques de production, la commercialisation, les motivations d'un passage en AB et les perspectives de la filière, ont permis à cette enquête de recueillir des informations qui seront mises à disposition des viticulteurs et des conseillers d'Auvergne-Rhône-Alpes, dans la perspective de nouvelles conversions. Globalement, la majorité des viticulteurs perçoivent une forte augmentation de la demande en vins bio dans leur territoire.
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Affichage environnemental : Planet Score voit plus loin
Christine RIVRY-FOURNIER, AuteurLa loi Climat et Résilience, adoptée le 20 juillet 2021, prévoit un affichage environnemental sur les aliments, qui sera affiché aux côtés du Nutri-Score. Son but sera dinformer le consommateur sur lempreinte écologique des produits alimentaires. Sa mise en place seffectuera courant 2022 et sera effective en 2023. Un appel à projets a été lancé en septembre 2020 pour concevoir cet affichage et plusieurs propositions de score environnemental sont actuellement en lice. LItab et deux bureaux détudes partenaires (Sayari et Very Good) proposent Planet Score, un affichage réfléchi pour être intuitif et transparent. Comme le stipule la demande de lEtat, laffichage se base sur une ACV (analyse de cycle de vie) construite à partir de la base de données Agribalyse de lAdeme qui compile les impacts environnementaux des produits agricoles et alimentaires. Cependant, Planet Score va encore plus loin en fournissant des indicateurs supplémentaires pour combler les lacunes de lACV : il prend en compte limpact du produit sur le climat et sur la biodiversité, limpact des pesticides utilisés sur la santé, et le bien-être animal. Cet affichage est soutenu par seize ONG, telles que la FNAB, Bio Consommacteurs, le Synabio, Natexbio, Forebio, Que Choisir
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L'agneau bio progresse encore
REUSSIR PATRE, AuteurLe projet ReVABio a réalisé un état des lieux de la filière ovine bio en 2019. Le marché de la viande dagneau bio a progressé de 19 % (comparé à 2018). Les brebis bio représentent 230 t équivalent carcasse et les agneaux 1 630 t. Depuis 2012, le nombre de brebis allaitantes élevées en bio progresse, en moyenne, de 10 % tous les ans. Le nombre d'ovins bio abattus est également en progression : + 15 % dune année sur lautre. Le chiffre daffaires (au stade détail) de la viande dagneau bio sélève à 72 millions deuros. Cette viande est présente dans tous les circuits de distribution. Selon les organisations économiques de producteurs, les ventes se répartissent de la manière suivante : durant lhiver (30 %), au printemps (35 %) et durant lété-automne (35 %). La couverture de la forte demande en agneaux autour de Pâques continue à saméliorer grâce aux efforts de toute la filière bio.
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Agribalyse et Eco-Score, un piège pour les produits bio
Claude AUBERT, AuteurLa méthode des ACV (Analyses de cycles de vie) consiste à évaluer, pour un produit donné, tous ses impacts sur l'environnement (pollutions, consommation d'énergie, émissions de GES...), depuis sa fabrication jusqu'à son élimination finale, afin de le comparer avec d'autres produits rendant le même service. La déclinaison de cette méthode aux aliments n'est pas sans poser problème. L'auteur explique que, avec les calculs utilisés actuellement, l'impact sur la fertilité des sols ou sur la biodiversité n'est pas pris en compte. De plus, en basant ses calculs sur les produits et non sur les surfaces, cette méthode, conçue pour l'industrie, conduit à favoriser des produits issus de l'agriculture conventionnelle au détriment de produits exempts de traitements chimiques... L'initiative privée Eco-Score, encore confidentielle, tend à corriger ces travers, mais ses résultats continuent d'interpeller sur leur pertinence.
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L'agriculture bio dans le monde - Edition 2020
LAgence BIO présente son édition 2020 des chiffres-clés de la bio dans le monde. Parmi ceux-ci : 103 pays sétaient dotés dune réglementation pour lagriculture biologique fin 2019. Le marché alimentaire bio mondial est estimé à plus de 112,3 milliards deuros en 2019. La surface mondiale cultivée suivant le mode biologique est estimée à près de 71,5 millions dhectares fin 2018. Elle représentait 1,5 % de lensemble du territoire agricole des 186 pays enquêtés par le FiBL et IFOAM. Près de 2,8 millions dexploitations agricoles certifiées bio ont été enregistrées en 2018, en recul de 5,2 % par rapport à 2017. Le nombre d'exploitations bio a progressé en Asie (+ 7 %), en Amérique du Nord (+ 4,3 %) et en Europe (+ 3,8 %). Ce nombre a reculé en Océanie (- 22, 1 %), malgré une augmentation des surfaces, ainsi quen Afrique (- 2,2 %) et en Amérique Latine (- 50,6 %, en raison d'une baisse enregistrée au Mexique du fait dun changement de la source de données qui ninclue plus les petits producteurs). Au sommaire de ce document : - Etat des lieux des réglementations et accords déquivalence ; - Lagriculture bio se développe dans le monde ; - Les préparateurs, importateurs et exportateurs de produits bio en 2018 ; - La consommation de produits bio dans le monde ; - Les flux des produits bio au niveau mondial ; - Focus sur les productions végétales bio ; - Focus sur lélevage bio ; - Volontés de développement du secteur bio et politiques publiques.
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Lagriculture biologique en Auvergne-Rhône-Alpes Édition 2021
Cette fiche présente les chiffres-clés de lagriculture biologique en Auvergne-Rhône-Alpes. Réalisée par lObservatoire Régional de lAgriculture Biologique en Auvergne-Rhône-Alpes (ORAB-AuRA), elle sappuie sur des données de fin 2019. Elle est composée de deux grandes parties : le recto offre un état des lieux et des perspectives de développement de la bio dans cette région (nombre dexploitations bio, dhectares engagés, de coopératives certifiées, de transformateurs certifiés, de distributeurs certifiés ) ; le verso présente les chiffres-clés de différentes filières animales (bovins viande, bovins lait, ovins viande, ovins lait, caprins, porcins, poules pondeuses, poulets de chair), les chiffres-clés de différentes filières végétales (surfaces fourragères, grandes cultures, fruits, légumes, viticulture, PPAM), la répartition des distributeurs certifiés bio (grossistes et négociants, magasins spécialisés, GMS ), la répartition des transformateurs certifiés bio (industries agroalimentaires, boulangeries, GMS, grossistes ), la part des coopératives certifiées AB (par type de production : viticulture, viandes et bétails, grandes cultures ), ainsi que le nombre de fermes engagées en 2019 (par type de production principale).