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Collecte de céréales bio : Une croissance record !
Christine RIVRY-FOURNIER, AuteurEn grandes cultures, lheure est au bilan de la campagne 2019-2020. En agriculture biologique, France Agrimer décompte près de 600 000 tonnes de céréales bio ou en C2, ce qui correspond à un bond de 70 % par rapport à lannée précédente. Cette tendance est le reflet de la hausse du nombre de conversions depuis deux années. Le blé tendre (dont la collecte a augmenté de 82 %), le maïs (+ 42 %), le triticale (+ 104 %) et lorge (+ 118 %) représentent plus de 90 % des volumes récoltés. De lavis de la filière, lépisode Covid-19 modifie peu les estimations de croissance du marché : les ventes en restauration hors domicile se sont effondrées, mais elles ont été compensées par laugmentation des ventes de pains et de farines en sachets (boostées durant le confinement). Les GMS se sont également recentrées sur des approvisionnements français et de proximité. Concernant lalimentation animale, la crise semble avoir dopé les utilisations de céréales (+ 17 % en orge et + 19 % en maïs). Cette tendance est en partie expliquée par le dynamisme des filières ufs et viande bio durant cette période.
Le commerce équitable sinstalle dans le paysage ; « Nous travaillons à livre ouvert »
Véronique BARGAIN, Auteur ; Gabriel OMNÈS, AuteurCes deux articles portent sur des filières françaises pratiquant le commerce équitable. Le premier effectue un état des lieux : les initiatives de commerce équitable origine France fleurissent depuis 2014, date à laquelle la loi a défini le terme « commerce équitable » dans le cadre de relations franco-françaises. Lobjectif étant de garantir une rémunération juste aux producteurs (actuellement, près de 8 000 producteurs sont engagés dans de telles filières). Par exemple, Franck et Grégory Bluteau, deux agriculteurs bio, vendent 50 tonnes de blé à la coopérative Cavac, avec le label Agri-Éthique qu'elle a créé. Cette filière leur garantit un prix de 500 /t pendant cinq ans. Plus de la moitié des produits vendus sur le marché commerce équitable origine France sont des céréales transformées. Les produits bio représentent plus de 50 % des produits équitables français. Pour certifier ces produits d'origine française, trois labels privés coexistent (Biopartenaire, Fair For Life et Agri-Éthique), ainsi que deux marques (« Ensemble » de Biocoop et « Paysans dici » dEthiquable). Dautres marques dassociations de consommateurs ou de distributeurs revendiquent le fait de verser des prix rémunérateurs aux producteurs, sans forcément respecter lintégralité des critères du commerce équitable. Le second article se penche plus spécifiquement sur une filière labellisée par Biopartenaire : cette dernière porte sur 800 tonnes de blé bio produites en Seine-et-Marne, transformées par les Moulins Bourgeois, puis employées par la boulangerie Belledonne.
Confinement : Des consommateurs en recherche de produits bio et de proximité
Coralie PIREYRE, Auteur ; Alice ODOUL, Auteur ; Anne HAEGELIN, Auteur ; ET AL., AuteurLe 1er confinement a bousculé les habitudes de consommation des Français (lieux dachat, fréquences, types de produits ). Ils ont notamment consommé plus de produits bio tout en soutenant les producteurs locaux. Cet article donne un aperçu de limpact du confinement sur les circuits de commercialisation des produits bio en France et en Auvergne-Rhône-Alpes. Il commence par quantifier lévolution de la consommation de produits bio à léchelle nationale. Il détaille également les conséquences du confinement sur plusieurs filières longues (viande, dont veaux, viande bovine et équilibre matière, agneaux ; lait ; aliments du bétail ; grandes cultures) et courtes (PPAM, fromages, vin, fruits et légumes, farine, ufs). Il décrit ensuite des solutions mises en place durant le confinement pour que les producteurs bio puissent continuer à commercialiser leurs produits, notamment en vente directe : des tableaux en ligne ont été créés pour mettre en relation des producteurs et des magasins, des « marchés éphémères » ont été accueillis par des producteurs ou des magasins bio, des Amaps ont assoupli leurs conditions pour que des consommateurs non adhérents puissent accéder aux paniers, et des outils facilitant la commercialisation ont été relancés (ex : outil web Bon Plan Bio). Lassociation Haute-Loire Bio, qui organise depuis 17 ans une foire bio à Langeac à la mi-mai, a su réinventer le déroulement de son évènement en proposant un drive collectif 100 % bio et local.
La contractualisation dans les coopératives en grandes cultures biologiques pour la structuration des filières
En 2019, les grandes cultures biologiques occupaient 570 000 ha en France. En cinq ans, les nombres dagriculteurs et dhectares engagés en bio ont doublé. Cette dynamique se répercute également sur les différents maillons de la filière, avec une augmentation progressive du nombre de coopératives, de transformateurs et de distributeurs investis dans la bio. Toutefois, larrivée de nombreux acteurs vient bousculer lorganisation existante de la filière grandes cultures biologiques. Afin de préserver et daccompagner cette filière dans son développement, la contractualisation a rapidement été identifiée comme un outil de structuration efficace. Dans le cadre du Plan Ambition bio 2022, la Coopération Agricole Auvergne-Rhône-Alpes a réalisé des enquêtes auprès de coopératives engagées en grandes cultures biologiques afin de collecter des informations relatives : 1 - à lusage de la contractualisation ; 2 - aux modèles contractuels utilisés ; 3 - aux effets structurants de ces modèles sur les relations commerciales amont et aval (à léchelle des coopératives). Cinq coopératives et deux filiales de groupes coopératifs ont ainsi été enquêtées. Ce document présente les sept retours dexpériences et effectue une synthèse des usages de la contractualisation au sein des coopératives rencontrées.
Covid-19 : Quels impacts sur la Bio ?
Anne UZUREAU, Auteur ; Emmanuelle CHOLLET, AuteurGlobalement, les filières bio ont plutôt bien résisté à la crise de la Covid-19. Le confinement a dailleurs accentué la dynamique de consommation des produits bio, ce qui sest traduit par une augmentation des ventes dans les GMS et dans les magasins spécialisés (cette croissance est toutefois inégale suivant les départements). Ce phénomène a dailleurs pu engendrer quelques difficultés occasionnelles dapprovisionnement en produits bio dans les magasins. Concernant la vente directe, cette crise a occasionné un surplus de travail chez les producteurs. Elle a aussi impacté de différentes manières les filières : la filière viande na pas trop subi de baisse de volume, sauf pour la viande de veau et un peu pour la viande dagneau. Quant à la filière lait, elle a réussi à gérer cet épisode en limitant les volumes produits durant le pic printanier. Luf bio a connu une pénurie et des problèmes dapprovisionnement sont à prévoir pour la farine bio française (la demande est forte et les récoltes sont faibles). Deux filières, la filière vin et la filière bière, ont en revanche directement souffert de cette crise sanitaire (leurs ventes se sont effondrées).
Dossier : Le bio passe à la vitesse supérieure
RÉUSSIR GRANDES CULTURES, Auteur ; Gabriel OMNÈS, Auteur ; Charles BAUDART, Auteur ; ET AL., AuteurLa consommation de produits bio a connu une accélération de sa croissance avec la COVID-19. Cette croissance a notamment concerné les produits de base dépicerie comme la farine, les pâtes. Longtemps à la traîne, les exploitations en grandes cultures sont de plus en plus nombreuses à passer en AB avec, depuis 3 ans, un fait nouveau : la conversion de grandes structures, à haut potentiel. Aussi, même si la consommation croît, se pose une question : existe-t-il un risque de surproduction par exemple, alors que la collecte de blé tendre bio en 2019 a permis de répondre à la demande ? Pour les acteurs des filières interrogés dans ce dossier, face aux risques, limportant est de construire des filières assurant un prix juste aussi bien pour le producteur, les acteurs de laval que le consommateur, grâce à la concertation et à la contractualisation notamment. Cependant, le développement actuel soutenu de la production en grandes cultures bio impose à la filière de « tenir le régime », en particulier en mettant en place les outils de collecte et de stockage adaptés. Par ailleurs, les nouveaux convertis en grandes cultures font bouger les lignes avec la conversion de grandes surfaces mais aussi avec leurs questionnements, comme le montrent les quatre producteurs qui témoignent ici. En effet, si le passage en bio est souvent, pour eux, synonyme de nouvelles perspectives pour leur métier et leur avenir, cela saccompagne aussi de réflexions sur leur système, comme par exemple la réintroduction danimaux. Maintenir les rendements et le potentiel des sols sur le long terme en AB est une question-clé : cela passe par le développement de la vie du sol, la nécessité de pouvoir avoir accès à une quantité suffisante de matière organique ou encore lanticipation de la question du phosphore.
Dossier : Construire une filière céréale-farine-pain bio sur le territoire de lEurométropole de Strasbourg
Hélène CLERC, AuteurDepuis 2010, la Ville et lEurométropole de Strasbourg (EMS) encouragent le développement de lagriculture biologique. Elles soutiennent notamment Bio en Grand Est, qui accompagne les producteurs dans leurs conversions, qui favorise la création de circuits de commercialisation bio et développe des approvisionnements bio dans la restauration collective. Les cantines des écoles maternelles, des écoles primaires et des accueils petite enfance proposent ainsi entre 20 et 40 % de bio, dont du pain bio préparé en Alsace. LEMS a aussi souhaité explorer lopportunité de créer une filière céréale-farine-pain bio sur son territoire, dans le cadre de son Projet Alimentaire Territorial (PAT). Ce souhait a engendré de nombreuses réflexions : quel est le niveau dadéquation entre le potentiel de consommation de pain bio et loffre en céréales bio sur ce territoire ? Est-ce que la construction de telles filières pourrait susciter des conversions en grandes cultures biologiques ? Ce dossier présente létude, réalisée par Bio en Grand Est, pour répondre à ces questions (étude menée en 2018 et financée par lADEME) et concerne : les circuits de distribution du pain bio en France, la filière déjà existante pour approvisionner les écoles de Strasbourg en pain bio, le potentiel de loffre locale en céréales panifiables bio, ainsi que lévaluation de la demande de lEMS.
Dossier : Tour d'horizon de limpact de la crise sur les filières : Lanalyse du terrain
BIO EN GRAND EST, AuteurBio en Grand Est effectue un tour dhorizon des filières bio présentes sur son territoire afin de mesurer les impacts de la crise sanitaire (épidémie de Covid-19) sur celles-ci. Pour chaque filière, un ou des référents professionnels réalisent un état des lieux. Concernant la filière laitière, la filière longue a été inégalement touchée par la crise mais tous les acteurs ont demandé aux producteurs de lisser leur pic de production printanier. La filière courte a été touchée différemment suivant les circuits de commercialisation préexistants. Pour la viande bovine, des difficultés ont été observées sur laval de la filière (diminution de lactivité dans les abattoirs et dans les ateliers de découpe) et la consommation a changé (fermeture de certains rayons traditionnels, de la RHD ). Pour les légumes, les maraîchers qui vendaient principalement sur les marchés ont été fortement impactés. Des adaptations rapides ont été mises en place mais ont généré de la fatigue. Pour les vins, les principaux circuits de commercialisation (restaurateurs, vente directe, export ) nont pas pu être assurés, ce qui a engendré des tensions de trésorerie. Pour les ovins, caprins et porcins, un boom de la vente directe a été constaté et les ventes se sont à peu près maintenues (hormis pour les chevreaux). Concernant les volailles de chair, les filières longues ont souffert de la fermeture de la RHD. En revanche, pour la filière ufs, la demande a explosé. Enfin, les grandes cultures ont très peu été impactées par cette crise.
Enquête PRIX Céréales Oléagineux Protéagineux, synthèse 2016-2020
Emmanuelle CHOLLET, AuteurLa CAB Pays de la Loire collabore chaque année avec Initiative Bio Bretagne (IBB) afin de réaliser une enquête sur les prix des grandes cultures biologiques (céréales, protéagineux et oléagineux). Cette enquête est menée auprès des principaux collecteurs du Grand Ouest. Cet article présente les prix payés aux producteurs (fourchette de prix fondée sur un prix minimal et un prix maximal), entre 2016 et 2020, pour différentes cultures : blé meunier, blé fourrager, triticale, orge fourragère, seigle, avoine, sarrasin, pois protéagineux, pois fourrager, féverole, lupin, colza, maïs, tournesol Globalement, la demande a été constamment en progression durant cette période, ce qui a permis de maintenir, voire daugmenter les prix durant ces différentes campagnes. Par ailleurs, les volumes collectés dans les Pays de la Loire ont été multipliés par trois en cinq ans.
Faire mousser la bière en Occitanie
Alice LE BALLE, Auteur ; Raphaël LEBEAU, Auteur ; Camille GRENTZINGER, AuteurLa filière brassicole française est en pleine croissance. LOccitanie fait partie des régions les plus dynamiques avec plus de 200 microbrasseries et brasseurs artisanaux. Fin 2018, plusieurs acteurs de cette région ont créé un partenariat afin de structurer et daccompagner le développement de cette filière. Dans cette dynamique, les brasseurs ont exprimé de forts besoins en matières premières (malt et houblon) produites localement. La production régionale dorge de brasserie pourrait en théorie couvrir les besoins (la demande est évaluée à 3 500 tonnes alors que 12 000 tonnes sont produites sur ce territoire), mais cest létape de transformation en malt qui pose problème. Dans cette dynamique, une journée déchanges a été organisée le 22 novembre 2019, à Narbonne. Cette réunion a également été l'occasion d'identifier plusieurs objectifs de développement : relocaliser les productions de malt et de houblon, développer cette filière au travers de léconomie circulaire, différencier les bières artisanales régionales En complément de cet article, un encart est réservé à lentreprise Hopen-Terre de houblon qui a pour objectif de développer une production de houblon durable dans le Lot-et-Garonne, voire à léchelle nationale.
Filière "blé dur" : du grain au produit
Bettina BALMER, AuteurIssu d'une espèce différente, le blé dur (Triticum durum) dispose d'un grain plus dur que le blé tendre et résiste mieux à l'écrasement et à la fragmentation lorsqu'il est réduit en semoule. Alors que la farine de blé tendre est utilisée en majorité dans les secteurs de la panification, de la viennoiserie et de la biscuiterie, le blé dur sert principalement à la fabrication de pâtes, de couscous, de boulgour et de blé précuit. Trois étapes mènent à la semoule qui sera ensuite transformée : le broyage, le blutage (passage en tamis) et le sassage (séparation du grain et du son). Différentes catégories de semoule sont ainsi obtenues, de la plus fine à la moins fine. Les procédés de transformation en bio ne sont pas différents du conventionnel. En revanche, l'agriculture biologique a ses variétés de blé dur et ses itinéraires techniques propres. Selon les chiffres de l'Agence BIO, 639 exploitations cultivaient du blé dur bio en France en 2018.
Une filière laboratoire pour des pâtes bio 100 % françaises
Gabriel OMNÈS, AuteurAlpina Savoie a développé des pâtes bio confectionnées à partir de blé dur 100 % français. La mise en place de cette filière ne sest pas faite sans difficultés puisque la culture de blé dur bio a du mal à se développer en France (risque de salissement des parcelles, contrôle des maladies difficile, taux de protéines assez bas, choix en variétés limité ) : seulement 5 000 tonnes sont produites chaque année. Alpina Savoie, qui est impliquée dans la bio depuis une quinzaine dannées, a souhaité développer encore cette filière afin de se démarquer des géants du secteur. Lapprovisionnement seffectue par lintermédiaire de Biosud, une coopérative basée en Camargue. Cette dernière est également en charge de réaliser un suivi chez les producteurs afin dobtenir une matière première de qualité. Une soixantaine dagriculteurs (ce qui représente entre 1200 et 1500 ha) sont impliqués dans cette démarche. Cette filière leur permet dassurer un débouché et leur garantit un prix minimum sur trois ans (entre 520 et 540 /t, ces dernières années).
Filières céréales et oléo-protéagineux biologiques en Auvergne-Rhône-Alpes
COOPERATION AGRICOLE AUVERGNE-RHÔNE-ALPES, Auteur ; FRAB AUVERGNE-RHÔNE-ALPES, Auteur ; AGRICULTURES & TERRITOIRES - CHAMBRE D'AGRICULTURE AUVERGNE-RHÔNE-ALPES, Auteur ; ET AL., Auteur | LYON CEDEX 07 (Agrapole, 23 Rue Jean Baldassini, 69 364, FRANCE) : COOPÉRATION AGRICOLE AUVERGNE-RHÔNE-ALPES | 2020Cette fiche effectue un état des lieux sur les filières céréales et oléoprotéagineux en Auvergne-Rhône-Alpes (AuRA). Elle commence par présenter les volumes produits à léchelle nationale et régionale pour la campagne 2019/2020 et insiste sur la forte progression des surfaces cultivées en bio ces dernières années. Comme ce phénomène entraîne une hausse de loffre en céréales et oléo-protéagineux bio, cette fiche alerte sur la nécessité de faire un point tous les ans avec son metteur en marché afin de valoriser au mieux ses productions (il faut trouver le bon équilibre entre rentabilité et rotation culturale). Concernant le marché des cultures en deuxième année de conversion (C2), elle précise que les nombreuses conversions ont entraîné une saturation des débouchés et qu'il est possible que le prix dachat des C2 baisse au niveau national. Elle indique ensuite les cultures de vente les plus recherchées en AuRA ; un tableau récapitule les différents opérateurs économiques de la région, leur aire dinfluence, leurs coordonnées, ainsi que leurs attentes et leurs besoins en matière de cultures. Elle apporte aussi, sous la forme dun tableau, des informations (personnes ressources et coordonnées) sur les organismes de développement de lagriculture biologique en AuRA (structures de coordination régionale et structures daccompagnement technique).
Grandes cultures bio Grand Ouest - Maîtriser la qualité de ses grains bio, du champ au silo : Les bonnes questions à se poser
La production de grains bio de qualité, que ce soit pour lalimentation humaine ou animale, nécessite des savoir-faire et engage la responsabilité individuelle et collective de tous les maillons de la chaîne (du producteur au transformateur). Cette fiche présente les principes, les pratiques et les outils adaptés à la récolte, au stockage, au triage et à lacheminement optimal des grains bio, du champ au silo. Lobjectif est de garantir la qualité des grains tout en limitant les risques (contaminations, déclassements, destruction ). Cette fiche apporte des données techniques sur les différentes étapes citées précédemment. Ces données sont illustrées par des schémas et synthétisées par des tableaux récapitulatifs. Elles sont également ponctuées par des citations de producteurs biologiques du Grand Ouest. Ce document a été réalisé par le groupe Grandes cultures bio Grand Ouest, qui regroupe des producteurs, des organismes stockeurs, des collecteurs, des groupements dagriculteurs biologiques, des associations interprofessionnelles bio, des Chambres dagriculture et la Coopération Agricole Ouest.
Le marché alimentaire bio en 2019 : Estimation de la consommation des ménages en produits alimentaires biologiques en 2019 : Edition 2020
C. RENAULT, Auteur ; T. CHEVER, Auteur ; V. ROMIEU, Auteur ; ET AL., Auteur | MONTREUIL-SOUS-BOIS (12 Rue Henri Rol-Tanguy, 93 100, FRANCE) : AGENCE BIO (Agence Française pour le Développement et la Promotion de l'Agriculture Biologique) | 2020Les principaux chiffres de la consommation de produits biologiques par les ménages français en 2019, de l'étude réalisée par AND-International pour l'Agence BIO, sont présentés. En 2019, la valeur des achats de produits alimentaires issus de lagriculture biologique a progressé de 1,331 milliard deuros, soit une croissance de + 13,4 % vs 2018. Le marché a ainsi atteint 11,294 milliards de chiffre d'affaires. La consommation de produits alimentaires bio représente désormais plus de 6% de la consommation totale de produits agricoles et alimentaires. De nombreux tableaux et graphiques détaillent cette croissance : chiffre d'affaires des produits bio par circuit de distribution ; ventes de produits bio par famille et par circuit ; circuits de distribution de la viande bio de 2014 à 2019 ; vente des produits de l'aquaculture par espèce et par circuit ; chiffres d'affaires et parts de marché en fruits et légumes frais bio ; estimation des achats de vins bio par les ménages en France en 2019, par circuit, en volume et en valeur, estimation des emplois dans l'aval des filières bio de 2012 à 2019, etc.