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15 novembre 2011 - Retour sur la journée "Viandes Bio"
BIO BRETAGNE INFO, AuteurLes participants à la journée Filières et Techniques consacrée à la filière Viandes bio ont pu échanger sur la production, la structuration et les débouchés. Cette discussion a été suivie des visites d'une exploitation du Morbihan et de l'entreprise Monfort Viandes présentées dans cet article. Sur la Ferme de la Haye, conduite en AB, les broutards sont vendus sur le circuit conventionnel. Les éleveurs souhaiteraient pouvoir valoriser leurs mâles en bio et s'interrogent aujourd'hui sur les possibilités qui s'offrent à eux. Dans l'entreprise de découpe et de transformation Monfort Viandes, les produits biologiques représentent 20 % du chiffre d'affaires, part qui devrait augmenter dans les années à venir. Le « Pôle Viande Bio Bretagne », créé en 2010, a pour objectifs de sécuriser les volumes et les débouchés pour les transformateurs et de garantir un prix rémunérateur aux éleveurs. Le marché de la viande biologique est actuellement en développement et les efforts importants de structuration de la filière sont indispensables pour assurer la bonne valorisation des produits.
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L'AAA, accoucheuse de nouvelles AMAP ?
L'Association des AMAP d'Armorique (AAA) est née, en octobre 2007, sous l'impulsion de Michel Chabuel, consomm'acteur et initiateur des trois AMAP d'Ille-et-Vilaine qui ont vu le jour cette année. La vocation de l'AAA est d'amplifier le mouvement des AMAP (elle veut créer 12 AMAP sur les Côtes d'Armor et l'Ille-et-Vilaine) et d'instaurer une AMAP viande. Dans ce cas, il faut pouvoir réunir entre 300 et 400 consomm'acteurs (pour une AMAP maraîchère, il faut 70 consomm'acteurs) et l'idéal serait de disposer d'un pool d'AMAP et donc de consomm'acteurs dans un même secteur géographique.
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Un abattoir collectif qui gagne de l'argent
Annick CONTÉ, AuteurEn 1996, les éleveurs du Beaufortain (73) ont failli perdre leur abattoir de proximité. Mais, c'était sans compter avec la détermination de la coopérative "La Laitière du Beaufortain", qui a réussi à convaincre la communauté de communes de fournir le terrain et de financer la moitié de l'investissement nécessaire à la construction d'un abattoir aux normes, apportant elle-même l'autre moitié du financement. La Sica viande du Beaufortain assure la gestion complète de la structure : finances, personnel, amont éleveurs, effluents, maintenance... Cette structure de commercialisation a été créée dans la foulée par 36 agriculteurs. Elle rachète les animaux à l'abattoir qui appartient à la communauté de communes, commercialise la viande et redistribue toute la plus-value aux éleveurs, leur permettant ainsi de bien valoriser leurs vaches de réforme.
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Abattoir de proximité : Un enjeu d'agriculture et de territoire
Isabelle FROUX, AuteurLes abattoirs de proximité sont de moins en moins nombreux en France, victimes de difficultés économiques et/ou d'exigences sanitaires. Pourtant, de telles structures sont essentielles pour le développement et le maintien de circuits courts (vente directe et autres démarches de proximité) qui sont, eux, en plein essor. Dans ce contexte, la question des abattoirs de proximité a été abordée, lors d'une journée nationale, organisée par le réseau des Chambres d'agriculture le 6 juin 2012. L'existence de ces abattoirs représente aussi un enjeu en termes de dynamisme et d'emploi pour les territoires concernés. Cette journée a permis de montrer des exemples de reprise et de création réussis et d'échanger sur leurs facteurs de réussite.
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Un abattoir sous statut coopératif
Hélène BUSTOS, AuteurFace aux coûts élevés de mise aux normes, les abattoirs de petite et moyenne taille disparaissent, obligeant les éleveurs à aller toujours plus loin pour faire abattre leurs animaux ou à sous-traiter avec des professionnels spécialisés, rallongeant ainsi les transports et les filières. Et c'est un sacré handicap pour tout éleveur qui veut s'installer, sauf à pratiquer la vente directe (normes moins strictes). Aussi, l'histoire du sauvetage original de cet abattoir est-elle à souligner. En Charente, à Chalais, sur décision de la mairie, l'abattoir municipal doit fermer ses portes en 2008 : il revient en effet trop cher à la commune (qui doit chaque année éponger le déficit), et n'est plus aux normes. De plus, les éleveurs n'hésitant pas à faire jouer la concurrence entre abattoirs (même éloignés), la clientèle de ces derniers n'est pas toujours fidèle. Bref, cet abattoir est condamné à très court terme, mais c'est alors que quelques personnes (paysans, élus..) envisagent de le transformer en SCIC (société coopérative d'intérêt collectif) pour le sauver. L'annonce de la fermeture imminente de deux autres abattoirs régionaux (Angoulême et Bordeaux) n'est sans doute pas étrangère non plus à la mobilisation de ces personnes. Une fois que le personnel municipal a été convaincu, chacun (bouchers, paysans..) a acheté des parts et la SCIC a pu refonctionner sur de nouvelles bases : plus grande motivation du personnel, intérêt des éleveurs qui ont ramené d'autres clients... Dès la première année, ce sont 30% d'activités en plus qui ont transité par l'abattoir. Beau succès donc, dû en partie à ce statut SCIC (un encadré dans cet article en précise les modalités. Elles sont 176 en France aujourd'hui).
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Abattoirs paysans : Eleveurs, consommateurs, tous engagés ! Pour une fin de vie digne des animaux
Coline JOSSE, Auteur ; Martial GRANJON, Auteur ; Stéphanie MOULIN, Auteur ; ET AL., Auteur | LYON (58 Rue Raulin, 69 007, FRANCE) : RÉSEAU AMAP AUVERGNE-RHONE-ALPES | 2020Le projet TRAPPAPAE (TRAnsfert Par et Pour les Agriculteurs, Pour une transition Agro-Ecologique) a été lauréat du programme « Animation régionale des partenariats pour linnovation et le développement agricole » de 2019. Dans le cadre de ce projet, le Réseau AMAP Auvergne-Rhône-Alpes a animé un groupe de travail sur la thématique de labattage de proximité, en collaboration avec la FADEAR et la Confédération paysanne. Les différents travaux effectués ont notamment conduit à la rédaction de cette brochure qui apporte un éclairage sur la situation de labattage en France et donne des arguments pour soutenir labattage de proximité. Elle commence par fournir des données chiffrées sur le nombre (en forte diminution) dabattoirs en France. Elle explique ensuite pourquoi la réappropriation de labattage par les producteurs est un enjeu important pour développer des filières durables et de proximité. Elle sappuie pour cela sur six principaux arguments : 1 soutenir lélevage paysan ; 2 aider à atteindre la souveraineté alimentaire ; 3 respecter la dignité animale ; 4 garantir lautonomie des paysans ; 5 optimiser la qualité de la viande ; 6 améliorer les conditions de travail des membres de cette filière.
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Des abattoirs paysans pour soutenir la diversité de nos élevages et défendre nos productions
Yves Pierre MALBEC, AuteurLa France a vu disparaître peu à peu nombre de ses abattoirs. En 2018, il ne reste que 260 établissements d'abattage sur l'ensemble du territoire (contre 3520 en Allemagne par exemple). Ces établissements sont de plus en plus spécialisés et industrialisés. Toutefois, des initiatives locales émergent : gestion d'abattoirs de proximité par les éleveurs eux-mêmes, projets de structures mobiles d'abattage, etc.
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Abattoirs paysans : Récits dexpériences de paysans et paysannes
Étienne SIGNOLET-BIGALLET, Auteur ; Amélie CHARVERIAT, Auteur ; Fabien CHAMPION, Auteur ; ET AL., Auteur | LYON (58 Rue Raulin, 69 007, FRANCE) : RÉSEAU AMAP AUVERGNE-RHONE-ALPES | 2020Le projet TRAPPAPAE (TRAnsfert Par et Pour les Agriculteurs, Pour une transition Agro-Écologique) a été lauréat du programme « Animation régionale des partenariats pour linnovation et le développement agricole » de 2019. Dans le cadre de ce projet, le Réseau AMAP Auvergne-Rhône-Alpes a animé, en collaboration avec la FADEAR et la Confédération paysanne, un groupe de travail sur la thématique de labattage de proximité. Ce livret sappuie sur les témoignages d'éleveurs engagés dans des projets dabattoirs de proximité : Antoine Ponton, Bénédicte Peyrot, David Grangé, Émilie Jeannin, Jean-Marie Maurel, Nicolas Dreyer, Samuel Gantier, Stéphane Dinard, Valérie Dub. Leurs retours dexpériences ont permis didentifier cinq facteurs favorables au développement de ce type dabattage : 1 - le contexte de labattage en France qui interroge lorganisation du travail des éleveurs ; 2 - la mobilisation des consommateurs qui interpellent la profession agricole sur la nécessité daugmenter la transparence à tous les niveaux de production ; 3 - lattention portée à la bientraitance animale ; 4 - le collectif et laccompagnement qui, pour la plupart des éleveurs interrogés, sont primordiaux pour la réussite dun projet dabattoir de proximité ; 5 - l'accès à des financements et la nécessité de partenaires sont essentiels à la pérennisation dun tel projet.
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ACCEPT Acceptabilité des élevages par la société en France : cartographie des controverses, mobilisations collectives et prospective
C. ROGUET, Auteur ; E. DELANOUE, Auteur ; M-L. GRANNEC, Auteur ; ET AL., AuteurDans un contexte de profondes remises en cause des systèmes et des pratiques délevage en France et en Europe, le projet Casdar ACCEPT (2014-2018) a analysé la controverse sur lélevage afin de répondre à trois principaux objectifs : i) recenser et analyser les sujets de controverse sur lélevage, ii) étudier comment ces controverses pénètrent la société française et saisir la diversité des attentes des citoyens envers lélevage, iii) identifier les mécanismes sociaux à luvre et les mobilisations collectives. Cette étude avait pour objectif final daider les filières animales à renouer le dialogue avec la société en adaptant leurs stratégies, pratiques et communication. Les différents travaux menés au sein de ce projet ont permis de produire une cartographie des controverses, de mesurer laudience des débats dans la population française et de réaliser une typologie des citoyens français. Le projet a également recensé, en France et dans cinq autres pays européens, diverses initiatives mises en place par des filières animales pour mieux répondre aux attentes sociétales. Il a aussi conduit à la construction dun outil destiné aux éleveurs afin de les aider à mieux positionner leurs projets dans leur environnement local. Enfin, un travail prospectif a permis dimaginer cinq scénarios pour le monde de lélevage à lhorizon 2040.
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Actualité économique : "Evolution du cours du lait, Janvier 2012 / Décembre 2013" ; Evolution des cours de la viande bio 2009-2013 ; Cours des céréales et oléo-protéagineux ; Cours de fruits et légumes, épicerie
Didier DESARMENIEN, Auteur ; Brigitte LAMBERT, Auteur ; Boris JEANNE, Auteur ; ET AL., AuteurL'article présente l'évolution du cours du lait de janvier 2012 à décembre 2013 (autosuffisance atteinte sur le marché du lait bio en France, prix du lait de 426/1000l en 2012 et 435/1000l en 2013 en Pays de la Loire) ; l'évolution des cours de la viande bio 2009-2013 (prix bio déconnectés du conventionnel depuis 10 ans, mais chahutés en 2013) ; les cours des céréales et oléo-protéagineux (en tendance octobre 2011 mars 2014 car les prix peuvent être différents selon les opérateurs) ; les cours de fruits et légumes, épicerie (2012-2014), issus de 3 principaux grossistes du MIN de Nantes (semaine 12 : 1,77 les 6 ufs, 1,18/l lait UHT ½ écrémé).
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Actualité économique : Evolution du prix du lait Bio payé aux producteurs, janvier 2013/janvier 2015 ; E BIO-UNEBIO, la filière des éleveurs bio prend de l'ampleur ! ; Cours des légumes d'hiver ; Cours des céréales et oléo protéagineux
Didier DESARMENIEN, Auteur ; Blandine MASSOT, Auteur ; Vincent HOUBEN, Auteur ; ET AL., AuteurCet article fait le point sur les filières et les cours agricoles en France et en Pays de la Loire en présentant : - le prix du lait payé aux producteurs bio et conventionnels entre janvier 2013 et janvier 2015 ; - les filières viande en bovins, ovins et porcins biologiques sur les années 2014 et 2015 ; - les cours des légumes d'hiver de référence (pomme de terre, poireau, carotte, choux et navet) pour l'année 2015 ; - les cours des céréales (blé tendre, maïs, triticale) et oléoprotéagineux (féverole et tournesol) biologiques de septembre 2013 à septembre 2015.
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AGENCE BIO : 10 ans de Printemps BIO : La bio fait son chemin, L'horizon s'élargit : Rencontres nationales bio : Un autre rapport qualité-prix, 9 juin 2009, à Paris
Ce dossier, distribué aux participants, lors des Rencontres nationales bio : "Un autre rapport qualité-prix", qui se sont déroulées le 9 juin 2009, à Paris, comporte les documents suivants : 4 pages sur "L'agriculture biologique en France : un marché porteur" ; 4 pages sur "L'agriculture biologique en France : Chiffres clés" ; 7 fois 2 pages sur : "L'agriculture biologique : un sol vivant et fertile ; un environnement préservé" ; "Les atouts nutritionnels et sanitaires des produits bio : quelques résultats du programme européen de recherche (projet QLIF)" ; "Nouvelle réglementation en agriculture biologique : ce qui a vraiment changé le 1er janvier 2009" ; "En savoir plus : Logos et contrôles" ; "Actions mises en place au plan européen pour informer sur l'agriculture biologique et ses produits" ; "L'Agence BIO ; Les actions de la filière viande (Commission Bio d'Interbev)" ; Une liste des inscrits aux rencontres nationales du 9 juin 2009 ; Une liste des contacts relais régionaux.
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Agneaux bio : Des références à pérenniser
Frédéric RIPOCHE, AuteurLe programme CasDar Agneaux bio, coordonné par lItab et lInstitut de lÉlevage, sest terminé en 2016. Jean-François Vincent, éleveur de brebis bio dans le Cher et qui a participé à ce projet en tant que représentant de la Fnab, donne son point de vue sur lintérêt des résultats obtenus : importance de la productivité en élevage ovin, mais tout en restant le plus possible économe sur les concentrés ; évolution des prix payés aux producteurs en favorisant les rencontres entre acteurs de lamont et de laval de la filière ; développement de loutil daide à la décision Ostral pour lorientation des élevages et les conversions Dans le cadre de ce programme, une étude a comparé les impacts environnementaux des productions ovines bio et conventionnelles, avec des atouts en élevage bio sur le stockage de carbone, les services écosystémiques, la qualité de leau
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L'agriculture bio dans le monde - Edition 2019
LAgence BIO présente les chiffres clés 2019 de la bio dans le monde. Parmi ceux-ci : 93 pays sétaient dotés dune réglementation pour lagriculture biologique début 2019. Elle était en préparation dans seize autres pays. Le marché bio mondial était estimé à près de 92,8 milliards deuros en 2017 et aurait dépassé 100 milliards deuros en 2018. La surface mondiale cultivée suivant le mode biologique est estimée à près de 69,9 millions dhectares (fin 2017). Elle représentait 1,4 % de lensemble du territoire agricole des pays enquêtés. Près de 2,9 millions dexploitations agricoles certifiées bio ont été enregistrées en 2017. Au sommaire de ce document : - Lagriculture bio se développe dans le monde ; - La consommation de produits bio dans le monde ; - Les flux des produits bio au niveau mondial ; - Focus sur les productions végétales bio ; - Focus sur lélevage bio ; - Volontés de développement du secteur bio et politiques publiques (Les actions dIFOAM dans le monde).
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L'agriculture bio dans le monde - Edition 2020
LAgence BIO présente son édition 2020 des chiffres-clés de la bio dans le monde. Parmi ceux-ci : 103 pays sétaient dotés dune réglementation pour lagriculture biologique fin 2019. Le marché alimentaire bio mondial est estimé à plus de 112,3 milliards deuros en 2019. La surface mondiale cultivée suivant le mode biologique est estimée à près de 71,5 millions dhectares fin 2018. Elle représentait 1,5 % de lensemble du territoire agricole des 186 pays enquêtés par le FiBL et IFOAM. Près de 2,8 millions dexploitations agricoles certifiées bio ont été enregistrées en 2018, en recul de 5,2 % par rapport à 2017. Le nombre d'exploitations bio a progressé en Asie (+ 7 %), en Amérique du Nord (+ 4,3 %) et en Europe (+ 3,8 %). Ce nombre a reculé en Océanie (- 22, 1 %), malgré une augmentation des surfaces, ainsi quen Afrique (- 2,2 %) et en Amérique Latine (- 50,6 %, en raison d'une baisse enregistrée au Mexique du fait dun changement de la source de données qui ninclue plus les petits producteurs). Au sommaire de ce document : - Etat des lieux des réglementations et accords déquivalence ; - Lagriculture bio se développe dans le monde ; - Les préparateurs, importateurs et exportateurs de produits bio en 2018 ; - La consommation de produits bio dans le monde ; - Les flux des produits bio au niveau mondial ; - Focus sur les productions végétales bio ; - Focus sur lélevage bio ; - Volontés de développement du secteur bio et politiques publiques.