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Vin bio : perspectives de production et de consommation en France et à l'international
A l'aide des statistiques de l'Agence Bio, cet article présente les surfaces et les volumes mis en marché du vin bio selon les débouchés, ainsi que des prévisions de surfaces d'ici à 2016. Est aussi présentée la répartition des volumes entre viticulteurs et coopératives, puis selon les acteurs de l'aval : négociants, détaillants, marchés extérieurs pour l'année 2013. La consommation intérieure est précisée. Un tableau résume les caractéristiques des marchés allemand, suisse, suédois, finlandais, britannique et belge.
La filière viticole bio en région Centre
Cécile PERRET, Auteur ; Annie RIGAULT, AuteurAlors que la viticulture biologique se développe très rapidement, en France mais aussi en région Centre, Bio Centre a décidé de mener une étude approfondie pour mieux connaître la filière régionale. Cet état des lieux devrait permettre aux acteurs de la filière de relever les défis qui se font jour, en matière de structuration de la filière notamment. De plus, la communication vers les consommateurs devra être renforcée, pour valoriser la qualité des vins biologiques. Au sommaire de ce Hors série, notamment : Contexte : La filière viticole biologique en France ; La production viticole en région Centre ; - L'étude : Les domaines viticoles biologiques en région Centre ; Une main d'uvre importante ; Les conditions de passage en bio ; Des vins vendus localement et à l'export ; Les attentes des viticulteurs ; Les opérateurs de l'aval ; - Interviews : François Chidaine et Pascal Potaire, vignerons ; La Cav' par 3 et Nicolas, cavistes ; Biovidis, négociant ; - Enjeux et perspectives : Forces et faiblesses de la filière ; Des opportunités à saisir ; Les défis de la filière.
Millésime Bio : Le marché du vin bio échappe à la crise de croissance
Julien CLAUDEL, AuteurMalgré un contexte de crise et l'arrivée prochaine sur le marché de gros volumes liés à de nombreuses conversions, le marché du vin bio continue sa progression et les opérateurs comptent sur le règlement européen « vin bio » pour dynamiser la filière, notamment à l'international. Ainsi, 590 exposants se sont réunis à Montpellier à l'occasion du vingtième salon Millésime Bio. Aujourd'hui, la communication et la commercialisation ressortent comme des éléments clés pour le développement de la filière (internet, réseaux sociaux ). Les vins bio devraient d'ailleurs faire leur entrée en masse dans les rayons des grandes surfaces. Côté export, certains marchés sont en expansion mais des critères particuliers sont à respecter et certains freins à surmonter pour y trouver des débouchés : vins sans sulfites ajoutés pour les États-Unis, pas encore de libéralisation du marché avec le Canada Ce contexte international a été présenté lors d'une conférence organisée par l'Agence Bio sur les perspectives d'avenir du marché du vin bio en France, en Italie, aux États-Unis et au Canada.
Structurer la filière vinicole : La Fnivab devient France Vin Bio
Christine RIVRY-FOURNIER, AuteurLa Fnivab, fédération nationale interprofessionnelle des Vins de l'agriculture biologique, a été créée en 1998 et devient France Vin Bio en 2013. Elle a participé à l'élaboration du cahier des charges européen de la vinification, appliqué depuis le 1er Août 2012. Une vague de conversions a eu lieu en 2011-2012. Les surfaces certifiées en bio atteignent près de 8% des surfaces viticoles françaises et les volumes de production vont probablement doubler entre 2012 et 2014. Les caves coopératives produisent maintenant des volumes leur permettant de se positionner à l'export ou en grandes surfaces et des négoces conventionnels s'intéressent au bio, ce qui risque de tirer les prix vers le bas. Il y a donc un fort enjeu pour maintenir des prix rémunérateurs. France Vin Bio regroupe des producteurs et des négociants et s'appuie sur les structures interprofessionnelles locales déjà existantes. Ceci permet d'avoir de meilleurs moyens pour organiser la filière. France Vin Bio, actuellement structurée autour d'interprofessions des régions Languedoc-Roussillon, Aquitaine, Champagne-Ardennes et Val de Loire, souhaite maintenant s'ouvrir à d'autres régions pour que les viticulteurs bio français puissent avoir une position coordonnée lors de la révision du règlement de la vinification bio et pour structurer ensemble la filière, en partenariat avec l'Agence Bio.
L'agriculture biologique : Ses acteurs, ses produits, ses territoires : Edition 2012
L'édition 2012 de la publication annuelle de l'Agence Bio, "L'agriculture biologique : Chiffres clés", est parue. Ces chiffres clés offrent un panorama complet de l'agriculture biologique française, avec au sommaire : - L'agriculture biologique : un environnement préservé ; - L'agriculture biologique dans le monde ; - L'agriculture biologique dans l'Union européenne ; - La bio en France, de la production à la consommation (L'agriculture bio en France ; La transformation et la distribution ; L'importation ; La consommation ; Les produits bio en restauration collective ; La structuration des filières bio, des engagements sur tout le territoire) ; - Focus sur les filières bio végétales en France (Les grandes cultures ; Le secteur des fruits et légumes ; La filière viticole ; Le secteur des plantes à parfum, aromatiques et médicinales) ; - Focus sur les filières bio animales en France (Les filières laitières ; Le secteur des viandes bovine, ovine et porcine ; Les filières avicoles ; L'apiculture ; L'aquaculture) ; - L'agriculture biologique dans les régions (Fiches régionales) ; - Autres informations (Aides publiques : repères ; Qu'est-ce que l'Agence Bio ?). Ces données sont également téléchargeables sur le site de l'Agence Bio, à l'adresse suivante : http://www.agencebio.org/pageEdito.asp?IDPAGE=196. Fin 2011, la France comptait 23 135 exploitations agricoles engagées en bio, soit 4,5% des exploitations françaises, avec une augmentation de 12,3% en un an. Elles couvraient 975 141 ha conduits en agriculture biologique, dont 699 300 ha certifiés biologiques et 275 841 ha en conversion (soit 28% du total). Après une année 2010 record, les surfaces bio ont continué de progresser en France avec 130 000 ha supplémentaires en 2011 (soit +15,3%). Elles représentaient, fin 2011, plus de 3,5% de la SAU nationale, contre 3,1% en 2010.
Dossier : Vin bio
Myriam GOULETTE, Auteur ; Martine COSSERAT, AuteurHarmonisation des pratiques, meilleure cohérence pour le consommateur : la filière vin bio se réjouit de l'adoption d'un règlement européen sur la vinification. Fruit d'un long travail de recherche et d'un compromis difficile à négocier entre les 27 pays européens, ce texte prend maintenant forme sur le terrain. Le programme de recherche Orwine, mené de 2006 à 2009, a recueilli et apporté de nombreuses connaissances techniques pour établir ce règlement. Ce règlement tombe bien puisque les surfaces viticoles bio ont presque triplé en 4 ans, atteignant 7.4 % du vignoble national fin 2011. Sur le terrain, l'interprétation du texte soulève forcément déjà quelques questions, comme en témoigne la tournée des chais réalisée par un vinificateur en Dordogne et présentée ici. C'est le cas des enzymes en vinification : le règlement les autorise pour la clarification seulement ; or, elles ont toutes aussi plus ou moins une activité secondaire d'extraction. Face à la mise en place de cette filière vin bio, aujourd'hui, une des inconnues reste le marché. Cependant, la réglementation ouvre la voie à une communication cohérente de la vigne à la bouteille pour une meilleure information des consommateurs. Autre atout, alors que le conventionnel passe à 80 % par la GMS, la filière bio se déploie dans une large diversité de circuits de vente, tous en croissance, et ayant chacun un poids significatif et des attentes multiples. Deux témoignages de cavistes clôturent cet article, rappelant l'importance pour les vignerons d'exprimer leur terroir, de faire passer un message et de faire le lien entre la vigne et le vin.
Eco-conception des emballages, une opportunité à saisir : Guide pratique des acteurs de la filière vin
ADELPHE, AuteurCe guide pratique, réalisé par Adelphe, une société qui accompagne les entreprises vers l'éco-conception des emballages et sur les questions relatives au Point vert, est destiné aux acteurs de la filière vitivinicole. Une première partie explique les fondamentaux de l'éco-conception, de ses objectifs à sa mise en pratique. Le guide apporte également quelques précisions sur les matériaux, l'évaluation de l'empreinte environnementale et la communication sur les démarches d'éco-conception. Dans une seconde partie du document, les différents types et éléments d'emballages (verre, caisse-outre, plastique, carton, bouchons en liège, étiquettes, palettes ) sont passés au crible et des solutions d'éco-conception spécifiques sont proposées.
Viticulture biologique : un nouveau pas franchi dans l'harmonisation européenne
Les viticulteurs français sont chaque année plus nombreux à s'orienter vers le mode de production biologique. En 15 ans, de 1995 à 2010, les surfaces de vignes conduites en bio ont été multipliées par 10, passant de 4 854 hectares à 50 268 ha. Vins rouges, blancs et rosés, champagnes, mousseux et crémants, moelleux et liquoreux : tous les types de vins peuvent être produits à partir de raisins bio. Leur qualité est largement reconnue. Ces vins sont régulièrement primés dans des concours nationaux et internationaux. Pour les vendanges 2012, une nouvelle étape sera franchie avec l'arrivée des "vins bio" à l'échelle européenne. La Commission européenne vient d'adopter, le 8 février 2012, des règles de vinification bio communes à l'ensemble des Etats membres qui complètent les règles déjà en vigueur pour la viticulture bio. A compter de la vendange 2012, les vins répondant à ces nouvelles règles pourront bénéficier de la mention « vin biologique ». Ce règlement entrera en application le 1er août 2012. Au sommaire de ce dossier : - La viticulture Bio : pour un environnement préservé ; - Les vins issus de la viticulture bio : repères et garanties ; - La viticulture Bio : un secteur en pleine expansion ; - Les vins bio en 3 mots : diversité, qualité, caractère ; - Témoignages de viticulteurs Bio.
L'agriculture biologique : Chiffres clés : Edition 2011
L'édition 2011 de la publication annuelle de l'Agence Bio, "L'agriculture biologique : Chiffres clés", est parue. Ces chiffres clés offrent un panorama complet de l'agriculture biologique française, avec au sommaire : - L'agriculture biologique : un environnement préservé ; - L'agriculture biologique dans le monde ; - L'agriculture biologique dans l'Union Européenne ; - La bio en France, de la production à la consommation ; - Focus sur les filières bio en France (les grandes cultures biologiques ; les filières laitières biologiques ; le secteur des viandes bovine, ovine et porcine biologiques ; le secteur avicole biologique ; le secteur des fruits et légumes biologiques ; la filière viticole biologique ; les filières plantes à parfum, aromatiques et médicinales biologiques) ; - Exploitations et surfaces bio par production végétale et par région ; - Exploitations et cheptels bio par espèce et par région ; - L'agriculture biologique dans les régions. Ces données sont également téléchargeables sur le site de l'Agence Bio, à l'adresse suivante : http://www.agencebio.org/pageEdito.asp?IDPAGE=196#filieres. Fin 2010, 20 604 exploitations agricoles étaient engagées en agriculture biologique, soit une augmentation de 25% par rapport à 2009 et de 55% par rapport à 2008. Les exploitations « bio » représentaient 4% des exploitations agricoles en France. La superficie en mode de production biologique était de 845 440 ha (+25% par rapport à 2009), dont 273 626 ha en conversion. Les surfaces conduites en bio représentaient 3,09% de la surface agricole de France. En 2010, les surfaces en conversion ont très fortement augmenté : + 80%. Les surfaces certifiées bio (au terme de la période de conversion) ont augmenté de 8,8% par rapport à 2009. Au vu des surfaces en conversion, les surfaces certifiées bio augmenteront, en toute logique, de plus de 15% en 2011, et plus encore en 2012.
Bonnes perspectives pour les vins bio à l'export
Isabelle MONTIGAUD, AuteurRéalisée à la demande du ministère de l'Agriculture, l'étude d'UbiFrance analyse les marchés des vins de raisins issus de l'agriculture biologique dans dix pays producteurs (Afrique du Sud, Allemagne, Argentine, Australie, Chili, Espagne, Etats-Unis, Italie, Royaume-Uni, Chine) et quatre pays consommateurs (Danemark, Norvège, Suède, Finlande). Les surfaces de vignobles cultivées en bio "se situent au-delà de la barre des 4 % du vignoble total en Espagne, en Allemagne, en Australie, aux Etats-Unis et en Italie", observe Marie Cambon, chef de projet sectoriel vignes et spiritueux à UbiFrance... La consommation est elle aussi confidentielle : les pays où l'offre est la plus développée affichent une consommation de "vins biologiques" de l'ordre de 1 à 2 % de la consommation totale de vin (Danemark, Norvège, Australie, Italie, Etats-Unis) et jusqu'à 3,5 % pour la Suède. Cependant, à travers le monde, la viticulture biologique suscite de plus en plus d'intérêt de la part de consommateurs. C'est particulièrement vrai dans les pays du Nord de l'Europe, comme la Suède, la Finlande, la Norvège. Sur ces pays, la part de la France est modeste avec une concurrence forte de pays comme l'Argentine ou l'Italie. La consommation augmente aux Etats-Unis et en Australie (les australiens consomment avant tout leur production locale). Un tableau identifie les niveaux et types d'aides publiques à la conversion par pays (Afrique du Sud, Argentine, Chine...).
Languedoc-Roussillon : Attention à la marche !
Yann KERVENO, AuteurLa filière biologique de Languedoc-Roussillon s'est réunie le 10 février dernier pour créer son interprofession Sud et Bio, présidée par Jean-Luc Malicorne. Cette interprofession va permettre de mieux structurer la filière, dans un contexte de conversions importantes, notamment en vigne, avec 3000 hectares supplémentaires en 2010. Alors que les fruits et légumes sont très porteurs, les grandes cultures biologiques sont moins développées, malgré un potentiel certain. Les 2 000 hectares existants sont surtout composés de prairies temporaires et de luzerne. Le blé dur est techniquement difficile à cultiver, mais les blés meuniers pourraient être développés avec la démarche Raspaillou. En élevage, il y a un manque de brebis, mais la Bergerie de Lozère travaille à la création d'une nouvelle laiterie. Enfin, la filière des plantes aromatiques et médicinales se développe, avec un potentiel de 200 hectares. La Région a mis fin à l'aide à la certification, et l'a remplacée par un visa bio. Ce dispositif de soutien, à enveloppe égale, permettra de guider les nouveaux arrivants en bio vers les débouchés les plus porteurs correspondant à leur exploitation.
Observatoire Régional des Filières Biologiques en Auvergne : Chiffres 2009 - 2010
Édité par Auvergne Biologique, l'Observatoire Régionale des Filières Biologiques en Auvergne a pour objectif de dresser un état des lieux complet de l'amont à l'aval des filières, de la production aux activités de transformation et de distribution. Ce document, qui présente l'analyse et la synthèse de l'ensemble des données recueillies, permettra de mieux comprendre les spécificités de l'agriculture biologique en Auvergne. Il s'agit également de mettre en perspective la production régionale et les besoins des transformateurs et distributeurs. Cet Observatoire se veut donc à la fois un outil de communication pour faire connaître les filières biologiques, mais aussi un outil de suivi et de pilotage du développement de l'agriculture biologique qui permet d'évaluer les besoins de développement et les moyens d'accompagnement à engager. Ce document présente un état des lieux de la situation générale de l'agriculture biologique en Auvergne (production, transformation, distribution, consommation), puis fait un zoom sur les filières biologiques dans la région (grandes cultures, lait, viande, fruits et légumes, PPAM, viticulture).
La vigne bio prend de la bouteille
Christine RIVRY-FOURNIER, AuteurFin 2009, 3 024 domaines viticoles étaient conduits en agriculture biologique, soit un bond de 39 % par rapport à l'année précédente. Depuis trois ans, les surfaces viticoles bio ont augmenté de 25% par an en moyenne, aboutissant à 39 146 ha, soit 4,6 % de la surface totale du vignoble. Toutes les régions viticoles françaises sont concernées par cette croissance, l'Alsace approchant des 10 % de sa surface viticole en bio, suivie par Provence-Alpes-Côte d'Azur à 9 %. Cette dernière fait partie, avec le Languedoc-Roussillon et l'Aquitaine, des trois principales régions viticoles, lesquelles regroupent les deux-tiers des surfaces en vigne certifiées en bio ou en conversion.
Conversions pour protéger les nappes : La bio ne bulle pas avec Perrier
Julien CLAUDEL, AuteurUne vraie convergence d'intérêts : à Vergèze, dans le Gard, un tiers de la production des coopérateurs de la cave locale est passée en bio, depuis 1997. Soucieux de protéger les nappes de la célèbre eau gazeuse, Perrier, propriétaire d'un millier d'hectares, les y a encouragés. L'accompagnement à la conversion n'a cependant pas été financier. Il s'est limité à un dialogue que tous jugent positif. Economiquement, les viticulteurs s'y retrouvent et Nestlé (dont Perrier est une marque) s'assure du maintien d'une eau de qualité.
Donner toute leur place aux vins bio (Dossier : Spécial Vinexpo 2009)
Sylvie LEBOULENGER, AuteurDepuis deux ans, la demande des consommateurs pour les vins issus de l'agriculture bio est visible. Cependant, les volumes ne sont pas encore conséquents. Partant de l'expérience particulière de La cave coopérative Jaillance qui commercialise, depuis deux ans la Clairette de Die, son produit phare, en bio, chez Auchan, et en régional, chez Carrefour..., l'article revient sur le potentiel de croissance du marché des vins bio (en référence à la dernière étude de l'Agence bio, menée par le CSA (Institut de sondages d'opinion et d'études de marché en France et en Europe)). Il cite les analyses de professionnels (Pascal Mouton, l'un des deux responsables des achats de Bordeaux et de vins du Sud-Ouest de Cora ; Alain Réaut, viticulteur en Champagne et président de la Fédération interprofessionnelle des vins de l'agriculture biologique ; Christophe Palmowski, directeur du marketing des Vignerons catalans en Roussillon) quant aux volumes de production, à la conversion des vignes en viticulture biologique, à la question de la valorisation d'un vin bio. Cette dernière question se pose alors que la viticulture biologique est confrontée à différents enjeux : surcoût de production, conversion de milliers d'hectares de vignes par les viticulteurs du Nouveau Monde, risque économique...