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PETITE MOYENNE ENTREPRISESynonyme(s)PMEVoir aussi |
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C>Terre : Dans le commerce de détail alimentaire, les voies contrastées de lécologisation
Mathieu HOCQUELET, Auteur ; Samira MAHLAOUI, AuteurDans le cadre du projet de recherche C>Terre (compétences dans la transition écologique, représentations et réalités) conduit par le Céreq, une étude exploratoire a été réalisée à partir de lanalyse de discours institutionnels, de la littérature scientifique et dentretiens avec des acteurs du secteur, sur les enjeux écologiques dans le commerce de détail. Dans ce secteur « marqué par la diversification des circuits de distribution », comment sopèrent les dynamiques décologisation et comment cela affecte les métiers et les activités ? En la matière, les discours sont très contrastés, entre des grandes enseignes qui structurent le marché mais peinent à renouveler un modèle commercial fondé sur une distribution et une production de masse, des TPE parfois innovantes, où les préoccupations écologiques structurent les activités et qui sont à la recherche dun modèle économique viable, et les magasins bio qui promeuvent une alimentation de meilleure qualité mais sont tentés dimiter les process de la GMS. Comment vont évoluer les oppositions entre ces différentes orientations décologisation ? Vont-elles aboutir à des circuits de distribution et à des métiers différents, induisant des besoins de formation, eux aussi différents ? Ou observera-t-on un rapprochement avec une des orientations devenant dominante ? Entre différenciation et rapprochement, quel est le rôle des parties prenantes (producteurs, fournisseurs, consommateurs, gérants, salariés, acteurs de la logistique ), chacun étant plus ou moins volontaire dans la démarche décologisation ? Est-ce à ces acteurs de décider de lavenir, ou à la « branche » de décider daller au-delà de simples actions de verdissement, ou encore à laction publique dengager des actions plus volontaristes, en termes notamment demplois et de formation ?
Basic and low-risk substances under European Union pesticide regulations: a new choice for biorational portfolios of small and medium-sized enterprises
Patrice MARCHAND, AuteurLa directive 2009/128/CE du Parlement européen et du Conseil du 21/10/2009 a établi un cadre pour l'action de la Communauté visant à assurer un usage des pesticides en phase avec la durabilité et à encourager le biocontrôle à faible niveau de préoccupation. Les substances de base décrites à l'article 23 du règlement phytosanitaire CE n° 1107/2009 consistent en une nouvelle catégorie opérationnelle pour les substances phytosanitaires, avec 16 substances approuvées jusqu'à présent. Un autre statut, régi par l'article 22, s'applique également à 11 substances à faible risque approuvées (voir la base de données de l'UE sur les pesticides). Aujourd'hui, les petites et moyennes entreprises (PME) ont la possibilité d'enregistrer des substances de biocontrôle au niveau de l'UE dans l'une des deux catégories. L'ITAB a déjà fourni une expertise technique sur la façon de remplir la demande de substance de base (BSA), avec une description des premiers résultats. Cependant, il est clair qu'il est nécessaire d'effectuer une enquête plus courte sur les deux procédures parallèles pour les PME. Une séquence concise des étapes nécessaires pour les PME est présentée, y compris une approche stratégique, une description rapide des étapes, un calendrier pour l'organisation globale, jusqu'à la dernière étape, après approbation du Comité permanent des végétaux, des animaux, des aliments et de l'alimentation. Les avantages et les limites des 2 lois sont présentés en détail. L'introduction de substances approuvées dans l'agriculture biologique est également discutée. Actuellement, les voies d'accès aux substances de base et à faible risque sont accessibles aux produits bio-rationnels (bio-contrôle) gérés par les PME. Par conséquent, les PME ont maintenant 2 options : la possibilité de rechercher une approbation des substances actives à faible risque avec des autorisations de mise sur le marché ou une approbation de substance de base sans revendication de produit phytopharmaceutique, selon la stratégie choisie.
Synabio : Des chantiers stratégiques en cours
Christine RIVRY-FOURNIER, AuteurL'assemblée générale du Synabio a eu lieu le 19 septembre 2013, l'occasion de revenir sur les nombreux chantiers en cours alors que l'actualité de la bio est très dense. Dans le cadre du programme Ambition Bio 2017, le Synabio souhaite accompagner les TPE-PME dans la structuration de filières, en leur permettant notamment de bénéficier du fonds Avenir Bio et de différents soutiens financiers. Alors que la règlementation européenne est en cours de révision, le Synabio revendique également un étiquetage plus juste et moins ambigu pour le consommateur. Il demande notamment à ce que l'appellation bio soit réservée aux produits contenant 100% d'ingrédients d'origine agricole bio. Les produits ne contenant pas 100 % d'ingrédients bio pourraient porter la mention « contient des ingrédients biologiques ». Le Synabio demande également à ce que la mention « Sans OGM » ne soit pas réservée aux produits mono-ingrédients, mais puisse être aussi utilisée sur les produits multi-ingrédients bio. Enfin, la base de données Securbio, en cours de développement, permet aux experts d'élaborer des préconisations pour limiter les risques de contamination OGM et pesticides.
Dossier de presse : Produits bio : Les PME de transformation et de distribution poursuivent leur développement en France
Le Synabio (Syndicat national des professionnels au service de l'aval de la filière agriculture biologique), regroupe, en direct, plus de 250 marques de produits bio pour un chiffre d'affaires d'environ 1,5 milliards d'euros. Ses 120 adhérents (regroupant transformateurs et réseaux de distribution) sont majoritairement des PME. Ils représentent aujourd'hui environ 40 % du marché bio, qui s'élève à près de 4 milliards d'euros en 2011, en hausse de 11 % par rapport à 2010 (Chiffres Agence Bio). Avec 5 associations régionales majeures adhérentes au Synabio, la représentativité du Syndicat est estimé à plus de 60 % du secteur. Ce développement positif de la bio est également soutenu par le secteur aval, avec une augmentation de 16 % du nombre de PME françaises opérant en bio en 2011 par rapport à 2010... Ce dossier de presse présente : - Nouveau plan bio : les 13 propositions du Synabio ; - Le bio made in France : plus de 12 000 PME engagées à l'aval de la filière ; - Le Synabio : 120 PME au cur du développement de la bio en France ; - Produits bio : des recettes et qualités spécifiques ; - Développement durable : les engagements des entreprises du Synabio.
Vitagermine, le bio pour tous les âges
P. BACHELIER, AuteurVitagermine est un acteur du rayon bio modeste mais dynamique. Cette PME de Cestas (33) affiche 30 nouveautés pour 2012 et un chiffre d'affaires de 25 M. Les GMS représentent aujourd'hui son premier débouché : 44 % de son CA (35 % pour Biocoop et consorts). Vitagermine est présente dans les deux circuits avec les mêmes gammes : Babybio (bébés), Kalibio (enfants), Vitabio (adultes). Les ingrédients sont, pour l'essentiel, produits en France. Présentation de sa gamme Babybio ; de ses investissements dans les emballages, dotés d'une nouvelle ligne ; du renforcement de sa communication.
Direct and Intermediated Marketing of Local Foods in the United States
La consommation d'aliments locaux aux États-Unis prend de plus en plus d'ampleur, mais correspond toujours à une faible part du secteur de l'agriculture. Cette étude documente l'importance des différents canaux de mise en marché des produits locaux aux États-Unis. Les petites fermes (< 50 000 $ US de ventes) écoulent leurs produits sur le marché local principalement par la vente directe (marché public, kiosque, etc.). Ces petites entreprises représentent 81 % des fermes qui déclarent vendre des aliments locaux aux États-Unis. Les entreprises agricoles de taille moyenne (entre 50 000 et 250 000 $ US de ventes) représentent 17 % des fermes qui déclarent vendre des aliments locaux. Ces entreprises écoulent leur production par la vente directe ou par la vente directe combinée à la vente intégrant au moins un intermédiaire. Les grandes entreprises agricoles (> 250 000 $ US de ventes) représentent seulement 5 % des entreprises qui déclarent vendre des aliments locaux. Ces entreprises utilisent, à proportion égale, la vente directe, la vente par le biais d'intermédiaires et une combinaison des deux. Les grandes entreprises sont responsables de 92 % de la valeur des produits locaux commercialisés par le biais d'intermédiaires. La proximité des grands centres urbains favorise la mise en marché des produits locaux. Le climat et la topographie favorables à la production de fruits et légumes, la proximité des marchés publics et les facilités d'accès sont étroitement liés à la vente directe et locale.
Répertoire des produits forestiers non ligneux 2011-2012
Ce guide répertorie les différents produits forestiers non ligneux commercialisés au Québec. Il comprend les coordonnées des producteurs et des références au niveau du soutien et du conseil. Le guide est divisé en section sur l'herboristerie et la médecine naturelle (huiles essentielles, plantes médicinales, produits thérapeutiques, herbes, etc.), sur les produits comestibles (champignons, fleurs, herbes, petits fruits, produits de l'érable, produits transformés, noix, miel, etc.), sur l'habitation et la décoration (construction écologique, produits du bois, artisanat, etc.) ainsi que sur la production (huiles essentielles, semencier, production de plants, arbres fruitiers, pépinières).
Créations de Noël : Du 100 % Marcon : Bio et trois étoiles
Théodora YONKOVA, AuteurLe chef Régis Marcon, auvergnat de souche, triplement étoilé du guide Michelin, privilégie les produits locaux dans son établissement de Saint-Bonnet le Froid (Haute-Loire), et se fait le chantre d'une cuisine généreuse, respectueuse des traditions, des saisons et des produits. Grâce à la rencontre avec Confibio, petite entreprise située à Langeac (Haute-Loire), une nouvelle gamme de produits bio vient de naître. L'entreprise fabrique depuis 20 ans des confitures bio traditionnelles, distribuées sous la marque Demellin. Pour répondre à la confiance de dirigeants tels qu'Hervé Kratiroff et Eric Versini, Régis Marcon s'est donné trois objectifs : authenticité des produits, inventivité des alliances et plaisir de la découverte. Tout est inattendu et saveur : confit de fruits rouges des plateaux et alliance du chocolat et du cèpe ; association des lentilles du Puy et de la vanille...
Développement durable, entreprises et territoires : Vers un renouveau des pratiques et des outils
Yvette LAZZERI, Auteur ; Magalie MARAIS, Auteur ; Florence DEPOERS, Auteur ; ET AL., Auteur | PARIS (5-7 Rue de l'Ecole-Polytechnique, 75 005, FRANCE) : ÉDITIONS L'HARMATTAN | 2008L'ouvrage est issu du colloque "Entreprises, territoires et indicateurs de développement durable", organisé par l'Université Paul Cézanne, les 9 et 10 janvier 2008, à Aix-en-Provence. Le développement durable représente, aux yeux de la communauté internationale, un enjeu fort comme alternative au développement actuel, basé sur la seule dimension économique. Sa prise en compte progressive par le monde politique, l'évolution des législations et la pression de l'opinion publique influencent désormais l'ensemble des acteurs publics et privés (Etats, entreprises, ONG, collectivités locales...). Dans une introduction générale à l'ouvrage, un rappel est fait sur le contexte dans lequel évolue l'entreprise face à cet enjeu : positionnement de l'entreprise qui doit répondre de sa responsabilité sociale ; pertinence d'outils de mesure sur la performance globale des entreprises (encore peu nombreuses sont les entreprises cumulant l'ensemble des démarches innovantes, en termes de gouvernance, environnement, droits humains...) et sur la prise en compte du territoire ; guides pour aider les entreprises à mesurer et suivre des indicateurs sur les plans environnemental, social et économique ; territorialisation du développement durable questionnant l'ensemble des entreprises ; universitaires et chercheurs construisant de nouveaux outils d'observation des territoires L'ouvrage est, en outre, organisé en trois parties : - Partie I : Développement durable et responsabilité sociale des entreprises : concept, démarche et outils ; - Partie II : La durabilité territoriale : le nécessaire renouvellement des outils d'évaluation ; - Partie III : Regards croisés entreprises et territoires : vers des pratiques et des outils innovants.
Les Scop contre la délocalisation
Impliquant les salariés, les Scop sont une alternative pour maintenir le tissu économique sur un territoire donné. Après une présentation de la Scop, entreprise en coopération, où est exposé le fonctionnement d'un tel modèle économique, différents articles relatent des expériences qui abondent dans ce sens. Sont cités, en exemple, ATB (Art et technique du bois), Scop spécialiste de la restauration bois de monuments historiques, Récapé, commerce de viandes, l'exemple Bouyer, fabriquant de briques et de tuiles, Ceralep, fabriquant d'isolateurs électriques, Genty, entreprise de transport routier.
Pourquoi les groupes achètent les PME du bio
Le bio intéresse les grands groupes comme l'Oréal, Clarins, Danone. Les industriels passent par des acquisitions onéreuses de PME, lancées dans le domaine. Plusieurs raisons expliquent cet engouement : mettre un pied plus facilement dans la filière, se doter d'un savoir-faire et d'une légitimité immédiate sur le bio.
Small is essential
Il est temps de protéger les économies à petite échelle contre la globalisation ! Un article qui défend toute activité économique locale, régionale, nationale et à petite échelle contre la mondialisation et démontre que leur survie est un facteur indispensable à la stabilité économique et sociale du 21ème siècle.
Lithofertil
"Lithofertil est une PME qui fabrique des fertilisants dont 10% sont destinés au secteur agrobiologique. Coup de loupe pour mieux connaître cet acteur ""d'amont"" de la filière biologique."