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Consommation : Distribution : quel avenir ? La grande distribution fait sa "Digitale Révolution" (5/6)
BIO-LINEAIRES, AuteurSites e-commerce, smartphones, tablettes, les grands distributeurs français sont en passe de maîtriser les nouvelles cartes induites par le commerce digital multicanal. Cet article explore la suite logique de cette évolution majeure : les points de ventes physiques se réinventent en devenant connectés et en privilégiant un acteur devenu clé : le vendeur. Présentation : 6. Du multicanal au cross-canal ; 7. Magasins virtuels en vue ; 8. L'ère du magasin connecté : entre high-tech, nouveaux services... et retour du vendeur : les écrans tactiles et les tablettes numériques ; Encore et toujours plus de services ; Facebook s'invite dans les magasins ; Comment attirer en magasin les clients pressés des drives et achats Internet ? ; Le retour du vendeur.
Cosmétique : Internet et la cosmétique : ami ou ennemi ?
BIO-LINEAIRES, AuteurDes études donnent des chiffres différents sur l'achat en ligne des cosmétiques. Il est en effet rare que les personnes qui achètent des produits en ligne le fassent exclusivement. Selon un article du mois de juin 2013, paru sur le site d'information Cosmeticinfopaca, la part de marché de l'e-commerce en cosmétique serait seulement de 2 à 3 %. Yves Rocher et le Club des Créateurs de Beauté font partie du peloton des 5 premiers sites d'e-commerce cosmétique avec les chaînes Marionnaud, Nocibé et Sephora. L'article aborde les différents aspects de la vente en ligne des cosmétiques : - la cosmétique bio vendue en ligne : beaucoup de TPE ; De l'e-commerce au cross-canal ; Et maintenant le m-commerce (mobile), le f-commerce (Facebook) et le y-commerce (Youtube) ! ; La fin de l'opposition entre online et offline.
Dossier : Le choix du bio
Pierre GEVAERT, Auteur ; Elisabeth MERCIER, Auteur ; Sauveur FERNANDEZ, Auteur ; ET AL., AuteurCe dossier, intitulé "Le choix du bio", est constitué des articles suivants : - Une société au bout du rouleau ; - Produire bio : une alternative d'avenir ; - Marchés, Amap, boutiques, GMS, Internet : ça bouge ! ; - Les cantines : porte d'entrée vers la bio ; - La bio, une prise de conscience écocitoyenne.
Main basse sur la terre : Land grabbing et nouveau colonialisme
Stefano LIBERTI, Auteur ; Rosalie DELPECH, Traducteur | PARIS (16-18 Quai de la Loire, 75 019, FRANCE) : ÉDITIONS RUE DE L'ÉCHIQUIER | 2013Depuis la grave crise alimentaire de 2008, une véritable ruée sur les terres arables se déroule dans les pays du Sud. Les fonds de pension et les multinationales du secteur de l'énergie, ainsi que l'industrie agroalimentaire et certaines nations arabes et asiatiques, négocient l'achat ou la location de millions d'hectares en Afrique et en Amérique du Sud. Le land grabbing se pratique au détriment des ressources et des populations locales, et, pour l'auteur, dans un climat de corruption généralisée. Pour la première fois, un journaliste a mené une enquête de terrain sur cette politique de la terre bradée. Stefano Liberti a rencontré tous les acteurs en présence, en Éthiopie et au Brésil, dans le Middle West américain et à la Bourse de Chicago, en passant par l'Arabie saoudite, la Tanzanie et la Suisse. Au terme de trois années d'investigation, il met en évidence que l'agriculture constitue la nouvelle "valeur refuge" de la finance internationale. Publié initialement en Italie, ce livre a déjà été traduit en allemand, en anglais et en espagnol.
Du producteur au consommateur : Commercialisation : Bien vendre sur un marché, ça s'apprend
Antoine BESNARD, AuteurIngénieur conseil en émergence agricole, Thierry Fernandez sait que vendre ses produits est tout un art. En décembre 2012, il a mis en situation de vente une dizaine de producteurs d'Ille-et-Vilaine. Selon lui, le seuil de rentabilité d'un marché, c'est 350 à 400 . Il faut donc choisir la nature du produit à vendre et cibler la clientèle en fonction des produits qu'on souhaite vendre. 20 % des produits font 80 % du chiffre d'affaires... Conseils : Le stand idéal ; Ne pas confondre déco et vente ; Etre vu pour bien vendre ; Animer son stand pour fidéliser sa clientèle. Des encarts sont consacrés à l'acte de vente, ainsi qu'à des témoignages sur la formation assurée par T. Fernandez.
Actualité associative : Bio Partenaire : des relations privilégiées avec le réseau spécialisé
BIO-LINEAIRES, AuteurL'association Bio Partenaire a pour vocation de promouvoir le développement des filières Bio Solidaire et Bio Equitable auprès des professionnels de la bio, du grand public et des institutions. Concernant ses relations avec la distribution spécialisée bio, elle cherche à savoir comment associer ses acteurs de l'aval à la logique de filière. Une étude a été faite en ce sens, coordonnée par Bio Partenaire avec les stagiaires de la licence professionnelle Agriculture Biologique Conseil Développement, et portant sur trois territoires (Bretagne, couronne Toulousaine et Rhône-Alpes). Depuis 2010, l'association s'attèle à sensibiliser les magasins bio à la démarche de filière. 74 responsables de magasins ont été rencontrés avec pour objectifs spécifiques d'identifier en quoi les magasins bio se différencient de la grande distribution, de connaître les actions mises en uvre par ces magasins afin de définir en quoi la démarche Bio Partenaire les complèterait Quelques résultats portent notamment sur les pratiques de différenciation recensées chez les magasins (conseils personnalisés ) et sur les positionnements concurrentiels des magasins (un tiers des magasins se disent en capacité de rivaliser avec la GMS...). Par ailleurs, une perception de la définition de magasin spécialisé bio a été proposée (au minimum 80 % des produits alimentaires proposés sont issus de la bio contrôlée, les vendeurs-conseillers du magasin sont formés ). La concurrence des GMS semble secondaire vis-vis de la concurrence propre au réseau spécialisé bio.
Le cadre juridique de la vente directe
Blandine SAGET, AuteurCet article présente les principaux éléments à retenir sur le cadre juridique de la vente directe pour un agriculteur. En synthèse, la loi reconnait que la vente directe (sans intermédiaire entre le producteur et le consommateur final) est une activité agricole de nature civile et qu'à ce titre, par exemple, elle ne requiert pas l'inscription au registre du commerce et des sociétés ou encore dégage des bénéfices dits agricoles au plan fiscal. Mais les choses peuvent se compliquer si l'agriculteur achète des produits pour les inclure dans sa phase de transformation ou pour les revendre : dans ces cas, la vente directe pourrait être qualifiée d'activité commerciale ou artisanale, avec des conséquences au niveau fiscal par exemple. Ici s'applique alors la théorie de l'accessoire qui permet, quand une entreprise exerce des activités mixtes liées les unes aux autres, de reconnaître applicable le seul statut de l'activité principale. Dans le cas de l'agriculteur faisant de la vente directe, cette théorie de l'accessoire permet d'appliquer le statut d'activité agricole. Mais aucun texte ne précise quand une activité de vente peut être qualifiée d'accessoire : seul le tribunal peut le faire au cas par cas. Mais on peut retenir que le caractère accessoire peut être utilisé quand l'agriculteur achète auprès d'autres agriculteurs des produits agricoles similaires à ceux qu'il produit pour faire face, par exemple, à une baisse de production ou quand il achète des produits permettant la transformation de ses propres produits.
Fiche technique : Agriculture biologique : Les nouvelles règles pour 2012
En Suisse, tous les changements des directives bio entraient en vigueur dès le 1er janvier 2012. Toutes les modifications sont présentées dans ce supplément du magazine Bio Actualités n° 10/11.
Fiche technique : Agriculture biologique : Les nouvelles règles pour 2013
Res SCHMUTZ, Auteur ; Barbara STEINER, Auteur ; Béatrice SCHEURER, Auteur ; ET AL., Auteur | BÂLE (Peter Merian-Strasse 34, CH-4052, SUISSE) : BIO SUISSE | 2012Cette fiche technique présente, sous une forme condensée, les principales nouvelles règles en agriculture biologique pour 2013, en Suisse : ordonnances sur l'agriculture biologique (production végétale, animale, transformation, commerce), directives ou règlements Bio-Suisse, Demeter, Natura-Beef Bio, Boeuf Bio de Pâturage (Bio Weide-Beef), Migros Bio : Transformation.
"Les gens doutent que le marché puisse couvrir leurs besoins"
Stephan JAUN, AuteurMirjam Hauser a réalisé une étude "Consumer Value Monitor Food" permettant d'analyser l'attitude des consommateurs à l'égard du secteur agroalimentaire. Un entretien avec elle permet de revenir sur plusieurs des résultats de son enquête (100 consommateurs interrogés) : comment, selon le consommateur, ce qui est « bon » à manger (bio, régional et saisonnier) peut être mis à disposition de chacun ; question de la transparence des prix et du contenu réel du produit ; importance du prix dans le marketing depuis l'arrivée des discounters allemands sur le marché suisse et interrogations concernant les prix ; réactions de l'industrie et du commerce aux résultats de l'étude (question de l'authenticité, vente de produits locaux et de saison, retour de petits magasins de quartier avec un assortiment axé sur la durabilité, concurrence et commerces bio) ; subdivision, par l'étude, de l'alimentation en deux axes "Love Food" et "Right Food" qui ont, chacun, deux directions (l'un concerne le temps à investir, l'autre relie l'action rationnelle et l'action intuitive) ; besoin pour le consommateur de participer plus à la fabrication (formules coopératives, variantes virtuelles comme « le verdure del mio orto » en Italie, le jeu « Farmville » sur Facebook et intérêt, pour l'agriculture, d'exploiter ce potentiel où les gens se confronteraient à la production alimentaire). Un encart est réservé aux tendances et potentiels dans la transformation bio (dans le cadre du congrès annuel de la transformation bio).
Normaliser au nom du développement durable
Pierre ALPHANDÉRY, Auteur ; Marcel DJAMA, Auteur ; Agnès FORTIER, Auteur ; ET AL., Auteur | VERSAILLES CEDEX (RD 10, 78 026, FRANCE) : ÉDITIONS QUAE | 2012Nous assistons depuis quelques années à la prolifération de normes de "bonnes pratiques" sociales et environnementales encadrant de nombreux secteurs d'activité, au nom du développement durable. Longtemps cantonnée à la sphère de responsabilité des pouvoirs publics ou des instances professionnelles, la définition des bonnes pratiques fait désormais souvent appel à des modalités de coconstruction avec la société civile, notamment dans le cadre de forums de concertation mobilisant des parties prenantes. Au sein de ces nouveaux espaces, structurés à différentes échelles, le dialogue s'instaure entre une variété d'acteurs : entreprises, ONG et associations diverses, représentants de communautés locales... Cet ouvrage s'adresse aux chercheurs, aux enseignants du supérieur et à leurs étudiants de 3ème cycle, ainsi qu'aux acteurs de la normalisation. Il propose une lecture politique des processus de normalisation, en les abordant comme des technologies de gouvernement articulant des formes de savoirs et des relations de pouvoir. Les différentes études de cas rassemblées ici portent sur des aires géographiques variées et s'appliquent aux secteurs agricoles, agroalimentaires et forestiers, qui demeurent parmi les plus dynamiques en matière de normalisation.
Olivier de Schutter : "On a oublié la petite paysannerie"
Philippe LAMOTTE, AuteurEn mars 2012, dans un rapport aux chefs d'état, Olivier de Schutter, rapporteur aux Nations Unies, remet en cause les systèmes alimentaires mondiaux, établissant des connexions entre les problèmes de santé, d'agriculture et d'environnement et s'attaque à la malbouffe. Dans un entretien, il s'explique sur plusieurs points : raisons pour lesquelles il a mis l'accent sur l'obésité et les maladies cardiovasculaires dans son dernier rapport ; impact du modèle alimentaire occidental ou du Nord sur le Sud et les pays émergents (« transition nutritionnelle », mondialisation du commerce et des investissements) ; nécessité de la promotion de systèmes agroalimentaires locaux contre la tendance d'un marché qui promeut les économies d'échelle par les grandes entreprises ; importance, contre la malnutrition, de l'allaitement maternel exclusif pendant six à sept mois ; rôle fondamental de la petite paysannerie familiale dans la lutte contre la pauvreté (encore trop peu soutenue ou mise en concurrence avec des agriculteurs d'un poids plus important) et responsabilités des gouvernements des pays concernés et des investisseurs privés ; signes encourageants dans la gouvernance mondiale et rôle du Comité de la Sécurité alimentaire mondiale (CSA) ; nécessité pour chaque pays de la planète d'augmenter sa production (les méthodes adaptées étant celles relevant de l'agro-écologie plutôt que de l'agriculture conventionnelle, notamment car elles ne sont plus résilientes aux changements climatiques) ; accaparement des terres et rôle des spéculateurs lors des émeutes de la faim mais réaction, depuis, des Etats-Unis, l'Europe ayant été moins coordonnée dans ses efforts
Organic trade, processing and market in the three Baltic states
Gatis CAICS, Auteur ; Inka SACHSE, AuteurMalgré des similitudes d'un point de vue politique et historique entre les trois pays baltes, l'agriculture biologique y est quelque peu différente. Les proportions de surfaces converties ainsi que le type de couverts diffèrent fortement, avec 5,2 % de la SAU en bio en Lituanie, dont seulement 21 % de pâtures, et 12,8 % de la SAU en bio en Estonie, dont les deux tiers en pâtures. Ces écarts s'expliquent principalement par les différences de climat et de sol, mais aussi par les différences de subventions de l'Europe destinées aux cultures biologiques. L'offre et la demande en produits biologiques dans ces trois pays peuvent également varier en fonction du niveau de développement de chacun. Globalement, pour ces trois pays comme pour ceux de l'Europe de l'Est, le manque de développement du secteur de la transformation de produits bio entraîne la vente de nombreux de ces produits dans les circuits conventionnels et l'importation de produits bio depuis l'Europe de l'Ouest.
Ouvrir une boutique bio : Créer et lancer son entreprise ; Identifier les types de commerce bio ; Développer son activité bio durable
De plus en plus de Français adoptent un mode de consommation responsable, notamment en privilégiant l'achat de produits biologiques. Vendre des écoproduits, c'est donc être sûr d'avoir une clientèle en quête de qualité, prête à investir pour son bien-être. Cependant, ouvrir une boutique bio ne s'improvise pas. Il faut une bonne connaissance de la filière, des compétences, en termes de création d'entreprise et de gestion, ainsi qu'une maîtrise de la réglementation. Pour aider à bien démarrer, ce guide dresse le panorama du secteur et apporte des réponses concrètes sur l'étude de marché, le lancement et le développement d'un commerce bio.
Resserrer les liens : L'essor des chaînes de valeur agricoles
Albert-Baudouin TWIZEYIMANA, Auteur ; Madieng SECK, Auteur ; Andy TAITT, Auteur ; ET AL., AuteurLes chaînes de valeur, approches cherchant à améliorer les perspectives commerciales des producteurs, ont pour objectif de relier les demandes des consommateurs aux petits producteurs, permettant ainsi à ces derniers d'intégrer les marchés modernes. Présentées dans ce numéro de Spore, notamment à travers diverses initiatives, les chaînes de valeur sont une des priorités de la stratégie pour 2011-2015 du CTA (Centre technique de coopération agricole et rurale ACP-UE).