Thésaurus
![]() PRIXSynonyme(s)determination du prix ;fixation du prix formation du prixVoir aussi |


Etendre la recherche sur niveau(x) vers le bas
![]()
![]()
100 personnes à la journée technique viticulture bio en Ardèche
Agri Bio Ardèche et la Chambre d'agriculture de l'Ardèche ont organisé, le 22 juillet 2010, une demi-journée de démonstration d'outils inter-ceps d'entretien du sol. Près de 100 visiteurs venus de toute la région Rhône-Alpes (viticulteurs bio, en conversion ou conventionnels et techniciens) se sont ainsi rendus au domaine des Vigneaux, à Valvignères (07), pour comparer et apprécier l'efficacité d'une dizaine d'outils différents. L'article fait la présentation des outils vus à la démonstration : - Les bineuses à lame : Interceps Rinieri, Ferrand, Aguilar, Souslikoff, Braun, Clemns ; - Les outils rotatifs : Interceps Terral, Pellenc Tournesol.
![]()
![]()
105 herses rotatives de 4 à 5 mètres
Gaëtan COISEL, AuteurA travers un grand tableau, cet article présente les caractéristiques techniques de 105 herses rotatives d'une largeur de 4 à 5 mètres, fabriquées par 16 constructeurs : largeur de travail, nombre de rotors, type de châssis, puissance maximale à la prise de force, régime de prise de force, vitesse de rotation des rotors, système de fixation rapide des dents, poids avec rouleau Packer et prix catalogue des constructeurs au 1er mai 2018.
![]()
![]()
15 ans déjà !
Jacques CHIRON, Auteur ; Yannick ALLARD, Auteur ; Christophe BARONLe dossier évoque la nécessité de regroupement de l'offre de lait bio (pour sa valorisation), telle qu'elle est apparue à des producteurs de lait bio de Loire-Atlantique et du Morbihan, en 1994, et l'évolution de la collecte par BIOLAIT au fil du temps : - Il fallait la faire ! ; - Coup d'oeil sur les 15 années d'activité de Biolait ; - Biolait des "valeurs à vivre".
![]()
![]()
2èmes Assises de l'Industrie Alimentaire : 20 mars 2008 : Etude sur : Les Français et l'alimentation : "Principaux enseignements du sondage réalisé par TNS Sofres pour l'ANIA les 20 et 21 février 2008" & "Impacts pour les industriels : le point de
Les critères de la consommation alimentaire des Français évoluent. D'abord, le lien entre une alimentation variée, saine et équilibrée et la santé est clairement fait. Mais, tout en retenant la responsabilité individuelle vis-à-vis de l'obésité, les Français considèrent que l'industrie alimentaire a un rôle à jouer et une responsabilité dans le domaine de la santé. Pour l'heure, les industries alimentaires bénéficient d'un bon capital de confiance : 77% des consommateurs sont satisfaits de la sécurité des produits alimentaires et ils jugent positivement l'offre de produits (variété, goût, facilité de préparation, valeur nutritionnelle, information). En revanche, les trois quarts des consommateurs sont mécontents de l'augmentation des prix alimentaires. Le prix est le premier élément de choix lors de l'achat. Il est suivi par la date de péremption (71%), puis par la provenance (34%,) la composition nutritionnelle (29%), les ingrédients (27%) et un label de qualité (25%). L'origine biologique (16%) vient après la marque (20%) mais elle entre dans les nouveaux " attributs de qualité " avec l'impact environnemental. La redéfinition du "bien manger" vise l'équilibre entre bon, sain et juste. Ainsi, 71% des consommateurs se disent prêts à payer plus cher un produit régional, 66% un produit qui a des garanties écologiques, 64% un produit 100% français. Un sur deux affirme privilégier un produit issu du commerce équitable ou d'un fabricant qui soutient une cause humanitaire. Les consommateurs affirment être prêts à payer plus cher un label de qualité. L'innovation n'est plus un critère de choix. Enfin, l'étude souligne la nécessité pour les industriels de "sortir de la banalisation des marques" et pour cela de "tirer parti" des niches.
![]()
![]()
Les 5 Fermes dédié au bio et au terroir
Albert Hadjez a racheté, en 2003, le magasin "Les 5 Fermes" qui est situé à quelques kms d'Etampes (Essonne). Il a sélectionné un assortiment entièrement composé de marques bio uniquement disponibles chez les spécialistes (plus de 50% de l'offre) et de produits de terroir. Pour Albert Hadjez, l'idée est de proposer des produits premium, qu'on ne trouve pas ailleurs, et à terme de faire une marque de distributeur premium qui porterait les valeurs de l'enseigne. Pour les fruits et légumes, les prix sont 10 à 15% plus élevés que les standards du marché. Côté boucherie et poissonnerie, une offre préemballée est disponible en rayon. Le rayon vin est doté d'une mention spéciale et une partie du magasin est réservée aux plantes d'intérieurs. L'originalité du magasin réside dans le fonctionnement en duo avec Leader Price.
![]()
![]()
5 solutions alternatives à lutilisation de soja en élevage de vaches laitières
BULLETIN DE L'ALLIANCE PASTORALE, AuteurLe soja est largement utilisé dans les rations des vaches laitières. Il présente toutefois deux inconvénients : il est produit outre-Atlantique et son prix est très volatile. Cest pourquoi le projet PROTECOW a étudié cinq alternatives à son utilisation. Ces alternatives devaient respecter deux critères : maintenir le niveau de production des animaux et les résultats économiques de la ferme. Lune des cinq alternatives envisagées est de convertir le système de production à lagriculture biologique tout en conservant un haut niveau de production par vache laitière. Cette solution pourrait convenir à des exploitations qui ont une bonne situation financière, afin de supporter la période de conversion de deux ans, et dont les rations sont, en plus du maïs, basées sur lherbe (pâturage). La conversion à l'AB a été simulée sur une ferme type de 100 ha avec 100 VL à 8 300 L de lait/an. Elle a nécessité de revoir intégralement lassolement de lexploitation et a permis de remplacer partiellement le soja (- 64 %, soit une économie de 51 t/an). Néanmoins, elle entraîne une baisse du niveau de production (-1 400 kg/lactation). Si les prix du lait bio sont élevés, cette diminution de la production peut être compensée au niveau de la marge nette.
![]()
![]()
5e Assises de l'oléiculture bio : Surprises sur coûts de production
Alex SICILIANO, AuteurEn France, 25 % des surfaces d'oliviers sont en bio. Ils se trouvent majoritairement dans les Pyrénées Orientales et les Bouches du Rhône. L'olivier est facilement cultivable en bio, mais une étude menée par l'Association française interprofessionnelle de l'olive (Afidol) montre que les résultats technico-économiques ne sont pas forcément au rendez-vous, en raison de charges trop élevées. La récolte, la mécanisation, la fertilisation et le travail du sol en sont majoritairement responsables, avec des équipements qui ne sont pas amortissables sur d'autres ateliers. Quant à la taille et à la protection phytosanitaire, elles ne représentent que 10 % des coûts. Le prix de l'huile d'olive bio française est 3 à 5 fois supérieur à celui des concurrents européens, avec un coût de production de 16 /litre ou plus (non comptés le conditionnement et la mise en marché). Les oléiculteurs français devront donc miser sur le haut de gamme, gagner en technicité et en efficacité, par exemple en utilisant des outils d'assistance à la récolte.
![]()
![]()
Abattage, transformation et vente de produits avicoles à la ferme : aspects juridiques et économiques
La production avicole "à la ferme" est de taille réduite, elle contrôle le cycle de vie complet de la volaille (de un jour à l'abattage) et elle est vendue directement au consommateur. Avant de se lancer dans une telle activité, une réflexion s'impose et plusieurs aspects doivent être pris en compte sur le plan économique, technique et personnel. L'ITAVI a édité ce nouveau document qui résume des informations d'ordre réglementaire, pratique et économique sur la production, l'abattage, la transformation et la vente de produits avicoles à la ferme. A partir d'enquêtes réalisées auprès d'une trentaine de producteurs fermiers, des fiches techniques ont été conçues pour différentes espèces avicoles (poulets, pintades, pigeonneaux de chair,...).
![]()
![]()
Accessibilité de la bio : Des outils développés par la FNAB et la fondation MACIF
VEGETABLE, AuteurFace aux inégalités observées en matière d'accessibilité aux produits bio, des initiatives se développent : paniers de légumes à tarifs adaptés, ateliers de cuisine, épiceries solidaires, distribution au cur des quartiers ou dans les zones rurales isolées... La FNAB soutient ces initiatives et les valorise pour les aider à se déployer plus largement. En 2011, par exemple, elle a édité un recueil d'expériences innovantes, puis réalisé deux boîtes à outils pour accompagner la mise en place d'actions par les collectivités territoriales et par les producteurs. En 2013, elle a organisé trois colloques qui ont permis aux différents acteurs de partager leurs expériences. En 2014, deux brochures à destination des collectivités et associations locales ont vu le jour pour encourager les initiatives en matière d'accessibilité des produits bio. En particulier, un kit d'aide au montage de projet du "Défi Familles à Alimentation Positive".
![]()
![]()
Un accord cadre entre l'OP bio Seine et Loire et Lactalis
Annick CONTÉ, AuteurUn accord-cadre a été signé entre Lactalis et quatre partenaires (OP bio Seine et Loire, OP bio de lEst, Unicoolait, Ucanel) sur le projet de marque de lait bio Lactel « Bio engagé ». Deux années de travail ont été nécessaires pour transformer une initiative des producteurs de lOP bio Seine et Loire en un projet de marque. Cette OP avait, dès 2016, élaboré une charte qui allait au-delà de la réglementation bio. Les producteurs de cette OP, Lactalis et les 3 autres partenaires sen sont inspirés pour mettre en place et valoriser une démarche de progrès volontaire dans les exploitations. Elle se base sur un plan de cinq ans avec des objectifs précis : un minimum de 180 jours de pâturage et de 75 % dherbe dans la SFP ; une place par vache à létable et à lauge ; moins de 300 000 cellules en moyenne sur lannée ; moins de 30 % de mammites, de 10 % de boiteries et de 5 % de boiteries sévères ; une sensibilisation aux gaz à effet de serre (diagnostic Cap2ER niveau 1) ; la plantation darbres ; des formations aux médecines complémentaires. Lengagement dans cette démarche est valorisé par une prime de 5 /1000 L. Laccord-cadre lié à cette démarche porte également sur la détermination du prix du lait bio : il sera adapté tous les trimestres en fonction des risques climatiques (suivant lindice Isop de pousse de lherbe et lindice Ipampa de lévolution des coûts de production).
![]()
![]()
Les achats des ménages français
Au cours des années 1996 à 1998, les achats de salades par les ménages français sont restés stables en volume annuel (les achats de salades représentent 12 % des achats de légumes, hors pomme de terre). En revanche, les fluctuations mensuelles sont importantes et la composition du panier a beaucoup évolué. Laitues beurre et batavia sont les perdantes de cette évolution alors que les feuilles de chêne et la mâche gagnent du terrain. Analyse des données du panel Sécodip Consocan.
![]()
![]()
Acquisition de Références techniques et économiques en vue de l'optimisation d'une conversion à un système de production biologique sans cheptel
Essais comparatifs de cultures en système biologique et système conventionnel (luzerne-pomme de terre-soja-blé-oignon, en rotation). But de ces essais : acquérir des références techniques et économiques (au niveau itinéraire de production, rendements, qualité, coûts intrants/semences, temps de travail...), afin de savoir si la conversion à l'agriculture biologique permet aux agriculteurs de dégager une marge au moins aussi importante qu'en système conventionnel, sans accroissement excessif de la charge de travail.
![]()
![]()
Actualité économique : Cours des principaux légumes de saison ; Prix du lait payé aux producteurs ; Cours de la viande ; Cours des céréales et oléo-protéagineux
Vincent HOUBEN, Auteur ; Didier DESARMENIEN, Auteur ; Aude CHARMASSON, Auteur ; ET AL., AuteurCet article présente les cours des principales productions agricoles biologiques pour le premier trimestre 2016 : légumes, lait, viande, céréales et oléo-protéagineux. Pour les légumes, les cours sont relativement stables, exceptés pour l'échalote (en progression) et pour le chou-fleur (courbe en « yoyo »). Le prix du lait en 2015 est légèrement inférieur à celui payé en 2014, mais la production reste en adéquation avec la demande, ce qui permet de garder un certain niveau de prix. Concernant la viande, les acteurs de la filière travaillent actuellement à l'ouverture de nouveaux débouchés, qui permettront de commercialiser les produits des éleveurs en conversion. Enfin, pour ce qui est des grandes cultures, les nouveaux volumes (1/3 des nouveaux ha convertis en bio en 2015) semblent nécessaires pour une filière qui est à ce jour importatrice. Globalement, avec un nombre de conversions important en 2015 et 2016, les acteurs mettent en garde quant à la nécessité d'être vigilants pour un développement cohérent et pérenne de ces filières.
![]()
![]()
Actualité économique : "Evolution du cours du lait, Janvier 2012 / Décembre 2013" ; Evolution des cours de la viande bio 2009-2013 ; Cours des céréales et oléo-protéagineux ; Cours de fruits et légumes, épicerie
Didier DESARMENIEN, Auteur ; Brigitte LAMBERT, Auteur ; Boris JEANNE, Auteur ; ET AL., AuteurL'article présente l'évolution du cours du lait de janvier 2012 à décembre 2013 (autosuffisance atteinte sur le marché du lait bio en France, prix du lait de 426/1000l en 2012 et 435/1000l en 2013 en Pays de la Loire) ; l'évolution des cours de la viande bio 2009-2013 (prix bio déconnectés du conventionnel depuis 10 ans, mais chahutés en 2013) ; les cours des céréales et oléo-protéagineux (en tendance octobre 2011 mars 2014 car les prix peuvent être différents selon les opérateurs) ; les cours de fruits et légumes, épicerie (2012-2014), issus de 3 principaux grossistes du MIN de Nantes (semaine 12 : 1,77 les 6 ufs, 1,18/l lait UHT ½ écrémé).
![]()
![]()
Actualité internationale : La bio au Canada : un marché en évolution qui s'organise...
BIO-LINEAIRES, AuteurSelon une récente étude d'Eco Ressources Consultants (sur la base des données de l'OTA (2011) et de Macey (2004)), le marché canadien du bio varierait entre 2,2 et 2,8 milliards de dollars en 2010... En 2008, les Canadiens achetaient surtout les produits biologiques auprès de détaillants conventionnels qui ont grandement stimulé l'émergence de produits biologiques sous les marques de distributeurs au cours de la décennie 2000-2010 (MAPAQ, 2005). La forte croissance de la vente directe est le fait le plus remarquable dans la distribution des produits bio : 19,6 % des ventes en 2008 (AAC, 2010) contre 3 % en 2003 (MAPAQ, 2005) Des graphiques présentent : la répartition des ventes de produits biologiques, par type de produit, au Canada, en 2008 (Source : Pellard et Homes (2011) ; la répartition des ventes au détail des produits bio en valeur et parts de marché 2008 (source : AAA 2010). Un récent sondage réalisé en 2011 au Québec (Filière biologique du Québec) révèle le comportement de consommateurs dans cette province