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AP3C - Adaptation des pratiques culturales au changement climatique - Compte-rendu d'étape - juillet 2017
Olivier TOURAND, Auteur ; Marie TISSOT, Auteur ; Vincent CAILLIEZ, Auteur ; ET AL., Auteur | AUBIÈRE (Chambre Régionale dagriculture dAuvergne, 9 Allée Pierre de Fermat, 63 170, FRANCE) : SIDAM | 2017Né en 2015 de la volonté des acteurs du monde agricole de pouvoir mieux anticiper les évolutions du climat, le projet AP3C, porté par le SIDAM, a vocation à acquérir des informations localisées pour permettre une analyse plus fine des impacts du changement climatique sur les systèmes agricoles du Massif Central. Ainsi, les objectifs du projet sont : - de caractériser les scénarios d'évolution des systèmes d'exploitation ; - d'adapter les outils de conseil au changement climatique ; - de sensibiliser les acteurs du monde agricole. Dans ce compte-rendu d'étape, les premiers résultats du projet sont présentés. L'étude de paramètres météorologiques collectés sur des dizaines de stations météo sur l'ensemble du Massif, croisés avec des facteurs agronomiques, a notamment permis la construction d'indicateurs agro-climatiques et leur projection à l'horizon 2050. Ces indicateurs concernent la pousse de l'herbe, les céréales, le maïs, la vigne, ainsi que les dates de dernière gelée de printemps et de première gelée d'automne (utilisables pour tous types de cultures).
Conversion des fermes laitières : Des fermes plus vulnérables pendant cette période ?
Niels BIZE, AuteurEn 2009, le réseau GAB-FRAB de Bretagne lançait une étude sur lévolution de 14 élevages bovins laitiers suivis sur 5 années : 1 an avant la conversion, 2 ans pendant la conversion et 2 ans après la conversion. Les données recueillies alors ont fait lobjet dune étude complémentaire en 2017 sur la vulnérabilité de ces mêmes fermes. Cet article est le premier dune série de 2 présentant les résultats obtenus. Parmi ces derniers, on peut noter que la sensibilité aux aides ou encore le contexte climatique et économique ne sont pas des indicateurs permettant de caractériser la vulnérabilité économique des fermes suivies. Les indicateurs de pratiques délevage sont les seuls paramètres réellement discriminants. Ainsi, la principale conclusion à retenir est : lévolution vers des systèmes plus pâturants, ainsi que la robustesse économique avant conversion sont les facteurs principaux diminuant la vulnérabilité économique des systèmes bovins lait en phase de conversion.
Filière lait de vache : Résultats du réseau de fermes Massif Central, campagne 2015
Ce diaporama a été présenté à loccasion dun séminaire organisé le 6 avril 2017, dans le cadre du projet BioRéférences. Il détaille les résultats techniques et économiques (campagne 2015) dun réseau de 23 fermes bovines laitières bio, suivies au sein de ce projet. Ces fermes sont toutes situées dans le Massif Central, mais elles reposent sur des systèmes différents. Elles ont été classées en quatre grands groupes qui se différencient pour la gestion de leur système fourrager : les systèmes exclusivement herbagers ; les systèmes quasi-exclusivement herbagers ; les systèmes herbe-maïs ; les systèmes maïs-herbe (dans ce groupe, le maïs représente une part plus importante de la SFP que dans le groupe « herbe-maïs »). Ce diaporama présente les résultats techniques et économiques de ces quatre groupes. Il propose également, pour lensemble de ces fermes, le coût de production moyen. Toutes ces données sont ensuite comparées à celles d'élevages laitiers conventionnels. Globalement, les résultats techniques et économiques des fermes suivies sont bons, notamment grâce à un prix du lait élevé et constant, ainsi quà des coûts alimentaires maîtrisés. Néanmoins, des écarts importants entre systèmes, mais surtout intra-système, sont observés en fonction de la maîtrise de l'éleveur et de certains choix stratégiques.
Filière ovine laitière : Résultats du réseau de fermes Massif Central, campagnes 2014 & 2015
Ce diaporama présente des repères technico-économiques sur des élevages ovins lait biologiques du Massif Central. Il sappuie, pour cela, sur des références acquises en 2014 et 2015, auprès de douze exploitations aux profils très variés, dans le cadre du projet BioRéférences. Ces exploitations sont majoritairement localisées en zone de Causses (7 fermes), sur le Lévézou (4 fermes) et dans le Ségala (1 ferme) principalement dans le département de l'Aveyron (seuls 2 sont en Lozère). Elles sont spécialisées en ovins lait, sauf deux dentre elles qui ont également un atelier bovins allaitant. Globalement, ces élevages présentent une autonomie alimentaire, en moyenne, de 79 % (57 90 %). Leurs résultats techniques sont très satisfaisants. En revanche, leurs résultats économiques sont très variables selon les fermes. Cette présentation détaille également, à léchelle du groupe, les coûts de production, le prix de revient et la rémunération du travail. Cette présentation a été réalisée dans le cadre des conférences BioThémas (édition 2017) sur le thème "Références et résilience des systèmes de production de ruminants biologiques face aux aléas climatiques et économiques", un évènement ITAB Lab, coorganisé par le Pôle Agriculture Biologique Massif Central et l'ITAB lors du Sommet de lÉlevage.
Installation en maraîchage : Des trajectoires singulières
Maëla PEDEN, AuteurDans le cadre du projet REP'AIR (Repères pour l'Autonomie, l'Innovation et la Résilience des fermes biologiques) conduit par la FNAB, une étude a été réalisée pour comprendre, au-delà des indicateurs technico-économiques, quelles sont les trajectoires des maraîchers bio post-installation (5 à 7 années). L'étude a cherché à appréhender les évolutions de ces fermes au travers d'indicateurs tels que le nombre de jours de repos ou de vacances, le rapport entre temps passé à la commercialisation et chiffre d'affaires, le ressenti des maraîchers par rapport à leur activité et à l'évolution de celle-ci au fil des années... Les trajectoires ainsi retracées sont toutes singulières. Elles ne doivent pas être vues comme des modèles à suivre, mais plutôt comme des outils de réflexion. Il existe autant de trajectoires qu'il y a de fermes maraîchères, chaque situation est différente et doit être regardée dans sa globalité. Les chiffres observés (investissements, temps de travail, revenus...) doivent toujours être remis dans leur contexte. Deux exemples de fermes sont présentés pour illustrer les trajectoires post-installation de deux maraîchers bio, avec une analyse comparative. Le réseau FNAB a pour projet d'étendre ce travail sur l'évolution des fermes maraîchères bio en 2017.
Mieux coupler cultures et élevage dans les exploitations dherbivores conventionnelles et biologiques : une voie damélioration de leur durabilité ?
G. MARTEL, Auteur ; C. GUILBERT, Auteur ; Patrick VEYSSET, Auteur ; ET AL., AuteurLes systèmes de polyculture - élevage, qu'ils soient en agriculture conventionnelle ou biologique, ont des atouts pour faciliter la gestion durable des agroécosystèmes et réduire les externalités négatives. On observe une large diversité de façons de pratiquer la polyculture - élevage. Le couplage entre cultures et élevage dans ces exploitations a été étudié dans le cadre du projet CasDar RED SPYCE. Pour caractériser le couplage, 10 critères ont d'abord été utilisés et adaptés aux informations disponibles de 3 bases de données, puis une ACP a été réalisée sur 1 190 fermes. Un score de couplage a alors été défini pour chacune delles, puis a été confronté à ses performances économiques et environnementales. Les fermes en agriculture biologique sont en moyenne plus fortement couplées que les fermes conventionnelles. Les exploitations avec un niveau de couplage élevé ont de meilleures performances environnementales, une meilleure efficacité économique (grâce à des charges opérationnelles inférieures), mais le résultat courant par unité de main duvre est indépendant du niveau de couplage. Les effets du couplage et du passage en agriculture biologique sont additifs.
Le milieu biophysique dans la production de références technico-économiques sur les élevages ruminants bio
Noëlle GUIX, Auteur ; Aurélie BELLEIL, Auteur ; Véronique GENEVOIS, Auteur ; ET AL., Auteur | LEMPDES (VetAgro Sup - Campus agronomique de Clermont, 89 Avenue de l'Europe - BP 35, 63 370, FRANCE) : PÔLE BIO MASSIF CENTRAL | 2017Dans le cadre du projet BioRéférences (2015-2020), porté par le collectif du même nom, une étude a été réalisée par VetAgro Sup sur la prise en compte du milieu biophysique (contextes pédoclimatique, topographique ) dans la production de références technico-économiques pour les élevages bio. Si les caractéristiques de lenvironnement de lexploitation sont généralement prises en compte de manière informelle, les outils actuellement à disposition des acteurs de terrain ne les intègrent pas ou trop peu. Ainsi, un arbre de classification visant à caractériser chaque parcelle a été construit à partir de quatre indicateurs : laltitude, la pente, la géologie et le sol. Il devrait permettre de mieux contextualiser les références technico-économiques, mais aussi de donner une indication dusage de la parcelle concernée (fauche, pâture, culture ). Le travail réalisé et décrit dans ce document va être approfondi en 2018 afin de valider cet outil pour lensemble des milieux biophysiques présents sur le Massif Central.
Les pertes et gaspillages dans la filière : Prémices d'une méthode quantitative post-récolte
Xavier VERNIN, AuteurLes pertes post-récolte constituent une préoccupation importante pour les opérateurs de la filière fruits et légumes biologiques. Elles sont sources de pertes financières directes, voire de litiges entre opérateurs commerciaux. De plus, elles peuvent constituer un frein au développement de la production bio. Dans le cadre du projet Casdar D²biofruits, le Ctifl a testé une méthodologie de quantification des pertes, depuis la récolte jusqu'à la vente au détail, à partir des données d'entreprises. Le stade de gros, qui gère des flux, a généralement intégré un indicateur quantitatif parmi les outils de pilotage de son activité. Les taux de pertes y sont les plus faibles, sachant que les produits transitent sur des délais courts. En revanche, en amont et en aval du stade de gros, les entreprises se satisfont le plus souvent d'évaluations plus approximatives en raison de la complexité, de la variabilité et du surcoût que des mesures plus fines impliqueraient.
Références technico-économiques en élevage ovin viande bio : Quelques repères
Ce diaporama présente des repères technico-économiques sur des élevages ovins viande biologiques du Massif Central. Les références technico-économiques présentées ont été acquises dans le cadre du projet BioRéférences. Les exploitations suivies dans le cadre de ce projet ont été classées en deux groupes : les élevages basés dans des zones herbagères et ceux basés dans des zones rustiques. Les résultats de ces deux groupes ont été comparés à ceux de leurs homologues conventionnels (également classés en zone herbagère ou en zone rustique) en utilisant des données acquises via le réseau INRA. Globalement, en zone herbagère, le revenu moyen des élevages bio est équivalent à celui des élevages conventionnels, notamment grâce aux économies de charges dalimentation. En zone rustique, le niveau de revenu peut être équivalent en bio et en conventionnel, sous réserve que le troupeau soit conduit de façon très économe en concentrés, et donc en valorisant au mieux la surface fourragère aux moments où les besoins du troupeau sont maximums (fin de gestation, lactation, engraissement des agneaux). Cette présentation a été réalisée dans le cadre des conférences BioThémas (édition 2017) sur le thème "Références et résilience des systèmes de production de ruminants biologiques face aux aléas climatiques et économiques", un évènement ITAB Lab, coorganisé par le Pôle Agriculture Biologique Massif Central et l'ITAB lors du Sommet de lÉlevage.
2015 : Rapport annuel sur l'Agro-écologie
Le projet agro-écologique porte une ambition claire : dépasser les oppositions autour de la question du modèle de croissance de notre agriculture et inscrire lévolution de notre agriculture et des filières agricoles et agroalimentaires dans un cadre tourné vers lavenir et adapté aux nombreux défis que nous devons relever. Cette approche est dautant plus nécessaire quil nexiste plus, de fait, de modèle unique dexploitations ; celles-ci sont très diversifiées et de moins en moins semblables les unes aux autres. Lagro-écologie est un véritable projet pour lagriculture. Son ambition est de tracer une perspective mobilisatrice et créatrice de richesses en privilégiant des solutions qui, en sappuyant sur les fonctionnalités offertes par les agro-écosystèmes, combinent simultanément la performance économique, la performance environnementale et sanitaire et la performance sociale. Ce rapport présente le bilan de la mise en uvre du projet agro-écologique au cours de l'année 2015 : reconnaissance des premiers GIEE, meilleure prise en compte de l'agro-écologie sur les exploitations des établissements d'enseignement agricole, nouvelles mesures agroenvironnementales et climatiques pour accompagner financièrement la transition vers l'agro-écologie... Le rapport indique ensuite les principales perspectives pour 2016.
Activité biologique du sol : Analyser l'évolution des résidus de culture
Joëlle FUSTEC, AuteurDans le cadre du programme de recherche AgrInnov, l'unité de recherche LEVA (Légumineuses, Ecophysiologie Végétale, Agroécologie), de l'ESA d'Angers, a développé un indicateur de l'activité biologique des sols : le LEVAbagMD. Il s'agit d'un petit sac de nylon, de mailles de 1 mm, dans lequel est placée de la paille standardisée. Ce sac est enterré dans le sol, à 10 cm de profondeur, vers fin février. Récupéré quatre mois plus tard, le contenu restant est analysé, ce qui permet de calculer un taux de dégradation de la paille, et donc d'avoir une indication sur l'activité biologique du sol.
Le bien-être territorial en France : de la mesure à l'action, pour une société plus durable : Actes du colloque du 20 février 2015
Bénédicte PACHOD, Auteur ; Eloi LAURENT, Auteur ; Pierre-Jean LORENS, Auteur ; ET AL., AuteurDans la dynamique de forte mobilisation pour la transition écologique vers un développement durable, les territoires jouent un rôle essentiel et sont déjà à l'uvre, notamment à travers les projets territoriaux de développement durable ou agendas 21. Ces derniers disposent aujourd'hui d'une voie de progrès, en intégrant davantage les nouveaux indicateurs de bien-être, alliés à la mobilisation citoyenne. Le premier colloque scientifique "Bien-être territorial : de la mesure à l'action, pour une société plus durable" a ainsi conduit les participants au cur de la dynamique d'élaboration de nouveaux indicateurs de richesse et de soutenabilité à l'échelle territoriale. Ce colloque, organisé le 20 février 2015, par le CGDD (Commissariat général au développement durable) et l'OFCE (Observatoire français des conjonctures économiques), a porté une ambition double : présenter les derniers travaux de recherche menés par les institutions internationales, nationales et territoriales sur le bien-être territorial en France, ainsi que progresser dans la mise en uvre effective de ces nouvelles façons de voir le monde territorial en reliant indicateurs et politiques publiques au moyen d'un forum au service d'un changement de modèle plus durable. Ces Actes rassemblent les enseignements et expériences de chercheurs, territoires et institutions considérant les indicateurs de bien-être et de soutenabilité à la fois comme des outils d'aide à la décision et de mobilisation des acteurs. Les travaux seront poursuivis et présentés lors de futurs colloques.
Dossier - Autonomie alimentaire en élevage de ruminants bio
Antoine ROINSARD, Auteur ; Loïc MADELINE, Auteur ; Marine PHILIPPE, Auteur ; ET AL., AuteurEn élevage de ruminants biologiques, la question de l'autonomie alimentaire apparaît comme essentielle, notamment pour la réussite économique des exploitations. C'est en effet ce qu'ont montré plusieurs projets de recherche/développement qui ont étudié l'autonomie dans les élevages biologiques. Dans ce dossier, des résultats de projets de recherche et d'essais sont présentés : - un état des lieux des niveaux d'autonomie alimentaire des élevages bovins laitiers biologiques, réalisé dans le cadre du projet Casdar Optialibio ; - les essais sur les associations céréales-protéagineux récoltées immatures conduits sur la ferme expérimentale de Thorigné d'Anjou, dans le Maine-et-Loire : - les démonstrations sur les prairies à flore variée et les associations de cultures mises en place sur la plateforme Reine Mathilde, dans le Calvados.
Dossier spécial Évaluation des systèmes de production
Gustave DELAIRE, Auteur ; RESEAU AGRICULTURE DURABLE, Auteur ; GAEC DE MALABRIT, Auteur ; ET AL., AuteurLes indicateurs pour mesurer la performance économique (marge brute, EBE) sont souvent utilisés dans une logique productiviste. Pour évaluer les résultats technico-économiques des exploitations, le Réseau Agriculture Durable se base sur lapproche globale du système de production (et non par activité) et prend en compte les interactions entre ses différentes composantes. Le RAD tient à replacer lhomme au cur du projet dentreprise ; il a choisi des indicateurs pour accompagner les exploitations vers des systèmes économes et autonomes. Laccent est donc mis sur la création de richesse, la rémunération du travail, la capacité à créer de lemploi Un nouvel indicateur a été créé par le RAD : le Résultat Social. Le RAD a mis en place un observatoire technico-économique depuis les années 2000 et compare les résultats des exploitations du RAD et du RICA. Les tendances enregistrées depuis une dizaine dannées se confirment : les fermes du RAD créent plus de richesses, dégagent plus de résultat tout en ayant un produit dactivité inférieur. Cela sexplique par la réduction des charges permise par loptimisation du pâturage.
Indicateurs nationaux de la transition écologique vers un développement durable 2015-2020 : premier état des lieux
Françoise NIRASCOU, Auteur ; Florence KLEIBER, Auteur ; Lauren MOSDALE, AuteurLa stratégie nationale de transition écologique vers un développement durable (SNTEDD) a été adoptée par le Gouvernement en février 2015 et fixe le cap de la France en matière de développement durable pour les années 2015 à 2020. Elle définit les orientations pour s'engager dans la voie de la transition écologique et évoluer vers une société plus sobre à l'horizon 2020, qui allie progrès économique, écologique et humain. Cette synthèse présente le premier état des lieux des indicateurs de suivi de la SNTEDD, en début d'exercice. La lecture de l'ensemble des indicateurs offre une vision contrastée de la situation. Celle-ci apparaît en majorité préoccupante sur les enjeux écologiques majeurs énoncés dans la stratégie tels que le changement climatique, la perte accélérée de biodiversité, la raréfaction des ressources et la multiplication des risques sanitaires environnementaux. En revanche, les indicateurs relatifs aux axes montrent que certaines bonnes pratiques émergent vers un développement durable. Au regard de cet état des lieux initial, le suivi des indicateurs de la SNTEDD sur les prochaines années pourra permettre d'estimer dans quelle mesure la poursuite ou l'accélération des bonnes pratiques émergentes se traduit par une évolution positive de l'état des enjeux écologiques.