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Les vaches nous parlent d'alimentation : 143 symptômes bovins (4ème édition)
Cet ouvrage, qui présente une méthode unique et originale de diagnostic et de réglage alimentaire pour les bovins, s'adresse aux éleveurs, mais aussi aux techniciens, vétérinaires, formateurs ou enseignants. En effet, il est possible de conduire un troupeau dans la rentabilité, sans pathologie, pour qui sait lire et interpréter les signes que montre l'animal d'élevage. Cet ouvrage apprend à décrypter les signes des animaux et à piloter leur ration alimentaire, grâce à des indicateurs qu'il faut décoder sur l'animal. A partir de l'observation des yeux, des pieds, du poil, de la robe, de la bouse, de l'urine et d'autres indicateurs, un diagnostic précis de l'état nutritionnel des besoins du troupeau peut être établi. Les résultats obtenus peuvent s'avérer rapides et surprenants pour améliorer la rentabilité de la production et maîtriser les pathologies. Il faut, pour cela, retourner aux fondamentaux de l'élevage par l'observation des phénomènes vivants.
L'élevage Bovin Lait AB en Loire-Atlantique : Données techniques et économiques : Résultats du Référentiel Bovin Lait Bio : Campagne 2004-2009
Le Groupement des agriculteurs biologiques de Loire-Atlantique (GAB 44) s'est donné pour mission de développer et d'accompagner une agriculture biologique cohérente... Pour le GAB 44, l'agriculture de demain doit permettre de trouver un équilibre entre les considérations économiques, sociales et environnementales et doit être garante de différents points : du maintien de la biodiversité, de la fertilité des sols, de la préservation de la qualité de l'eau, de la production d'aliments de qualité, de la préservation de la santé humaine... En intégrant ces enjeux, le référentiel bovin lait bio du GAB 44 permet aux éleveurs d'évaluer la durabilité technique, environnementale, socio-territoriale et les performances qualitatives de leur exploitation. Il s'agit d'un recueil d'expériences basé sur trente fermes ayant en moyenne onze années d'expérience de pratiques en agriculture biologique... Le GAB travaille en lien avec les chercheurs de tout horizon (ITAB, INRA...) afin d'obtenir les indicateurs les plus pertinents. Cet outil doit permettre à chaque éleveur, selon ses goûts et ses contraintes, de tendre vers ses aspirations. Pour les porteurs de projet, il permet de présager des résultats de leur futur système de production. Présentation : - Données techniques et économiques : résultats du Référentiel Bovin Lait : Campagne 2004-2009 ; - Influence de la localisation géographique ; de la durée écoulée depuis l'obtention de la certification AB ; du niveau de productivité laitière par vache ; du taux d'autonomie en concentrés : données 2005-2009 ; du pourcentage de fourrages fermentés dans la ration ; de la productivité humaine.
Gestion de la matière organique en PPAM bio
HERBA BIO, AuteurCet article rappelle l'importance agronomique de la présence de matières organiques dans le sol. La nature de l'apport organique influe sur son impact (effet stabilisant ou stimulateur de la vie microbienne). Différents indicateurs permettent de caractériser la matière organique, et d'évaluer sa minéralisation. Le règlement et la normalisation qui s'appliquent aux engrais ou amendements sont rappelés, et les teneurs en éléments de quelques amendements et engrais du commerce sont indiquées. Quelques prix et fournisseurs figurent également dans l'article.
Approche technico-économique des systèmes de productions maraîchères diversifiées de Rhône-Alpes
Le réseau des référents techniques régionaux agriculture biologique des Chambres d'Agriculture de Rhône-Alpes a réalisé un ensemble de fiches systèmes agricoles. Ces fiches sont des outils d'accompagnement des projets d'installation et de conversion. Celle-ci porte sur l'"Approche technico-économique des systèmes de productions maraîchères diversifiées de Rhône-Alpes". 1. Caractérisation des systèmes de production de légumes biologiques en Rhône-Alpes (la très grande majorité de la production de légumes biologiques en Rhône-Alpes correspond à du maraîchage diversifié avec prédominance de vente en circuits courts. Ce document se restreindra à décrire ce système) : Approche système ; Caractéristiques typologiques. 2. Les indicateurs clés : Indicateurs de technicité ; Indicateurs économiques ; Indicateurs économiques globaux.
Comportement des animaux : Mise en mouvement des vécus biologiques
Marie-Christine FAVÉ, AuteurLe comportement est l'ensemble des actions et réactions d'un être vivant dans son milieu de vie. Il est un véritable film de ce que vit l'animal intérieurement. Les actions en réaction au monde alentour sont parfois visibles ou à peine perceptibles pour l'homme et souvent incompréhensibles lorsque le code de l'animal, de sa race et de son espèce ne sont pas connus. Le comportement et la biologie sont interdépendants et évoluent ensemble à chaque instant. Lorsque l'organisme vit des situations de stress répétées ou trop intenses, les hormones de stress et autres médiateurs chimiques ne peuvent être éliminés par les reins et autres organes et vont s'accumuler et mobiliser l'organisme au détriment de la nutrition, de la reproduction Quand l'animal ne peut exprimer ce qu'il vit intérieurement, l'équilibre interne et externe est rompu, les symptômes physiques permettent alors de retrouver un équilibre. Le diagnostic comportemental individuel est un bon indicateur pour l'éleveur, il permet de faciliter l'équilibre comportemental et donc permet d'avoir des animaux en bonne santé.
Effets des pratiques agricoles sur la biodiversité : Tendances observées après 9 années d'observations (2/4)
Gilles LIBOUREL, AuteurCet article est le second d'une série de quatre qui présente les résultats d'un suivi de divers indicateurs de biodiversité sur sept parcelles cultivées selon diverses pratiques agricoles (AB, agriculture raisonnée, biodynamique) ou abandonnées. Cet article présente les résultats relevés en 2002 sur les populations d'arthropodes du sol, en 2003 sur les niveaux d'activités microbiennes, toujours du sol, et en 2004 sur les mycorhizes. L'article ne donne que les chiffres accompagnés de commentaires sur certaines différences notables observées entre les diverses parcelles. La discussion globale de l'étude fera l'objet d'un article ultérieur, après la présentation des résultats sur les lombrics.
Gestion du parasitisme : S'approprier des méthodes éprouvées
Gaëlle POYADE, AuteurSuite à l'instauration de la nouvelle réglementation et à l'absence de limitation des traitements antiparasitaires, les habitudes des éleveurs biologiques ne se sont pas fondamentalement modifiées, mais le risque existe que les nouveaux éleveurs convertis fassent moins d'effort dans ce domaine, particulièrement en volailles. Cependant, le règlement précise que les traitements antiparasitaires de synthèse doivent être utilisés uniquement en curatif, sans fixer néanmoins de seuils d'infestation. Ainsi, pour respecter ce texte, il conviendrait de disposer de l'avis d'un vétérinaire avant d'utiliser ces produits. L'identification des parasites et de la pression qu'ils exercent peut se faire par plusieurs moyens, en particulier l'analyse coprologique. En volailles, l'autopsie est plus fiable. En élevage ovin et caprin, le chercheur Jacques Cabaret a testé deux autres méthodes : 1) l'indicateur d'anémie (baptisé Famacha), réalisé à partir de l'observation de la paupière et qui renseigne sur la présence de deux parasites dont le strongle Haemonchus ; 2) l'index de diarrhée qui consiste à apprécier la consistance d'une dizaine de matières fécales et qui fonctionne avec tous les parasites. Une fois le diagnostic établi, il est possible de traiter avec des solutions alternatives mais il n'est pas toujours aisé d'évaluer leur efficacité. En général, ces solutions viennent en complément des pratiques d'élevage et permettent de rétablir un équilibre quand les conditions deviennent défavorables. Reste qu'en matière de parasitisme, les règles de prévention permettant de limiter l'infestation doivent être mises en uvre en priorité (alimentation, conduite du pâturage ).
L'agriculture durable : Une voie d'avenir : Grands principes de l'agriculture durable ; Méthodes et indicateurs ; Témoignages de producteurs
Le dossier a pour objet de mieux comprendre ce qu'est l'agriculture durable (qui inclut l'AB), son mode de fonctionnement et ses atouts pour développer l'agriculture de demain, centrée sur l'homme, la nature et le territoire. Le document établit, en introduction, comment l'agriculture durable tend à s'orienter vers de nouvelles formes d'énergie, une efficience économique et le respect des ressources naturelles ; et comment elle peut répondre aux besoins de souveraineté alimentaire... puis il traite plusieurs problématiques : - Agriculture durable : les grands principes ; - Une agriculture en progrès continu ; - Pour évaluer l'agriculture durable ; - 4 fermes engagées en agriculture durable (dont 2 en bio) ; - Passer au durable sur vos territoires.
Analyse de la diffusion spatiale de l'agriculture biologique en région Provence- Alpes-Côte d'Azur (Paca) : construction d'une méthodologie d'observation et de prospective
Ghislain GENIAUX, Auteur ; M. LAMBERT, Auteur ; Stéphane BELLON, AuteurLe volume 4 de la Revue Innovations Agronomiques de l'INRA est spécialement dédié à l'agriculture biologique. Il présente des communications sélectionnées parmi les exposés et posters du colloque Dinabio organisé en mai 2008 à Montpellier. Ce document est une de ces communications. L'analyse de la diffusion de l'agriculture et de ses déterminants constitue un enjeu important pour la construction de scénarii d'évolution de l'AB qui prennent en compte l'ensemble des facteurs limitant ou facilitant les conversions et leur durabilité. Afin d'étayer différents scénarii de développement de l'AB face à des enjeux environnementaux ou marchands, une étude en économétrie et géostatistique a été initiée en région PACA. La démarche comporte 3 étapes : une première étape consiste à constituer, sur une période d'une vingtaine d'années, une base de données spatiales longitudinales sur les producteurs et les distributeurs de produits certifiés en AB. Cette base de données est géo-référencée à l'échelle parcellaire. Il s'agit ensuite d'analyser statistiquement les tendances et les déterminants du processus de diffusion de l'AB dans le temps et dans l'espace. Enfin, ces connaissances seront mobilisées dans le cadre d'une construction de scénarii de développement de la production en AB. Les résultats intermédiaires présentés dans cette contribution s'appuient sur un géoréférencement à l'échelle communale des producteurs et des distributeurs en 2007 et sur les résultats d'une enquête exhaustive auprès de l'ensemble des distributeurs mise en oeuvre en 2008 en PACA.
Approche économique de la biodiversité et des services liés aux écosystèmes : Contribution à la décision publique
Bernard CHEVASSUS-AU-LOUIS, Auteur ; Jean-Michel SALLES, Auteur ; Sabine BIELSA, Auteur ; ET AL. | PARIS CEDEX 07 (18 Rue de Martignac, 75 700, FRANCE) : CENTRE D'ANALYSE STRATEGIQUE | 2009Ce rapport a deux objectifs principaux : - réaliser une présentation et une analyse critique des méthodes utilisables pour estimer des valeurs économiques de la biodiversité et des services écosystémiques ; - appliquer ces méthodes aux écosystèmes présents sur le territoire national, afin de fournir des "valeurs de référence" pouvant être utilisées en particulier dans l'évaluation socioéconomique des investissements publics. Au sommaire : - Problématique générale ; - Les enjeux socioéconomiques et politiques de la biodiversité ; - L'approche juridique ; - Etat des connaissances : concepts et indicateurs biologiques ; - L'évaluation économique de la biodiversité et des services écosystémiques : bilan des connaissances scientifiques ; - Synthèse des besoins de recherche ; - Vers des valeurs de référence ; - Conclusions générales ; - Annexes.
Bilan carbone : Un outil stratégique, mais délicat
Stéphanie SEYSEN, Auteur ; Florence RABUT, Auteur ; Sophie SIMONIN, AuteurAvec l'annonce, par le Grenelle de l'environnement, de l'étiquetage environnemental obligatoire pour fin 2010, les indicateurs environnementaux comme le bilan carbone pourraient devenir incontournables. Des adaptations sont en cours pour les filières fruits et légumes. Le principe du bilan carbone, développé par l'Ademe et présenté sous forme d'un tableur, est de convertir les données d'activités (kilomètres parcourus par les marchandises et les personnes, consommation en combustible ) en émissions via des facteurs d'émissions. Il est avant tout destiné à une activité ou à un site, plutôt qu'à un produit. Etant très dépendant du périmètre retenu, les chiffres du bilan carbone n'ont pas d'intérêt en terme de valeurs absolues, contrairement à l'Analyse des cycles de vie (ACV) qui prend aussi en compte d'autres facteurs tels que l'eau, les emballages, les produits phytosanitaires, la station de froid. Néanmoins, le bilan carbone est un bon outil de réflexion stratégique pour les entreprises. L'indice carbone, pour les produits, devrait être prêt pour 2011. Les émissions de gaz à effet de serre, dans la filière fruits et légumes, sont importantes pour le chauffage des serres, le transport pour les importations, le conditionnement et le packaging, ainsi que les fluides frigorigènes. Globalement, plus un produit est élaboré et plus son impact environnemental est fort. Encarts sur l'exemple du groupe Casino et sur l'évaluation AFAQ 1000 NR, et perspectives des bilans environnementaux complètent cet article.
Dossier : Changement climatique : Objectif 350
LaRevueDurable, Auteur ; Alain GRANDJEAN, Auteur ; Lars KLÜVER ; ET AL.A la veille du Sommet de Copenhague sur le climat, LaRevueDurable s'intéresse au projet 350. Cette initiative vise à créer un mouvement planétaire pour demander aux dirigeants de tous les pays les plus émetteurs de prendre les mesures à même de ramener au plus vite la concentration de CO2 dans l'atmosphère à 350 parties par million (ppm) (elle atteint aujourd'hui 385 ppm et augmente de 2 ppm par an). Plusieurs articles composent ce dossier : - Copenhague, tremplin idoine pour changer le monde ; - Les indicateurs climatiques s'affolent ; - La machine climatique menace de s'emballer ; - Le climat au purgatoire ; - En 2009, le changement climatique aura tué 300 000 personnes ; - Réduire la précarité dans un monde soumis au changement climatique ; - Objectif 350 ; - Moins de 3 % du PIB pour sauver l'humanité ; - Les options pour mettre un prix au carbone ; - Le climat a besoin d'une taxe carbone ; - A Copenhague, le climat ne tiendra qu'à un fil ; - A Copenhague, les voix de citoyens ordinaires du monde entier compteront ; - Rendez-vous le 24 octobre 2009 pour faire connaître le chiffre 350 ; - Prenez un jour pour changer le monde/Guide pour monter une action 350 ; - Une économie plurielle pour stabiliser le climat.
Dossier - Vivre heureux dans les limites écologiques
LaRevueDurable, Auteur ; Nic MARKS, AuteurLa mesure de l'activité économique par le produit intérieur brut (PIB), indice élaboré dans les années 1930, est largement remise en cause, car le PIB ne prend en compte aucun critère social ou environnemental. D'autres indicateurs existent comme l'Indice de santé sociale (ISS), l'Indice de développement humain (IDH), l'empreinte écologique ou le Happy Planet Index (HPI, indice de la planète heureuse). Néanmoins, comme l'économie mondiale repose sur la croissance mesurée par le PIB, s'en affranchir déstabiliserait la planète économique. S'il est admis que la croissance économique est nécessaire pour engendrer la prospérité, ce modèle a pourtant des limites, il est inégalitaire et instable sur le plan écologique. Tim Jackson, professeur et chercheur en développement durable à l'Université du Surrey au Royaume-Uni, propose « La prospérité sans croissance » dans son rapport. Face aux changements mondiaux, il devient nécessaire de redéfinir ce qu'est la prospérité. Sa réponse au dilemme de la croissance est d'en appeler au « découplage » ou comment faire plus avec moins. La durabilité passe aussi par le bonheur qui lui n'est pas mesurable par le PIB ; Nic Marks, Directeur du Centre pour le bien-être à Londres, cherche à mesurer et à promouvoir le bien-être tout en améliorant la justice sociale et la durabilité. Ses travaux portent notamment sur la mise au point de l'indice de la planète heureuse (HPI) alliant trois indicateurs : espérance de vie multipliée par le niveau perçu de bonheur divisé par l'empreinte écologique. Cet indicateur prend ainsi en compte l'impact écologique global de l'activité humaine.
Evaluation du bien-être des porcs : comparaison d'élevages sur litière ou sur caillebotis
Valérie COURBOULAY, Auteur ; Estelle DELARUE, Auteur ; Anne EUGENE, AuteurUne étude sur le bien-être des porcs à l'engraissement, comparant des élevages sur litière ou sur caillebotis, a été réalisée par l'Ifip. Une liste d'indicateurs a été établie à partir de la bibliographie et du point de vue des consommateurs et des éleveurs : comportement, état général, santé, relation homme/animal. Des critères d'évaluation ont été définis, accompagnés de mesures spécifiques : type de lésion, comportements sociaux et d'investigation, postures, répartition et propreté des animaux et de l'environnement, réactivité à l'homme. Les observations montrent en général un faible taux de lésions, quel que soit le type de sol. Cependant, les plaies au corps et les lésions aux queues et aux oreilles sont plus fréquentes sur caillebotis. Les différences les plus marquées concernent les bursites, inflammation et gonflement d'une articulation. En moyenne, 86% des porcs sur litière ne présentent aucune déformation de ce type alors qu'ils ne sont que 18% sur caillebotis. Par rapport à la réactivité des animaux, les porcs sur caillebotis expriment plus de comportements sociaux et d'activités traduisant une forte proximité des congénères (locomotion sur des porcs couchés, animaux assis immobiles). L'investigation de l'environnement est plus importante sur litière que sur caillebotis.
Expérimenter sur la durabilité d'un système de culture bio : Propositions d'indicateurs de suivi et d'évaluation
Ce document est un mémoire de fin d'études d'ingénieur de l'enesad. En France, le gouvernement souhaite faire progresser l'agriculture biologique afin de protéger l'environnement et de répondre aux demandes des consommateurs. L'objectif de la France est d'atteindre 6 % de la SAU totale en mode de production AB, dès 2012. Les grands bassins céréaliers représentent des zones potentielles pour développer l'AB. Cependant, dans ces zones, les céréaliers désirant se convertir souhaitent ne pas réintroduire d'atelier d'élevage et être autonomes le plus possible vis-à-vis des fertilisants organiques. Arvalis-Institut du Végétal se propose d'étudier la faisabilité de tels systèmes grâce à un dispositif expérimental de longue durée, démarré en 2007, à Boigneville (91). Pour suivre et évaluer la durabilité et plus particulièrement la fertilité sur plusieurs années, des indicateurs ont été choisis. Afin de caractériser l'état initial et notamment celui de la fertilité, le point zéro du dispositif a été réalisé. Pour la conduite et le suivi des cultures de ce dispositif expérimental, des règles de décisions ont été définies. Une méthode de suivi et d'évaluation du dispositif dans le temps, ainsi qu'un planning annuel et pluriannuel des mesures à réaliser ont été élaborés.