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Un abattoir collectif qui gagne de l'argent
Annick CONTÉ, AuteurEn 1996, les éleveurs du Beaufortain (73) ont failli perdre leur abattoir de proximité. Mais, c'était sans compter avec la détermination de la coopérative "La Laitière du Beaufortain", qui a réussi à convaincre la communauté de communes de fournir le terrain et de financer la moitié de l'investissement nécessaire à la construction d'un abattoir aux normes, apportant elle-même l'autre moitié du financement. La Sica viande du Beaufortain assure la gestion complète de la structure : finances, personnel, amont éleveurs, effluents, maintenance... Cette structure de commercialisation a été créée dans la foulée par 36 agriculteurs. Elle rachète les animaux à l'abattoir qui appartient à la communauté de communes, commercialise la viande et redistribue toute la plus-value aux éleveurs, leur permettant ainsi de bien valoriser leurs vaches de réforme.
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Accompagner les éleveurs de races à petits effectifs ; Races à petits effectifs : un outil de diagnostic du collectif
Marion VANDENBULCKE, Auteur ; Denis OLLIVIER, AuteurSauvegarder des races anciennes est un besoin patrimonial, mais surtout de conservation de biodiversité. On recense aujourd'hui, en France, 65 races à très petits effectifs et de plus en plus d'éleveurs s'y intéressent. Des aides existent pour conserver ces races (MAE-PRM = mesure agro-environnementales de prime aux races menacées). Par ailleurs, lorsque les éleveurs veulent vendre les produits issus de ces animaux, ceux-ci étant nécessairement en faibles volumes, ils n'intéressent guère la grande distribution, ni même les bouchers : seules les filières de vente directe sont donc concernées dans un premier temps. Un projet Casdar intitulé Varape (valorisation des races à très petits effectifs) vient de produire un guide méthodologique à cet effet, plus de réflexions que de recettes. Un second article détaille le fonctionnement de ce guide, utile pour ne pas se perdre dans le dédale des points à aborder. Un animateur extérieur est souvent requis pour décliner ce guide avec les éleveurs. Pour plus d'informations : www.varape.idele.fr
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Un accord cadre entre l'OP bio Seine et Loire et Lactalis
Annick CONTÉ, AuteurUn accord-cadre a été signé entre Lactalis et quatre partenaires (OP bio Seine et Loire, OP bio de lEst, Unicoolait, Ucanel) sur le projet de marque de lait bio Lactel « Bio engagé ». Deux années de travail ont été nécessaires pour transformer une initiative des producteurs de lOP bio Seine et Loire en un projet de marque. Cette OP avait, dès 2016, élaboré une charte qui allait au-delà de la réglementation bio. Les producteurs de cette OP, Lactalis et les 3 autres partenaires sen sont inspirés pour mettre en place et valoriser une démarche de progrès volontaire dans les exploitations. Elle se base sur un plan de cinq ans avec des objectifs précis : un minimum de 180 jours de pâturage et de 75 % dherbe dans la SFP ; une place par vache à létable et à lauge ; moins de 300 000 cellules en moyenne sur lannée ; moins de 30 % de mammites, de 10 % de boiteries et de 5 % de boiteries sévères ; une sensibilisation aux gaz à effet de serre (diagnostic Cap2ER niveau 1) ; la plantation darbres ; des formations aux médecines complémentaires. Lengagement dans cette démarche est valorisé par une prime de 5 /1000 L. Laccord-cadre lié à cette démarche porte également sur la détermination du prix du lait bio : il sera adapté tous les trimestres en fonction des risques climatiques (suivant lindice Isop de pousse de lherbe et lindice Ipampa de lévolution des coûts de production).
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Actualité syndicale : Synabio : 13 propositions pour le nouveau Plan Bio
BIO-LINEAIRES, AuteurEn lien avec les responsables du nouveau Gouvernement, le Synabio (Syndicat national des entreprises bio au service des filières de l'agriculture biologique) participe à l'élaboration du prochain Plan national bio. Le syndicat participe au Comité de Pilotage et a transmis, au ministère de l'Agriculture, une première liste de 13 propositions pour le nouveau plan bio. Elles s'articulent autour de quatre axes principaux : - Axe 1 : Développement et structuration des filières ; - Axe 2 : Exemplarité de l'agriculture bio en termes de développement durable ; - Axe 3 : Valorisation de l'agriculture bio française ; - Axe 4 : Appui transversal au développement.
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Actualité technique : S'adapter aux aléas climatiques en élevage laitier bio : Quelle expérience de 2010 ?
Didier DESARMENIEN, AuteurEn Pays de la Loire, les éleveurs laitiers bio basent logiquement leur système fourrager sur l'herbe, en particulier pâturée. Les spécificités climatiques de 2010 ont déséquilibré fortement les systèmes fourragers avec des stocks réduits de 30 à 65 %. L'article propose un retour sur les pratiques mises en uvre au sein des fermes des réseaux d'élevage en agriculture biologique suivies par les Chambres d'agriculture des Pays de la Loire. En 2009, les rendements valorisés en herbe ont été très variables, les facteurs de variations étant très multiples (pluviométries locales, qualité des sols ). Il apparaît que la combinaison d'espèces (plusieurs guides sont téléchargeables sur www.agrilianet.fr, notamment : "La prairie multi-espèces", mai 2007 ; "Guide pratique Grandes cultures et cultures fourragères en agrobiologie", octobre 2010 ; "Guide pratique de l'éleveur : produire avec de l'herbe - du sol à l'animal", mai 2011) à l'intérieur d'une même prairie et de différentes prairies au sein du système aide à gagner en production. Le choix du type de stockage impacte aussi sur le niveau de sécurisation des élevages. En 2010, face à la très faible pousse d'herbe de printemps, les éleveurs laitiers du réseau ont privilégié le pâturage. Les stocks ont donc été insuffisants pour passer l'hiver. Sept voies principales ont été alors mises en place dans les élevages suivis : adopter un chargement faible initialement ; acheter des fourrages ; donner de la paille aux génisses L'impact économique en 2010, évalué par l'équipe du "Réseau lait des Pays de la Loire", révèle, quelle que soit la stratégie adoptée, un surcoût pour les éleveurs des Pays de la Loire d'environ 50 /1 000 l de lait.
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L'agriculture bio source de nombreux projets
Mélodie COMTE, AuteurEn 2016, l'association Pôle AB Massif Central a porté plusieurs projets, dont 2 à l'échelle Massif Central : Mélibio (sur l'autonomie alimentaire des élevages biologiques en zone de massif dans un contexte climatique instable) et BioRéférences (sur la recherche de références technico-économiques). Au cours de son Assemblée Générale du 11 mai dernier, le Pôle AB Massif Central et ses membres se sont questionnés sur l'avenir de la bio dans les territoires. Pour les années qui viennent, l'INRA relève l'enjeu central qui vise à conserver l'atout de la ressource fourragère en Massif Central, mais aussi des enjeux autour des filières viande et autour du changement d'échelle de la bio. Une série d'interrogations ont été formulées, telles quels : types de systèmes de production et de fermes en AB ?, quels modes de commercialisation et de valorisation ? La capacité des acteurs à s'organiser collectivement sur le territoire et l'engagement des pouvoirs publics ont été présentés comme des conditions de réussite face aux nouvelles opportunités.
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Agriculture biologique et changement climatique : Actes du colloque organisé le 24 février 2010, à l'auditorium des Moulins de Beez
Francis GIOT, Auteur ; Sophie MAERCKX, Auteur ; Jean-Pascal VAN YPERSELE, Auteur ; ET AL., Auteur | JAMBES (520 Rue de Dave, 5100, BELGIQUE) : NATURE & PROGRES BELGIQUE | 2010
Le climat se réchauffe sous l'effet des émissions anthropiques de gaz à effet de serre. Au même titre que d'autres secteurs, l'agriculture a sa part de responsabilité dans ces émissions. En Wallonie, le secteur est directement responsable de 9 % des émissions de gaz à effet de serre. Mais si l'on prend en compte l'ensemble des gaz émis pour produire les aliments, tant en amont qu'en aval de la production, le bilan est bien plus lourd. L'agriculture biologique par contre, de par ses méthodes de production, possède de nombreux atouts pour limiter les émissions de gaz à effet de serre. Les actes du colloque reviennent sur de nombreux points : - L'agriculture biologique au secours du climat ? ; - Causes, impacts et défis soulevés par la problématique du changement climatique aux niveaux mondial et régional ; - Émissions de gaz à effet de serre et de gaz acidifiants du secteur agricole en Wallonie ; - Évolution des stocks de carbone dans les sols agricoles en Belgique et potentiel de séquestration ; - Émissions de protoxyde d'azote par les sols agricoles ; - Impacts de l'alimentation, du type de stabulation, du niveau de paillage et du compostage sur les émissions de gaz à effet de serre liées aux déjections bovines ; - Valorisation des engrais de ferme : opportunités et limites ; - Synthèse de diagnostics énergétiques d'exploitations agricoles wallonnes ; - L'agriculture, quelles évolutions possibles ? Avec quels impacts en termes de consommation d'énergie et d'émissions de gaz à effet de serre ? ; - Bonnes pratiques agricoles pour limiter les émissions de gaz à effet de serre à l'échelle de l'exploitation tout en l'adaptant au changement climatique ; - Table ronde : Agriculture wallonne et changement climatique : quel impact et quelles adaptations nécessaires ? ; - Conclusion : protéger les sols, la priorité absolue.
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L'agriculture biologique en Hongrie
L'agriculture biologique hongroise s'est beaucoup développée depuis 10 ans et est reconnue par l'Union Européenne et d'autres organismes internationaux depuis plusieurs années. Etant tournée vers l'exportation, elle bénéficie d'un dense réseau de relations commerciales dans plusieurs pays européens. Malgré ces principaux atouts, l'agriculture biologique est aujourd'hui confrontée à deux difficultés : l'agriculture biologique n'est pas une priorité pour le gouvernement hongrois et elle souffre d'un manque de débouchés pour ses produits. L'agriculture biologique hongroise est donc actuellement dans une période de transition. Cette étude permet d'analyser les enjeux de cette transition et de s'intéresser à la situation actuelle en Hongrie : caractéristiques de la production, acteurs en jeu, réglementations et contrôles en vigueur, enjeux, soutien gouvernemental apporté à l'agriculture biologique.
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Agriculture : Contribuer à la sélection participative de maïs
Laurence ROUHER, AuteurCe court article résume la démarche des « cueilleurs de biodiversité » qui, chaque année, organisent une fête autour d'un champ de maïs population (l'an passé, le 10 octobre 2010, à Leigné 86). L'Inra est partie prenante, avec son programme Farm and seed opportunities (www.farmseed.net). Objectif : réussir à inscrire dans la loi le droit d'échanger ses semences, pour disposer d'un réservoir de biodiversité plus large que les seules semences inscrites au catalogue.
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L'agriculture durable de moyenne montagne
En introduction de ce document est présentée une définition de la moyenne montagne selon les points de vue du géographe, de l'économiste, du sociologue, de l'agronome... Les auteurs présentent ce qui caractérise ces zones : une combinaison de plusieurs facteurs géographiques, le triptyque enclavement/diminution de l'activité économique/désertification, de l'élevage en majorité extensif tourné vers des productions labellisées. Par ailleurs, une définition de l'agriculture durable selon le réseau CIVAM est mentionnée. Le document s'organise en deux parties : - Partie 1 : Etat des lieux de la durabilité des systèmes CIVAM de moyenne montagne : Le cas du Massif Central (Contexte et éléments méthodologiques ; Principaux résultats ; Facteurs explicatifs ; Un programme d'actions pour la moyenne montagne ; Conclusion) ; - Partie 2 : Des actions CIVAM pour répondre aux enjeux des territoires de moyenne montagne : Le chanvre : la culture du développement durable (Auvergne) ; Evaluer son exploitation pour évoluer ; Accueillir sur son exploitation, un autre moyen de se diversifier (Auvergne) ; Favoriser la valorisation d'espaces pastoraux par l'installation d'ateliers d'élevage extensif en cheptel-bail (Languedoc-Roussillon) ; Améliorer l'autonomie des exploitations par l'optimisation du pâturage (Limousin) ; Utiliser des rémanents de bois pour se chauffer (Limousin) ; Développer l'accueil familial social en milieu rural (Midi-Pyrénées) ; Mettre en place un système de distribution des produits agricoles en circuits courts : Lou panier del païs (Midi-Pyrénées) ; Approche globale de systèmes productifs biologiques, autonomes et économes sur la montagne et le piémont basque (Pays Basque) ; Développer la traction animale comme outil de maintien et de création d'activités en milieu rural (Rhône-Alpes).
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Agriculture : L'institut Terra Mater promeut agro-écologie et circuits courts au Brésil
Gilles MARECHAL, AuteurCet article est le 3ème de la série consacrée aux circuits courts au Brésil. Etudiants et professeurs de l'Ecole supérieure d'agriculture Luiz de Queiroz (Esalq), implantée sur le campus de l'université de São Paulo, ont décidé d'appliquer les idées de développement de l'agriculture écologique, vivrière et paysanne. Ils ont créé l'institut Terra Mater, pour aller travailler directement avec les paysans sur l'environnement, les circuits courts... Mais aussi avec les consommateurs. On retrouve un peu le style AMAP français. Terra Mater organise aussi des marchés paysans, des colloques (notamment avec Slow Food), propose des recettes de cuisine de produits locaux, témoignant ainsi, selon l'auteur, de la vitalité de la société civile brésilienne.
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Agriculture paysanne et changement climatique : Espoir et action (Dossier : Changeons les politiques agricoles, pas le climat)
Claire LAVAL, AuteurUne vigneronne bio, en Gironde, explique que le salut de la planète face au réchauffement climatique passe par la faculté de résilience des systèmes (possibilité d'adaptation avec retours à des équilibres). Et pour cela, selon elle, seuls des systèmes à base de petites fermes diversifiées peuvent maintenir une biodiversité suffisante pour s'adapter aux nouvelles contraintes. L'observation de la nature, des « mauvaises » herbes par exemple encadré instructif à ce sujet et l'explication de son fonctionnement et des interactions devraient être les nouveaux sujets de la recherche agronomique : « Plus que des techniques de pointe, les besoins sont ceux de formation des hommes ».
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L'agro-foresterie à Paraty
Gilles MARECHAL, AuteurCet article est le premier d'une série de trois dédiée aux circuits courts au Brésil. Paraty est une petite ville de Rio de Janeiro qui cumule les avantages touristiques. Menacée par cette attractivité et par l'extension urbaine, l'activité agricole se replie vers des parcs naturels et à leur proximité. Pour assurer la compatibilité entre l'agriculture et la protection de l'environnement, des associations et des producteurs locaux développent l'agroforesterie. Ces systèmes complexes associent plusieurs dizaines de plantes utiles organisées en strates qui permettent de toujours produire quelque chose au fil des années (légumes, bananiers, arbres fruitiers...). Ainsi, Eraldo produit sur ce mode de culture tout en transformant et assurant la vente de ses produits auprès des consommateurs des opérateurs de tourisme. Devenu une référence reconnue en agroforesterie, Eraldo contribue aussi à développer un tourisme écologique à Paraty.
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Agronomie - Fiche n° 2 : Cultiver des associations en AB récolter des interactions
Le Réseau Mixte Technologique pour le Développement de l'Agriculture Biologique (RMT DévAB) est composé d'instituts techniques agricoles (dont l'ACTA, tête de réseau), de chambres d'agriculture (dont l'APCA, tête de réseau), d'organismes de recherche, de structures spécifiques de l'AB (dont l'ITAB), de lycées agricoles (du réseau Formabio) et d'écoles d'ingénieurs en Agriculture. Il a pour ambition d'identifier des stratégies de développement de ce mode de production agricole et de consolider un réseau de compétences, en recherche, développement et formation, spécifiques à l'AB, permettant de construire des projets intégrateurs pour l'AB et développer la visibilité européenne de la France. L'axe 1 du programme du RMT vise à accompagner l'AB comme mode de production innovant et performant pour l'ensemble de l'agriculture. L'objet du chapitre introductif et des fiches qui l'accompagnent (organisées en 4 chapitres : Systèmes de production ; Agronomie ; Santé des plantes et des animaux ; Partenariats) est de caractériser des systèmes de production innovants et performants et d'identifier leurs clés de réussite. Ainsi, cette fiche (Agronomie - Fiche n° 2 : Cultiver des associations en AB récolter des interactions) a été réalisée dans le cadre du RMT DEVAB. Le maintien de la biodiversité est l'un des principes fondamentaux de l'agriculture biologique. L'association de cultures est une des manières d'y répondre. De multiples formes d'associations sont possibles : en bandes (agroforesterie, cultures intercalées ), en relais (espèces prairiales sous couvert de céréales), en mélanges (cultures récoltées en même temps). Cette fiche a pour objectif de présenter essentiellement les mécanismes et intérêts des différentes déclinaisons des associations sous forme de mélanges. Les préconisations techniques seront d'ordre général car elles sont bien souvent à réfléchir en fonction du contexte pédoclimatique et du mode de valorisation visé.
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Agronomie - Fiche n° 4 : Diversifier les espèces : pour une meilleure gestion agronomique en agriculture biologique
Le Réseau Mixte Technologique pour le Développement de l'Agriculture Biologique (RMT DévAB) est composé d'instituts techniques agricoles (dont l'ACTA, tête de réseau), de chambres d'agriculture (dont l'APCA, tête de réseau), d'organismes de recherche, de structures spécifiques de l'AB (dont l'ITAB), de lycées agricoles (du réseau Formabio) et d'écoles d'ingénieurs en Agriculture. Il a pour ambition d'identifier des stratégies de développement de ce mode de production agricole et de consolider un réseau de compétences, en recherche, développement et formation, spécifiques à l'AB, permettant de construire des projets intégrateurs pour l'AB et développer la visibilité européenne de la France. L'axe 1 du programme du RMT vise à accompagner l'AB comme mode de production innovant et performant pour l'ensemble de l'agriculture. L'objet du chapitre introductif et des fiches qui l'accompagnent (organisées en 4 chapitres : Systèmes de production ; Agronomie ; Santé des plantes et des animaux ; Partenariats) est de caractériser des systèmes de production innovants et performants et d'identifier leurs clés de réussite. Ainsi, cette fiche (Agronomie - Fiche n° 4 : Diversifier les espèces : pour une meilleure gestion agronomique en agriculture biologique) a été réalisée dans le cadre du RMT DEVAB. Si les rotations dites « courtes » (retour des cultures tous les 2 ou 3 ans sur la même parcelle) présentent des intérêts économiques et techniques, diversifier les cultures dans l'assolement et donc allonger les rotations constituent néanmoins un principe agronomique de base de la production végétale biologique. Trouver de nouvelles espèces à introduire dans la rotation : voici un challenge à relever pour les exploitations agricoles en agriculture biologique.