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ABC de la micronutrition : Prévenir, régénérer, protéger
Fatigue, stress, trouble de l'humeur, troubles digestifs, infections chroniques... Notre alimentation moderne ne répond pas à nos besoins physiologiques. Bien que nous soyons de mieux en mieux informés, nous laissons de mauvaises habitudes envahir notre vie : nous mangeons trop ou mal, résultat, nous nous intoxiquons ! La micronutrition, fruit de nombreuses recherches scientifiques sur la relation entre déficit nutritionnel et santé, consiste à apporter les micronutriments indispensables au bon fonctionnement de notre organisme : vitamines, minéraux, oligoéléments et acides gras polyinsaturés. L'ABC de la micronutrition, véritable guide pratique, aide à définir ses propres besoins nutritionnels et à rétablir ses désiquilibres.
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Alimentation et cancer : quels risques et quelle prévention ?
40 % au moins des cancers ont une origine alimentaire. Si on y ajoute les nombreuses autres maladies causées ou favorisées par une mauvaise alimentation, il est évident que, plus que jamais, nous creusons notre tombe avec nos dents. Lorsqu'on évoque les relations entre alimentation et cancer, on pense d'abord aux substances potentiellement cancérogènes ajoutées aux aliments (pesticides, additifs) ou qui peuvent s'y former (nitrosamines, benzopyrène). On oublie que le simple fait de manger trop de certaines catégories d'aliments, en eux-mêmes inoffensifs, peut être un facteur favorisant encore plus important. Les produits chimiques utilisés en agriculture et dans l'industrie agro-alimentaire sont souvent rendus responsables d'uun certain nombre de cancers. On sait en effet que plusieurs de ces substances, notamment des fongicides et des herbicides, sont cancérogènes pour l'animal, sans toutefois disposer de preuves formelles pour l'homme. Deux grandes catégories de substances - les nitrosamines et les benzopyrènes - constituent une réelle menace. Les nitrosamines se forment par combinaison de nitrites et d'amines secondaires. Les nitrites sont utilisés comme additifs alimentaires, principalement en charcuterie. Ils peuvent également se former à partir des nitrates contenus dans les légumes. Quant aux amines, on en trouve dans certains aliments, dans des pesticides, dans des médicaments. Les nitrosamines peuvent se former dans les aliments eux-mêmes ou dans notre organisme. Leur présence a notamment été décelée dans la charcuterie et dans la bière. La cuisson d'aliments contenant des nitrites peut également donner naissance à des nitrosamines (on a trouvé, par exemple, des nitrosamines dans du lard cuit, alors que cru il n'en contenait pas ; explication : la cuisson a libéré des amines qui se sont combinées avec les nitrites présents dans le lard). Les viandes grillées et, surtout, les aliments fumés industriellement, sont aussi source potentielle de substances cancérogènes. Les brocolis - c'est vrai ! - contiennent des substances protectrices contre le cancer, d'où l'engouement actuel du consommateur pour ce légume. Mais ils partagent ce privilège avec de nombreux autres aliments végétaux : fruits, légumes, céréales, légumineuses, graines oléagineuses. Nous pénétrons là dans le domaine fascinant des constituants dits "secondaires" de nos aliments. Claude Aubert nous donne ici les caractéristiques de ces substances ; la découverte de celles-ci et de leur rôle protecteur vis-à-vis de nombreuses maladies constitue la principale avancée de la science moderne depuis une vingtaine d'années en matière d'alimentation. Les fibres sont, de loin, les plus connues ; elles sont contenues dans les légumineuses, les céréales complètes et aussi dans les légumes et les fruits. De nombreuses autres substances, contenues dans beaucoup de végétaux et surtout dans les légumes, ont également une action anticancérogène : les flavonoïdes, acide phénolique, saponines, sulfides, glucosinolates, terpènes, etc... Les vitamines A, C et E sont généralement considérées comme jouant un rôle protecteur vis-à-vis de divers types de cancers (rôle bien établi pour la vitamine A). Autre constatation intéressante : une fois chauffés, les légumes perdent une partie de leur action anticancérogène. Voici qui apportera de l'eau au moulin des partisans du crudivorisme et de la lacto-fermentation (d'autant que cette dernière confère aux aliments des propriétés anticancérogènes spécifiques - voir "Les quatre saisons" N° 87 -). En dépit de la complexité des substances et des mécanismes entrant en jeu, les règles de base d'une alimentation anti-cancer sont - finalement - relativement simples (un encadré les rappelle dans cet article). Elles rejoignent, comme par hasard, les pratiques alimentaires de la majeure partie de l'humanité jusqu'au début de l'ère industrielle. Elles confirment également le rôle prédominant que doivent jouer les aliments d'origine végétale et, en particulier, les légumes dans une alimentation saine.
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Alimentation des ruminants : Apports nutritionnels - Besoins et réponses des animaux - Rationnement - Tables des valeurs des aliments
P. NOZIERE, Auteur ; D. SAUVANT, Auteur ; L. DELABY, Auteur | VERSAILLES CEDEX (RD 10, 78 026, FRANCE) : ÉDITIONS QUAE | 2018
Cet ouvrage permet de mieux répondre aux défis émergents en nutrition animale : qualité des produits, santé animale, émissions dans lenvironnement, tout en améliorant la prévision des réponses productives. Il décrit lensemble du système dalimentation pour les productions de lait et de viande, chez les bovins, ovins et caprins, en incluant les spécificités des zones tropicales et méditerranéennes. Au sommaire : - Les apports alimentaires et en nutriments : Ingestion des aliments ; Digestion et apports en nutriments énergétiques ; Digestion et apports en nutriments protéiques ; Apports en minéraux, en vitamines et en eau ; - Les besoins des animaux et leurs réponses aux rations : Dépenses, efficacité métabolique et besoins en énergie ; Dépenses, efficacité métabolique et besoins en protéines et en acides aminés ; Besoins en minéraux, en vitamines et en eau ; Réponses de lingestion et de la production de lait aux variations dapports alimentaires ; Réponse de la croissance aux variations dapports alimentaires en phase délevage ou en finition ; Taux butyreux et composition de la matière grasse laitière ; Composition en acides gras des muscles ; Excrétion azotée fécale et urinaire ; Emissions de méthane entérique ; Bien-être digestif et acidose ruminale ; - Le rationnement des animaux : Principes généraux de rationnement ; Vaches laitières ; Vaches allaitantes et leurs veaux ; Bovins en croissance et à lengrais ; Ovins en lactation, en croissance et à lengrais ; Caprins en lactation et en croissance ; Spécificités de l'alimentation des ruminants en régions chaudes ; - Les valeurs de référence des aliments : tables et prévision : Méthodes dévaluation de la valeur des aliments et bases de données ; Calcul de la valeur des aliments pour les ruminants : tables et équations de prévision ; Tables Inra de la valeur des aliments utilisés en France et dans les zones tempérées ; Tables Inra de la valeur des aliments utilisés dans les régions chaudes ; - Description des bases de données.
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L'alimentation saine
D'origine, l'organisme humain possède les facultés nécessaires pour triompher par lui-même des plus graves maladies. Il suffit pour cela qu'on lui en fournisse les moyens, notamment par des règles de vie plus saines et surtout par une alimentation correspondant très exactement aux besoins réels de nos cellules. Tout l'intérêt de cette méthode d'alimentation saine, conçue en 1946 et enseignée avec succès par l'auteur, repose sur le fait que, ayant pour base une nutrition saine et parfaitement équilibrée, satisfaisant aux besoins de l'organisme, les carences se trouvent rapidement comblées (effet thérapeutique). 128 recettes détaillées, des tableaux de composition des aliments et la liste des additifs alimentaires (colorants, conservateurs, etc.) avec leurs numéros de code et leurs effets sur l'organisme complètent utilement ce guide pratique.
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Alimentation de la vache laitière et acide folique dans le lait
Le cinquième rapport suisse sur la nutrition a révélé qu'une grande partie de la population ne couvre que 70% environ de ses besoins quotidiens en acide folique, élément qui participe au développement normal du foetus et qui aurait des effets bénéfiques dans la prévention des maladies cardiovasculaires et du cancer. Un essai suisse visait à tenter d'accroître la concentration en acide folique dans le lait grâce à une ration naturellement riche en acide folique (foin, betteraves, drêches de brasserie, cubes de luzerne, levure de bière et germes de blé). Les résultats n'ont pas été significatifs et seule une fraction des folates, le tétrahydrofolate, a vu sa concentration augmenter dans le lait.
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Les aliments biologiques
Qu'est-ce que l'alimentation écologique ? Les systèmes alimentaires : lequel choisir ? Eléments pour définir la qualité biologique. Conséquences des méthodes agricoles sur la qualité alimentaire. Les cristallisations sensibles. Où trouver vitamines, oligo-éléments. L'eau élément vital. La conservation des aliments, etc...
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L'amélioration de la valeur nutritionnelle des pains bio : Synthèse des travaux de Christian Rémésy et Fanny Leenhardt sur lamélioration nutritionnelle des pains bio
Anne-Laure SIMON, AuteurCet article est tiré des actes du colloque professionnel « Pain Paysan Bio », organisé dans le cadre du projet PANIER (valorisation des savoirs-faire anciens). Il donne un aperçu de la synthèse réalisée par Christian Rémésy (INRA Clermont-Theix) à partir de ses travaux sur l'amélioration nutritionnelle des pains bio. L'auteur évoque l'opportunité qu'a la filière biologique, qui utilise généralement des farines de type 80, de communiquer sur la qualité nutritionnelle de ses pains, à travers leur richesse en fibres, minéraux et vitamines, éléments qui ont un intérêt certain dans la prévention de pathologies majeures. Un autre point évoqué concerne la nature des variétés de blés à sélectionner, les blés riches en protéines étant intéressants sur le plan nutritionnel, d'autant plus qu'ils semblent aussi être les plus riches en vitamines. Concernant les minéraux, l'influence des procédés de mouture est prépondérante et devrait amener à généraliser les farines T80. Les compositions des pains selon différents modes d'obtention de farines T80 sont données en tableau et commentées.
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Les anti-oxydants
Notre corps est en lutte permanente contre le vieillissement et la maladie. La science se penche de plus en plus sur les anti-oxydants, sans qui la vie serait tout simplement impossible. La vie moderne, avec son cortège de stress, de pollution et de difficultés met à rude épreuve les défenses de l'organisme et nous sommes nombreux à en subir les conséquences. C'est pourquoi il est indispensable d'apporter jour après jour à notre corps ces éléments dont il a besoin pour être au mieux de sa forme et de son équilibre. Vous découvrirez dans cet ouvrage : les anti-oxydants, leur rôle et leur fonctionnement ; comment savoir si vous prenez suffisamment d'anti-oxydants ? ; comment choisir les bons suppléments, et quelles quantités d'anti-oxydants prendre pour guérir, régénérer et vitaliser votre corps ; comment les anti-oxydants participent à votre moral et que faire pour retrouver équilibre et sérénité.
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Les baies : Des ressources en vitamines pour préserver votre santé et entretenir votre beauté
Répandues dans le monde végétal, les baies sont de petits fruits souvent sauvages, poussant facilement au bord des routes de campagne, et dont beaucoup sont comestibles. Au jardin, les arbustes produisant ces baies peuvent se cultiver avec un minimum d'entretien et de taille. Peu caloriques, savoureuses et riches en nutriments bienfaisants, les baies sont une source importante de vitamines, minéraux, oligoéléments et antioxydants et, à ce titre, elles sont précieuses pour la santé. Elles peuvent aussi s'utiliser pour fabriquer des produits de beauté. Cet ouvrage, qui comprend de nombreuses illustrations, permet de les découvrir ou de les redécouvrir : cassis, belladone, groseille, myrtille, douce-amère, canneberge, bryone baie de goji, myrte, aronia, physalis, raisin d'Amérique et d'apprendre à reconnaître celles qui sont toxiques. Le livre propose des conseils pour cultiver les baies, ainsi que des recettes de beauté (shampooings, gommages ), de santé (contre la fièvre, l'insolation, la fatigue ) et de cuisine (pour les transformer, fraîches ou séchées, en accompagnements des plats salés, en desserts, confitures, conserves, vins, liqueurs, jus, compotes, coulis ).
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Bovins lait : Les minéraux, de lor en bar
Elisa DUBOIS, AuteurLa complémentation minérale est un point important pour la santé d'un troupeau bovin laitier et pour maintenir de bonnes performances (production, vêlage, reproduction). Or, la teneur en minéraux dans les fourrages peut varier selon divers facteurs. Globalement, avec la recherche du rendement et la sélection variétale basée sur lénergie et lazote, les fourrages savèrent moins riches en minéraux. La nature du sol influence aussi la teneur en minéraux des fourrages (risques de carence), tout comme le mode de conservation des fourrages (cest le fourrage en vert qui est le plus riche), ou encore le stade et le type de récolte. Cet article présente, par ailleurs, les rôles des divers minéraux et les principaux signes liés à leur carence ou leur excès dans la ration. De plus, il propose des quantités à apporter en complémentation par type danimal. A noter que le bar à minéraux, permettant de mettre à disposition divers éléments comme du sel, de largile, du chlorure de magnésium, ou encore du vinaigre de cidre, est une solution intéressante pour aider les animaux à couvrir leurs besoins en limitant les risques dexcès, les bovins étant capables de sauto-réguler pour les macro éléments comme le calcium, le phosphore ou le sodium.
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Cahier des charges volailles : vitamines et acides aminés : à quand la synthèse ?
Suite à quelques réunions de la commission "Volailles" de l'ITAB, il nous a semblé utile de mettre l'accent sur deux problèmes majeurs dans la pratique des aviculteurs bio : les conditions d'utilisation des vitamines de synthèse d'une part, et des acides aminés de synthèse d'autre part. Dans la perspective du futur règlement européen sur les productions animales, nous espérons que les observations et les propositions qui vont suivre, contribueront à clarifier le débat sur ces questions. Rappel des contraintes auxquelles doivent faire face les éleveurs de volailles bio : - Ressources limitées et disparates en matières premières riches en protéines de qualité, - matériel génétique peu adapté aux contraintes de l'élevage bio, - Coûts exhorbitants de certaines matières premières (tourteaux, minéraux, vitamines...) Il apparait préférable d'apporter les vitamines de synthèse dans l'alimentation plutôt que sous la forme de cure, alors que le cahier des charges refuse la supplémentation dans l'aliment : c'est bien là qu'est le problème ! En pratique, on constate deux attitudes : "préventive" et "réactive" Quant aux apports "naturels" en vitamines, il faut bien avouer que s'ils sont en général suffisants pour les hydrosolubles, ils sont le plus souvent insuffisants pour les liposolubles (nombreux facteurs limitants). Les propositions portent donc sur la supplémentation en vitamines A, D3, E de synthèse dans les aliments pour volailles, ce qui rendrait alors la cure "exceptionnelle", ce qu'elle aurait toujours dû rester. L'utilisation de certains acides aminés de synthèse (lysine et méthionine) devrait surtout être envisagée dans les périodes critiques de la vie des volailles, (et ce en supplémentation) ; les potentialités de production en soja, colza OO et tourteaux d'origine bio devraient être recensées et impérativement prises en compte par les fabricants d'aliment. Le débat mérite d'être élargi, mais il met d'ores et déjà en évidence le profond souci d'encourager une évolution de la réglementation française (et future européenne) pour atteindre un triple objectif : obtenir des résultats technico-économiques satisfaisants, réduire la pollution, optimiser les équilibres alimentaires, et ceci dans le cadre d'un développement de l'agriculture biologique dans son ensemble, à tous les niveaux de la filière.
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Les céréales et leurs propriétés nutritionnelles
Des recherches scientifiques ont été menées concernant les apports nutritionnels réels des céréales. Les céréales étudiées sont le froment, l'orge, le seigle et l'épeautre. Au vu des résultats donnés dans cet article, l'avoine et l'épeautre ont un apport nutritionnel supérieur aux autres céréales étudiées.
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Du chocolat en bio, pourquoi ?
Le chocolat bio vous garantit un approvisionnement de très bonne qualité : - Pas de pesticides employés sur les plantations de cacaoyer, - Pas de traitement chimique pendant le stockage du cacao, - Et la garantie, pour les producteurs, de prix d'achats supérieurs aux cours mondiaux. Au niveau de la fabrication : - Utilisation de sucre de bonne qualité, et en quantités modérées, - Beurre de cacao - non désodorisé - extrait par pression, et non grâce à des solvants, - Conchage long. Les soins apportés à sa fabrication en font généralement un chocolat plus digeste. Plus de raison de se priver ! D'autant que le chocolat n'a pas seulement bon goût ; il contient des éléments indispensables à notre organisme : calcium, fer, vitamines B1-B2-D, magnésium, potassium, phosphore (Extrait de l'article : "Le chocolat sain et savoureux" de Marc Durand) Où trouver du chocolat bio ? - En gros : auprès de 2 entreprises productrices : Kaoka et Rapunzel France, - Au détail : dans les coopératives de produits biologiques et les magasins spécialisés.
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Chou, navet et autres crucifères
De toutes les familles de légumes, celle des crucifères est incontestablement la plus riche en espèces et la plus intéressante par leur valeur nutritive et leurs propriétés médicinales. Il faut en redécouvrir les extraordinaires ressources.