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Documents disponibles dans cette catégorie (59)


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Dossier du mois : Commerce alimentaire : Des chemins tortueux jusquà notre assiette
Elsa CASALEGNO, Auteur ; Elisa OUDIN, AuteurLa guerre en Ukraine a mis en évidence la forte prédominance de quelques grands groupes sur le commerce alimentaire mondial et les faiblesses de ce système. Limpact de cette guerre tient au fait que les belligérants sont des fournisseurs majeurs de blé, d'orge, de tournesol et de maïs. Sajoutent à cela les conséquences de ce conflit sur le coût des énergies. Ceci amène à une flambée des prix et à des risques de pénuries, dautant plus que le commerce alimentaire est devenu mondial. Dans ce système, les denrées, devenues sources de spéculation, font des kilomètres à travers la planète avant darriver par cargos géants dans nos ports, puis dans nos assiettes. Connaître lorigine des produits que lon consomme devient souvent quasi impossible, surtout avec un étiquetage aux mentions obligatoires très parcellaires. Le but ? Tirer les prix vers le bas et répondre aux demandes de lagroalimentaire et de la grande distribution qui veulent des produits standardisés et peu chers. Ce système, opaque, est aussi plus à risques en termes de fraudes. En plus de présenter les coulisses du marché mondial des denrées alimentaires, ce dossier fait des focus sur certains produits de base comme le blé ; les huiles de tournesol, de colza, de palme ; le poulet ; le sucre ; la viande de buf ; le lait ; les tomates fraîches ; le cacao et le café : origine, traçabilité, qualité selon lexistence de signes de qualité ou non, part de production et de consommation en France, risque de pénurie ou dinflation suite à la guerre ou au changement climatique . Pour faire face à ces risques de chocs, la souveraineté alimentaire devient un enjeu majeur. Certains présentent alors le productivisme agricole comme la solution, quitte à faire fi des questions environnementales ou de santé. Dautres dénoncent le lobbying de lagrochimie qui cherche à « instrumentaliser la guerre » à son bénéfice. Stocker, réguler pour sadapter aux crises, réduire les importations, favoriser les filières plus modestes, mieux tracées et rémunérant mieux les producteurs sont les moteurs dune autre approche, basée sur une résilience alimentaire réfléchie à léchelle des territoires, à partir daliments locaux diversifiés.
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Logistique : Quand le local a le mal des transports
Stéphane THEPOT, AuteurUne foire bio existant depuis 1974 qui peine à redémarrer après le confinement, dans une commune de lIndre. Une boutique de producteurs bio qui ferme en novembre 2021 dans la même commune, après avoir connu laffluence pendant le confinement, avec chaque jour des files de consommateurs venus acheter bio et local. Avec la crise sanitaire, bien des dynamiques sétaient développées pour plus de local et de circuits courts. Aujourdhui, tout semble être redevenu comme avant, avec, plus fort que jamais, le e-commerce, avec ses entrepôts géants, des flux de camions ou encore, en bout de chaîne, des livreurs en sous-traitance et souvent précarisés. En fait, le confinement a montré certes des faiblesses mais, surtout, au final, la force de la logistique. Ce secteur dactivité ne sest pas arrêté pendant la crise sanitaire. Globalement, cette dernière a profité au e-commerce, même si on peut observer de plus en plus des signes de résistance, notamment à linstallation dentrepôts géants, malgré les annonces de créations demplois que généreraient ces structures. La logistique est un domaine qui, avec notamment la seconde guerre mondiale, a connu un investissement majeur en recherche, ressources humaines ou techniques, avec lobjectif dune gestion toujours plus optimale des flux. Face à cela, comment recréer des circuits locaux qui ont disparu. Si des initiatives locales existent, comme ce groupe de producteurs des environs de Châteauroux qui se sont organisés pour décrocher des marchés en restauration collective, avec un investissement dans la logistique via la création dune entreprise dinsertion dédiée à cela, il reste beaucoup à faire.
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Nicolas Hulot, Vandana Shiva : Le cercle vertueux : Entretiens avec Lionel Astruc
La rencontre entre Vandana Shiva et Nicolas Hulot a eu lieu en marge de la COP21, fin 2015, alors que ces deux personnalités se connaissaient à peine. Leur discussion, orchestrée par Lionel Astruc, a débouché sur une définition commune des enjeux auxquels il faudra faire face et a permis de mettre en lumière des mesures concrètes destinées aux citoyens et aux décideurs politiques. La dégradation de lenvironnement et les catastrophes liées au réchauffement climatique touchent certaines populations plus que d'autres : les pays les plus pauvres et les revenus les plus modestes. Ils sont également les plus durement frappés par la perte de biodiversité, les problèmes daccès à leau potable et à un air pur, la dégradation des sols, etc. Comment inverser ce cercle infernal ? La notion de "biens communs" (eau, air, terre, semences) est développée comme étant un point crucial à intégrer plus précisément dans les législations à venir en vue de leur protection. Les thématiques de l'alimentation, de la fiscalité et de l'énergie sont traitées de façon approfondie, ce qui aboutit à des propositions concrètes.
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La Terre est en surchauffe : L'impact de la mondialisation et des multinationales sur notre planète
L'homme est en train de changer le climat. Depuis la création de l'OMC, l'auteur analyse que les tenants de la mondialisation ont retiré les pouvoirs dévolus aux États pour les confier aux multinationales. Les peuples se sentent souvent abandonnés par leurs gouvernants. Le monde doit impérativement changer : fédérer les États, appliquer un droit international, rechercher et punir les coupables d'écocides. Ce livre expose les liens entre économie mondialisée et dérèglement climatique, puis met en lumière les actions possibles pour les entreprises, les politiciens, les citoyens, dans le monde et dans la vie quotidienne, et propose aussi des idées de projets de grande envergure. Dans une première partie, louvrage revient sur les évolutions qui ont marqué la société et les équilibres mondiaux, depuis laprès-guerre (1945), pendant les Trente Glorieuses et jusquà la période récente (mondialisation, finance, Cop21...). La deuxième partie de louvrage expose les enjeux du réchauffement climatique et les pistes de solutions adaptées pour limiter les dégâts de ce réchauffement (finance, transports, habitat, production et distribution des denrées agricoles, consommations énergétiques et énergies renouvelables, droit international pour la Terre et les citoyens).
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Manifeste pour une agriculture durable
Lydia BOURGUIGNON, Auteur ; Claude BOURGUIGNON, Auteur | ARLES CEDEX (Place Nina-Berberova, BP 90038, 13 633, FRANCE) : ÉDITIONS ACTES SUD | 2017
Selon les auteurs, la mondialisation et la "révolution verte" n'ont pas tenu leurs promesses, car toutes deux sont des idéologies qui ne prennent pas en compte la réalité. Désormais, des citoyens français protestent contre ce modèle et demandent à l'agriculture d'évoluer vers plus de durabilité, en produisant des aliments de qualité et en assurant aux paysans une pérennité de leur métier. Pour les auteurs, l'agriculture durable repose sur deux points fondamentaux : d'une part, l'idée qu'il est possible de se passer de biens industriels, mais pas de nourriture ; d'autre part, que cette agriculture est la seule source pérenne de richesse des nations. L'Humanité ne cesse de s'appauvrir en éventrant la terre pour lui prendre ses minerais et son énergie fossile, pourtant elle pourrait simplement s'enrichir en cultivant la terre selon les principes de durabilité. Ce manifeste redonne à l'agriculture le rôle central qu'elle a toujours occupé dans les civilisations. Il propose des solutions pour la faire évoluer en la rendant à la fois durable et qualitative.
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MOND'Alim 2030 : un regard prospectif sur la mondialisation des systèmes alimentaires
Pierre CLAQUIN, Auteur ; Florent BIDAUD, Auteur ; Elise DELGOULET, Auteur ; ET AL., AuteurLa mondialisation des systèmes alimentaires est un phénomène complexe, avec des implications économiques mais aussi culturelles, politiques, scientifiques, ou encore juridiques. En 2017, le Centre d'études et de prospective a réalisé une étude prospective à l'horizon 2030, intitulée MOND'Alim. Celle-ci visait à caractériser la phase de mondialisation actuelle, les dynamiques à luvre, à envisager leur devenir et à identifier les éventuelles ruptures émergentes. A travers six thématiques, cet article reprend les principaux enseignements de cet exercice, qui a fait l'objet d'un ouvrage (MOND'Alim 2030, panorama prospectif de la mondialisation des systèmes alimentaires, Éditions La Documentation française) : - évolutions des conduites et des modèles alimentaires ; - dynamiques du commerce international ; - internationalisation de la recherche, des bases de données et des innovations ; - mondialisation des risques et des problèmes publics ; - acteurs publics et privés de la mondialisation ; - enjeux et tendances en matière de gouvernance.
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Les agriculteurs à la reconquête du monde : Pourquoi le monde agricole va survivre et même nous sauver
Maximilien ROUER, Auteur ; Hubert GARAUD, Auteur | PARIS (17 rue Jacob, 75 006, FRANCE) : EDITIONS JEAN-CLAUDE LATTÈS | 2016
Les auteurs estiment que, contrairement à ce que pourraient laisser penser lintensité de la crise et les messages de certains qui font des agriculteurs les boucs émissaires de la pollution, de la malbouffe ou encore les victimes de la grande distribution, le monde agricole a encore ses cartes à jouer. Selon eux, une véritable révolution est en cours : en associant le meilleur du savoir écologique aux avancées technologiques, en redéfinissant de nouveaux types de rapports plus équitables et transparents avec les distributeurs et les consommateurs, le monde agricole de demain sera plus productif, plus écologique et plus rentable. Les auteurs recensent plus de 100 actions et raisons despérer qui changeront la donne, à condition que se dessinent une véritable orientation, une stratégie commune, et que les efforts de tous visent la même cible. Les métiers de la terre pourront redevenir bientôt un des plus beaux métiers du monde offrant une juste rémunération, la merveilleuse proximité avec la nature, la fierté dêtre en première ligne du changement climatique, dentretenir la planète et de nourrir lhumanité.
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Dossier : Projet de traité transatlantique : Menace ou opportunité pour l'agriculture ?
Thierry POUCH, Auteur ; Justin LALLOUET, Auteur ; Iris ROZE, AuteurDepuis l'été 2013, des négociations sont en cours entre les États-Unis et l'Europe pour la mise en place d'un traité transatlantique concernant le commerce et l'investissement (PTCI en français, ou TTIP ou TAFTA en anglais). L'objectif des deux premières puissances économiques mondiales est ainsi de stimuler la croissance, l'emploi, le commerce et l'investissement. Pourtant, de nombreuses interrogations et inquiétudes émergent, en particulier dans le secteur agricole, comme en témoignent les personnalités politiques qui s'expriment dans ce dossier : - Daniel Roguet, Président de la Chambre d'agriculture de la Somme et de la Commission Élevage à l'APCA : "Négociations du TTIP : un moratoire pour préserver des élevages déjà malmenés" ; - Matthias Fekl, Secrétaire dÉtat chargé du Commerce extérieur, de la promotion du tourisme et des Français de l'étranger : "Le compte n'y est pas" ; - Eric Andrieu, Eurodéputé et Premier vice-Président de la Commission de l'agriculture et du développement rural : "TIPP : une histoire pas comme les autres !" ; - Jean Arthuis, Eurodéputé et Président de la Commission des budgets et suppléant de la Commission de l'agriculture et du développement rural : "Le TIPP est à l'heure actuelle une menace" ; - Michel Dantin, Eurodéputé et membre de la Commission de l'agriculture et du développement rural : "Négocier avec les États-Unis, c'est parler avec son principal client !" ; - Yannick Jadot, Eurodéputé et membre de la Commission du Commerce international : "Des effets désastreux sur l'emploi, l'agriculture et la sécurité alimentaire". Pour finir, ce dossier interroge sur les perspectives possibles.
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Richesse et démesure : Le grand business des plantes
Cet ouvrage observe la mondialisation au travers du prisme des plantes. Marchés à terme, systèmes de subventions, sécurisation des approvisionnements, quotas, multinationales, commerce illégal, lobbying... Comprendre ces mécanismes et leurs excès est essentiel à l'heure où l'agriculture est en pleine transformation, où la question se pose de l'appropriation du vivant, et alors que nos choix de consommation font de nous, plus que jamais, des acteurs citoyens. Ce livre, richement illustré, met sous la loupe de nombreuses plantes, en particulier celles qui sont produites à lautre bout du monde, et éclaire quelques-uns des mécanismes économiques qui se cachent derrière : coton, fleurs, café, huile de palme, bananes, maïs, riz, thé
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Faim zéro : En finir avec la faim dans le monde
En 2000, les Nations Unies établissaient les « objectifs du millénaire » visant à réduire drastiquement, en quinze ans, le nombre de personnes souffrant de faim dans le monde. Mais, en 2015, on comptera autant de personnes qui ont faim qu'en 2000 et qu'en... 1900, soit 850 millions. Toutes les dix secondes, un enfant continue à en mourir. Cette situation a souvent d'autres conséquences néfastes : insécurité, guerres, piraterie, terrorisme, émigration sauvage, épidémies. Dans son livre, Bruno Parmentier estime que la faim provient d'abord d'un phénomène politique, et que son élimination relève donc de l'action politique. Certains pays remportent ainsi des victoires, tels la Chine, le Viêt-nam ou le Brésil - avec son programme « Faim zéro » -, alors que d'autres stagnent, comme l'Inde, ou reculent, comme la plupart des pays d'Afrique subsaharienne. Malgré le réchauffement de la planète et l'augmentation de la population, malgré l'accaparement des terres ou la production d'agrocarburants au détriment des aliments, des solutions existent pour que tous les êtres humains mangent à leur faim, dès lors que les États se décident à agir : « renutrition » d'enfants en danger de mort ; encouragement des techniques de production agricole agroécologiques, y compris dans la petite agriculture familiale ; soutien ciblé au revenu des mères de famille fragilisées ; promotion de nouvelles alliances financières public-privé, etc. On peut y arriver, explique ce livre, si les citoyens, leurs organisations et leurs gouvernements reconnaissent la faim comme le principal problème que doit affronter l'humanité.
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Préserver la diversité des semences, une arme contre la faim dans le monde
Gilles VAN KOTE, AuteurL'insécurité alimentaire recule dans le monde, selon les derniers chiffres de la FAO rendus publics en octobre 2013. Mais, beaucoup reste à faire et, de plus, ces progrès risquent d'être mis à mal par le changement climatique. Pour y faire face, il est essentiel que la recherche agronomique puisse accéder aux ressources génétiques végétales mondiales afin de développer des espèces adaptées au réchauffement. C'est l'objet du traité international sur les ressources phytogénétiques pour l'alimentation et l'agriculture adopté en 2001 et entré en vigueur en 2007. Ce traité prévoit notamment que ses pays membres (129 à ce jour) mettent leurs collections de semences dans un pot commun pour la recherche et prévoient un fond pour le financement de projets portant sur la conservation ou l'usage durable des ressources phytogénétiques. Cependant, ce traité est au point mort, rencontrant de nombreux freins dans son application. Les signataires de ce traité se sont retrouvés à Mascate (Oman) pour tenter de faire avancer les choses. Entre 600 et 800 échanges de semences sont enregistrés chaque jour dans ce cadre. Des collaborations de recherche entre pays se développent. Néanmoins, certains pays et les intérêts des multinationales freinent ce traité, alors que, pour l'auteur, aucun Etat ne pourra assurer seul sa sécurité alimentaire à l'avenir.
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Olivier de Schutter : "On a oublié la petite paysannerie"
Philippe LAMOTTE, AuteurEn mars 2012, dans un rapport aux chefs d'état, Olivier de Schutter, rapporteur aux Nations Unies, remet en cause les systèmes alimentaires mondiaux, établissant des connexions entre les problèmes de santé, d'agriculture et d'environnement et s'attaque à la malbouffe. Dans un entretien, il s'explique sur plusieurs points : raisons pour lesquelles il a mis l'accent sur l'obésité et les maladies cardiovasculaires dans son dernier rapport ; impact du modèle alimentaire occidental ou du Nord sur le Sud et les pays émergents (« transition nutritionnelle », mondialisation du commerce et des investissements) ; nécessité de la promotion de systèmes agroalimentaires locaux contre la tendance d'un marché qui promeut les économies d'échelle par les grandes entreprises ; importance, contre la malnutrition, de l'allaitement maternel exclusif pendant six à sept mois ; rôle fondamental de la petite paysannerie familiale dans la lutte contre la pauvreté (encore trop peu soutenue ou mise en concurrence avec des agriculteurs d'un poids plus important) et responsabilités des gouvernements des pays concernés et des investisseurs privés ; signes encourageants dans la gouvernance mondiale et rôle du Comité de la Sécurité alimentaire mondiale (CSA) ; nécessité pour chaque pays de la planète d'augmenter sa production (les méthodes adaptées étant celles relevant de l'agro-écologie plutôt que de l'agriculture conventionnelle, notamment car elles ne sont plus résilientes aux changements climatiques) ; accaparement des terres et rôle des spéculateurs lors des émeutes de la faim mais réaction, depuis, des Etats-Unis, l'Europe ayant été moins coordonnée dans ses efforts
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Les politiques publiques des sciences de l'environnement et des technologies à l'épreuve du développement durable
L'auteur présente son analyse sur les conséquences d'une recherche publique non dédiée à la compréhension du fonctionnement des écosystèmes mais plutôt axée sur le développement d'un progrès supposé à travers l'innovation technique. Or, considérer que la technologie est la solution à tout, même aux problèmes qu'elle génère en termes d'environnement ou de santé publique, amène à deux effets majeurs : des financements publics ne permettant pas d'avancées majeures et le maintien de la vision que l'environnement, la biodiversité sont des contraintes et non des atouts. Favoriser par un financement public pertinent, la recherche sur le fonctionnement de la biosphère ou des écosystèmes permettrait d'apporter à la sphère économique et technique les connaissances nécessaires pour développer des innovations techniques faisant de l'environnement un atout. C'est l'approche que promeut l'agriculture écologiquement intensive, basée sur le développement de techniques agricoles inspirées du fonctionnement des écosystèmes. Ainsi, un financement public d'une recherche centrée sur l'environnement et non sur la technologie, cette dernière étant du ressort des entreprises, serait la base d'un vrai développement durable.
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Dossier : Le bio au Québec : État des lieux / Perspectives d'avenir
Denis LA FRANCE, Auteur ; Jacques LANOUE, Auteur ; R. JANNASCH, AuteurCe dossier présente l'agriculture biologique du Québec sous différentes facettes : - La faim dans le monde : La solution sera-t-elle productiviste (prises de position de Denis La France, un des pionniers de l'agriculture biologique au Québec, face au défi que représente l'alimentation et l'agriculture biologique à l'heure de la mondialisation) ; - Bio depuis 1974 (portrait et histoire de la première ferme certifiée biologique au Québec en 1982. Son propriétaire, Russel Pocock fait part de leur philosophie de travail et des défis auxquels ils font face tous les jours) ; - Biologique et hydroponique : Mariage possible ou pas ? (la norme nationale de l'agriculture biologique du Canada n'est pas très claire en ce qui concerne la production hydroponique « biologique », cet article présente différents éléments afin d'alimenter les réflexions sur le sujet) ; - Le bio d'ici (entrevue avec deux grands défenseurs de l'agriculture biologique au Québec, Benoît Girouard de l'Union paysanne, et Gérard Bouchard de la Fédération de l'agriculture biologique du Québec)
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Dossier : Environnement & santé
Bruno MONIER, Auteur ; Patrice HALIMI, Auteur ; Pauline BERTHELLEMY, Auteur ; ET AL., AuteurCe dossier "Environnement & Santé" traite plusieurs sujets : - Mieux vivre, c'est mieux habiter ; - Pollution de l'air un jour, pollution de l'air toujours ? ; - Perturbateurs endocriniens : les envahisseurs... ; - L'agriculture intensive en question ; - Les ondes : une menace pernicieuse ; - Quand déchets et santé ne font pas bon ménage ; - Bruit : de la gêne à la nocivité ; - Peut-on boire l'eau du robinet ? ; - Changement global : la planète gazée ; - Radioactivité, parlons-en ; - Mondialisation des déchets, quels impacts pour les pays du Sud ? ; - Alzheimer, Parkinson... à qui la faute ?