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Baromètre de l’Agence Bio : Plaisir, praticité… et prix !
Christine RIVRY-FOURNIER, AuteurL’Agence BIO a présenté son 21ème Baromètre de perception et de consommation des produits bio, basé sur une enquête de l’ObSoCo auprès de 4000 Français. Par rapport à 2022, les préoccupations santé et environnement diminuent (respectivement - 6 et - 9 points) en faveur de l’alimentation plaisir (+ 15 points). Les circuits courts, la réduction des emballages, les produits frais sont moins importants pour les Français, qui privilégient, à 62%, l’aspect pratique et le gain de temps. Or, l’image du bio est assimilée aux produits bruts. Jean Verdier, président de l’Agence BIO, explique pourtant que 80% des produits bio sont transformés. Développer les débouchés du bio passe aussi par l’application de la loi EGAlim et les 20% de bio en restauration collective, ainsi que par l’engagement des restaurateurs français. L’Agence BIO va adapter, en conséquence, sa communication, avec la campagne BioReflexe, vers le plaisir et la convivialité.
Construire, perdre, retrouver le sens du travail en agriculture
Philippe SPOLJAR, Coordinateur ; Lucie DUPRÉ, Coordinateur ; Caroline DEPOUDENT, Coordinateur ; ET AL., Auteur | DIJON CEDEX (26 Boulevard Docteur Petitjean, BP 87999, 21 079, FRANCE) : EDUCAGRI ÉDITIONS | 2024Le secteur agricole traverse une crise singulière, dont l’affaiblissement démographique est l’une des manifestations. Le problème de renouvellement générationnel est en partie lié à la question du sens du métier. La passion pour le métier, souvent mise en avant, suffit-elle à lui donner du sens « pour toujours » ? Qu’est-ce qui fait sens dans un métier agricole ? Pourquoi ce sens peut-il à un moment donné être remis en cause ? Comment le reconstruire et le retrouver ? Basé sur l’analyse d’une grande diversité d’exemples, cet ouvrage donne à voir des « trajectoires de sens ». Il analyse comment ce sens se construit et se négocie parfois très tôt, se rompt aussi à certains moments de la vie professionnelle, mais peut aussi se retrouver. On y rencontre, notamment, des salariés en élevage porcin et du secteur hippique, des éleveurs laitiers, des maraîchers ou encore des apiculteurs et des entrepreneurs forestiers, confrontés à une même question, à laquelle ils apportent leur réponse. Les analyses et les témoignages recueillis montrent la complexité et la diversité des éléments qui interviennent dans ce domaine. L’ouvrage présente également certaines ressources et des acteurs sur lesquels prendre appui pour se saisir de cette thématique à laquelle chaque professionnel du monde agricole se trouve confronté aujourd'hui.
Enseignes bio : Nouveaux marqueurs Projective minute « Vivre 2035 »
Sauveur FERNANDEZ, AuteurDans cet article, Sauveur Fernandez décrit l'enseigne bio standard du futur (projection 2035) et ses cinq caractéristiques majeures : - le local qui devient la norme ; - la montée de collectifs producteurs/transformateurs et de leurs marques collectives ; - les mutations de la logistique (livraison à domicile décarbonée, nano-circuits de distribution...) ; - la fin du règne des produits emballés, remplacés par la fabrication sur place ; - les magasins circulaires (anti-gaspi, réemploi, consignes...).
La nouvelle vie paysanne de la ferme de Combreux
Benoît DUCASSE, AuteurEn 2021, à Tournan-en-Brie (77), quatre nouveaux paysans se sont installés sur la ferme familiale bio de Combreux, avec la perspective d'en accueillir d'autres. Justine Esnault et Thibaud Pereira sont tous deux maraîchers, au sein du GAEC du Champ Libre, et commercialisent leurs légumes en AMAP ; Bastien Paix, paysan-boulanger, cultive des céréales, dont il transforme une partie en pains, et des fourrages, qu'il vend à une coopérative ; Mélanie Castelle cultive des arbres fruitiers, des petits fruits et de la vigne, dont elle commercialise les fruits en frais et en confitures en direct. Le collectif souhaite accueillir de nouveaux membres, notamment sur l'atelier boulange et l'atelier fruits, et de nouveaux projets (petit élevage, accueil à la ferme, animations culturelles...).
Produire sur des prairies naturelles et diversifiées : Des éleveurs et éleveuses isérois.es innovent pour gagner en autonomie dans leur système d’élevage pâturant
Charlène MIGNOT, Auteur ; Olivier MOLY, Auteur ; Vincent GILBERT, Auteur ; ET AL., Auteur | GRENOBLE (Marché d’Intérêt Général, 117 Rue des Alliés, 38 030, FRANCE) : ADDEAR 38 | 2024En Isère, un GIEE (Groupement d’Intérêt Économique et Environnemental) d'éleveurs et d'éleveuses, animé par l'ADDEAR 38, a réalisé un travail, de 2020 à 2023, autour de l'autonomie des systèmes d'élevage. Lors de ces 3 ans de projet, les 12 éleveurs et éleveuses, tous en bio, ont beaucoup échangé sur leurs activités et ont réfléchi à des pistes à suivre pour améliorer l'autonomie de leurs systèmes. Ce document, fruit des travaux du GIEE, présente un panel de leviers, expérimentés dans les fermes accompagnées, autour de 3 axes : Axe 1 - Valoriser toutes les végétations pour gagner en autonomie alimentaire sur la ferme : Fabriquer du report sur pied des végétations ; Intégrer des ligneux dans la ration au pâturage ; Jouer sur l'équilibre azote-cellulose entre le pâturé et le distribué ; Faire varier ses objectifs de production en fonction des ressources à chaque saison. Axe 2 - Santé animale : gagner en autonomie et réduire le parasitisme : Identifier les périodes à risque parasitaire élevé ; Développer l'immunité des animaux aux parasites d'herbage ; Accompagner, réduire ou éliminer les parasites et autres pathogènes avec l'appui des plantes ; Monter en compétences sur le diagnostic sanitaire et les premiers soins. Axe 3 - Qualité et valorisation des produits transformés : Intégrer des levains indigènes en fromagerie pour plus de typicité et d'autonomie ; Engraisser et finir à l'herbe les animaux ; Calculer son coût de revient pour définir un prix de vente rémunérateur. En plus d'expliciter ces trois axes, le document compile les retours d’expériences des fermes.
Quantification des externalités de l’Agriculture Biologique : Santé : Résumé
Natacha SAUTEREAU, Auteur ; Fanny CISOWSKI, Auteur ; Céline GENTIL-SERGENT, Auteur ; ET AL., Auteur | PARIS CEDEX 12 (149 Rue de Bercy, 75 595, FRANCE) : ITAB (Institut de l'agriculture et de l'alimentation biologiques) | 2024En 2016, l’ITAB, en collaboration avec des chercheurs d’INRAE, a réalisé une analyse inédite, commanditée par le ministère de l’Agriculture, sur les externalités de l’agriculture biologique au regard de la littérature scientifique. Huit ans plus tard, face aux crises écologiques et à la montée des préoccupations environnementales et sanitaires, le MTECT (Ministère de la Transition Écologique et de la Cohésion des Territoires) a confié à l’ITAB, avec l’appui de chercheurs (INRAE, INSERM...), l’actualisation de cet état de l’art par la prise en compte de nouvelles publications scientifiques portant sur plusieurs dimensions (santé humaine, climat, biodiversité, sol). Ce document est un résumé du chapitre “Quantification des externalités de l’Agriculture Biologique : Santé”, rédigé par Fanny Cisowski, ingénieure en agro-alimentaire, experte qualités des produits alimentaires, Céline Gentil-Sergent, Dr en agronomie, experte ACV, et santé environnementale, Rodolphe Vidal, expert qualités et transformation des produits alimentaires, sous la direction de Natacha Sautereau, agronome. La rédaction de ce chapitre a bénéficié, en particulier, des appuis extérieurs d’experts de la santé : Emmanuelle Kesse-Guyot (INRAE, INSERM), Denis Lairon (INSERM). 290 références bibliographiques ont été mobilisées et figurent dans le chapitre “Santé”. Ce résumé de chapitre pointe les principales externalités de l’Agriculture Biologique (AB) concernant la santé, en regard des pratiques couramment mises en œuvre en conventionnel, que ce soit dans la production comme dans la transformation des produits. Il aborde les effets de l'AB sur la santé de la population professionnelle agricole, de certaines sous-populations spécifiques, comme les riverains des parcelles agricoles ou les enfants, et de la population générale. Pour celle-ci, l’analyse s’appuie sur des études de cohortes avec des consommations différenciées, selon des parts de produits bio plus ou moins importantes. Ce résumé du chapitre Santé s'accompagne d'une note synthétique de l'étude et des résumés des 3 autres thématiques (sol, biodiversité, climat), en ligne à l'adresse : https://itab.bio/thematique-en-details/quantification-des-externalites-de-lagriculture-biologique.
Sauvons notre alimentation : À table, citoyens !
L’humanité fait face à un défi crucial, aussi grave que le réchauffement climatique : la dégradation silencieuse de notre alimentation. Alors que l’espérance de vie en bonne santé recule pour la première fois en France et ailleurs, ce livre révèle la réalité de la malnutrition moderne, marquée par l’omniprésence des produits transformés, mal adaptés aux besoins nutritionnels. Il montre comment la volonté de produire et de transformer sans limites des denrées agricoles à des fins économiques a conduit à une exploitation effrénée de l’environnement et à un dévoiement de la nutrition humaine. Pour rétablir le lien entre la terre, la table et notre santé, Christian Rémésy propose des solutions concrètes : sanctuariser les surfaces agricoles destinées à la vente directe, taxer les produits ultra-transformés, diviser par deux notre consommation de produits animaux, valoriser les aliments bruts... Manger nous engage et c’est par nos choix alimentaires que nous parviendrons à donner les moyens de vivre aux paysans qui nous nourrissent, à reconnecter l’agriculture aux besoins humains et à ceux de notre planète, à réorienter les pratiques de l’industrie agroalimentaire et, in fine, à réduire nos dépenses de santé.
Au sein du GIREB, les agriculteurs bio prennent leur destin en main
Claire BERBAIN, AuteurEn Suisse, le GIREB (Groupe Indépendant de Recherche et d'Expertise Bio) regroupe, aujourd’hui, 7 agriculteurs vaudois bio en grandes cultures. L'objectif est de développer et de promouvoir l’agriculture biologique de conservation, pour une agriculture durable, autonome et respectueuse de l’environnement. Les membres du collectif mettent en commun leurs expériences et innovations. Pour financer les prises de risques expérimentales, le groupe s’appuie sur des financements extérieurs, notamment issus de Bio Vaud. Un exemple de système innovant testé par le groupe : l’association soja-maïs. Le soja couvre le sol, apporte de l’azote et produit 3 à 4 t de matière sèche ; la production de maïs atteint 85% du rendement témoin, mais sans apport d’intrants azotés.
TerriaOcc : Fermes en transmission, fermes en transition : Les installations-reprises pour favoriser la transition agroécologique et alimentaire
Michaël POUZENC, Auteur ; Alexis ANNES, Auteur ; Adeline BOUVARD, Auteur ; ET AL., Auteur | LATTES CEDEX (Mas Saporta, Bâtiment B, 34 875, FRANCE) : ARDEAR OCCITANIE | 2024TerriaOcc (2021 à 2023) est un projet de recherche-action, porté par des ADEAR d'Occitanie et des acteurs de la recherche. Il visait à étudier les dynamiques de transition agroécologique et alimentaire lors des installations-reprises de fermes (toutes en agriculture paysanne), en présentant différentes trajectoires de transmission. Pour cela, 13 fermes ont été enquêtées, dont 12 en agriculture biologique, sur trois territoires d'Occitanie : la Montagne noire dans l’Aude, le Parc Naturel Régional des Grands Causses en Aveyron et le Comminges en Haute-Garonne. L’objectif était de retracer le parcours des cédant·es et des repreneur·euses et le processus de transmission, afin d’identifier les transitions, plus ou moins visibles, qui ont eu lieu sur les fermes. Les repreneur·euses ont aussi identifié, au cours de ces entretiens, les acteurs qui avaient joué un rôle dans la réussite de la reprise et des transitions agroécologiques sur la ferme. Ce livret est composé de cinq parties, chacune se concentrant sur un type d'initiative observé sur les fermes : 1 - L'évolution des pratiques (adaptation aux enjeux environnementaux, conversion...) ; 2 - La vente directe (création ou réappropriation des circuits de commercialisation) ; 3 - La diversification (petit élevage, valorisation des produits) ; 4 - Le travail en collectif (accès au foncier, développement de la transformation à la ferme) ; 5 - Les mécanismes d'entraide (relations entre paysans, échanges...).
Accompagner les transmissions des collectifs à vocation économique
Elsa EBRARD, AuteurTrame pilote, avec 10 partenaires, le projet Recoltera (septembre 2022-fin 2024). Ce projet étudie les modalités de transmission des collectifs agricoles à vocation économique, dans un contexte de renouvellement des actifs agricoles. Il vise à caractériser les spécificités de la transmission en organisation collective, à identifier des outils juridiques et financiers facilitant ces transmissions, à identifier les compétences des agriculteurs et des accompagnateurs sécurisant les transmissions, et à diffuser ces résultats. Dans le cadre de ce projet, un collectif à vocation économique a été défini comme une entité d’au moins deux personnes actives agricoles, qui participent à la gouvernance du collectif, en vue de produire, mettre en commun, ou échanger des biens ou services qui s’inscrivent dans l’activité agricole (production, transformation, commercialisation, services). Trois collectifs, qui ont fait l’objet de visites, sont présentés : la SCOP (Société coopérative de production) Les Volonteux, la SCIC (Société coopérative d’intérêt collectif) La Carline et la SCAEC (Société coopérative agricole d’exploitation en commun) l'Union des jeunes viticulteurs récoltants.
Agir collectivement pour la capitalisation, l’appropriation et la diffusion des connaissances et des savoirs autour de la production de viande biologique produite à base d’herbe
Produire de la viande de ruminants, en particulier biologique, à base d’herbe sous-entend de nombreuses compétences et savoirs ou savoir-faire. Aussi, l’enjeu de la capitalisation, de l’appropriation et de la diffusion des connaissances et des savoirs en la matière, ainsi que le rôle-clé du conseiller agricole ou encore du collectif, ont été identifiés comme importants à consolider par les acteurs du projet BioViandes. L’équipe-projet BioViandes (ou collectif BioViandes) a ainsi été mobilisée en tant que « support d’étude », pour la mise en œuvre de la méthodologie Agri-Savoir, qui s’appuie sur les grands principes de gestion des connaissances. Celle-ci a permis : dans un premier temps, d’identifier des thématiques "critiques" pour le groupe (connaissances peu ou pas maîtrisées du collectif qui cherche à monter en compétences sur l’élevage biologique de ruminants engraissés majoritairement à l’herbe) ; puis, dans un deuxième temps, de définir et de mettre en œuvre un plan d’actions pour combler ces lacunes. Pour cela, deux volets ont été explorés : 1 - la montée en compétences par la capitalisation et la diffusion de documents au sein du collectif ; 2 – la construction et la réalisation d’un programme d’approfondissement des connaissances basé sur des échanges entre pairs. Le présent document revient sur l’approche méthodologique mise en œuvre, sur les résultats obtenus et sur les recommandations issues de ce travail.
Un agriculteur, des co-agriculteurs
Stéphane COZON, Auteur ; Marion HAAS, AuteurLa micro-ferme de Bras Hill, en maraîchage, est située à Bras, dans le Var (83). Elle est gérée par Patrice Gaydou, qui est soutenu par une communauté de 16 familles, dans une démarche allant au-delà de l'AMAP et fonctionnant selon un modèle inspiré de la charte sociale de Steiner. Les 3 000 m² de restanques (terrasses) sont divisés en une quarantaine de jardins de 60 m², plantés d'arbres fruitiers et conduits en maraîchage bio intensif. 2 000 m² de terres alluvionnaires complètent la surface. En échange d'un soutien financier au projet, les membres de Bras Hill reçoivent, chaque semaine et pendant les neuf mois de distribution, un panier de légumes et de fruits bio. Une structure légère a été mise en place sur le site pour accueillir des activités sociales, culturelles, artistiques, des formations et des chantiers collectifs menés par et pour les 16 familles de la communauté. Certifié bio depuis 3 ans, Patrice Gaydou envisage la certification biodynamique pour l'exploitation et l'accueil d'animaux sur le lieu.
D'une agriculture l'autre : Conflictualités, expérimentations, transmissions
Nathalie JOLY, Auteur ; Lucie DUPRÉ, Auteur ; Sandrine PETIT, Auteur | VERSAILLES CEDEX (RD 10, 78 026, FRANCE) : ÉDITIONS QUAE | 2023Dans une conjoncture incertaine (crises économique, écologique et sociale, accentuation des effets du changement climatique et impacts de la guerre en Ukraine sur la production et la commercialisation des denrées agricoles), cet ouvrage offre un éclairage sur de possibles devenirs agricoles à l'échelle des territoires. Il documente et analyse des expérimentations (valorisation de productions sur les marchés locaux, allongement des rotations de cultures), des changements de pratiques (élevage des veaux avec des vaches nourrices, conception de nouveaux contenus de formation dans l’enseignement agricole), ainsi que les conséquences humaines et au travail de cohabitations conflictuelles (entre le loup et les éleveurs, entre les apiculteurs et les agriculteurs). Les contributions réunies dans cet ouvrage prennent le temps de la présence sur le terrain et de l’écoute des acteurs pour décrire des initiatives ou des situations ancrées géographiquement, souvent sensibles et résolument actuelles. L’ouvrage dresse le portrait d’une « autre agriculture », soutenue par de nouvelles façons de travailler, ainsi que par des formes originales de transmission de savoirs professionnels entre pairs, de transmission des patrimoines et par une réflexion sur la relève en élevage. Cet ouvrage s'adresse aux enseignants du secondaire agricole et du supérieur, aux chercheurs, aux agents de développement et aux acteurs institutionnels et professionnels cherchant à comprendre les changements actuels en agriculture, au prisme des sciences humaines et sociales.
Aude : Les producteurs de plantes médicinales et aromatiques se structurent
Anne-Gaëlle CABELGUEN, AuteurDans l'Aude, en 2022, un collectif de producteur·rices de PPAM (plantes à parfum, aromatiques et médicinales) s'est constitué et a répondu à un appel à projets GIEE Émergence. À cette occasion, une charte permettant de définir les valeurs du collectif a été construite et a permis aux 6 producteur·rices impliqué·es de définir la principale mission du collectif : rendre visible et pérenniser la filière PPAM diversifiée comme source de valorisation du territoire audois. Les objectifs de travail du collectif pour 2023 sont présentés dans cet article.
Baromètre des produits biologiques en France – 2023 : Consommation et Perception : Rapport détaillé
L'Agence BIO s'est associée à L'ObSoCo (L'Observatoire Société & Consommation) pour établir le baromètre 2023 de la consommation de produits biologiques en France métropolitaine. Au sommaire de ce baromètre : 1 - Les habitudes alimentaires des Français (fréquence de consommation, part de bio dans l'alimentation, freins à la consommation, évolution des habitudes alimentaires...) ; 2 - Le rapport à l'alimentation (perception de l'alimentation, du « bien manger », rapport à la cuisine, place de la santé, perception de la qualité, considérations sociales et environnementales, arbitrages prix...) ; 3 - Représentations des produits bio (perception prix, perception des qualités environnementales des produits bio, valeur santé, valeurs gustatives, impact économique et social du bio, connaissances et confiance envers les labels...) ; 4 - Les circuits de distribution (perception de l'offre, attentes du consommateur...) ; 5 - Les consommateurs réguliers de produits biologiques (raisons de la consommation, ancienneté, familles de produits consommés, fréquence et lieux d'achat, évolution de la consommation bio depuis 1 an...) ; 6 - La consommation des produits biologiques demain (projection de l'évolution de la consommation alimentaire et non alimentaire bio dans les 6 prochains mois...) ; 7 - Le vin bio (consommation, critères d'achat, raisons de la consommation...) ; 8 - Portraits de Français selon leur rapport au bio (profils de consommateurs, typologie de la consommation bio...).