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Organic 3.0 for truly sustainable farming & consumption : A Landmark Document of the Organic Movement (2017)
Le mouvement biologique mondial, au travers d'IFOAM Organics International, a développé le concept dagriculture biologique 3.0 (Organic 3.0) et partagé sa vision de lavenir de lagriculture, lensemble de ses réflexions étant synthétisées dans ce document. Lagriculture biologique, basée sur les principes de santé, décologie et déquité, a un potentiel important pour répondre aux défis de lagriculture et du système alimentaire mondial, directement ou indirectement (changement climatique, sécurité alimentaire, biodiversité ). Il lui faut, pour cela, maintenir sa croissance et continuer à améliorer ses performances, en collaboration avec toutes les initiatives allant dans le même sens. La stratégie dOrganic 3.0 repose sur 6 principaux points : 1) une culture de linnovation associant les meilleures pratiques traditionnelles avec les techniques modernes ; 2) une amélioration continue conduisant à de meilleures pratiques tout au long de la chaîne de valeurs ; 3) une diversité des voies (et des modes de certification) pour améliorer la transparence et lintégrité au sein des marchés ; 4) une collaboration avec les mouvements et les organisations qui défendent lagriculture et lalimentation durables tout en évitant les initiatives qui relèvent du « greenwashing » ; 5) une reconnaissance du lien existant de la ferme au consommateur final, pour reconnaître les réels partenariats tout au long de la chaîne de valeurs y compris au sein dun territoire, en mettant en avant lagriculture familiale et les petits paysans, légalité des genres et le commerce équitable ; 6) un calcul des coûts réels, pour prendre en compte les externalités positives et négatives, pour encourager la transparence auprès des consommateurs et des responsables politiques et pour reconnaître les agriculteurs comme des partenaires avec des droits.
Les publications économiques de Coface : France : le secteur bio est-il condamné à renier ses principes ?
Lindustrie agroalimentaire fait face à de nombreux défis en Europe, dont celui, central, de la répartition de la valeur créée. Le développement du secteur de la production agricole dorigine biologique semble être une piste privilégiée pour répondre à ces défis, tant le marché est en pleine expansion en France et dans le monde. La France est ainsi le troisième marché mondial du bio (5,9 milliards deuros en 2015, soit 7 % du marché total et il devrait atteindre, selon les estimations de Coface, environ 8 milliards en 2017), derrière les États-Unis (40 milliards en 2015, soit plus de 40 % du total) et lAllemagne (11 %) et juste devant la Chine et le Canada. Cependant, loffre française semble peiner à répondre à cette demande dynamique, 29 % des biens étant importés. Ce déséquilibre peut laisser penser que trop peu dentreprises en France se sont converties au bio. Cette étude met pourtant en évidence la solidité des entreprises des filières tournées vers le bio (une augmentation de la part du bio de 10 % est associée à une diminution de 11 % des défaillances). Laugmentation des rendements, via linnovation et/ou lextension des surfaces cultivées en bio, est une question clé, tout comme celle de la distribution issue des magasins spécialisés historiques, qui, face à une concurrence accrue (les acteurs de la grande distribution ouvrent des magasins 100 % bio), devra faire évoluer ses modes dorganisation. A ces enjeux, sajoute la question du financement ou non de la filière par le marché, avec notamment lavenir de laide au maintien de la production biologique. Au final, lessor de la consommation de produits bio entraînera nécessairement une mutation de la filière, qui sera tantôt interprétée comme une adaptation, tantôt comme un renoncement à ses principes originels.
Des relais de croissance pour l'ultrafrais
Anne Caroline RENARD, AuteurLes produits ultrafrais laitiers à dimension éthique ou environnementale sont en expansion, avec 20 % de taux de croissance pour l'ultrafrais bio en France. Parallèlement à l'ultrafrais bio, les produits sans additifs, colorants de synthèse, édulcorants, conservateurs, amidons modifiés, gélatines animales, OGM constituent la tendance, avec une vraie demande de la clientèle pour les nouveautés, comme le montre l'étude Mintel présentée en mars 2017, lors de l'Assemblée Générale de Syndifrais.
Animaux délevage : Mieux assurer leur bien-être
Marie-Noëlle DELABY, AuteurSuite notamment à la diffusion des vidéos de lassociation L214, la question du bien-être animal a été mise au centre des débats. Des mesures ont été prises : pénalisation des abattoirs et transporteurs en cas de mauvais traitement, création de postes supplémentaires dinspecteurs pour les abattoirs Il serait nécessaire aussi de repenser les abattoirs pour les animaux : mise en place de brumisateurs pour les porcs ; diffusion de phéromones apaisantes afin daméliorer le bien-être animal et la sécurité des employés. Mais, si les gros abattoirs ont la possibilité dinvestir pour sadapter, ce nest pas toujours le cas des petits abattoirs. Or le maillage local des abattoirs contribue au bien-être animal en limitant le transport. Dans cet article, Pierre Mainaud, éleveur en biodynamie, témoigne sur ses pratiques respectueuses de lanimal (absence décornage, monte naturelle, coupage de queues proscrit ).
Biocoop : entreprendre autrement
BIO-LINEAIRES, AuteurLe développement de l'agriculture bio passe notamment par le développement d'un réseau de magasins bio professionnels, attractifs et militants. C'est ainsi que se définit le réseau de magasins Biocoop, initié il y a trente ans. Né en 1986 du regroupement de plusieurs coopératives de consommateurs bio, le projet avait pour objectif ambitieux de développer l'AB en France, avec des exigences élevées. Aujourd'hui, Biocoop propose des produits 100 % bio, dont 24 % des références proviennent du commerce équitable, privilégie les produits locaux et refuse l'importation par avion. Plus de 380 magasins Biocoop sont répartis sur le territoire, chacun indépendant et travaillant en moyenne avec une quinzaine de fournisseurs locaux, explique Gilles Baucher, Directeur du Développement et des Services Magasins. Réseau n°1 de la bio en France, Biocoop est en phase avec les aspirations des consommateurs. Gilles Baucher décrit le fonctionnement coopératif de l'entreprise et la professionnalisation des équipes, et présente les objectifs du réseau pour les années qui viennent.
Biocoop : plus de 400 magasins... et 30 bougies !
Nelly PEGEAULT, AuteurC'est en 1986, à l'issue d'un rassemblement de coopératives bio initié par la Coop Aquarius d'Annecy, qu'est née la Fédération Biocoop. Son but : "promouvoir l'agriculture biologique et l'idéal coopératif". Trente ans plus tard, le réseau compte 400 magasins autour d'une charte commune. A Anduze (30), trois jeunes ont monté une Biocoop. Leur projet dépasse en exigences l'esprit coopérateur des fondateurs. La SCOP des "Biocoopains" expérimente l'absence de hiérarchie dans l'entreprise, et s'enthousiasme pour les constructions sociales collectives et participatives. Ils soutiennent des projets aux répercussions très concrètes, comme le projet "la vigne bêêêle", qui favorise l'installation de bergers transhumants dans les vignes bio, ou encore un projet de camion bio itinérant...
Colloque Inra - Carrefour de l'innovation agronomique : Conjuguer éthique et croissance
Christine RIVRY-FOURNIER, AuteurA l'occasion du colloque « Dynamiques de développement des systèmes agricoles et alimentaires bio », organisé par l'Inra, le 26 avril 2016, à Rennes, plusieurs chercheurs ont présenté leurs travaux avec, comme question centrale, les paradoxes entre le développement de l'AB et le maintien de son identité et de ses valeurs fondamentales. Le développement de l'AB peut en effet engendrer un phénomène de « conventionnalisation » aux diverses conséquences, comme une réduction de certains freins économiques, mais aussi, une concurrence institutionnelle plus forte dans les politiques environnementales.
Le dossier : De nouveaux OGM bientôt au menu ?
Eric MEUNIER, Auteur ; Christophe NOISETTE, Auteur ; Frédéric PRAT, Auteur ; ET AL., AuteurDe nouvelles techniques de sélection, pour les espèces animales et végétales, sont en train de voir le jour : « édition de gène », Crispr/Cas9, mutagenèse dirigée... Si les industries qui mettent en uvre ces techniques ne parlent pas d'OGM, pour les auteurs de ce dossier, ce sont bien des interventions non naturelles sur l'ADN d'organismes vivants visant à leur conférer de nouvelles propriétés, répondant ainsi à la définition européenne d'un OGM. A travers ce dossier, les auteurs reviennent sur les débats qui entourent depuis 20 ans la question des OGM, et notamment de leur évaluation et de leur étiquetage. Daniel Evain, agriculteur bio et représentant de la FNAB au Comité Économique, Éthique et Social (CEES) du Haut Conseil des Biotechnologies (HCB), apporte aussi son point de vue. La question de l'encadrement juridique dans l'Union européenne est ensuite posée, en particulier pour savoir si les nouvelles techniques de sélection seront ou pas définies comme des OGM. Sont également abordées l'évaluation des plantes issues de ces nouvelles technologies et l'extension des brevets sur le vivant. Enfin, face à des aspects scientifiques prépondérants, Inf'OGM, à travers ce dossier, met aussi en avant la problématique éthique. A ce jour, il semble que la décision politique face aux OGM s'appuie essentiellement sur des faits scientifiques, mettant de côté la réflexion éthique, et ne prenant pas en compte le contexte dans lequel ces technologies apparaissent. Le principe de précaution et le droit à l'information semblent, pour les auteurs, fondamentaux.
Dossier : Se réapproprier et maîtriser les abattoirs
Yves Pierre MALBEC, Auteur ; Sophie CHAPELLE, Auteur ; Benoît DUCASSE, Auteur ; ET AL., AuteurLa disparition des bouchers artisanaux et la fermeture des abattoirs ont été progressives, faisant peu à peu de l'abattage une activité externe à l'élevage et qui échappe aux éleveurs. Aujourd'hui, 75 % de l'abattage est réalisé dans des grosses unités appartenant à des groupes industriels et privés. Pour reconquérir cet outil de production, et aussi pour répondre à une demande de produits locaux et de qualité, des paysans, des bouchers et des transformateurs se mobilisent, avec l'appui de chercheurs et le soutien de consommateurs. Des modèles et des solutions sont proposés, de l'abattage à la ferme sans intermédiaires à des ateliers collectifs, en passant par des abattoirs mobiles. Certaines de ces pratiques sont en cours dans d'autres pays de l'UE, notamment en Autriche, Belgique, Suède et Allemagne. Mais ceux qui les pratiquent se heurtent parfois aux directives des contrôles sanitaires et à des normes, souvent plus structurelles que fonctionnelles. Ce dossier apporte divers éclairages pour appréhender les problématiques actuelles de l'abattage : - Les enseignements à tirer après la diffusion des vidéos choc de L214 : Abattoir du Vigan : "Maltraiter une bête juste avant de tuer, c'est une énorme faute professionnelle" ; - Austérité budgétaire : L'inspection ante-mortem : une mission délaissée par l'État ; - Quelles normes pour l'abattage paysan ? : Traçabilité : Vers un label éthique pour valoriser une filière viande de qualité ; - Statut coopératif : "La transparence passe par la mise en place d'une meilleure gouvernance" ; - Initiatives pour améliorer le processus d'abattage : Un abattoir mobile sillonne les campagnes de Suède ; Au service des circuits courts (abattoir coopératif dans les Vosges) ; - En Allemagne, un abattoir permet d'accompagner l'animal jusqu'au bout (témoignage d'un éleveur alsacien qui a choisi d'abattre ses animaux en Allemagne) ; - Point de vue : On a beaucoup à apprendre du corps en saignant ; - Abattre les animaux de ferme : l'exigence d'un excellent travail (Jocelyne Porcher, sociologue et directrice de recherche INRA) ; - Étudier les conditions d'un abattage socialement, économiquement et écologiquement acceptable.
Organic market growth with integrity and trust - values based marketing
Dans le cadre du projet HealthyGrowth, financé notamment par CORE Organic, 18 chaînes de valeur à moyenne échelle et 4 chaînes de valeur régionales ont été étudiées afin didentifier les facteurs de réussite qui permettent de combiner le respect des valeurs et les volumes croissants. Dans cette vidéo de 2 mn 34 (en anglais), le coordinateur du projet HealthyGrowth, Egon Noe, résume les facteurs de succès importants liés à ces chaînes de valeur : mise en place de partenariats sur le long terme, conscience des différents partenaires dêtre dépendants les uns des autres, intérêt dune plate-forme de communication commune, importance dimpliquer les acteurs complémentaires comme les transformateurs et les détaillants, intérêt dun soutien public à lensemble de la chaîne de valeur.
Les relations homme-nature dans la transition agroécologique
Aurélie JAVELLE, Coordinateur | PARIS (5-7 Rue de l'Ecole-Polytechnique, 75 005, FRANCE) : ÉDITIONS L'HARMATTAN | 2016Face à la crise environnementale, l'humain cherche des voies pour sortir de l'impasse qu'il s'est lui-même construite. L'agriculture est pleinement concernée par ces enjeux. Ce livre part du principe que la transition vers des pratiques agricoles plus respectueuses de l'environnement ne peut être durable sans prendre en compte les facteurs culturels, les systèmes de valeurs individuels et collectifs des acteurs envers le vivant. Cette réflexion sur les déterminants des relations à la "nature" en milieu agricole est d'autant plus cruciale qu'elle résonne avec un bouleversement plus large vécu dans le monde occidental : la remise en question de la séparation entre nature et culture. Cet ouvrage permet de mieux comprendre l'histoire du rapport occidental à la nature, en particulier la genèse de sa volonté d'un contrôle total sur celle-ci. Il ouvre des pistes pour construire de nouveaux rapports à notre environnement, notamment en s'inspirant de rapports au monde d'autres cultures. Enfin, il développe une réflexion sur les situations d'apprentissage propres à permettre un enseignement de pratiques de production en "partenariat" avec le vivant. L'ensemble ambitionne d'apporter une contribution originale à une transition agroécologique efficiente. Ce livre, réalisé sous la direction d'Aurélie Javelle, s'adresse à tout public soucieux de questionner ses relations à l'environnement. Aurélie Javelle est ethnologue, ingénieure de recherche à Montpellier SupAgro. Elle travaille en appui à l'enseignement technique agricole pour l'évolution des pratiques de production.
L'univers des poissons en magasin bio
Angélique HOULBERT, AuteurLes Français sont de gros consommateurs de produits de la mer. Certaines pratiques de pêche cependant, peu exemplaires, sont pointées régulièrement du doigt par des associations de consommateurs. Le magasin bio a un rôle à jouer car il est en mesure d'apporter des solutions éthiques et qualitatives. Après un rappel des nombreuses qualités nutritionnelles du poisson et de ses bienfaits pour la santé, l'article passe en revue les différents rayons dans lesquels on trouve le poisson sous différentes formes (poisson frais, conserves, tartinables, soupes, surgelés...).
Valeurs de la biodiversité et services écosystémiques : Perspectives interdisciplinaires
Philip ROCHE, Auteur ; Ilse GEIJZENDORFFER, Auteur ; Virginie MARIS, Auteur ; ET AL., Auteur | VERSAILLES CEDEX (RD 10, 78 026, FRANCE) : ÉDITIONS QUAE | 2016La biodiversité, à la fois source et produit du bon fonctionnement des écosystèmes dont dépendent les services écosystémiques, joue de nombreux rôles. Dans un contexte de pressions toujours croissantes sur les milieux naturels, les études sur les valeurs de la biodiversité et les services écosystémiques aident à mieux comprendre les interactions entre nature et société, à anticiper les bouleversements à venir et à concevoir des mesures de gestion appropriées. Cet ouvrage découle dun séminaire qui a mobilisé plus de 40 scientifiques issus dune grande diversité de disciplines : écologie, philosophie, géographie, droit, économie, génétique, anthropologie, sciences politiques. Il a conservé la libre expression de perspectives parfois divergentes afin de restituer la dimension dynamique et vivante des processus davancée des connaissances. Trois thèmes y sont abordés : la question des valeurs de la nature en général, les relations entre biodiversité et bien-être humain à travers les services écosystémiques, et enfin les différentes formes dopérationnalisation de ce concept.
L'agroécologie, une éthique de vie : Entretien avec Jacques Caplat
Depuis près de cinquante ans, Pierre Rabhi en est convaincu : c'est en nous reconnectant à la terre qui nous nourrit, en prenant le temps de comprendre le miracle qui transforme une graine en de multiples fruits, que nous trouverons les ressources nécessaires pour construire une société véritablement intelligente et pérenne. Car, selon lui, l'agriculture tient la place centrale de nos organisations humaines. Elle conditionne non seulement notre capacité à nous nourrir et donc à survivre, mais également la possibilité d'élaborer nos cultures et toutes les activités qui constituent nos sociétés. Les auteurs estiment que nous sommes aujourd'hui face à un choix. Continuons-nous à favoriser l'agriculture industrielle, responsable de près de 70 % des destructions écologiques sur la planète et de la disparition de millions de petits paysans ? Ou bien prenons-nous le tournant de l'agroécologie qui, selon nombre d'experts, permettrait de nourrir sainement l'humanité tout en régénérant les écosystèmes ? Pierre Rabhi, un des pionniers de l'agroécologie, met les choses au point dans un dialogue avec Jacques Caplat, chercheur et agronome. À la fois scientifique, politique et philosophique, cet ouvrage éclaire la relation entre l'être humain et la nature, et propose des solutions à mettre en uvre par tous, illustrant que l'agroécologie n'est pas seulement une pratique agricole, mais aussi une démarche humaine et intellectuelle.
Assemblée Nationale : Rapport d'information sur les circuits courts et la relocalisation des filières agricoles et alimentaires : N° 2942
La mission d'information sur les circuits courts et la relocalisation des filières agricoles et alimentaires est une initiative de la Commission des affaires économiques de l'Assemblée Nationale. Son rapport a été rendu public et présenté, en juillet 2015, par Brigitte Allain, Députée Europe Écologie Les Verts de Dordogne. Cette mission s'est donné pour objectif de poser les conditions de la réussite de la relocalisation de l'alimentation, avec cette question en ligne de mire : Comment faire sortir les circuits courts, de proximité et de qualité de leur « niche » pour faire émerger un projet global de société ? En effet, selon le rapport, « pour atteindre un changement d'échelle, la relocalisation de l'alimentation doit être pensée au-delà des circuits courts et de proximité, comme un projet alimentaire de territoire. Cela implique une mise en réseau des acteurs - collectivités, consommateurs, entreprises, organisations -, la réalisation d'un diagnostic commun et la définition d'objectifs partagés. Cette vision globale, encouragée par les orientations nationales, devra se concrétiser dans des politiques volontaristes d'accompagnement local ». Ainsi, un travail de plusieurs mois d'auditions et de déplacements sur le terrain a été effectué afin de mettre en lumière les freins au développement de l'ancrage territorial de la production et chercher à dégager des pistes et propositions pour favoriser le développement de filières agricoles et alimentaires localisées sur les territoires.