Thésaurus
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Synthèse de groupe du réseau de références Bas Normand ; Campagne 1996-1997
Depuis 1994, une douzaine d'exploitations en agriculture biologique ont été intégrées au dispositif des Réseaux d'Elevage pour le Conseil et la Prospective de Basse Normandie. Ces exploitations bénéficient d'un suivi technico-économique qui permet d'analyser annuellement les résultats du groupe et leurs évolutions. La campagne 1996/1997 voit la production moyenne se situer à 4500 litres (max 6000 litres) par vache. Les taux restent assez bas (41.3 et 32.7) et il y a des problèmes de cellules dans la plupart des élevages. L'alimentation est basée sur l'herbe sous toutes ses formes (pâture, foin, enrubannage et ensilage), avec un faible recours aux concentrés. Le prix de vente du lait s'établit en moyenne à 2.23 F/L, soit une petite progression. Avec l'augmentation du prix de la viande, commercialisée en circuit biologique, cela a permis une stabilité du revenu agricole moyen du groupe à 112 000 F/UTH familiale. Une amélioration de la conduite des pâtures et de la qualité de la ration permettraient une meilleure production par vache.
Valorisation du fumier sur prairies : des essais fructueux en Lorraine
Depuis 1991, l'épandage de fumier sur prairie est l'un des principaux thèmes étudiés à la station de l'ITCF de Saint Hilaire en Woevre, dans la Meuse. Ce système de fertilisation encore peu développé en Lorraine est pourtant une manière efficace de valoriser les effluents d'élevage. Pascaline Loewenguth, responsable des expérimentations, nous explique quels sont les objectifs des essais menés (acquisition de références) et les premiers résultats en cours.
Abstracts on sustainable agriculture
Abstreco est l'équivalent de notre revue de presse en Hollande. Editée en anglais, elle compile toute l'information sur l'agriculture biologique et durable et vous permet d'avoir des résumés succincts des parutions. L'information et les références sont le fruit d'un travail de toutes les universités et des instituts de recherche hollandais.
Biolait, du lait bio partout et pour tous
Créé en 1994, à l'initiative de six producteurs de l'Ouest, le groupement d'intérêt économique Biolait collecte aujourd'hui 9,5 millions de litres de lait sur 19 départements. Son objectif est d'étendre la collecte sur tout le territoire.
Bretagne Viande Bio, la viande bovine ne connait pas de crise
En 1991, une dizaine de producteurs de viande biologique, deux bouchers et un salaisonnier se regroupent au sein d'une association, BVB : elle offre de nouveaux débouchés à la viande issue de l'agriculture biologique. Le succès est au rendez-vous.
Définition d'axes prioritaires de recherche appliquée en agriculture biologique
Cette étude, menée par l'ACTA à la demande du COST de l'ACTA et en coordination avec les autres partenaires de la recherche, définit, après un examen des besoins et du disponible, des axes prioritaires de recherche appliquée en agriculture biologique. Le développement de l'agriculture biologique passe par la mise à disposition de références techniques et de savoir-faire fiables, à l'image de ce qui existe en production classique dans les diverses filières et systèmes de production. Dans une première approche, les propositions d'axes de recherches définies dans cette étude ont été hiérarchisées pour chacune des productions : sur la base de ce matériau, il conviendrait que les ICTA au sein de leurs organes de réflexion (Conseils Scientifique et Technique, commissions techniques de l'ITAB, ...) approfondissent les analyses par filière. Les besoins de recherche identifiés peuvent être spécifiques à une production, à plusieurs productions comme le désherbage ou communs à l'ensemble des filières comme l'acquisition de références technico-économiques. La mise sur pied d'un dispositif commun de production de références technico-économiques par filière et type d'exploitation constitue certainement la priorité des priorités. Dès lors, il convient de réunir les partenaires concernés par un problème donné et d'élaborer en concertation un programme de recherche-développement. Enfin, pour que les résultats et les innovations proposés par la recherche soient rapidement pris en compte par les agriculteurs, il est nécessaire de développer une diffusion et une vulgarisation de qualité ainsi qu'un appui technique performant sur le terrain.
Goulven et Elizabeth Thomin, l'esprit de la terre
Littéraires de formation, ils découvrent l'agriculture biologique. motivés par le retour à la terre, ils décident de produire des légumes biologiques. Leur ferme emploie aujourd'hui six personnes.
Jean-René Cotten, la science de l'agrobiologie
Jean-René Cotten produit du lait biologique depuis 1989. Agronome très averti, il expérimente un système herbager remarquable en associant des graminées et des légumineuses. Ses résultats sont à la hauteur de sa technicité.
Lucien et Chantal Gorvan, des pommes, des poires... et du goût
Acteurs du développement mais également témoins de quinze années de pratiques agricoles peu respectueuses du milieu en Afrique, Lucien et Chantal décident de revenir en Bretagne en 1989. Ils produisent aujourd'hui des pommes et des poires biologiques.
Michel Ménager, viticulteur "bio" au pays du Muscadet
Michel Ménager commence par élever des boeufs, engraisse des porcs et produit du vin. Il abandonne les productions animales pour se consacrer uniquement à la vigne. Il est aujourd'hui l'un des trois producteurs "bio" de muscadet.
Philippe-André Richard, éleveur bio et chef d'entreprise
P.A. Richard produit et vend des oeufs biologiques. Il élève 9000 poules mais commercialise la production de 25000 poules, via des contrats passés avec d'autres éleveurs. La réalisation d'un nouveau centre de conditionnement de 1100m2 ouvre de nouvelles perspectives.
Philippe et Florence Chaze, la diversité agrobiologique
Philippe et Florence Chaze cultivent 90ha dont 80% en agrobiologie. S'y ajoutent une entreprise de travaux agricoles et une société de commercialisation de kiwis. Ce sont ainsi huit personnes qui travaillent au sein des différentes structures.
Pierrick Grasset, agrobiologiste chez les maraichers nantais
Après avoir été salarié pendant huit ans sur la ferme de son père, le jeune maraicher a pris sa suite en 1995. Il poursuit depuis le maraichage et la culture de sarrasin en production biologique, à la périphérie de Nantes.
Région Centre : au coeur de la bio
La région Centre compte aujourd'hui 152 producteurs biologiques sur une superficie d'environ 5 500 hectares (dont 1 360 ha en conversion). Elle représente environ 6 % de la SAU biologique nationale. Chaque année, une quinzaine d'agriculteurs convertissent 650 ha à l'agriculture biologique. Par son terroir et ses ressources humaines, l'agriculture biologique régionale possède un bon potentiel de développement. L'organisation de ses filières et l'acquisition de références technico-économiques encouragnet ce développement.
Véronique Bleuzen, pas de bonification pour le porc "bio" ?
Exception dans le réseau des producteurs de porcs, Véronique Bleuzen vient de s'installer. Elle souhaitait faire du porc bio en zone intensive mais non saturée de lisiers. Sans créer de pollution supplémentaire et malgré un avis favorable de la commission d'installation, les prêts bonifiés se sont fait attendre.