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Lagriculture biologique dans lAin, lAllier, lArdèche, le Cantal, la Drôme, en Haute-Loire, en Haute-Savoie, en Isère, dans la Loire, le Puy-de-Dôme, le Rhône, en Savoie Edition 2021
Ces douze fiches présentent les chiffres-clés de lagriculture biologique pour chaque département de la région Auvergne-Rhône-Alpes : lAin, lAllier, lArdèche, le Cantal, la Drôme, la Haute-Loire, la Haute-Savoie, lIsère, la Loire, le Puy-de-Dôme, le Rhône et la Savoie (une fiche recto-verso par département). Réalisées par lObservatoire Régional de lAgriculture Biologique en Auvergne-Rhône-Alpes (ORAB-AuRA), ces différentes fiches sappuient sur des données datant de fin 2019. Elles sont composées de deux grandes parties : le recto offre un état des lieux et des perspectives de développement de la bio dans le département (nombre et évolution du nombre dexploitations bio, dhectares engagés, de coopératives / transformateurs / distributeurs certifiés ) ; le verso présente les chiffres-clés des différentes filières animales (bovins viande, bovins lait, ovins viande, ovins lait, caprins, porcins, volailles, ruchers) et des différentes filières végétales (surfaces fourragères, grandes cultures, fruits, légumes, viticulture, autres ), ainsi que la répartition des différentes catégories de distributeurs (grossistes/négociants, magasins spécialisés, GMS ) et celle des différentes catégories de transformateurs (boulangeries, industries agroalimentaires ).
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Alternatives, compléments, stratégies adaptées Comment diminuer lusage du cuivre ?
Arnaud FURET, AuteurCet article effectue un tour dhorizon des alternatives au cuivre en viticulture biologique. Bien que la stratégie de protection de la vigne doive être réfléchie de manière globale (contexte pédoclimatique, sensibilité des cépages ), une règle sapplique à tous : être vigilant au moment de la chute des capuchons des fleurs. Les baies néoformées sont très sensibles et doivent être protégées. Par ailleurs, divers produits alternatifs au cuivre ont été testés ces dernières années, avec un constat : il est impossible de se passer de cuivre sans prendre des risques importants. Néanmoins, certains de ces produits, associés à de faibles doses de cuivre, apportent une protection efficace : décoction de prêle ou de bourdaine, infusion de saule ou de reine-des-prés, extrait fermenté dortie Largile et le lithothamne, qui assèchent le milieu, présentent également un intérêt. Cependant, les produits utilisés ne sont pas la seule clé du succès : la qualité de la pulvérisation et le positionnement des traitements sont également essentiels. Il est aussi possible de recourir à des moyens de protection physiques, tels que la mise en place de bâches de manière automatisée en cas de pluie. En complément de cet article, David Giachino (vigneron biodynamiste en Savoie) explique sa stratégie pour diminuer son utilisation de cuivre.
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Rénovation de prairie en système 100 % herbe
Thomas GERY, AuteurAlors que les sécheresses sont de plus en plus fréquentes et que les prairies permanentes ont tendance à perdre en qualité et en rendement (comparées aux prairies temporaires), la rénovation des prairies permanentes est une solution intéressante pour les systèmes herbagers. La mise en place de cultures dérobées ou de cultures à fort pouvoir racinaire permet de casser les prairies permanentes et présente lavantage de ne pas avoir à recourir à une céréale. Plusieurs itinéraires techniques sont possibles, dont un itinéraire classique (labour et semis dune dérobée estivale pour casser la prairie en place, puis semis dune nouvelle prairie à lautomne ou au printemps suivant) et un itinéraire simplifié (scalpage de la prairie et semis dune dérobée estivale, puis semis direct de la prairie en fin dété dans la dérobée). Cet article illustre ces deux itinéraires techniques à laide de schémas. En complément, il présente cinq stratégies de rénovation des prairies permanentes, testées en Savoie et en Haute-Savoie : 1 Mise en place de millet perlé fourrager pour rénover des parcelles de pâturage ; 2 Mise en place de sorgho fourrager pour rénover des parcelles de pâturage ; 3 Mise en place de chicorée/plantain/trèfle pour rénover des parcelles de pâturage ; 4 Mise en place de Teff grass pour rénover des parcelles de fauche ; 5 - Mise en place de prairie sous couvert de méteil pour rénover des parcelles de fauche ou de pâturage.
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Le Vin et la biodynamie : Manifeste
Les principes de la biodynamie, dont les bases ont été posées en 1924, sont souvent insuffisamment connues. Cet ouvrage fait la lumière sur ce courant fondateur de l'agriculture biologique moderne et traite du bon usage de la biodynamie en viticulture. Après avoir exposé un savoir-faire viticole qui s'est construit au fil du XXème siècle et abordé les conséquences de la viticulture conventionnelle sur notre environnement, il présente les enjeux contemporains de l'agriculture biodynamique et les nombreux bénéfices que l'on peut en tirer, plus particulièrement dans le monde du vin. En fin douvrage, un tour de France de 50 domaines incontournables convertis à la biodynamie donne la parole aux vigneronnes et vignerons qui la pratiquent et permet de découvrir 50 cuvées d'élection, réalisées dans les règles de l'art.
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Agropastoralisme : Lagropastoralisme en viticulture : une aide à la gestion de lenherbement
Arnaud FURET, AuteurEn Savoie, trois vignerons bio (Bernard Bachellier, Maxime Dancoine et Cyril Donzel) se sont réunis pour organiser de lagropastoralisme dans leurs vignes durant lhiver. Pour cela, ils ont fait appel aux agnelles de Juliette Castagneris, une éleveuse dovins allaitants avec une activité de ferme ambulante. Selon ces vignerons, la gestion du pâturage des ovins est peu contraignante : plusieurs parcs ont été mis en place et la plupart dentre eux donnent sur un abri que ces vignerons ont eux-mêmes construit. En cette saison, les brebis se contentent de leau naturellement présente et il suffit de leur amener une pierre de sel. Ils ont aussi observé des effets positifs sur la gestion de lenherbement de leurs vignes (les brebis se sont même attaquées au lierre grimpant). Cette pratique demande néanmoins une organisation particulière pour la taille des vignes : cette dernière est réalisée une fois que les ovins sont définitivement sortis dune parcelle, car les vignerons ont peur quils cassent les coursons. Il faut également apporter une attention particulière aux jeunes plants en les attachant bien à léchalas ou en les protégeant (ex : encadrement par des tuteurs en bambou). Léleveuse est également satisfaite de cet échange. Tous semblent partant pour renouveler lexpérience.
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Construire soi-même : Autoconstruire son séchoir pour être en phase avec ses besoins
Arnaud FURET, AuteurLuca Carrel sest installé en PPAM bio, le 1er janvier 2020, en association avec Benoît Claude (Le Sanglier Philosophe). Ces deux producteurs ont ainsi créé une seule entité sur deux sites de production et de séchage, de part et dautre du Massif des Bauges. A eux deux, ils cultivent 100 ares, réalisent de la cueillette et transforment leurs plantes. Actuellement, ils produisent 350 kg/an de plantes séchées et comptent passer à 600 kg/an. Pour cela, Luca Carrel a autoconstruit un nouveau séchoir. Auparavant, lors de sa première installation, il avait commencé avec un séchoir à air ventilé sur de grandes claies peu profondes, mais ce séchoir avait plusieurs inconvénients : ventilation insuffisante, claies peu maniables, petite capacité Il fallait compter jusquà une semaine de séchage pour les plantes les plus difficiles à déshydrater comme lail des ours. Afin dautoconstruire un séchoir qui corresponde à ses besoins, Luca Carrel a suivi une formation dispensée par Thibaut Joliet (producteur et formateur au CFPPA de Montmorot). Son nouveau séchoir a une capacité de séchage deux fois plus importante que lancien, pour un volume équivalent. Hors machines, car Luca Carrel a repris le matériel de son ancien séchoir, la construction lui est revenue à 1000 .
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Auvergne-Rhône-Alpes : Changer pour des légumes bio
Claudine LAVOREL, AuteurEn Savoie, deux agriculteurs ont choisi de changer de production et de se convertir au bio pour répondre à la demande locale. Alexandre Merle était jusquà présent céréalier et éleveur de veaux en agriculture conventionnelle sur une exploitation de 65 ha. David Bernard était viticulteur et producteur de pommes de terre sur 7 ha, également en conventionnel. Depuis plusieurs années, Alexandre travaillait avec le Groupe Provencia (Carrefour market) pour commercialiser ses veaux. Face au manque de production de légumes bio en Savoie, le Groupe Provencia et les cuisines Leztroy (acteur de la restauration collective en Savoie) cherchaient des producteurs de légumes bio et locaux supplémentaires. Ceci a fortement incité Alexandre et David à changer leurs systèmes de production pour cultiver des légumes bio en plein champ. En 2018, ils lancent une phase test en produisant des légumes sans produits phytosanitaires. En 2019, ils convertissent 15 ha en bio, dont 5 ha en céréales pour conserver une rotation pertinente. Chaque exploitation conserve son entité, mais ils créent un GIE pour commercialiser leurs légumes auprès du Groupe Provencia et des cuisines Leztroy (courgettes, pommes de terre, poireaux, butternuts et potimarrons).
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De la pédagogie en rayon
Arielle DOLPHIN, AuteurMarie-Cécile Nerfi est responsable du rayon fruits et légumes dun magasin LEau Vive (réseau de magasins bio créé en 1979), près de Chambéry. Elle explique comment elle gère lapprovisionnement de ce rayon pour allier qualité et origine des produits (les approvisionnements français sont privilégiés, 50 % des légumes sont produits localement), tout en minimisant le gaspillage. Marie-Cécile arrive tôt pour réceptionner les livraisons et marquer les colis à prélever en premier. Elle en profite pour trier les produits abîmés et les mettre de côté pour élaborer des paniers à 4 (au lieu de 12 ) ou les proposer à la vente via le système « too good to go ». Marie-Cécile nhésite pas à effectuer de la pédagogie auprès de ses clients pour expliquer les choix de produits (qualité, cohérence avec les saisons, non emballés et sans filet). Le magasin encourage aussi à ne plus utiliser de sachets jetables en proposant des sacs en coton bio pour le vrac, les fruits et les légumes (tout est pesé en caisse).
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Viticulture : Des infradoses de sucre en protection du vignoble
Arnaud FURET, AuteurLe projet CASDAR Sweet sest terminé fin 2018 (2016-2018). Il sinscrit à la suite du projet USAGE (2012-2014) et a permis de tester lefficacité dinfradoses de sucre sur plusieurs couples cultures-pathogènes. Concernant la vigne, des essais ont été effectués contre le mildiou et le black rot. Des infradoses de fructose, associées ou non à des infradoses de saccharose et à différentes formes de cuivre (Kocide ou Bouillie bordelaise) ont été testées. Dans un premier temps, le projet USAGE a mis en évidence que les doses de fructose à 100 ppm permettaient de renforcer lefficacité du Kocide mais quelles diminuaient celle de la Bouille bordelaise. La formulation du cuivre aurait donc une importance sur les gains defficacité. Il a aussi été démontré que le fructose aurait tendance à accentuer les attaques de black rot sur les grappes. Toutefois, les cépages ont réagi différemment. Le projet Sweet a ensuite constaté que, plus la pression du mildiou est forte, moins le gain defficacité lié à lajout de sucre est marqué. Le contraire a été observé sur le black rot : cest lors des fortes pressions que les meilleurs résultats ont été obtenus. De plus, laugmentation des doses de sucre ferait diminuer leur efficacité. Pour conclure, lintérêt des infradoses de sucre n'a été démontré de façon systématique quavec du Kocide. En situation à risque de black rot, il convient darrêter les infradoses à la nouaison.
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Dialog'Alpes : Un outil pour valoriser la diversité des prairies permanentes dans les exploitations d'élevage bovin laitier
Jean-Pierre THEAU, Auteur ; Thomas MALVOISIN, Auteur ; Fabien FAUGEROUX, Auteur ; ET AL., AuteurDans les exploitations basées sur les prairies permanentes, l'amélioration du système fourrager doit nécessairement prendre en compte la diversité des prairies. Dialog'Alpes est un outil de diagnostic qui permet, en exploitation à dominante herbagère, d'intégrer la diversité des prairies à l'échelle parcellaire, mais aussi d'articuler les éléments apportés par les typologies prairiales avec les pratiques fourragères des éleveurs. Il se présente sous forme d'un classeur Excel avec différents onglets qui permettent rapidement de traiter les informations recueillies (dont les pratiques de gestion des prairies) et de produire automatiquement des représentations sous forme de graphes (niveau d'autonomie fourragère, qualité des stocks récoltés, cohérence du chargement avec le niveau de productivité, services écosystémiques ). Ces informations facilitent la discussion avec l'éleveur sur ses pratiques fourragères en fonction du potentiel de ses prairies et de ses objectifs. Dialog'Alpes peut aussi être utilisé dans un cadre collectif avec un groupe d'éleveurs.
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Gérer des couverts végétaux et/ou engrais verts en viticulture
Arnaud FURET, AuteurEn viticulture, couverts végétaux et engrais verts ont des objectifs distincts. Les premiers contribuent à la maîtrise des adventices, à la prévention des maladies et des ravageurs, à une gestion optimisée de la fertilisation et à la lutte contre l'érosion. De plus, ils favorisent la biodiversité, permettent un contrôle de la quantité et de la qualité des moûts et assurent une bonne portance des sols tout en limitant le tassement. Les engrais verts, généralement semés à l'automne, seront détruits avant l'arrivée des graines, au printemps. Ils ont, entre autres effets, de provoquer une stimulation importante de la vie microbienne du sol, de structurer le sol et de le stabiliser. Deux viticulteurs bio (l'un en Savoie, l'autre en Ardèche) apportent leur témoignage sur l'utilisation des couverts végétaux et des engrais verts dans leurs vignes, ainsi que sur la mise en application des conseils d'Eric Maille (AgroBio Périgord), spécialiste de ces techniques.
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Lutte contre la maladie de la suie des pommes : Lintérêt dun modèle de prévision dévolution
Jean-Michel NAVARRO, AuteurLa maladie de la suie, observée dans les vergers de pommes tardives, est une altération superficielle de lépiderme, sintensifiant au cours de la période de conservation. Comme elle ne sexprime réellement quen fin dété, les traitements sont délicats à positionner. Christophe Raucaz est arboriculteur bio à Verrens-Arvey, en Savoie. Pour mieux contrôler la maladie, il teste dans le cadre du programme DEPHY animé par l'ADABio - un modèle de prévision de lévolution de la maladie de la suie, nommé RIM pro. Ce dernier repère la première infestation, puis permet de faire le tri entre les périodes humides contaminatrices et celles qui ne le sont pas. Christophe Raucaz utilise également ce modèle pour positionner, en fonction de la prévision de production de spores, des traitements préventifs. Quant au coût, il faut compter 200 euros labonnement pour maximum 2 stations météo.
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Les obturateurs de trayon au tarissement
Martin PERROT, AuteurEn Savoie et Haute-Savoie, une enquête a été menée chez sept producteurs bio sur la qualité du lait en 2017. Elle a mis en évidence lutilisation dobturateurs de trayon au tarissement pour six dentre eux. Certains en posent systématiquement, dautres nen mettent quau printemps (lorsque larrêt de lactation est plus difficile) et dautres nen posent que sur les vaches qui ont déjà reçu un antibiotique. Une de ces fermes nest dailleurs pas pleinement satisfaite : elle utilise des obturateurs injectables et retrouve des résidus dans les mamelles. Pour rappel, les obturateurs visent à prévenir les infections qui peuvent arriver suite à un tarissement. Naturellement, un bouchon de kératine se forme dans le canal du trayon, mais il nest pas forcément opérationnel immédiatement (à 7 jours, 47 % des VL ont encore un de leurs canaux douvert, 32 % à 21 jours et 5 % à 60 jours). Chaque ferme a son protocole dutilisation, mais il est conseillé de poser des obturateurs sur des vaches qui nont pas reçu de traitement antibiotique. Il en existe deux types : obturateur en gel à base de résine végétale et dhuile essentielle (en application externe) et obturateur injectable. Le protocole à respecter pour poser un obturateur injectable, afin quil ne laisse pas de résidus tout en étant efficace, est détaillé en fin darticle.
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Numéro spécial fermes : 139 fermes Terre de liens : Quel bilan après 10 ans dacquisition ?
Sophie BALTUS, Auteur ; Philippe CACCIABUE, Auteur ; Sylvain COSSON, Auteur ; ET AL., AuteurTerre de liens a commencé les acquisitions de fermes en 2007. Ce numéro spécial est consacré à cet anniversaire. Dans un premier temps, lhistorique de lassociation est retracé, de lacquisition de fermes « bio » et « paysannes » à la mise en place de critères de durabilité supplémentaire. Ensuite, des témoignages de fermes Terre de liens sont présentés : préserver une ferme du démantèlement et accompagner une transition (témoignages dH. Coutard, éleveur, et de M. Lepage, paysan à la retraite, tous deux en Mayenne) ; pérenniser une ferme en difficulté (F. Bono, arboriculteur dans les Bouches-du-Rhône) ; Accéder à une proposition de donation/legs (M-N. Gémonet, donatrice, dans la Drôme) ; Lutter contre lartificialisation (E. Geoffray, conseiller Safer, et M. Thérond, directrice du service Agriculture périurbaine, dans les Bouches-du-Rhône) ; Favoriser linstallation (M. Besnier, éleveur en Mayenne) ; Conforter lexistant (F. Surnon, éleveur en Isère) ; Préserver la ressource en eau (Anne-Marie Piolet, bénévole-administratrice à TDL Normandie) ; Maintenir une activité agricole face à la pression immobilière (Gilles Cicero, paysan-boulanger en Savoie) ; Pérenniser la propriété collective (W. Wijnen, gérant du GFA de Portecluse, Ariège) ; Préserver la biodiversité (Frédéric Signoret, président de la LPO de Vendée) ; Reconquérir des terres agricoles en friches (I. Schot, bénévole à TDL Normandie) ; Dynamiser lapprovisionnement local (J. Pochoy, maraîcher dans le Lot) ; Lutter contre la déprise rurale (A-P. Thuillier, fermière et adjointe à lurbanisme et à lhabitat en Lozère).
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Dossier : Rencontre annuelle 2015 des Acteurs du Pastoralisme dans le Massif des Bauges : Pastoralismes des Pays de Savoie au cur du Parc Naturel Régional du Massif des Bauges « Une voie vers l'agro-écologie »
Albert TOURT, Auteur ; Jean-Paul AMOUDRY, Auteur ; ASSOCIATION DES AGRICULTEURS DU PARC DES BAUGES, Auteur ; ET AL., AuteurLes 16, 17 et 18 septembre 2015, se sont déroulées les Rencontres de l'Association Française de Pastoralisme (AFP), au cur du Massif des Bauges, en Savoie. Après un extrait des mots d'accueil des Présidents des Sociétés dÉconomies Alpestres de Savoie et de Haute-Savoie, intitulé « Les valeurs portées par les territoires pastoraux savoyards », certains des articles présentés à l'occasion de ces journées sont rapportés dans ce dossier : - le Parc Naturel Régional du Massif des Bauges : un projet de territoire pour une dynamique agro-pastorale ; - les activités pastorales en Pays de Savoie et en Bauges : quelques enseignements de l'enquête pastorale 2012-2014 ; - l'AFP à la rencontre des Pays de Savoie et du Massif des Bauges ; - les dispositifs agro-environnementaux et leur articulation : leur mise en uvre dans le Massif des Bauges et les Pays de Savoie ; - l'alpage du Semnoz : une illustration des liens entre Territoires, Produits et Publics ; - l'alpage d'Allant à Jarsy : la reconquête pastorale d'un alpage au cur des Bauges.