Thésaurus
Documents disponibles dans cette catégorie (69)
Ajouter à la sélection Affiner la recherche
Etendre la recherche sur niveau(x) vers le bas
Galerie des acteurs de la bio 2023
BIO-LINEAIRES, AuteurLes 24 acteurs bio présentés dans ce dossier (grossistes, fournisseurs, entreprises, importateurs, gestionnaires de marques, distributeurs, transformateurs), qu'ils soient historiques ou start-ups innovantes, sont tous animés par une volonté de résilience, de rigueur et de performance sur leurs marchés. Ces entreprises sont de tailles différentes : certaines sont des PME, d'autres des réseaux de magasins indépendants. Dans ce dossier, chacun de ces 24 acteurs présente ses produits et ses engagements (santé humaine, biodiversité, conditions de vie des producteurs), ainsi que ses innovations.
Gérer ravageurs et maladies : Les pistes des plantes prometteuses
Marion COISNE, AuteurEn Pays de la Loire, le CTIFL et ses partenaires testent l’efficacité d’extraits de plantes pour lutter contre différents ravageurs et maladies en maraîchage (bio et conventionnel). Ces essais ont démarré avec les projets Obioleg (débuté en 2019) et Pamal (2020), aujourd’hui terminés. Vingt-neuf plantes ont été étudiées (elles ont été sélectionnées à l’aide de la bibliographie). Concernant les maladies, 23 plantes ont été testées à trois concentrations différentes sur huit pathogènes, ce qui représente en tout 552 combinaisons. Les réponses obtenues sont variées selon les agents pathogènes, les plantes et la concentration. Six plantes ont toutefois obtenu des résultats intéressants contre des maladies : la rhubarbe (en macération), la tanaisie (en infusion), le raifort (en macération), la bourdaine (en décoction), la camomille (en macération) et le noyer (en décoction). L’article détaille plus précisément les souches de pathogènes contre lesquelles ces plantes sont efficaces. Du côté des ravageurs, 18 plantes ont été mises en contact, en laboratoire, avec trois pucerons, à deux concentrations différentes. Un effet biocide a été constaté avec la lavande, le basilic, le piment, la menthe et la mélisse. Ces 18 plantes ont aussi été testées à deux concentrations sur les altises des crucifères. Globalement, seul le Pim+ (produit à base de piment) a eu un effet sur les altises en culture de choux. Depuis 2022, le projet Supernoma a pris le relai en testant de nouvelles méthodes d’application et en étudiant les solvants, ainsi que les métabolites.
Le Guide des plantes sauvages : 100 plantes essentielles aux vertus bienfaisantes
Bénéficier des vertus des plantes sauvages en faisant d’elles des alliées au quotidien, telle est la promesse de ce guide. Il invite le lecteur à renouer avec les bienfaits des plantes de nos régions. Carole Minker, docteure en pharmacie et spécialiste de phytothérapie et d’aromathérapie, emmène à la découverte de 100 plantes sauvages et de leurs propriétés thérapeutiques, gustatives et énergétiques. Pissenlit, ail des ours, coquelicot, consoude officinale, lavande, lierre terrestre, primevère, berce commune, pâquerette… Ce guide explique comment préparer les plantes (en infusion, en décoction, en teinture mère, en sirop ou en élixir floral) pour soigner les maux du quotidien, par voie interne ou externe, avec les posologies, les précautions d’emploi et des focus pour les enfants, les femmes enceintes et les personnes âgées. Pour faciliter l’identification et éviter les erreurs de cueillette, chaque plante a sa fiche d’identité illustrée (famille botanique, composition chimique, répartition géographique, biotope, période de floraison), accompagnée de différentes rubriques : santé, cuisine, beauté, cueillette, conservation, espèces proches et confusions possibles.
Les extraits végétaux : un outil d'avenir pour les grandes cultures bio
Julie GRIGNION, Auteur ; Romane MONDOR, AuteurLes extraits végétaux (tisanes, huiles essentielles, extraits fermentés, etc.) sont des préparations à base de plantes utilisées depuis longtemps par les agriculteurs. Il existe aujourd'hui une réglementation qui vient encadrer leurs usages. Les méthodes de préparation des extraits végétaux sont très diverses, selon le type de végétal utilisé (feuille ou écorce, frais ou sec...) et selon les usages recherchés (insecticides, fongicides, stimulateurs de défenses naturelles, engrais...). Dans le cadre du GIEE Transition Zéro Phytos, Bio 63 accompagne des essais sur des parcelles d'orge et de blé, où ont été épandus des extraits végétaux prêts à l'emploi. Henri Meeuwessen, agriculteur bio à Saint-Germain-Lembron (63), a testé, pour la première année, l'application d'extraits végétaux sur ses parcelles de blé. Il partage son ressenti.
Stress hydrique : Assurer le bon équilibre de la vigne
Justine VICHARD, AuteurLes pluies orageuses d’été ne sont plus systématiques. Les vignes peuvent rapidement souffrir d’un déficit hydrique, ce qui entraîne une baisse de la production de jus dans les baies et un déséquilibre au niveau des maturités (augmentation de la maturité alcoolique au détriment de la maturité phénolique). Pour limiter ce phénomène, il est possible, en amont d’un stress hydrique, d’apporter des extraits fermentés de consoude. Cette plante va stimuler la vie biologique du sol, dont les mycéliums qui forment des symbioses mycorhiziennes avec les racines de la vigne. Ces mycéliums explorent les différentes couches du sol et font remonter des informations à la vigne, notamment sur la présence d’eau ou non en profondeur. Une vigne avec des symbioses opérationnelles adaptera plus facilement sa stratégie à la présence ou non d’eau. Néanmoins, les sécheresses impactent la vie biologique et ralentissent considérablement ces échanges. Si le stress hydrique est installé, il est possible de recourir à l’achillée millefeuille et/ou à la camomille matricaire. Ces plantes viennent stimuler le cycle du potassium. Le potassium joue un rôle dans la régulation de la transpiration des plantes, puisque cet ion entre dans la gestion (ouverture et fermeture) des stomates. Assurer le bon fonctionnement de son cycle permet une meilleure gestion de l’évapotranspiration. La potasse participe également à une meilleure résistance des parois cellulaires des plantes, ce qui les rend plus résistantes face aux ravageurs.
A la une : Thés, tisanes : La propreté n’infuse pas toujours ! ; Cultivé en France : Vive le thé bio et local !
Patricia CHAIROPOULOS, Auteur ; Xavier LEFEBVRE, AuteurLe thé et les tisanes voient leur consommation augmenter et bénéficient d’une image de produit naturel. Mais qu’en est -il vraiment ? Des tests sur la présence de pesticides (770 molécules recherchées), de métaux lourds, et de corps étrangers ont été menés sur 4 familles de produits, bio et conventionnels, achetés en grandes surfaces et en magasins spécialisés : 16 thés noirs, 12 thés verts à la menthe, 10 infusions à base de verveine et 10 infusions détox. Pour les thés verts, les polyphénols, marqueurs de qualité, ont aussi été dosés. Les résultats montrent, notamment, la présence de 16 pesticides dans les thés conventionnels, dont certains interdits en France ou en Europe, tout en restant sous les « limites maximales de résidus ». Près de la moitié des thés verts est concernée, tous non bio. Du Glyphosate (encore autorisé) a été retrouvé dans 30 % des produits, en particulier les thés noirs. Si les résultats sont « bons » pour les métaux lourds, par contre, les analyses ont montré la présence de nombreux corps étrangers : insectes, fragments de plastiques ou de pierre, poils de rongeurs… Les infusions sont plus touchées par ce dernier point, ainsi que les produis bio pour les impuretés d’origine biologique (probablement parce que non traités pour les insectes). Pour les thés verts, les teneurs en polyphénols sont très variables, allant du simple au double. Le dossier se conclut avec un focus sur le thé bio cultivé en France, notamment métropolitaine. Production encore confidentielle, elle bénéficie depuis cette année d’un label privé « thé français ».
Entre pratiques et réglementation : Les préparations naturelles s’adaptent ; PNPP : les producteurs de légumes témoignent : Plantes en meilleure santé et coût modique
Arnaud FURET, AuteurLes PNPP peuvent fournir un soutien aux cultures maraîchères et aux plantes aromatiques. Mais comment s’y retrouver dans la réglementation mouvante ? Dans les années 2000, Eric Petiot, spécialiste français des solutions naturelles pour la santé des plantes, avait été inquiété par la DGAL – Direction générale de l’agriculture et de l’alimentation. Depuis, les travaux techniques de l’Itab et de ses partenaires, ainsi que le lobbying actif de l’AsproPNPP et de la Confédération paysanne permettent d’utiliser, dans un certain cadre, ces substances naturelles. Cependant, il faut du temps pour qu’une substance naturelle soit reconnue par la Commission européenne comme une substance de base : 34 dossiers sont encore en dépôt à Bruxelles, dont certains sont suivis depuis cinq ans. Parallèlement, Eric Petiot a poursuivi ses recherches et a développé la théorie du triangle, dont le but n’est pas de soigner les maladies, mais de rendre le sol vivant et équilibré pour avoir des plantes en bonne santé. Cet article est accompagné d’un encart contenant des rappels réglementaires sur les PNPP. Il est également complété par des témoignages de maraîchers bio : Timothée Chatelain met en pratique la théorie du triangle, tandis que Thomas Seguin et Flora Bardelli testent différentes solutions naturelles (infusion de sureau, huiles essentielles, homéopathie…).
La phytothérapie appliquée aux vignes, expliquée par les plantes
Améliorer la santé des plantes avec d'autres plantes, c'est possible ! Dans cet ouvrage, Justine Vichard propose des clés pour comprendre comment, face aux impasses de l'agriculture dite "moderne", une voie est possible en utilisant les ressources des plantes. Elle présente, ensuite, les propriétés de plusieurs plantes, ainsi que les principales préparations utilisées en phytothérapie, appliquées à la viticulture, pour soigner le sol, accompagner la croissance des vignes et renforcer leurs mécanismes de défense, notamment face aux aléas climatiques. Cependant, la phytothérapie doit être utilisée dans une approche holistique de la santé de la vigne.
Les tisanes de plantes : Quelles préparations et pour quel usage ?
Arnaud FURET, AuteurLes préparations à base de plantes, aussi appelées tisanes, sont une ressource précieuse pour la gestion des vignes, en particulier en biodynamie. Les tisanes peuvent être regroupées en trois grands types de préparations : les infusions (les plantes sont infusées une nuit dans une eau entre 80 et 95 °C) ; les décoctions (les plantes sont trempées dans l’eau froide, puis sont portées à ébullition, et l’ensemble bout entre 20 et 30 minutes) ; les macérations aqueuses ou huileuses (macération longue, à froid, qui conduit souvent à des extraits végétaux fermentés). En zone humide, il est possible d’utiliser une décoction de prêle, une plante riche en silice, qui retarde les premières attaques de mildiou et qui aide à la protection contre cette maladie et contre le black-rot tout au long de l’année. L’infusion de fleurs de pissenlit peut également avoir un effet « silice » et favoriser l’assèchement du milieu. Les infusions d’écorce de saule ou d’osier à 80°C aident aussi à développer les voies de défenses naturelles des plantes grâce à l’acide salicylique qu’elles contiennent. En cas de sécheresse ou de canicule, il est possible d'appliquer des infusions de fleurs de camomille matricaire et d’achillée millefeuille dès les premiers signes de flétrissement. La valériane, qui est un anti-stress puissant, favorise la résistance aux gels de printemps. Elle peut être appliquée sous forme de jus ou d’infusion de pétales. Les décoctions d’écorce de chêne permettent de renforcer la pellicule des raisins, et ainsi de limiter les attaques de mildiou et de botrytis sur les baies. Enfin, les extraits fermentés d’ortie peuvent venir fortifier les vignes tout au long de l’année.
Cahier technique : Les extraits végétaux en viticulture : Utilisations et effets face aux maladies et ravageurs de la vigne - Situation en 2019
Ce document est l'aboutissement de 8 ans de synthèses bibliographiques et de travaux d'expérimentation. Il présente ce qu'il est aujourd'hui permis de réaliser en matière d'extraits végétaux naturels dans le cadre réglementaire très contraint lié aux lois phytosanitaires. Le document est organisé en 4 rubriques : - Les termes importants à définir (nomenclature règlementaire, définition des différents extraits végétaux) ; - Matériels et méthodes d'extraction (préparation des extraits végétaux, infusions, tisanes, décoctions, macérations, purins...) ; - Les plantes substances de base (ortie, prêle, saule) ; - Les plantes substances naturelles à usage biostimulant (achillée millefeuille, ail cultivé, matricaire camomille, etc.).
Les plantes, ces alternatives aux pesticides encore interdites
Fabrice BUGNOT, AuteurEn novembre 2019, lors d’un colloque sur les alternatives naturelles aux pesticides, les participants ont dénoncé l’incohérence de la réglementation portant sur l'usage des préparations naturelles à base de plantes (telles que les purins, les infusions, les macérations ou encore les décoctions) et ont demandé une action politique rapide pour favoriser le développement de leur utilisation. Les exigences réglementaires de ces préparations naturelles ont été créées par la loi d’orientation agricole de 2006. Cette dernière a notamment introduit l’obligation d’obtenir une AMM (Autorisation de Mise sur le Marché) pour les commercialiser. Cette réglementation a, depuis, été précisée et distingue deux catégories au sein des PNPP (Préparations Naturelles Peu Préoccupantes) : les « substances de base » (contre les bioagresseurs) et les SNUB (Substances Naturelles à Usage Biostimulant). Cette classification et les différentes exigences réglementaires font que, pour les participants au colloque, l’utilisation de ces préparations naturelles est en pratique quasiment interdite (ou du moins très restreinte). Les participants dénoncent également le fait que cette réglementation bénéficie principalement aux firmes phytopharmaceutiques au détriment de l'autonomie des exploitations.
Des plantes contre la tavelure
Maude LE CORRE, AuteurLa station expérimentale de La Morinière (Indre-et-Loire) teste, depuis deux ans, des PNPP (Préparations Naturelles Peu Préoccupantes) contre la tavelure et les pucerons en verger de pommiers. En 2018, les PNPP suivantes ont été testées contre la tavelure : un mélange d’huiles essentielles d’origan et de clou de girofle ; une décoction de racines d’ortie ; une infusion d’un mélange de feuilles de serpolet, de feuilles de sureau et de clous de girofle ; une décoction de prêle. En 2019, après avoir analysé les résultats obtenus, les tests ont été reconduits pour le mélange d’huiles essentielles d’origan et de clou de girofle, et pour l’infusion serpolet-sureau-clou de girofle. De nouvelles PNPP ont aussi été testées : une macération à froid d’écorce de chêne et le produit Kanne Brottrunk® (produit à base de bactéries lactiques, obtenu par la fermentation en cuve de pain complet durant huit mois). À chaque fois, ces produits ont été testés avec des demi-doses de cuivre et de soufre, et comparés à la référence cuivre+soufre. Les comptages en verger ont montré que le mélange d’huiles essentielles, la macération d’écorce et le Kanne Brottrunk® semblent augmenter l’efficacité des traitements fongiques. En laboratoire, le mélange d’huiles essentielles est aussi ressorti. Ce travail exploratoire va continuer durant les prochaines années.
Les plantes médicinales de nos régions : Ortie, ou grande ortie, ou ortie dioïque ; Myrtille, ou airelle myrtille, ou brimbelle
François COUPLAN, AuteurFrançois Couplan, ethnobotaniste, est l’auteur de nombreux ouvrages sur les plantes et la nature, dont une encyclopédie en trois volumes. Il organise régulièrement des stages de découverte des plantes sauvages comestibles et médicinales. Dans cet article, il présente tout d’abord l’ortie, qui doit son pouvoir urticant à l'histamine et à l'acétylcholine qui provoquent une réaction allergique locale, mais qui possède par ailleurs de nombreuses vertus médicinales. Il présente ensuite la myrtille, riche, entre autres, en tanins et en flavonoïdes. L'auteur donne des informations sur les différentes façons d'utiliser chacune de ces plantes.
Portrait d'agricultrice ; Viticulture : Biodynamie : itinéraire technique en Sud Ardèche
Fanny PEYRIN, Auteur ; Arnaud FURET, Auteur ; Hélène THIBON, AuteurLe Mas de Libian est un domaine viticole familial (25 ha de vigne et 7 ha de cultures). Il est situé au sud de l’Ardèche et appartient à la famille Thibon depuis plusieurs générations (cinq membres de la famille travaillent actuellement sur le domaine). Le Mas de Libian, déjà en bio, est passé en biodynamie en 2004. Hélène Thibon, l’une des associés, apporte tout d’abord sa vision sur la biodynamie et sur l’importance de la transmission lorsque l’on travaille avec le vivant. Dans un second temps, cette vigneronne est interviewée sur l’itinéraire technique mis en place sur le domaine. Deux doses de bouse de corne sont appliquées par an (à l’automne et au printemps). En raison des contraintes auxquelles le domaine est soumis (vent, sol caillouteux), la période d’application est plutôt choisie en fonction des conditions météorologiques (temps doux et pluvieux) que du calendrier lunaire. De la silice de corne est apportée lorsque la vigne pousse, ainsi que des infusions de plantes (prêle, ortie, achillée mille-feuille). La phytothérapie leur permet d’utiliser des doses de cuivre faibles et elle est peu onéreuse. Hélène Thibon apporte aussi des éléments techniques sur les mesures prophylactiques, le travail du sol, ainsi que sur la préparation des infusions effectuée sur le domaine.
Le soin des plantes par les plantes : Retours d’expériences
Céline VENOT, Auteur ; Fleur MOIROT, Auteur ; Pauline BONHOMME, Auteur | PRIVAS (Espace Coworking La Biscuiterie 3.0, 15 bis, Avenue du Petit Tournon, 07 000, FRANCE) : AGRI BIO ARDÈCHE | 2019Ce livret a été rédigé par les associations Agri Bio Ardèche et ARDAB, avec la participation de l’ADABIO et d’Agribiodrôme, dans le cadre du projet « Soins des plantes par les plantes » (2016-2019). Il a été élaboré à partir de témoignages de producteurs de fruits bio qui utilisent des préparations naturelles pour protéger leurs productions. Ce document est donc avant tout un recueil de savoir-faire. Il commence par détailler et par comparer les différents types de préparations naturelles : macérations, décoctions, infusions, purins, LFF (litières forestières fermentées), teintures mères et huiles essentielles. Pour chacune d’entre elles, des informations sont apportées sur leur objectif, leur principe de fonctionnement, et leur protocole de fabrication. Ces informations sont complétées par des conseils de préparation et d’utilisation donnés par des producteurs. Les questions concernant l’approvisionnement en plantes, l’organisation du travail, la durée de conservation des préparations et les précautions d’usages sont également détaillées. Les principes actifs de quelques plantes (ortie, prêle, consoude, tanaisie et reine des prés) et leurs utilisations sont aussi présentés. Un focus est également réalisé sur la réglementation. Il permet notamment d’approfondir certaines notions comme les substances de base et les SNUB (substances naturelles à usage biostimulant). Enfin, les préparations pouvant être employées pour les principaux arbres fruitiers sont listées, ainsi que leur cible, leur dose et leur période d’application.