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CALVADOS |
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Optialibio, la Gazette : n°3
Antoine ROINSARD, AuteurDans le cadre du projet Casdar Optialibio, des essais agronomiques sur les prairies à flore variée et les associations céréales/protéagineux ont été mis en place sur la ferme expérimentale de Thorigné-d'Anjou (49), la plateforme Reine Mathilde (14) et la station expérimentale de Trévarez (29). Les lycées agricoles du Rheu (35) et de Tulles-Naves (19) conduisent, quant à eux, des essais complémentaires. L'objectif est de produire et de diffuser des références relatives à la sécurité alimentaire des systèmes bovins laitiers biologiques. Les personnes impliquées dans des essais sur les productions fourragères bio, au-delà des partenaires d'Optialibio, seront conviées au printemps 2016 pour échanger sur les protocoles mis en place. L'enjeu est d'élaborer une boîte à outils méthodologique « Mener des essais fourrages en AB ».
Plateforme dessais végétaux en agriculture biologique : Ferme daccueil et de démonstrations du projet Reine Mathilde : Gaec Guilbert Tracy-Bocage : 14e porte ouverte : 9 juin 2016
A l'occasion de la 14ème Porte Ouverte de la Ferme d'accueil et de démonstrations du projet Reine Mathilde, le Gaec Guilbert, situé à Tracy-Bocage, dans le Calvados, cette brochure a été réalisée afin de présenter les principaux essais végétaux mis en place. Ces essais concernent : - des associations céréales-protéagineux d'hiver destinées à une production de grains ; - des associations riches en protéagineux pour la production d'ensilage ; - des associations blé-lupin d'hiver ; - des espèces fourragères pour la fauche ; - des espèces fourragères pour le pâturage ; - des successions de cultures annuelles riches en protéines puis en énergie. Pour chacun, les conditions de l'essai (sol, précédent, itinéraire technique...), ses enjeux et intérêts, et les principaux éléments à regarder sont présentés. Ce document a été réalisé dans le cadre du projet Reine Mathilde, par l'Institut de l'Élevage, les Chambres d'agriculture de Normandie, Agronat, Agrobio Basse-Normandie, Littoral Normand et Sngtv.
Projet Reine Mathilde - Ferme daccueil et de démonstration en Agriculture Biologique : Chiffres 2015
Cette brochure présente le Gaec Guilbert, élevage laitier biologique bas-normand qui est devenu, en 2010, la ferme d'accueil et de démonstration du projet Reine Mathilde : présentation du système, du cheptel, de l'assolement, de la chaîne de récolte de l'herbe, du matériel disponible sur l'exploitation, de quelques résultats économiques pour la campagne 2014-2015, et des leviers utilisés par les associés du Gaec pour atteindre l'autonomie alimentaire. Ce document a été réalisé dans le cadre du projet Reine Mathilde par l'Institut de l'Élevage, les Chambres d'agriculture de Normandie, Agronat, le Réseau Bio Normand et Littoral Normand.
Reine Mathilde : une « ferme-vitrine » pour l'autonomie
Initié en 2010, le projet Reine Mathilde travaille au développement de la filière laitière biologique de Basse-Normandie et à l'accompagnement des éleveurs de la région. Pour cela, le projet s'est doté d'une plateforme de démonstration, ou « ferme-vitrine », lieu d'échanges et de rencontres autour de techniques adaptées à l'AB. Des cultures visant à renforcer l'autonomie alimentaire y sont testées et évaluées. Certains résultats sont présentés dans cet article. Ils concernent : - les associations féverole-pois protéagineux récoltées en fourrage et riches en protéines ; - des prairies de fauche riches en légumineuses ; - des prairies à flore variée contenant de la chicorée et destinées au pâturage ; - les associations céréales-protéagineux destinées à la production de concentrés fermiers (triticale-vesce d'hiver, triticale-féverole d'hiver, céréales sursemées dans le lupin d'hiver).
Résultats 2015 des essais Reine Mathilde sur l'autonomie alimentaire en AB
Dans le cadre du projet Reine Mathilde, démarré en 2010 à linitiative de Stonyfield France, filiale de Danone, et avec lappui de lInstitut de lÉlevage, des essais sont menés, chaque année, sur les terres du GAEC Guilbert (vaches laitières), autour de Caen, en Normandie. Ces essais et les démonstrations liées visent à améliorer lautonomie alimentaire des élevages bio. En 2015, les essais ont porté sur les associations céréales-protéagineux, dhiver et de printemps, ainsi que sur des essais lupin dhiver, ensilage de féverole pois, maïs associé, prairie pâturée et maïs fourrage ultraprécoce. Les conditions dimplantation, les interventions, les suivis de cultures et les résultats 2015 sont décrits. La féverole dhiver a connu un rendement exceptionnel (71q/ha) mais les céréales associées avaient peu levé. Le pois fourrager sassocie bien avec les céréales, sauf avec lorge dhiver (faible tuteur) qui, par contre, sassocie bien avec le pois protéagineux. La vesce sassocie surtout bien avec le triticale et le seigle. En semis de printemps, les lupins sassocient bien avec le triticale, en particulier le lupin blanc qui a donné de bons rendements (dégâts de lapins dans les autres modalités). La gestion des adventices a été meilleure dans les associations quen lupin pur. Concernant les associations avec le maïs, comme lannée précédente, seul le haricot peut être intéressant mais la récolte a toutefois été décevante. Dans les prairies multiespèces, la bande avec chicorée et plantain présente 3 à 4 points de MS en moins.
Découvrez les Talents bio 2015
Le Salon Tech & Bio met à l'honneur des agriculteurs bio qui se distinguent par leurs résultats remarquables. Lors du Salon des 23 et 24 septembre 2015, à Valence (26), une table ronde autour des témoignages des 15 lauréats a été organisée, en parallèle à l'exposition de leurs portraits. Dans cette brochure, les 15 "Talents Bio" sont présentés, avec une description de leur exploitation ou de leur entreprise : - Le GAEC des Cordiers (Savoie) ; - Denis Valentin (Drôme) ; - Le Clos des Monts (Puy-de-Dôme) ; - Le GAEC Le Bouquet Savoyard (Haute-Savoie) ; - Le GAEC des Pieds de moutons (Lozère) ; - La Ferme du Forest (Hautes-Alpes) ; - L'EARL Gobard (Île-de-France) : - Damien Olivier (Calvados) ; - L'EARL Saint-Germain (Charente-Maritime) ; - Philippe Nouvellon et Luc Devienne (Tarn) ; - L'EARL Guézenoc (Finistère) ; - Le GAEC des Marzelles (Loire-Atlantique) ; - Julien Taton (Saône-et-Loire) ; - Arlette Martin (Alpes-de-Haute-Provence) ; - Yves Dietrich (Bas-Rhin).
Formation, cahier des charges, soutiens publics : éléments déterminants pour structurer la filière
Sophie CHAPELLE, Auteur ; Mathieu DALMAIS, Auteur ; Florine HAMELIN, AuteurDans le dossier proposé par le mensuel Campagnes Solidaires de novembre 2015, qui aborde le thème de la restauration collective, sous le titre « L'agriculture paysanne à la cantine », les trois articles suivants sont présents : Trouver un prix rémunérateur pour le producteur (p.IV) ; Approvisionnement local : l'ambiguïté du gouvernement (p.V) ; Comment créer une cantine en milieu rural (p.VI). En Haute-Normandie, les Défis Ruraux, une association de développement local, accompagne les paysans pour répondre aux appels d'offre destinés à fournir la restauration collective, en favorisant d'un côté la rédaction d'appels d'offres tournés vers le local, et de l'autre le conseil aux paysans pour y répondre. L'introduction des produits paysans locaux commence souvent par les légumes, puis par les fruits. Pour les produits laitiers ou la viande, la partie est plus compliquée, car le différentiel de prix est souvent de un à quatre. Le deuxième article commente une récente brochure publiée par le ministère de l'Agriculture « Favoriser l'approvisionnement local et de qualité en restauration collective » (téléchargeable sur le site http://agriculture.gouv.fr/ministere/guide-favoriser-lapprovisionnement-local-et-de-qualite-en-restauration-collective). Si le ministère a bien fait un pas en avant pour l'approvisionnement local (autorisation de réduire la taille des lots, augmentation du plafond au-dessus duquel un appel d'offre est obligatoire...), l'article constate qu'un approvisionnement local n'est pas toujours le gage d'un approvisionnement de qualité, notamment suite au désengagement de l'État dans le financement des collectivités, ce qui les oblige à faire des économies. Une brochure sur les soutiens financiers publics a cependant récemment été éditée, ainsi qu'un guide sur les plateformes collectives au service de l'approvisionnement local. Enfin, le troisième article relate l'expérience d'une commune du Calvados qui, en trois ans, a remis en fonctionnement la cantine de l'école et a introduit 90 % d'aliments bio et locaux dans les repas. Élément déclencheur : la diffusion du film « Nos enfants nous accuseront ». La démarche commune entre la municipalité et les parents d'élèves est décrite, avec les différentes subventions perçues (commune, intercommunalité, Union européenne, Crédit agricole...).
Agir pour plus dautonomie alimentaire
Loïc MADELINE, Auteur ; Jean-Claude DORENLOR, Auteur ; Patrick CARTOUX, Auteur ; ET AL., Auteur | PARIS CEDEX 12 (Maison Nationale des Éleveurs, 149 Rue de Bercy, 75 595, FRANCE) : INSTITUT DE L'ÉLEVAGE | 2014Réalisées dans le cadre du projet Alimauto, ces six fiches présentent les choix stratégiques d'éleveurs bas-normands, 2 en agriculture conventionnelle et 4 en agriculture biologique, pour optimiser l'autonomie de leurs troupeaux bovins (lait et viande). Ces stratégies sont basées sur : - le pâturage tournant ; - la mise en place d'un système économe ; - la production de méteils fourragers et grains (en AB) ; - une organisation globale du système (en AB) ; - la production de lait à l'herbe (en AB) ; - une gestion optimisée de l'herbe (en AB).
La ferme de Prépetit : un organisme agricole en Normandie
Laurent DREYFUS, AuteurMichelle et Hervé Thinus sont agriculteurs en biodynamie depuis plus trente ans à Proussy, dans le Calvados. Petit à petit, la ferme s'est transformée en un véritable organisme agricole autonome : la présence d'animaux assure la fumure qui garantit la fertilité des sols et la qualité des légumes produits, les 15 ha de prairies naturelles acquises ont permis d'atteindre l'autonomie fourragère pour les animaux, les plants sont produits sur place... Mais, les propriétaires s'interrogent sur le devenir de Prépetit, souhaitant que tout le travail biodynamique d'une vie puisse trouver une suite de manière à continuer à faire rayonner la biodynamie dans ce lieu chargé d'histoire.
Les fermes laitières biologiques bas-normandes : Des systèmes très diversifiés - Campagne 2011-2012 - Édition 2013
En 2013, le réseau GRAB-GAB de Basse-Normandie a réalisé une étude régionale des systèmes laitiers biologiques de Basse-Normandie, à la demande des producteurs du réseau qui souhaitaient avoir des références quant à la durabilité, la viabilité et la transmissibilité des exploitations laitières biologiques. Les résultats de cette étude sont issus d'une enquête réalisée auprès de 39 fermes laitières certifiées biologiques et/ou en conversion de la région. À destination de tous les éleveurs et des prescripteurs de la bio, ce travail a pour objectif de caractériser ces systèmes et de mettre en évidence leurs facteurs de réussite technico-économique et sociale. Par ailleurs, il présente 11 fermes représentatives de la diversité des fermes laitières bio bas-normandes pour permettre aux agriculteurs bio ou candidats à la bio de s'identifier à un système proche du leur. Enfin, il comporte un focus sur les fermes avec séchage de foin en grange.
Recueil d'expériences : Coopération entre maraîchers bio - Innovation sociale dans les fermes
Sébastien BONDUAU, Auteur ; Delphine DA COSTA, Auteur ; Elodie BERNARD, Auteur ; ET AL., Auteur | PARIS (40 Rue de Malte, 75 011, FRANCE) : FNAB (Fédération Nationale d'Agriculture Biologique) | 2014Ce recueil, proposé par le réseau FNAB, s'adresse à tous les maraîchers biologiques qui souhaitent s'associer pour mutualiser des savoirs, des pratiques, des moyens, des services et pour conforter respectivement leur projet socio-économique au travers d'actions collectives de proximité. Il est notamment fort intéressant pour les porteurs de projets non issus du milieu agricole. Douze expériences de coopérations entre maraîchers, réparties dans toute la France, sont développées, regroupées selon 3 thèmes. Le premier renvoie aux échanges de savoir-faire et transferts de pratiques de production : - Achats groupés de semences et échanges d'expérience sur le choix variétal dans le Nord-Pas-de-Calais ; - Groupes d'échanges techniques entre maraîchers dans le Var (83). Le deuxième thème porte sur la mutualisation de moyens de production ou de services en lien avec l'activité de production : mécanisation et optimisation du travail à la clé (14) ; - Création d'un groupement d'employeurs maraîchers en Ille-et-Vilaine (35) ; - Création d'un groupement d'employeurs « Lous Pouillabens » dans les Landes (40) ; - S'entraider entre maraîchers pour mieux produire et commercialiser (Alsace) ; S'entraider entre polyculteurs bio, pour mieux produire et commercialiser (67). Enfin, cinq expériences illustrent le troisième thème sur la commercialisation : - Veille participative sur les prix des légumes bio en vente directe dans l'Hérault (34) ; - Groupement d'intérêt économique pour commercialiser ensemble sur les circuits de proximité, GIE Le Giraumon (35) ; - Livrer ensemble des paniers et la restauration collective, Association Terre d'Opale (62) ; - Partenariat entre planification collective autour de magasins bio (49) ; - Développer ensemble des débouchés de demi-gros, le GIE AgriBio 82.
Résultats de 3 ans d'essais sur l'autonomie alimentaire en AB : Essais du projet Reine Mathilde à Tracy-Bocage (14) : Années 2011, 2012, et 2013
Thierry METIVIER, Auteur ; Gérard BAVIERE, Auteur ; David DELBECQUE, Auteur ; ET AL., Auteur | CAEN Cedex 4 (6 Rue des Roquemonts, CS 45346, 14 053, FRANCE) : CHAMBRE RÉGIONALE D'AGRICULTURE DE NORMANDIE | 2014Le Gaec Guilbert dans le Calvados est le site expérimental du projet Reine Mathilde (porté par Stonyfield France et l'Institut de l'élevage). Ce rapport synthétise trois ans d'essais sur de nombreuses cultures fourragères, dans une perspective d'autonomie alimentaire de l'élevage laitier. Le séchage en grange est également pris en compte. Le lait biologique est livré à Danone. Les itinéraires techniques et les résultats d'expérimentation portent sur : les associations binaires céréales + protéagineux à base de blé ou triticale + féverole, vesce et pois ; féveroles ; lupins ; soja triple zéro ; ensilage de maïs + protéagineux ; légumineuses fourragères : luzernes (6 variétés), trèfles (7 variétés), sainfoins (2 variétés), mélilot jaune, lotier, mélanges de ces espèces avec des graminées fourragères ; maïs ensilage, blé meunier. En annexes, figurent les performances annoncées et observées des variétés. Les performances des espèces pures et des associations sont comparées afin de donner des préconisations de densité de semis et de choix variétaux adaptées au contexte bas-normand.
Brasserie La Lie : Des bières bio et plus encore
Christine RAOUT, AuteurC'est en 2009, que François Vassout quitte son emploi associatif pour "se lancer dans la bière", à Gambais, dans les Yvelines. En 2011, l'apprenti brasseur fonde La Lie qu'il installe dans un hangar fonctionnel, mais temporaire, à Saint-Martin de Fontenay, dans le Calvados. Jusqu'en 2012, la brasserie La Lie n'avait que deux recettes développées : une bière blonde et une épicée. En 2013, l'"Ambrée du Hameau" est venue rejoindre la famille avec une recette datant de 2007. La production de l'entreprise sera optimum lorsqu'elle atteindra 50 000 litres. L'objectif étant de répondre à une demande locale et surtout très fidèle qui passe par les circuits courts... Exigeant, François Vassout, avec son épouse, suit aussi les directives du label Nature et Progrès.
Gérer le pâturage afin d'y maintenir le trèfle blanc
Cyrielle DELISLE, AuteurDes travaux sont menés en Irlande sur le trèfle blanc dans les prairies, en association. Les résultats obtenus montrent notamment que la présence de trèfle blanc permet de réduire la fertilisation azotée de façon significative sans réduire les rendements (comparaison ray grass anglais pur avec une association ray grass anglais/trèfle blanc). Reste à maintenir le trèfle blanc grâce à des pratiques adaptées. Le pâturage tournant est ici une solution car il favorise la repousse du trèfle. Le pâturage hivernal, avec un chargement faible, est aussi un facteur favorable pour le trèfle. Par ailleurs, la production de biomasse semble favorisée par une hauteur de coupe ou de pâture courte (4 centimètres, chargement de 2.1 vaches / hectare).
Salon Tech&Bio 2013 : Philippe Charles, éleveur et pomiculteur bio en Basse-Normandie : « Un système extensif pour gagner en autonomie »
L'ARBORICULTURE FRUITIERE, AuteurPhilippe Charles a repris l'exploitation familiale normande en 1984, et il a commencé par intensifier les productions laitières et cidricoles : production de maïs ensilage, achat de soja, replantation de pommiers, etc. Il a toutefois conservé des variétés AOC, moins productives mais plus rustiques. Les résultats étaient bons, mais il a constaté qu'ils ne l'étaient pas autant que d'autres avec des systèmes extensifs. Il a donc décidé de changer son système : minimiser les intrants et maximiser l'autonomie. La conversion à l'agriculture biologique en 1998 n'a pas demandé de grosses modifications supplémentaires. Il a pu bénéficier de petites surfaces dont personne ne voulait pour s'agrandir et augmenter sa production d'herbe. Les vaches laitières, de race Normande, sont désormais nourries à l'herbe : pâture, foin et ensilage. Les pommiers sont plantés à 80 arbres par hectare, espacés de 10 m sur le rang et entre les rangs, et les animaux pâturent sous les arbres. Les charges sont très faibles, et la moindre productivité est compensée par une meilleure valorisation : doublement du prix des pommes à cidre et hausse de 30% sur le lait. Philippe Charles souligne la cohérence économique et environnementale de son système.