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Bio et local en restauration collective c'est possible !
MINISTERE DE L'ECOLOGIE, DU DEVELOPPEMENT DURABLE, DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT, Auteur ; IFORE, Auteur ; FNAB, Auteur | LA DEFENSE CEDEX (Grande Arche, Tour Pascal A et B, 92 055, FRANCE) : MINISTERE DE L'ECOLOGIE, DU DEVELOPPEMENT DURABLE, DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT | Développement durable - S'engager et agir | 2011Ce DVD Vidéo, édité en 2011, par le ministère de l'Ecologie, du Développement durable, des Transports et du Logement, l'IFORE (Institut de Formation de l'Environnement), avec la collaboration de la FNAB (Fédération nationale de l'agriculture biologique des régions de France), présente comment, en Champagne-Ardenne, et dans la ville de Charleville-Mézières (Ardennes) en particulier, l'introduction de la bio en restauration collective a été possible. L'objectif de 15 % de produits bio en restauration collective a été atteint : 1 menu complet bio est servi tous les mois ; certains produits bio sont introduits toute l'année. Le film intègre les témoignages de différents acteurs ayant contribué à la synergie nécessaire pour notamment faire se rencontrer restaurateurs et producteurs locaux : Samuel Maignan, chargé mission FRAB ; Elsa Auré, responsable Manger bio Champagne Ardenne ; Renée Gillet, éleveuse bovins bio ; Olivier Migrenne, directeur de cuisine centrale Charleville Mézières, formateur du réseau IFORE ; François Brunel, responsable de l'animation économique Charleville Mézières ; Aurélie Bénazet, Diététicienne, formatrice du réseau IFORE ; etc.
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Botanique : Reconnaître les plantes médicinales de son territoire
Sophie BOURGEOIS, AuteurEn juin 2018, des éleveurs des Ardennes ont pu bénéficier d'une journée de formation pratique, organisée par la Chambre d'agriculture départementale, autour de la connaissance et de l'identification de plantes médicinales présentes naturellement sur le territoire. L'objectif est de faciliter l'utilisation de la phytothérapie dans les élevages. Benjamin Laurent, naturaliste et formateur lors de cette journée, a prodigué quelques conseils permettant de faciliter la détermination d'une plante donnée, comme par exemple connaître la géologie des sols, ou sentir l'odeur d'une feuille froissée entre les doigts. Une formation en phytothérapie vétérinaire est nécessaire pour les participants qui souhaiteraient approfondir l'utilisation de cette pratique dans leur élevage.
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Le chanvre, une filière locale à développer
Pauline FERON, AuteurLe chanvre (Cannabis sativa), autrefois utilisé pour la fabrication des cordes et des tissus, fait de nos jours partie de la composition de certains bâtiments. Le programme Interreg Eco-construction et Citoyens vise à promouvoir son utilisation. Présente en Asie il y a quelques milliers d'années, la plante fut remplacée par le coton. Cultivée aujourd'hui notamment en Wallonie et dans les Ardennes françaises, elle fait l'objet d'études scientifiques en matière d'agronomie, de biomasse, de transformations alimentaires ou encore d'isolation thermique dans le bâtiment. Utilisée également dans l'industrie papetière, son second marché est celui du secteur du bâtiment et de la plasturgie automobile. A côté du chanvre industriel, émergent, depuis une dizaine d'années, des producteurs de chanvre en circuits courts, avec la volonté de participer au développement de l'éco-construction sur leur territoire. L'article présente les spécificités du chanvre et de sa culture, la filière (producteurs, transformateurs) ainsi que les techniques de mise en uvre dans la construction par les professionnels belges et français. Des références documentaires et un carnet d'adresses sont également fournis.
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Le chanvre, une filière locale à développer - (deuxième partie)
Pauline FERON, AuteurL'article fait suite à celui, paru dans le n°105, qui mettait en évidence l'émergence de la filière chanvre dans la région liégeoise. Ici, c'est l'utilisation du chanvre qui est présentée. Très prisée pour l'éco-rénovation de maisons anciennes, la plante est aujourd'hui de plus en plus adoptée dans des projets de constructions neuves et de rénovation. Sous forme de béton chaux-chanvre ou de panneaux souples, les matériaux obtenus combinent des qualités écologiques, techniques et sanitaires convaincantes. Ainsi, l'article présente cinq projets : la réhabilitation d'un vieux bâtiment dans le sud des Ardennes françaises ; l'écoconstruction d'une habitation pilotée par une association et une communauté de communes des Crêtes pré-ardennaises ; l'éco-rénovation de l'ancienne école de Renneville avec le soutien de l'ADEME ; la construction d'une maison communale passive de 1350 m2 entre Namur et Liège ; la construction de sept logements à usage locatif en région liégeoise. C'est la recherche de performances thermiques, environnementales, écologiques et paysagères qui a guidé le choix du chanvre comme matière première, comme en témoignent les acteurs de ces projets.
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Dans les Ardennes : Le pâturage d'abord
A Blanchefosse, au nord-ouest des Ardennes, Bruno Miser s'installe en 1990 avec 110 brebis sur 16 hectares, puis crée un GAEC père-fils avec 20 vaches Blanc Bleu Belge, 38 limousines croisées avec un taureau BBB pour produire des boeufs. L'an passé l'exploitation comptait 69 broutards en Limousin de race pure et 146 brebis. Pour ses brebis Texel et ses vaches limousines, Bruno Miser a tout misé sur l'herbe. Avec succès, semble-t-il, pour diminuer le travail et accroître le revenu.
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Dossier : 20 ans de Biolait
Patrick GUILLERME, Auteur ; Jean-Paul LE BIHAN, Auteur ; Jacques CHIRON, Auteur ; ET AL., AuteurCe dossier rassemble des contributions d'adhérents qui racontent leur action au sein de Biolait depuis que l'association a démarré, il y a une vingtaine d'années. Ainsi, Patrick Guillerme, du GAEC de Brural (56), revient sur le texte qu'il avait écrit en 1996, sur la bio, le prix du lait, les limitations de la production, et apporte quelques éclairages sur le contexte de l'époque. Puis, ce sont les témoignages suivants : - La trésorerie, il y a 20 ans (Jean-Paul Le Bihan, GAEC de l'Aubépine (56)) ; - Le service collecte, il y a 20 ans (Jacques Chiron, GAEC des Belles Contrées (44)) ; - Le service qualité, il y a 20 ans (Dominique Guillerme, GAEC de Brural (56)) ; - Relais local et service matériel, il y a 20 ans (Jean-Louis Le Normand) ; - Madeleine Clouet, assistante qualité ; - 20 ans déjà ! (Alain Delangle, producteur bio en Basse-Normandie et membre du bureau de la FNAB) ; - Interview d'Olivier Buiche, directeur général de la coopérative "Lact'Union" ; - Une histoire faite de rencontres avec des femmes et des hommes passionnants (Franck Bardet, responsable filières animales à Biocoop) ; - Les lancements de collecte (des témoignages sur l'arrivée de Biolait à Lusanger (44), en Bretagne, en Basse-Normandie, dans le Nord-Pas-de-Calais, au GAEC de Souilly (89), en Bourgogne, dans l'Aveyron, en Auvergne, dans le Maine-et-Loire, en Rhône-Alpes, chez Didier Noël (08), dans le Sud-Ouest).
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Dossier biogaz : Au Gaec Oudet, lait et électricité
Le Gaec Oudet, exploitation de vaches laitières, s'est lancé dans un projet de biogaz à la ferme. Après 3000 heures de travail, le co-générateur est mis en route en janvier 2005. Lisier, fumier, refus des vaches, coupes de gazon... constituent la matière fermentescible qui alimente le digesteur. 201 000 euros ont été investis dans l'unité de méthanisation avec 59 % d'aides. Forts de leurs bons résultats, les associés souhaitent réinvestir et multiplier par 4 la production d'électricité. Ce dossier est complété par le témoignage et les conseils de Nicolas Delaporte en charge de l'atelier biogaz, l'historique de la mise en place du projet, la description de l'unité de méthanisation et des exemples au Luxembourg et en Allemagne.
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Dossier : Maintenir les abattoirs de proximité
François D'ALTEROCHE, Auteur ; Cyrielle DELISLE, Auteur ; Sophie BOURGEOIS, AuteurLes outils dabattage se concentrent dans le Grand Ouest de la France, en lien avec la localisation des productions animales, mais aussi, en bovins, avec le niveau de finition. Ainsi, la zone Massif Central, axée sur la production de viande maigre, compte une densité moindre en abattoirs, ces derniers étant de plus petite taille. Cette situation est le résultat de plusieurs décennies marquées par la restructuration de labattage avec la consolidation doutils industriels, souvent spécialisés sur une espèce, de grande taille et privés, basés sur les économies déchelle et la rentabilité. Ainsi, quatre acteurs totalisent à ce jour 70 % des abattages de bovins. Or, il est essentiel de maintenir un maillage suffisant doutils dabattage dans les territoires, pour accompagner le développement des circuits de proximité et assurer les abattages durgence. Cependant, ces dernières années, ce sont essentiellement des petits abattoirs, souvent propriétés de collectivités, qui ont fermé ou qui ont été vendus, notamment parce quil est difficile de financer les investissements nécessaires à leur mise aux normes. Le dossier présente quatre exemples de démarches, portées par des éleveurs, des bouchers, des collectivités ou d'autres acteurs territoriaux, pour créer ou maintenir un abattoir local. Deux concernent la création dun nouvel outil, où la prise en compte du bien-être animal (notamment à labattage) et humain (arrêt des cadences dabattage élevées) est une clé majeure du projet. Les deux autres cas portent sur la reprise dun outil par des collectifs intégrant les utilisateurs de ces abattoirs. A noter que, dans le cadre du projet de loi Agriculture et Alimentation, un article a été adopté pour la mise en place dune expérimentation de labattage mobile pendant quatre ans.
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Dossier : Rénover le bâti existant !
Hamadou KANDE, Auteur ; Bénédicte DOSSIN, Auteur ; Dominique PARIZEL, Auteur ; ET AL., AuteurPlusieurs raisons incitent aujourd'hui Nature & Progrès Belgique à attirer l'attention sur l'indispensable rénovation de bâti existant en Wallonie et à Bruxelles. Les premières sont certainement d'ordre économique et social. D'autres raisons sont d'ordre culturel et patrimonial. Reste que, pour Nature & Progrès Belgique, les vraies raisons de rénover le bâti existant sont, avant tout, d'ordre environnemental : afin de produire moins de gaz à effet de serre, il est nécessaire d'opter pour des logements plus compacts et moins énergivores... ; il faut pour cela recourir à des matériaux locaux, produits avec une faible dépense d'énergie et surtout aisément recyclables en fin de vie... Il faut surtout de bons artisans... Le dossier est traité en plusieurs parties : - Le nouveau dispositif des primes à l'énergie de la Région Wallonne : intégrer la préoccupation environnementale, les deux types de démarches d'économie d'énergie, trois mesures qui semblent essentielles, un aperçu de la grille des montants des primes à l'isolation ; - Principes de base du point de vue de l'architecte : isolation, ventilation, un petit exemple chiffré ; - L'exemple d'une rénovation en Ardennes : des chantiers qui peuvent durer longtemps..., imaginer un logis qui corresponde aux besoins présents et à venir ; - Isoler toits, murs et sols existants ; - Bien mettre en uvre l'isolation : l'importance d'une bonne ventilation...
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Dossier : De la terre à la bouteille
Lisa GIACHINO, AuteurDans ce dossier, l'auteur s'intéresse à des initiatives de viticulteurs qui ont une démarche de production différente par rapport à un système de production conventionnel. Si certains sujets font l'objet d'une approche parfois polémique, le dossier aborde un ensemble de questions importantes pour cerner les enjeux d'un vin respectueux des valeurs de la bio. Après un rapide tour d'horizon des étapes de la fabrication du vin, les différents articles sont : - "Sur les pesticides, la parole des salariés n'est pas libre" ; - Ce que cachent les étiquettes ; - "Je fais des vins qui parlent pour moi" ; - Sarriette, origan et sucre au secours des vignerons ? ; - Quand le vin est tiré, il faut le donner ; - L'étonnante histoire des cépages interdits.
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Des éleveurs témoignent : Des ufs pour diversifier ; En Seine-et-Marne : L'oeuf en vente directe ; En Isère : Trouver le bon équilibre
Frédéric RIPOCHE, AuteurLes ufs bio comme source de diversification de son système : trois exemples sont présentés, deux en filière longue et un en vente directe. Le premier concerne l'exploitation de Philippe Bonnaire, dans les Ardennes, dont la production principale est l'élevage de vaches laitières biologiques. Le choix d'installer un atelier de 3 000 poules pondeuses, puis un second de 9 000, a été fait pour installer deux autres personnes sur l'exploitation. Cette volonté de permettre à une autre personne de travailler sur la ferme a aussi été le moteur, pour Isabelle Farconnet, en Isère, pour créer un atelier de 6 000 poules pondeuses en AB, également en filière longue. Son mari conduit le reste de l'exploitation, centré sur la production de céréales et de noix en conventionnel. Après quatre lots, les marques sont maintenant prises pour la conduite de cet atelier, qui est aussi devenu une ouverture à la bio, l'objectif étant à terme une conversion totale de tous les ateliers. Le troisième témoignage concerne Jacques Frings, qui commercialise en vente directe. Maraîcher, arboriculteur et céréalier, ce producteur bio, installé dans le sud-est de Paris, a fait le choix d'avoir un petit atelier de 250 poules pondeuses par passion et pour étoffer sa gamme de produits à la vente. Malgré la diversité de ces trois exemples, tous se retrouvent sur le fait que ces ateliers ne génèrent pas de marges très importantes, avec dans certains cas, l'impact de la charge financière liée aux bâtiments. Mais ces derniers, s'ils sont adaptés au travail et au confort des animaux, sont un facteur important pour le bon succès de ces ateliers, notamment en termes sanitaire, de travail ou de résultats techniques et économiques.
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Energie : Méthanisation, cinq ans de recul
Vincent DEMAZEL, AuteurLes exploitations laitières du Gaec Oudet et de Jean Mineur dans les Ardennes figurent parmi les premières à s'être lancées dans la méthanisation. La ferme du Gaec Oudet, de 188 hectares, compte 65 vaches laitières et produit aussi 30 bufs par an. Le méthaniseur intègre 2 200 tonnes par an, en majorité du lisier... La production annuelle atteint 22 m³ de biogaz qui alimente une génératrice produisant 250 000 kWh/an, soit 18 000 de vente d'électricité par an. La ferme de Jean Mineur produit 469 000 kWh (potentiel maxi de 605 000), les substrats méthanisés représentant 1 800 m³ de fumier, 4 ha d'ensilage... La chaleur produite procure notamment toute l'eau chaude nécessaire pour les bâtiments d'élevage et la salle de traite.
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Enquête : Agriculture biologique : Le bio en ébullition
Pauline BOURDOIS, Auteur ; Vincent DEMAZEL, AuteurLagriculture biologique poursuit son développement. Cest ce que montre cet article, qui alterne présentation de chiffres et témoignages dacteurs, dont des agriculteurs. Avec une demande croissante en produits biologiques, ce développement concerne toutes les productions et se poursuit malgré dimportants problèmes dans le versement des aides à lAB (retards suite, par exemple, aux fusions des régions, ou enveloppes budgétaires insuffisantes ). Un des focus de cet article porte aussi sur la phase de conversion avec le témoignage de François Berrou, animateur qui accompagne des agriculteurs en Mayenne. Pour lui, deux clés de réussite pour mener à bien un projet de conversion : un bon calcul du budget de trésorerie pour la phase de conversion et la prise en compte du « réajustement du temps de travail » qui va varier en contenu et en rythme. A cela, sajoute limportance de sappuyer sur un réseau pour réussir son projet de conversion. Cette enquête aborde aussi la question des Cuma mixtes : elles sont, en effet, nombreuses à compter à la fois des adhérents bio et conventionnels, chacun ayant des calendriers dexploitation différents. En juillet 2016, le comité national de lAB a apporté des précisions : « un usage mixte (de matériels) est possible, dans la mesure où il est procédé à un nettoyage approprié entre les utilisations ». Ainsi, si le nettoyage est un enjeu majeur pour ces Cuma, ces dernières sont aussi sources de liens entre agriculteurs, bio et non bio, facilitant le transfert de pratiques.
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Les filières bio bovines et ovines dans les Ardennes : état des lieux et pistes d'actions pour une progression de la bio sur les aires d'alimentation des captages (AAC) : Rapport d'étude
Sur les bassins hydrographiques Rhin-Meuse et Seine-Normandie dans les Ardennes, plusieurs captages sont classés prioritaires pour cause de dégradation de la ressource en eau par des pollutions dorigine agricole (pesticides et nitrates). Le constat de ces pollutions diffuses nécessite la mise en uvre dactions permettant la reconquête de la qualité de leau. Lélevage est prédominant sur le département des Ardennes, de par le relief marqué de ce territoire et labondance de pâtures. Dans ce département, lagriculture biologique ne représente que 5,1 % des exploitations agricoles, soit 3,3 % de la SAU des Ardennes. Afin de développer lagriculture biologique sur les Aires dAlimentation de Captage (AAC), il est nécessaire de trouver des débouchés locaux pour les fermes bio et les fermes conventionnelles qui souhaitent sengager dans cette voie. La FRAB Champagne-Ardenne a réalisé, en 2016, une étude des filières biologiques bovines et ovines ardennaises afin de mieux connaître ces filières, didentifier leur potentiel de développement et aider à leur structuration territorialisée pour la protection de leau. Les résultats sont présentés. Les pistes dactions destinées à consolider ces filières biologiques ont été définies selon trois axes : Développer de nouveaux débouchés ; Rendre les produits bio locaux plus visibles par des actions de promotion et de communication ; Mettre en lien les acteurs de lamont et de laval pour relocaliser lapprovisionnement et la distribution.
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Au Gaec Legros à Bignicourt (Ardennes) : Chaque été, les intercultures se font une place au soleil
Les "Cipan", Cultures intermédiaires pièges à nitrates, sont florissantes au GAEC Legros, à Bignicourt dans les Ardennes. Moutarde, colza, radis et seigle : ces cultures intermédiaires, Pascal et Philippe Legros les utilisent à plein pour précéder betteraves, pommes de terre et orges de printemps. Le choix du sans-labour ne fait qu'appuyer leur orientation. Les semis se bousculent en août et, l'hiver, tous les sols sont couverts. Reportage en Champagne crayeuse ardennaise.